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KARSON Ellis ► Ian SomerhalderPage 1 sur 4 • 1, 2, 3, 4
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Lien du postVen 28 Fév 2020 - 16:56
Karson Ellis
date de naissance
8 Décembre 1977
lieu de naissance
A Sacramento en Californie.
nom
Ellis
prénom(s)
Karson
orientation sexuelle
Hétérosexuel
statut amoureux
Veuf
statut social
Classe riche inférieur
travail
Écrivain
Je n'aime pour le moment pas grand chose à propos de Boston. Oh ce n'est pas tellement la ville que je n'aime pas. C'est juste une forme de paradoxe. D'une certaine façon j'aime voyager et découvrir de nouveaux pays, de nouvelles cultures. De l'autre, j'aime me poser dans un endroit. Boston ne rempli aucune de ces conditions. J'ai quitté New Haven afin de venir emménager ici, déjà que j'avais eu du mal à m'habituer à New Haven après avoir déménagé de Sacremento, alors il me faudra du temps pour m'habituer au changement. Car il ne s'agit pas ici d'un changement de culture, c'est comme New Haven ou Sacramento, on y parle la même langue, on paye dans la même monnaie, mais ce n'est pour le moment pas chez moi. Après... J'espère que ça deviendra chez moi et ça l'est déjà un peu grâce à Daryl et Peyton.
• Honnête. Je suis quelqu'un d'honnête, je n'aime pas le mensonge. Je préfère toujours une vérité blessante à un doux mensonge. J'ai du mal à accepter le comportement inverse. Après je suis humain, ça a pu m'arriver, mais je pense m'en vouloir assez pour l'accepter chez les autres.
• Moralisateur. D'accord, ce n'est pas très bien, mais j'en ai conscience. J'ai mes valeurs et j'ai du mal à accepter... Non ce n'est pas la différence que j'ai du mal à accepter, pas dans les valeurs. C'est l'absence de valeur derrière un acte que je condamne. On peut être mauvais à mes yeux sans que je juge, même si dire que quelqu'un est mauvais est en soi un jugement. Juste, c'est l'hypocrisie que je ne supporte pas, ceux qui prétendent avoir certaines valeurs mais qui ne les respectent pas.
• Protecteur. Pas avec tout le monde certes, je ne vais pas non plus défendre la veuve et l'orphelin, même si j'aimerai. Non, je protège les gens que j'aime, à mon échelle à ma façon. Même si je suis justement moralisateur, je fais de mon mieux pour accepter les gens que j'aime comme ils sont et de les protéger même quand je désapprouve leurs actions. Du coup je me retiens de dire « Je te l'avais bien dit. » même si parfois ça me démange tellement.
• Rancunier. J'ai beaucoup de mal à pardonner les erreurs des gens. Une fois ma confiance perdue, j'ai énormément de mal à la redonner. En fait ce n'est encore jamais arrivé. Après quand on est père, il faut être plus souple, j'ai un peu peur de ça d'ailleurs. J'ai juste du mal à me dire que si une personne m'a trahi une fois elle ne le fera pas une seconde fois. Et quelque part, je suis hypocrite sur ça, car... J'ai trompé ma femme et pourtant j'étais bien heureux qu'elle me pardonne.
• Calme. D'accord, ce trait-là n'est pas le plus ancien, Daryl pourra confirmer. Néanmoins, après une enfance... tumultueuse, on va dire ça comme et des coups de sang regrettable – bien qu'ayant parfois de bonnes conséquences comme Peyton – j'ai décidé de travailler sur moi et de moins me laisser emporter. J'essaye de toujours réfléchir avant d'agir et si possible agir avant un verre de whisky ou remettre l'action au lendemain.
• Caractériel. On ne peut pas tout améliorer dans son caractère. Je n'ai plus de côté sanguin, mais ce n'est pas pour autant que mon caractère s'est adoucis. Il faut se méfier de l'eau qui dort, à ce qu'on dit. Et bien dans mon cas c'est vrai. Je préfère garder mes esprit, mais cela ne veut pas dire que je laisserai quelqu'un me marcher dessus ou s'en prendre aux gens que j'aime. On peut aller très loin par amour.
• Diplomate. L'Art de maîtriser les mots a plusieurs utilités. Déjà on comprend plus facilement ce que l'autre veut nous dire dans ses discours et ensuite on peut plus facilement exprimer ses sentiments sans blesser autrui. Non, je ne parle pas ici d'hypocrisie, mais juste du fait de bien choisir ses mots pour éviter qu'une situation s'aggrave, pas prendre les gens pour des idiots.
• Passif. Alors là, il faut faire attention à quoi on parle, je ne parle pas de choses intimes. D'ailleurs, je ne suis pas passif au sens général. Je ne suis pas quelqu'un qui va attendre que tout lui tombe dessus. Je sais faire le premier pas, comme aller parler aux enfants de ma fille. C'est juste que je mets du temps à prendre des décisions. Je dois souvent peser le pour et le contre, sauf si on me force la main. De ce fait, il est possible que je loupe quelques opportunités car j'ai besoin, vraiment, d'être sûr de moi avant de me lancer.
• Loyal. Je tiens aux gens que j'aime et j'irai jusqu'en enfer pour eux. Du moins aux portes de l'enfer, c'est assez difficile d'y entrer. Bref, tout ça pour dire que j'ai appris le respect dans ma jeunesse, mais la première forme de respect est celle d'être présent pour ceux qui comptent. Sans quoi ce n'est pas utile d'avoir des gens qui comptent, autant rester seul. Ce que je préfère éviter.
• Mélancolique. Ça c'est assez nouveau. Je me promène parfois dans Boston empli d'une certaine tristesse. Rien de très grave, ce n'est pas une dépression ou quelque chose de plus dramatique. Non, c'est juste normal après avoir perdu sa femme et découvrir que notre fille a un autre père que soi.Ce n'est pas tellement que je sois jaloux, juste je me demande parfois si j'ai une place dans sa vie et ce que serait la mienne sans elle. Je me prend parfois à rêver, faisant le monde avec des si. Malheureusement, les si n'aime pas les ré et surtout pas la réalité.
• Moralisateur. D'accord, ce n'est pas très bien, mais j'en ai conscience. J'ai mes valeurs et j'ai du mal à accepter... Non ce n'est pas la différence que j'ai du mal à accepter, pas dans les valeurs. C'est l'absence de valeur derrière un acte que je condamne. On peut être mauvais à mes yeux sans que je juge, même si dire que quelqu'un est mauvais est en soi un jugement. Juste, c'est l'hypocrisie que je ne supporte pas, ceux qui prétendent avoir certaines valeurs mais qui ne les respectent pas.
• Protecteur. Pas avec tout le monde certes, je ne vais pas non plus défendre la veuve et l'orphelin, même si j'aimerai. Non, je protège les gens que j'aime, à mon échelle à ma façon. Même si je suis justement moralisateur, je fais de mon mieux pour accepter les gens que j'aime comme ils sont et de les protéger même quand je désapprouve leurs actions. Du coup je me retiens de dire « Je te l'avais bien dit. » même si parfois ça me démange tellement.
• Rancunier. J'ai beaucoup de mal à pardonner les erreurs des gens. Une fois ma confiance perdue, j'ai énormément de mal à la redonner. En fait ce n'est encore jamais arrivé. Après quand on est père, il faut être plus souple, j'ai un peu peur de ça d'ailleurs. J'ai juste du mal à me dire que si une personne m'a trahi une fois elle ne le fera pas une seconde fois. Et quelque part, je suis hypocrite sur ça, car... J'ai trompé ma femme et pourtant j'étais bien heureux qu'elle me pardonne.
• Calme. D'accord, ce trait-là n'est pas le plus ancien, Daryl pourra confirmer. Néanmoins, après une enfance... tumultueuse, on va dire ça comme et des coups de sang regrettable – bien qu'ayant parfois de bonnes conséquences comme Peyton – j'ai décidé de travailler sur moi et de moins me laisser emporter. J'essaye de toujours réfléchir avant d'agir et si possible agir avant un verre de whisky ou remettre l'action au lendemain.
• Caractériel. On ne peut pas tout améliorer dans son caractère. Je n'ai plus de côté sanguin, mais ce n'est pas pour autant que mon caractère s'est adoucis. Il faut se méfier de l'eau qui dort, à ce qu'on dit. Et bien dans mon cas c'est vrai. Je préfère garder mes esprit, mais cela ne veut pas dire que je laisserai quelqu'un me marcher dessus ou s'en prendre aux gens que j'aime. On peut aller très loin par amour.
• Diplomate. L'Art de maîtriser les mots a plusieurs utilités. Déjà on comprend plus facilement ce que l'autre veut nous dire dans ses discours et ensuite on peut plus facilement exprimer ses sentiments sans blesser autrui. Non, je ne parle pas ici d'hypocrisie, mais juste du fait de bien choisir ses mots pour éviter qu'une situation s'aggrave, pas prendre les gens pour des idiots.
• Passif. Alors là, il faut faire attention à quoi on parle, je ne parle pas de choses intimes. D'ailleurs, je ne suis pas passif au sens général. Je ne suis pas quelqu'un qui va attendre que tout lui tombe dessus. Je sais faire le premier pas, comme aller parler aux enfants de ma fille. C'est juste que je mets du temps à prendre des décisions. Je dois souvent peser le pour et le contre, sauf si on me force la main. De ce fait, il est possible que je loupe quelques opportunités car j'ai besoin, vraiment, d'être sûr de moi avant de me lancer.
• Loyal. Je tiens aux gens que j'aime et j'irai jusqu'en enfer pour eux. Du moins aux portes de l'enfer, c'est assez difficile d'y entrer. Bref, tout ça pour dire que j'ai appris le respect dans ma jeunesse, mais la première forme de respect est celle d'être présent pour ceux qui comptent. Sans quoi ce n'est pas utile d'avoir des gens qui comptent, autant rester seul. Ce que je préfère éviter.
• Mélancolique. Ça c'est assez nouveau. Je me promène parfois dans Boston empli d'une certaine tristesse. Rien de très grave, ce n'est pas une dépression ou quelque chose de plus dramatique. Non, c'est juste normal après avoir perdu sa femme et découvrir que notre fille a un autre père que soi.Ce n'est pas tellement que je sois jaloux, juste je me demande parfois si j'ai une place dans sa vie et ce que serait la mienne sans elle. Je me prend parfois à rêver, faisant le monde avec des si. Malheureusement, les si n'aime pas les ré et surtout pas la réalité.
• Je suis né le 8 Décembre à Sacramento en Californie. Une famille aimante, enfin... C'était surtout ma mère qui m'aimait, mon père a toujours été plus distant avec moi. Oh il ne me battait pas, juste... C'était un père, il m'aimait à sa façon. Tout deux étaient d'une classe moyenne supérieure. En d'autres termes, il était avocat alors qu'elle était journaliste. Pourtant, ils m'ont éduqué avec des valeurs très fortes tel que le respect et la loyauté ainsi que la tolérance. Un bon petit cocktail bien vertueux avec des choses parfois un peu moins vertueuses.
• Très jeune j'ai rencontré Daryl. Pourtant ce n'était pas une amitié évidente, j'avais 4 ans de plus que lui, souvent à un jeune âge on aimait pas vraiment être avec des gens plus petit, on voulait être avec des gens plus vieux. Je ne faisais pas exception à cette règle, un gamin peu importe lequel est un idiot. Toutefois, Daryl c'était différent. Un coup de foudre amical on dira. Juste, on s'est tout de suite bien entendu, à faire les quatre cents coups rapidement.
• Je préférai d'ailleurs faire les 400 coups avec Daryl que me concentrer sur mes études. Cela rendait fou mes parents. Ils savaient que ce n'était pas par difficulté, mais par flemmardise si je ne travaillais pas d'avantage. Selon eux c'était à cause en partie de Daryl qui avait lui aussi des difficultés si je ne m'en sortais pas. J'avais beau leur expliquer que mon désamour de l'école avait commencé avant que mon meilleur ami y entre, rien n'y fit. Malgré ça ils n'avaient rien contre lui, juste contre mes notes et les siennes.
• Les notes basses s'arrêtèrent quand j'étais entré au lycée. Une raison particulière à ça qui n'avait rien à voir avec mes parents et Daryl. Enfin... Un peu avec mes parents. Ils avaient décidé de me faire suivre des cours de rattrapage dans le domaine dans lequel j'étais le plus mauvais: L'histoire. C'est là que je l'ai rencontré... Belle, de mon âge, blonde avec des reflets roux ou alors rousse avec des reflets blonds. Je n'étais pas doué pour définir les couleurs de cheveux. Tout dans sa manière de parler, de bouger était parfait à mes yeux. J'avais le coeur au bout de ses lèvres. Elle aussi en difficulté ? Non, c'était plutôt elle qui aidait les élèves avec des difficultés. Le problème était que même si elle avait une beauté qui semblait si fragile, elle ne l'était pas vraiment. Elle disait plus ou moins tout ce qui lui venait en tête, comme par exemple que je n'étais qu'une feignasse qui ne se donnait pas à fond dans ce qu'il faisait. Ce qui était vrai. Depuis on ne s'était plus quitté. Jany et Karson.
• Les notes ayant si bien augmenté, je fus accepté dans une université de la Ivy league. Mon père avait sauvé le doyen lors d'un procès pour attouchement sur mineur, donc il lui devait une faveur. Je vois déjà les gens écœuré se disant que se porc méritait de finir en prison avec son avocat, en réalité, il existe des cas où l'attouchement est juste un moyen de pression sur le monde enseignant. Sauf que vu l'importance de la protection des enfants, il faut éviter de trop mettre ce problème en avant qui est minoritaire. Heureusement, mon père avait pu donc m'aider sans mettre sa morale au placard. Je fus accepté à Yale, en économie à la base, quittant ainsi Sacramento, ma famille et Daryl. Ce fut très difficile, mais heureusement, j'avais Jany qui m'avait suivi.
• Lors de ma première année à New Haven, Jany et moi avions décidé de sauter le pas et de nous marier. Nous avions prévu ça pour les vacances de Thanksgiving, mais une tempête de neige nous bloque l'aéroport. Après une longue hésitation, nous avons décidé de nous marier à New Haven en très petit comité, même sans nos proches. Bien sûr Daryl devait être mon témoin, mais nous avions rattrapé le coup l'été. Ce fut un de mes dernier souvenir d'enfance avec lui. J'avais alors 18 ans et lui 14.
• Quelques mois après notre mariage, une question était au centre de toute notre vie: Nous voulions fonder notre famille Jany et moi. Les études en économie ne me passionnaient pas et elle voulait tant être mère... Nos familles pouvaient nous aider, malheureusement, après cinq mois d'essais, rien ne fonctionnait. Elle était allée consulter. Je me souviens encore de ses larmes après son rendez-vous. Jany m'assurait que tout allait bien, que c'était juste le stresse. Je voulais la croire, mais... il y avait un mais. Quelque chose dans son attitude ne lui ressemblait pas. Elle s'était renfermée sur elle, n'allait plus en cours même ceux qui la passionnaient. Elle ne dansait plus en soirée, elle était terne. Un jour, alors que je cherchais un papier pour l'administration je découvris son secret. Loin d'être en parfaite santé, le médecin lui avait confirmé son infertilité. Après une confrontation, des cris et des larmes, notre rêve d'avoir des enfants se brisa. Elle ne voulait pas adopter, elle ne voulait pas poursuivre les examens. Elle savait dès son plus jeune âge serait difficile pour elle même si jamais elle n'avait pensé que ce serait impossible. Jany n'avait pas voulu me mentir. Elle voulait juste que je la laisse. Chose que je fis, ce soir-là, décidant de prendre ma première cuite. Ce soir-là, des gens de Boston, peut-être de Harvard ou une autre université, étaient là, dans le même bar que moi, pour visiter Yale. Une femme sorti du lot, elle me faisait rire, me sortait de mon verre. Elle me demanda si tout allait bien, ce qui n'était pas le cas. Une chose en entraînant une autre, le rire devint un soupire, le sourire un baiser, un contact une caresse. Elle comme moi avions besoin de nous vider la tête. Ce qui n'était pas prévu arriva. Ce fut ce soir-là, ce soir de honte, que la plus belle chose dans ma vie fut créée, Peyton, même si à cette époque j'ignorai que sa mère venait de tomber enceinte. Elle repartie pour Boston le lendemain, me laissant seul dans ma honte. Je n'avais que son prénom et son nom et son numéro de téléphone.
• Pendant tout l'été à la suite de ma première année je m'étais réfugié chez mes parents ne parlant qu'à Daryl et ma mère. J'avais tout avoué à ma femme en rentrant du bar où je l'avais trompé. J'avais fauté, je n'avais pas voulu doublement fauter en lui mentant, j'aimais trop l'honnêteté pour ça. Elle disait m'avoir pardonné, mais je savais qu'elle avait besoin de temps et la culpabilité me rongeait. Ce que j'avais fait était contraire à tous mes principes. Mon meilleur ami fut-là pour moi, ce fut compliqué, mais grâce à lui je sus sortir la tête hors de l'eau et me regarder de nouveau dans une glace.
• Deux ans après mon mariage et mon infidélité, alors que Daryl avait seize ans, il décida de s'engager dans l'armée. Cela fut un choc, nous semblions inséparables malgré la distance, chaque moment à Sacramento lui était consacré. Malheureusement, même si je comprenais son choix, cela fut très difficile à encaisser. Seule ma mère su être là, mon père ayant des soucis de santé à la même période.
• Après sept ans d'un cursus d'économie avec de la littérature, je ne savais pas vraiment quoi faire. J'avais pensé sortir de Yale en financier accompli, mais finalement cela ne me plaisait pas. Mon père, sur son lit d'hôpital, me demanda d'essayer, de ne pas gâcher mes études. Je l'aurai presque écouté, heureusement, il se remit sur pied et ce fut un caprice parental au lieux d'être de dernières volontés. Jany quant à elle me conseilla d'écrire. Si l'économie ne m'avait jamais touché, la littérature britannique m'avait elle transporté, me donnant un refuge face à mes peurs les plus profondes. A l'époque ces peurs n'en étaient qu'une, oui ma vie était simple en ce temps, celle d'être un homme mauvais s'entourant d'un semblant de moralité. Chose souvent traitée dans la littérature anglaise.
• A trente ans sortit mon premier livre qui fut un réel succès. C'est un drame familiale où une famille se déchire à cause de tromperie, hypocrisie et autre. Bien sûr le tout inspiré de mes fréquentations à l'université avec des gens ben plus aisé que mes parents. Selon les critiques, le drame social ajouté à une plume acérée dans un contexte contemporain faisaient de mes livres déjà des classiques. Chose que j'avais assez apprécié.
• Un succès après les autres, la vie était facile et bien remplie, tout comme le compte en banque. Malheureusement l'argent ne faisait pas le bonheur, ni la santé, même si ça aidé. Pour notre anniversaire de couple, l'année où nous avions trente-trois ans, ma femme décida de pousser les analyses sur les raisons de son infertilité avant qu'il ne soit trop tard. Après moult examen, il s'avéra qu'elle avait un cancer du col de l'utérus. Pendant quatre ans, quatre ans de combat pour elle et de soutien pour moi, ma femme me quitta. C'est dingue, j'ai beau savoir écrire... Aucun mot n'est capable de transmettre ce que je ressens quant à la mort de ma femme. Je ne peux que transposer la souffrance des autres, mais la mienne reste sourde aux mots que je pose dessus. Je ne sais dire que ça... Ma femme m'a quitté alors qu'elle allait fêter son trente-septième anniversaire... Heureusement Daryl était là pour moi quand son travail lui permettait. C'est ma mère qui me soutint le plus dans cette épreuve encore une fois, si bien que même aujourd'hui nous restons très proche malgré mon âge avancé... Oui quand on passe la barre des 40 ans... Tentative désespérée d'humour pour oublier le drame dont je viens de parler. C'est la meilleure chose à faire.
• Après une année de traversée du désert, de soirées avec alcool fort, de mauvaises décisions et une engueulade de ma mère, finalement je finis par me ressaisir. A partir de ce jour, j'avais décidé d'éviter tout excès de manière répétée, cherchant le calme plutôt que la fuite vers le nom. Pour cela, j'avais décidé de sortir de mon cercle d'ami traditionnel. Un nom me vient en tête, la mère de Peyton. Je suis allé la voir la veille de mes trente-neuf ans, elle accepta que l'on se voit. On a parlé de tout et de rien, comme de bons amis alors que jamais nous nous étions revus. Juste un nom et un numéro de téléphone. Elle me raconta sa vie, me parla ses enfants, mais je la sentais gênée à ce propos. Elle me montra des photo et finalement, je la vos, Peyton. Elle semblait avoir la vingtaine, quand je l'interroge, le rouge lui monte aux lèvres et me dis qu'elle a vingt-et-un ans. Ce n'est qu'une fois rentrée que le calcul se mit dans ma tête. Quelques jours après je la confrontai et elle finit par m'avouer la chose. J'avais décidé alors de réclamer mon droit de la connaître.
• Malgré les réticences de Peyton qui semblait m'en vouloir d'entrer dans sa vie, elle me laissa une chance de faire connaissance. Pendant 1 an environ nous avons fait le tour du monde. Elle et moi, comme père et fille. L'argent n'était pas un problème pour le voyage. Sa famille n'était pas pauvre, loin de là, mais je tenais à faire attentions aux besoin de ma fille. Pendant ce temps là j'écrivais un nouveau livre, cherchant à extérioriser la mort de ma femme. Je n'en ai bien sûr pas parlé à Peyton, mais un cancer en cachait souvent un autre. Après ma femme, se fut la mère de ma fille qui fit une rechute. Elle m'en a voulu de l'éloigner de sa "vraie" famille et retourna à Boston sans me donner de nouvelle. décontenancer, je pris mes distances, lui laissant le temps de digérer. J'aurai voulu être là pour sa mère, mais l'ancien amant... Non, ils avaient besoin d'être en famille, je ne voulais pas m'imposer. J'étais donc retourné à New Haven pour donner des cours de littérature et finir mon livre qui était sorti en 2018.
• J'ai finalement décidé de m'installer à Boston. Tout m'appelait dans cette ville. Ma fille qui venait de perdre sa mère, mon meilleur ami Daryl que je voyais de plus en plus. Tout... J'espérais juste avoir de la place dans la vie de ma fille qui venait de perdre sa mère. Je ne m'attendais certainement pas à y retrouver ma femme, du moins à ce qui était le plus proche portrait de son fantôme quand elle était dans la vingtaine.
• Très jeune j'ai rencontré Daryl. Pourtant ce n'était pas une amitié évidente, j'avais 4 ans de plus que lui, souvent à un jeune âge on aimait pas vraiment être avec des gens plus petit, on voulait être avec des gens plus vieux. Je ne faisais pas exception à cette règle, un gamin peu importe lequel est un idiot. Toutefois, Daryl c'était différent. Un coup de foudre amical on dira. Juste, on s'est tout de suite bien entendu, à faire les quatre cents coups rapidement.
• Je préférai d'ailleurs faire les 400 coups avec Daryl que me concentrer sur mes études. Cela rendait fou mes parents. Ils savaient que ce n'était pas par difficulté, mais par flemmardise si je ne travaillais pas d'avantage. Selon eux c'était à cause en partie de Daryl qui avait lui aussi des difficultés si je ne m'en sortais pas. J'avais beau leur expliquer que mon désamour de l'école avait commencé avant que mon meilleur ami y entre, rien n'y fit. Malgré ça ils n'avaient rien contre lui, juste contre mes notes et les siennes.
• Les notes basses s'arrêtèrent quand j'étais entré au lycée. Une raison particulière à ça qui n'avait rien à voir avec mes parents et Daryl. Enfin... Un peu avec mes parents. Ils avaient décidé de me faire suivre des cours de rattrapage dans le domaine dans lequel j'étais le plus mauvais: L'histoire. C'est là que je l'ai rencontré... Belle, de mon âge, blonde avec des reflets roux ou alors rousse avec des reflets blonds. Je n'étais pas doué pour définir les couleurs de cheveux. Tout dans sa manière de parler, de bouger était parfait à mes yeux. J'avais le coeur au bout de ses lèvres. Elle aussi en difficulté ? Non, c'était plutôt elle qui aidait les élèves avec des difficultés. Le problème était que même si elle avait une beauté qui semblait si fragile, elle ne l'était pas vraiment. Elle disait plus ou moins tout ce qui lui venait en tête, comme par exemple que je n'étais qu'une feignasse qui ne se donnait pas à fond dans ce qu'il faisait. Ce qui était vrai. Depuis on ne s'était plus quitté. Jany et Karson.
• Les notes ayant si bien augmenté, je fus accepté dans une université de la Ivy league. Mon père avait sauvé le doyen lors d'un procès pour attouchement sur mineur, donc il lui devait une faveur. Je vois déjà les gens écœuré se disant que se porc méritait de finir en prison avec son avocat, en réalité, il existe des cas où l'attouchement est juste un moyen de pression sur le monde enseignant. Sauf que vu l'importance de la protection des enfants, il faut éviter de trop mettre ce problème en avant qui est minoritaire. Heureusement, mon père avait pu donc m'aider sans mettre sa morale au placard. Je fus accepté à Yale, en économie à la base, quittant ainsi Sacramento, ma famille et Daryl. Ce fut très difficile, mais heureusement, j'avais Jany qui m'avait suivi.
• Lors de ma première année à New Haven, Jany et moi avions décidé de sauter le pas et de nous marier. Nous avions prévu ça pour les vacances de Thanksgiving, mais une tempête de neige nous bloque l'aéroport. Après une longue hésitation, nous avons décidé de nous marier à New Haven en très petit comité, même sans nos proches. Bien sûr Daryl devait être mon témoin, mais nous avions rattrapé le coup l'été. Ce fut un de mes dernier souvenir d'enfance avec lui. J'avais alors 18 ans et lui 14.
• Quelques mois après notre mariage, une question était au centre de toute notre vie: Nous voulions fonder notre famille Jany et moi. Les études en économie ne me passionnaient pas et elle voulait tant être mère... Nos familles pouvaient nous aider, malheureusement, après cinq mois d'essais, rien ne fonctionnait. Elle était allée consulter. Je me souviens encore de ses larmes après son rendez-vous. Jany m'assurait que tout allait bien, que c'était juste le stresse. Je voulais la croire, mais... il y avait un mais. Quelque chose dans son attitude ne lui ressemblait pas. Elle s'était renfermée sur elle, n'allait plus en cours même ceux qui la passionnaient. Elle ne dansait plus en soirée, elle était terne. Un jour, alors que je cherchais un papier pour l'administration je découvris son secret. Loin d'être en parfaite santé, le médecin lui avait confirmé son infertilité. Après une confrontation, des cris et des larmes, notre rêve d'avoir des enfants se brisa. Elle ne voulait pas adopter, elle ne voulait pas poursuivre les examens. Elle savait dès son plus jeune âge serait difficile pour elle même si jamais elle n'avait pensé que ce serait impossible. Jany n'avait pas voulu me mentir. Elle voulait juste que je la laisse. Chose que je fis, ce soir-là, décidant de prendre ma première cuite. Ce soir-là, des gens de Boston, peut-être de Harvard ou une autre université, étaient là, dans le même bar que moi, pour visiter Yale. Une femme sorti du lot, elle me faisait rire, me sortait de mon verre. Elle me demanda si tout allait bien, ce qui n'était pas le cas. Une chose en entraînant une autre, le rire devint un soupire, le sourire un baiser, un contact une caresse. Elle comme moi avions besoin de nous vider la tête. Ce qui n'était pas prévu arriva. Ce fut ce soir-là, ce soir de honte, que la plus belle chose dans ma vie fut créée, Peyton, même si à cette époque j'ignorai que sa mère venait de tomber enceinte. Elle repartie pour Boston le lendemain, me laissant seul dans ma honte. Je n'avais que son prénom et son nom et son numéro de téléphone.
• Pendant tout l'été à la suite de ma première année je m'étais réfugié chez mes parents ne parlant qu'à Daryl et ma mère. J'avais tout avoué à ma femme en rentrant du bar où je l'avais trompé. J'avais fauté, je n'avais pas voulu doublement fauter en lui mentant, j'aimais trop l'honnêteté pour ça. Elle disait m'avoir pardonné, mais je savais qu'elle avait besoin de temps et la culpabilité me rongeait. Ce que j'avais fait était contraire à tous mes principes. Mon meilleur ami fut-là pour moi, ce fut compliqué, mais grâce à lui je sus sortir la tête hors de l'eau et me regarder de nouveau dans une glace.
• Deux ans après mon mariage et mon infidélité, alors que Daryl avait seize ans, il décida de s'engager dans l'armée. Cela fut un choc, nous semblions inséparables malgré la distance, chaque moment à Sacramento lui était consacré. Malheureusement, même si je comprenais son choix, cela fut très difficile à encaisser. Seule ma mère su être là, mon père ayant des soucis de santé à la même période.
• Après sept ans d'un cursus d'économie avec de la littérature, je ne savais pas vraiment quoi faire. J'avais pensé sortir de Yale en financier accompli, mais finalement cela ne me plaisait pas. Mon père, sur son lit d'hôpital, me demanda d'essayer, de ne pas gâcher mes études. Je l'aurai presque écouté, heureusement, il se remit sur pied et ce fut un caprice parental au lieux d'être de dernières volontés. Jany quant à elle me conseilla d'écrire. Si l'économie ne m'avait jamais touché, la littérature britannique m'avait elle transporté, me donnant un refuge face à mes peurs les plus profondes. A l'époque ces peurs n'en étaient qu'une, oui ma vie était simple en ce temps, celle d'être un homme mauvais s'entourant d'un semblant de moralité. Chose souvent traitée dans la littérature anglaise.
• A trente ans sortit mon premier livre qui fut un réel succès. C'est un drame familiale où une famille se déchire à cause de tromperie, hypocrisie et autre. Bien sûr le tout inspiré de mes fréquentations à l'université avec des gens ben plus aisé que mes parents. Selon les critiques, le drame social ajouté à une plume acérée dans un contexte contemporain faisaient de mes livres déjà des classiques. Chose que j'avais assez apprécié.
• Un succès après les autres, la vie était facile et bien remplie, tout comme le compte en banque. Malheureusement l'argent ne faisait pas le bonheur, ni la santé, même si ça aidé. Pour notre anniversaire de couple, l'année où nous avions trente-trois ans, ma femme décida de pousser les analyses sur les raisons de son infertilité avant qu'il ne soit trop tard. Après moult examen, il s'avéra qu'elle avait un cancer du col de l'utérus. Pendant quatre ans, quatre ans de combat pour elle et de soutien pour moi, ma femme me quitta. C'est dingue, j'ai beau savoir écrire... Aucun mot n'est capable de transmettre ce que je ressens quant à la mort de ma femme. Je ne peux que transposer la souffrance des autres, mais la mienne reste sourde aux mots que je pose dessus. Je ne sais dire que ça... Ma femme m'a quitté alors qu'elle allait fêter son trente-septième anniversaire... Heureusement Daryl était là pour moi quand son travail lui permettait. C'est ma mère qui me soutint le plus dans cette épreuve encore une fois, si bien que même aujourd'hui nous restons très proche malgré mon âge avancé... Oui quand on passe la barre des 40 ans... Tentative désespérée d'humour pour oublier le drame dont je viens de parler. C'est la meilleure chose à faire.
• Après une année de traversée du désert, de soirées avec alcool fort, de mauvaises décisions et une engueulade de ma mère, finalement je finis par me ressaisir. A partir de ce jour, j'avais décidé d'éviter tout excès de manière répétée, cherchant le calme plutôt que la fuite vers le nom. Pour cela, j'avais décidé de sortir de mon cercle d'ami traditionnel. Un nom me vient en tête, la mère de Peyton. Je suis allé la voir la veille de mes trente-neuf ans, elle accepta que l'on se voit. On a parlé de tout et de rien, comme de bons amis alors que jamais nous nous étions revus. Juste un nom et un numéro de téléphone. Elle me raconta sa vie, me parla ses enfants, mais je la sentais gênée à ce propos. Elle me montra des photo et finalement, je la vos, Peyton. Elle semblait avoir la vingtaine, quand je l'interroge, le rouge lui monte aux lèvres et me dis qu'elle a vingt-et-un ans. Ce n'est qu'une fois rentrée que le calcul se mit dans ma tête. Quelques jours après je la confrontai et elle finit par m'avouer la chose. J'avais décidé alors de réclamer mon droit de la connaître.
• Malgré les réticences de Peyton qui semblait m'en vouloir d'entrer dans sa vie, elle me laissa une chance de faire connaissance. Pendant 1 an environ nous avons fait le tour du monde. Elle et moi, comme père et fille. L'argent n'était pas un problème pour le voyage. Sa famille n'était pas pauvre, loin de là, mais je tenais à faire attentions aux besoin de ma fille. Pendant ce temps là j'écrivais un nouveau livre, cherchant à extérioriser la mort de ma femme. Je n'en ai bien sûr pas parlé à Peyton, mais un cancer en cachait souvent un autre. Après ma femme, se fut la mère de ma fille qui fit une rechute. Elle m'en a voulu de l'éloigner de sa "vraie" famille et retourna à Boston sans me donner de nouvelle. décontenancer, je pris mes distances, lui laissant le temps de digérer. J'aurai voulu être là pour sa mère, mais l'ancien amant... Non, ils avaient besoin d'être en famille, je ne voulais pas m'imposer. J'étais donc retourné à New Haven pour donner des cours de littérature et finir mon livre qui était sorti en 2018.
• J'ai finalement décidé de m'installer à Boston. Tout m'appelait dans cette ville. Ma fille qui venait de perdre sa mère, mon meilleur ami Daryl que je voyais de plus en plus. Tout... J'espérais juste avoir de la place dans la vie de ma fille qui venait de perdre sa mère. Je ne m'attendais certainement pas à y retrouver ma femme, du moins à ce qui était le plus proche portrait de son fantôme quand elle était dans la vingtaine.
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âge 23 ans
nationalité Française
forum connu par... Il y a des années, avec une scénario qui s'appelait Jason si ma mémoire est bonne et du coup j'étais resté quelques temps en contact avec Carine par Skype aussi
ILH, j'en pense quoi ? C'est toujours aussi cool.
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Non merci !
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Lien du postVen 28 Fév 2020 - 16:57
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Lien du postVen 28 Fév 2020 - 17:17
Je ne m'attendais pas du tout à ça ce soir
Oh moi qui n'était pas dans le moud, je suis soudainement heureuse Fatiguée, mais heureuse
Merci de tenter ce scénario. Drama, feels en perspective
@Daryl Nicholson @Peyton Lodges
ramener vos jolies petites fesses par ici
Surtout bienvenue sur ILH et n'hésite surtout pas si tu as la moindre question. Je suis à ta disposition
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Lien du postSam 29 Fév 2020 - 0:59
Bienvenue sur le forum et courage pour ta fiche =)
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Lien du postSam 29 Fév 2020 - 1:45
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Lien du postSam 29 Fév 2020 - 2:53
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Lien du postSam 29 Fév 2020 - 3:26
Oouuuuh le beau Ian
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Andréa DavenportÉlève de l'université Harvard
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Âge : 23
Lieu de naissance : Toronto au Canada. Les pancakes et le hockey pour mantra.
Quartier.s d'habitation & Colocation : squatte chez Kassim, à mi temps avec les jumelles.
Situation sentimentale : en couple depuis peu avec levy. (19.11)
Études & Métiers : étudiante en droit en troisième année après avoir redoublée une fois et enchaine les petits boulots illégaux depuis qu'elle a quitté le gang.
Date d'inscription : 24/02/2020
Pseudo & pronom IRL : cosmic light, charline.
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Avatar utilisé : la jolie blonde, Marilou Bélanger.
Crédits : levy d'amour pour l'avatar. moi pour les images du profil. moi pour le gif. pretty nymphea pour le crackship
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Description un :
toute reproduction totale ou partielle de ce profil est interdite. merci de respecter mon travail et mes idées.
originaire de Toronto. » dernière d'une fratrie de quatre enfants après le décès de son frère jumeau dans un accident alors qu'elle n'avait que onze ans. » ne s'entend pas particulièrement avec ses frères et soeurs. Andréa est rapidement devenue solitaire, préférant la compagnie d'inconnus à celle des proches. » elle ne fête jamais son anniversaire et se rend sur la tombe de son frère tous les ans pour ce dernier. » a une peur bleue de l'abandon, même si elle a tendance à le cacher. » est tombée amoureuse qu'une fois, du meilleur ami de son frère, Carter. elle a tout fait pour qu'il le quitte par la suite. ça a fonctionné. » est tombée très jeune dans la débauche, accro aux raves party, à l'alcool et plus tardivement à la drogue. » est considérée comme une nymphomane, chose qu'elle ne contredit jamais. elle assume totalement son côté croqueuse d'hommes. » elle a tendance à utiliser la violence pour régler ses problèmes. » a intégré Harvard en 2019 et s'est installée avec Eowyn et Lana l'année suivante. » a été victime de Veritas en 2020, des nudes qu'elle avait envoyé à Ricky sont sorties sur les réseaux, un coup de son ex petite-amie toujours in love du jeune homme. » a fait une overdose au Spring Break 2021. elle a été hospitalisée en unité fermé pendant plusieurs semaines et s'est endettée avec des frais médicaux exorbitants. » a commencé à dealer peu de temps après pour rembourser ses dettes. » a eu des ennuis après le Summer Camp 2021 avec son fournisseur parce qu'elle consommait plus qu'elle ne vendait. c'est à ce moment qu'elle a fait la connaissance de Kassim et qu'elle est entrée chez les Brotherhood. » elle a été kidnappée par Théodora en décembre 2021. » s'est installé chez Casey, Holden & Honey après le drame et n'a plus quitté la maison. » vient d'adopter un bb golden prénommé Salazard avec Casey.
julian (grand frère - pnj) » arwen (grande soeur - pnj) » fallon (grande soeur - pnj) » ethan (frère jumeau décédé †) » milann (nouvelle belle famille côté paternel et ex coup d'un soir) » emilio (nouvelle belle famille côté paternel et partenaire de soirée)
Description deux :
carter (premier amour et meilleur ami de son frère jumeau - pnj) » ricardo (ex sexfriend et déception - pnj) » casey (crush inavoué, sexfriend et colocataire) » aidan (sexfriend et cavalier du bal de fin d'année 2021) » noah (sexfriend actuellement en froid) » wilby (tentation) » ulrick (coup d'un soir) » oliver (tinder boy) » ilan (ex-flirt)
gustin (meilleur ami) » carla (meilleure amie) » eowyn (colocataire à mi-temps) » lana (colocataire à mi-temps) » jared (frère à lana et colocataire à mi-temps) » holden (nouveau colocataire) » honey (nouvelle colocataire) » capucine (alter-ego, meilleure amie) » ashley (trio d'enfer avec capu) » astra (jumelle de soeur) » sana (amie proche) » kaiden (ami et client occasionnel) » lola (amie et cheerleader) » denzel (partner of crime) » zed (ami de la dudley)
caesar (soutien durant une sale période) » elsie (ex belle-soeur via julian) » alexia (copine de la dudley) » hope (ex présidente de la dudley et modèle à suivre) » alma (connaissance du summer camp) » reda (petit-ami de carla) » céleste (la folle dingue qui lui lance des défis sans la connaitre) » orphea (ex petite-amie de gustin) » georgia (soeur de casey et amie en devenir) »
kassim (brotherhood et mentor qui lui a sauvé les miches) » baker (brotherhood) » milo (brotherhood et girl power) » harlow (brotherhood et tension) » jelena (brotherhood et méfiance)
caesar (soutien durant une sale période) » elsie (ex belle-soeur via julian) » alexia (copine de la dudley) » hope (ex présidente de la dudley et modèle à suivre) » alma (connaissance du summer camp) » reda (petit-ami de carla) » céleste (la folle dingue qui lui lance des défis sans la connaitre) » orphea (ex petite-amie de gustin) » georgia (soeur de casey et amie en devenir) »
kassim (brotherhood et mentor qui lui a sauvé les miches) » baker (brotherhood) » milo (brotherhood et girl power) » harlow (brotherhood et tension) » jelena (brotherhood et méfiance)
Description trois :
théodora (ennemie numéro un, l'a kidnappé et séquestrée en décembre 2021) » maëlys (compétition) » reyna (ex petite-amie de kaiden et jalousie) » lilly-ann (altercation aux olympiades) » jade (mitigée suite à l'accident de capucine, petite-amie de holden) » billie (petite-amie d'eowyn et méfiance) »
Warning : vous allez pouvoir entendre parler de la mort de son frère mais également des écarts qu'elle a fait depuis ce jour en consommant de l'alcool et de la drogue à hautes doses. de ses soucis avec la justice, avec la direction et bien évidemment, avec les hôpitaux. d'épisodes dépressifs et de folie due à sa surconsommation et son goût prononcer pour les soirées de débauche. mais également de violence physique et mentale car mademoiselle est très impulsive. bien évidemment de sexe. et tout cela dans un langage cru.
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Lien du postSam 29 Fév 2020 - 4:36
bienvenue ici :luv2:
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Lien du postSam 29 Fév 2020 - 4:48
Bienvenue Et bonne chance pour ta fiche!
J'aime déjà ce beau papounet! Très hâte de voir la suite
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Lien du postSam 29 Fév 2020 - 4:51
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