Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityForever young ~ Joshua
I LOVE HARVARD
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    Forever young ~ Joshua
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    Lien du postDim 5 Jan - 10:38
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    Tu as fait la nuit, tu as donc plusieurs heures à récupérer. T’évites d’abuser sur tes gardes parce que ton chef de service te l’a demandé. Il veut que tu sois au top et non pas un zombie errant dans les couloirs de l’hôpital avec la moitié de sa capacité à réagir en moins. Ta princesse est à la crèche, tu la récupère en fin de journée. Tu aurais pu la garder avec toi aujourd’hui, mais tu sais pertinemment qu’elle ne t’aurait pas lâchée une minute, que tu n’aurais pas pu te poser et t’endormir dans ton canapé comme tu l’as fait il y a déjà une ou deux heures. T’as filé sous la douche après, pour dire de te réveiller un peu et tu t’es vêtue d’un jeans skinny, d’une blouse avec une encolure un tantinet décolletée le tout terminé par une paire d’escarpins que tu chéris probablement plus que tout. Accoudée sur l’ilot centrale de ta cuisine, tes yeux ne quittent pas l’écran de ton portable sur lequel se baladent tes doigts manucurés, mais pas à l’excès. De temps en temps, tu souris automatiquement aux réponses que tu reçois de ce type avec qui tu discutes depuis plusieurs heures. Tinder, ça t’amuse, mais tu restes néanmoins assez sélective dans le choix des personnes avec qui tu discutes. T’es pas totalement débile, tu n’espères pas trouver l’amour sur cette application, tout comme tu n’espères pas le trouver non plus. Tu veux penser à toi, t’amuser un peu en oubliant ta cape de maman, mais aussi de chirurgienne. Durant vos échanges, tu n’as évoqué à aucun moment le fait d’être mère d’une petite princesse d’un an. T’es pas réellement prête à mettre ta fille sous le feu des projecteurs comme s’il s’agissait d’un bien tellement précieux que tout le monde devait te féliciter, ou encore te complimenter. T’es un peu maman louve, tu la gardes pour toi afin de la protéger. T’évites de recevoir des hommes inconnus sous ton toit, toujours pour préserver cet endroit comme étant un lieu sécurisant pour elle. Avec Joshua, vous voulez la même chose : du sexe sans prise de tête. Mais ça ne vous empêche pas de discuter un peu, de rigoler également. T’as l’impression que ça match plutôt bien entre vous, pour ce que vous recherchez l’un comme l’autre. Alors oui, peut-être qu’un jour, t’accepterais qu’il passe le pas de la porte de chez toi, mais pas tout de suite, pas si tôt. Finalement, tu termines installée dans ton canapé plutôt confortable et lorsqu’il te propose de le rejoindre après son étude, t’acceptes. Tu jettes un œil dans le miroir en sortant, après avoir pris tes clés et ta veste, et tu prends le chemin du pub sympa que tu as énoncé un peu plus tôt dans votre conversation. Tu optes pour une table dans un coin, pas proche des courants d’air, dévoilant ainsi ton côté frileux, mais suffisamment éloigné du brouhaha pour n’éprouver aucune difficulté à vous comprendre, lorsqu’il te rejoindra. Ton portable entre les doigts, tu prends le temps de répondre aux textos de ta meilleure amie en attendant, t’as le temps et puis t’es du genre patiente quand t’es de bonne humeur…
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    Lien du postDim 5 Jan - 16:07
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    Tout se transforme. Après un passage court et intense à Fort Bragg pour parfaire ses savoirs de commandant et de commando, à base de nuit dans la forêt glaciale et autres réjouissances, Joshua avait pu poser à nouveau ses valises à Boston, et le temps passé sur le terrain s'était transformé en révisions et en reprise de cours. Depuis peu, le jeune officier passait ses nuits à lire des bouquins, recopier des cours sur son ordinateur. C'est à peine s'il s'arrêtait pour aller courir et faire son renforcement musculaire. Sa dernière nuit, à la lueur pâle de son ordinateur, analysant un livre de Kissinger, avait été rythmée par un jeu de séduction sur son portable. Ils avaient matché sur Tinder, les deux âmes esseulées semblaient partager des envies communes tout en sympathisant réellement, du moins du côté de Josh. A vrai dire, la discussion avec la chirurgienne l'avait maintenu réveillé plus efficacement que des tasses de café. C'était son premier match sur cette appli qu'il utilisait peu à cause de ses déploiements, et puis les forces spéciales avait tendance à limiter la présence sur les réseaux, hormis sur Instagram pour les photos mythos en tenue. La jeune femme de l'autre côté était une chirurgienne, un métier qu'il admirait, surtout depuis ses premiers passages sous le feu. Si chacun connaissait la finalité de leur relation, le simple fait de se chercher, de se titiller, de sous-entendre quelques trucs salaces suffisait à aérer l'esprit du combattant. Ces longues heures durant lesquelles Joshua attendait des réponses à ses messages, le sourire aux lèvres, passèrent en un rien de temps. A son départ à la bibliothèque de la faculté, Josh anticipa la possibilité d'un rencard avec Hazel. Connaissant la réticence de la jeune docteure à le ramener chez elle, il rangea son appartement - bien que, par déformation professionnelle, il était dans un état convenable -. Seul un sac de paquetage, surmonté de son casque personnel trônait encore dans le salon cosy où se mêlaient bibliothèque, home cinéma, canapé et fauteuil en cuir. Il tenta de se faire beau, tout en gardant un stylé décontracté. Après sa douche il opta pour des bottes rigides style chaussure de chantier, un jean, une veste de la même matière rembourré en fourrure. C'est ainsi que Josh partit, le coeur léger et les sourire aux lèvres, d'autant que leur conversation ne s'était pas interrompue, il avait hâte de la rencontrer, de délaisser les manuels et les élèves studieux pour passer du - bon - temps avec une belle jeune femme.
    Quelques cafés et pages Word plus tard, c'en était assez. Josh rangea ses affaires, prit un petit chewing-gum et, musette militaire sur le dos, partit pour un pub où Hazel souhaitait qu'ils se rencontrent. Un sourire radieux et amusé dessinait sur son visage dans le bus qui l'emmenait au point de rendez-vous, c'était grisant ce genre de rencard, au-revoir ses rencontres désespérées en revenant de mission. Ils s'étaient donnés leur description sur WhatsApp, et Josh avait l'habitude d'observer les gens et les reconnaître en quelques coups d'oeil. Après quelques mètres à marcher, le blondinet repéra la devanture et s'engouffra dans le pub. D'expérience, il savait que quelqu'un ne souhaitant pas attirer les regards se mettrait dans un coin, c'est là que ses yeux se posèrent en premier et son intuition était juste. Il reconnut son visage et sa blouse. La publicité n'avait pas été trompeuse. Avec le sourire enjoué qui ne le quittait pas depuis le début de leur discussion, il s'en alla la saluer amicalement.
    - Bonjour Hazel, fit-il poliment, c'était son premier date Tinder et ne savait trop comment se comporter, être chaleureux, tactile, mais pas trop sûrement. Tu vas bien ? J'espère que tu n'as pas attendu trop longtemps, sinon je vais devoir trouver un moyen de me faire pardonner, dit-il avec une œillade coquine et une petit rire espiègle en s'asseyant. Il attendait également la venue d'un serveur pour qu'ils puissent commander un truc à boire.
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    Lien du postDim 5 Jan - 20:12
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    La musique que tu entends dans ce pub, c’est pas réellement le genre de musique que t’écouterais. Les trucs commerciaux, c’est pas vraiment ta came, mais ça s’écoute quand t’as rien d’autre à faire ou quand tu n’as pas le choix de musique. Sous la table, tes jambes sont croisées et ton pied bat la mesure sur le rythme de la musique. Tu n’es pas impatiente, t’as le temps après tout. T’as rien de prévu, tu ne reprends ta garde que le lendemain après-midi et puis t’es peut-être aussi un peu en avance. Sara t’explique ses problèmes avec Andrew, et tu peines à comprendre comment elle n’a pas encore sorti les griffes. Toi, t’aurais déjà joué les pyromanes à force de devoir supporter l’ex tout le temps. Toi et elle, vous avez deux tempéraments diamétralement différents et peut-être que dans ce genre de cas, c’est bien si tu la pousses à ne pas se laisser marcher dessus. Toi t’as toujours été une fonceuse, t’étais même peut-être la pire entre toi et ton jumeau. T’as toujours été déterminée, mais également très protectrice envers ceux qui te son cher. Peut-être que le tout mit ensemble fait de toi une personne entière, franche, mais déterminée. Dans ton boulot, t’évites de t’impliquer de trop, mais jamais tu ne feras les choses à moitié. C’est bien trop précieux, bien trop important et la moindre erreur pourrait couter une vie. T’es pas prête à ça, clairement pas. Des erreurs, tu en as fait, mais encore jamais qui auraient pu couter se solder par un décès. Tu sais que ça t’arriveras surement un jour, parce qu’aucun médecin ni patient ne réussit une carrière sans ce genre d’erreur, d’échec, mais tu veilles à ce que ça n’arrive pas, parce que tu n’es tout simplement pas prête à l’assumer. Alors tu te donnes à fond, tu fais plus d’heure, tu vérifies 36 fois tes diagnostiques et parfois, dans l’urgence, tu prends même trois secondes pour te parler et te convaincre que t’en es capable en prenant les bonnes décisions. T’es loin d’être parfaite, mais t’essaies de limiter les erreurs.

    De temps en temps, tu relèves la tête lorsque tu as cette impression de présence proche de toi. D’autres personnes arrivent et puis certaines terminent leur boisson et sortent. Tu te replonges aussitôt dans tes échanges avec Sara, tu ne regardes pas l’heure, pas une seule fois. Non pas que tu t’en fous, mais t’es pas totalement maniaque du contrôle au point de reprocher cinq ou dix minutes de retard à quelqu’un. Il t’a dit qu’il viendrait, t’as envie de lui faire confiance, qu’importe l’heure à laquelle il pointera son minois. Le serveur vient prendre ta commande, et tu le remballe gentiment en lui demandant de repasser un peu plus tard, quand ton « quelqu’un » arrivera. Tu n’as pas parlé de ce rendez-vous à qui que ce soit. T’aurais certes pu en parler à ton amie, mais pourquoi ne pas attendre de voir comment ça se passe ? Les sms d’ado pré-pubère hystéro parce que t’as un rendez-vous avec de la testostérone, c’est très peu pour toi. Tu leur en parlera un jour, oui. Mais plus tard, si ça vaut le coup, si vous gardez contact. Si… Si… et si… Tu passes une main dans ta nuque et mine de rien, tu ressens bien que t’as encore besoin de sommeil, mais tu refuses de passes tes heures de temps libre dans un lit. T’as dormi suffisamment pour pouvoir te tenir debout et t’occuper le reste de la journée, suffisamment pour ne pas avoir une tête de déterrée et te dire qu’aujourd’hui, c’est une belle journée.

    Entre deux messages de Sara, tu reçois aussi une réponse de Joshua sur Whatsapp. Sa réponse te fait sourire et tu relèves tes yeux vers une des vitres du pub, qui ne se trouve pas très loin de toi. Tu regardes les gens qui passent et puis une voix masculine t’interpelle par ton prénom. Tu souris quand tu comprends qu’il s’agit de l’expéditeur de ton dernier message reçu « Monsieur le militaire… » dis-tu sur un air décontracté en guise de salut. Ton sourire ne s’efface pas d’un dixième avant d’enchainer « Non ça va, pour un premier rendez-vous t’es plutôt dans les temps » dis-tu en ajustant ta montre avec une once de taquinerie « Par contre… Ne me tend pas des perches comme ça, parce que je risquerais d’en profiter… » une pointe de malice dans le regard, tu le laisses s’installer alors que tu prends soin de ranger ton portable « Et en plus de ça, je suis très exigeante. » Ou pas du tout, mais t’aimes faire croire le contraire pour pouvoir en jouer un peu. Juste un peu. « Tu désires quoi ? » questionnes-tu en parlant des boissons… « Ce cocktail à la pastèque est super bon, si tu veux un conseil d’amis. Et puis la pastèque c’est aphrodisiaque… accessoirement. Mais je dis ça, je dis rien » tu ne peux réprimer un sourire alors que toi, tu serais plutôt tentée pour un diabolo menthe, tout simplement.
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    Lien du postLun 6 Jan - 12:03
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    Le bois sombre et brillant de la table, les briques des murs, les sièges et les banquettes ornées de cuir bordeaux donnait un véritable cachet au lieu. C'était un lieu tendance à n'en pas douter, où jeunes - lycéens et étudiants -, trentenaires actifs devaient se retrouver régulièrement. La musique était assez actuelle, pour être raccord avec la clientèle sans doute. Joshua aurait sûrement plus accroché à un fond sonore plus faible et plus orienté rock. Les riffs de guitare oldschool étaient assez prisés de ses hommes et lui en mission. Ils roulaient dans plusieurs jeeps, chargées de vivres, d'armes et munitions, chantaient sur du AcDc ou un autre groupe, puis dormaient à la belle étoile sur du sable passant d'une température extrême à l'autre en quelques heures. Là, le visage et les cheveux fouettés par un vent brûlant, dans des zones où l'ennemi n'attendait qu'une occasion propice pour leur fondre dessus, son équipe et lui se sentaient vivants et libres. Rien d'autre ne comptait, simplement être là, parier sa vie chaque jour face aux dieux de la guerre - un éternel tapis en somme - et revenir grisé d'avoir remporté la mise en core une fois. L'équipe, ces gens avec qui l'on vivait simplement des moments géniaux, c'était ce qu'il y avait de plus sacré. Aujourd'hui, à la maison et loin des routes de latérite minées, son équipe, ce serait cette jeune femme avec qui il flirtait : Hazel. Lui qui avait déjà vu des oasis radieux disparaître dans des étendues désertiques au moment d'aller se jeter dans l'eau, il avait craint la même chose d'une rencontre sur Tinder, mais plus il s'était approché, plus ses craintes s'étaient évaporées. Il avait une femme superbe en face de lui, qui avait peu dormi mais qui tenait largement le choc, il devait y avoir une force mentale derrière. Même s'il savait qu'il ne s'agissait que de sexe et de flirt, l'officier était pour le moins conquis. Les taquineries de la chirurgienne étaient charmeuses et Joshua raffolait de ce genre de jeu mêlant esprit et physique. - Je serais arrivé plus vite en courant, mais mouillé de transpiration j'aurais été obligé de retirer mon haut en entrant. Et même si tu n'as pas froid aux yeux, ça aurait été très particulier comme présentations. 

    Josh retira sa musette emplie de livres empruntés. Des livres de relations internationales, de stratégie militaire, d'histoire, un roman pour se distraire. L'ironie, c'était que ce sac le suivait depuis plusieurs déploiements ; habituellement rempli d'outils de premiers secours, de bouteilles d'eau, de munitions, il renfermait aujourd'hui le savoir de la plus prestigieuse université au monde. Pour la peine, il aurait pu trouver un sac plus adéquat, sur le sien, la terre et quelques gouttes de sang séché s'étaient incrustées. Depuis des années, même en frottant durement, rien ne partait de cette maille délavée. Les perches sont faites pour être saisies, et maniées, renchérit-il avec son regard clair fixant celui d'Hazel, un sourire en coin qui ne disparaissait jamais. La question serait plutôt : "Je désire qui ?" Mais bien, je commande. Cocktail pastèque tu dis ? Je ne pense pas avoir besoin d'aphrodisiaque, c'est la réflexion que je me suis faite en te voyant quand je suis entré. Mais, comme j'ai confiance en tes goûts, je vais en prendre un. Tu pourras siroter dans le mien, je suis quelqu'un qui partage. Le serveur passa à nouveau, son air maussade et indifférent lors de la commande fit comprendre à Josh qu'il était probablement déjà passé et qu'il avait dû être débouté. Les clients chiants quoi, il était sûrement étudiant en parallèle et on lui faisait perdre son temps. Lorsqu'il fut parti, Josh se tourna pleinement vers Hazel, la joie se lisait sur le visage souriant du militaire. Bon. Quand est-ce qu'on monte chez moi ? L'heure tourne et ton mari va sûrement rentrer de son voyage d'affaires et revenir à votre appartement dans lequel tu ne veux pas faire entrer le futur amant que je suis, fit Josh, téméraire. Il la titillait simplement, et ne pouvait aucunement affirmer qu'elle était mariée ou non, en revanche en prêchant le vrai du faux, il cherchait à en connaître plus sur elle. Lorsque les boissons arrivèrent il leva légèrement son verre à l'attention de Hazel. A notre rencontre et à ce qu'on va faire ensemble, déclara-t-il avant de siroter doucement le petit cocktail fruité. Il était plus eau plate ou quelques bières viriles avec ses frères d'armes dans des bars moyens de Caroline, le jus était plus féminin, mais il estimait en son for intérieur que lorsque l'on avait ses actions de feu et ses états de service, on pouvait se permettre une once de sensibilité. En tout cas je tiens à dire que tu es vraiment belle, c'était mon premier date Tinder, oui je sais tu veux pas que je le dise trop fort, et j'avais peur de me faire avoir, mais j'avais aucune raison d'être méfiant en fait.
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    Lien du postMar 7 Jan - 22:14
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    Tu as le sourire aux lèvres alors que tu es installée autour d’une table avec cet homme avec qui tu avais pris l’habitude de discuter depuis plusieurs heures. Une rencontre tinder, rien de fou au départ, mais qui s’avère te plaire plus que tu n’aurais pu l’imaginer. Tu remarques qu’il y a ce petit truc qui diffère peut-être d’un simple plan cul avec qui tu ne prendrais pas la peine de plaisanter, ou tout simplement de discuter. Vous avez un peu laissé tomber les barrières, en sachant pertinemment ce pourquoi vous vous êtes là et en réalité, tu es plutôt surprise. Agréablement surprise même. Tu n’imaginais pas prendre autant de plaisir, autour d’un verre, ou encore durant vos échanges aussi banals soient-ils, mais toujours avec cette petite once de taquinerie, ou d’espièglerie. Votre rencontre et vos discussions, tu les as gardées pour toi, tu n’en as pas vraiment parlé parce que oui, égoïstement t’as envie de croire que ça ne regarde que vous sans vouloir y mêler des têtes qui n’hésiteraient peut-être pas à donner un avis que tu n’es pas prête à vouloir entendre. Si pour certains, l’heure est à la future famille, aux amours nouveaux ou encore aux sentiments plus que sérieux, toi tu veux d’abord penser à toi, à t’amuser sans aucun engagement et à te rappeler que derrière le médecin, ou encore tout simplement derrière la maman il n’y a aucune une femme qui a tendance à s’oublier pour le bien être d’autrui. Cette femme, au fond, t’apprends à bien l’apprécier en essayant de la faire apprécier aux autres sans pour autant quémander plus qu’un peu d’attention enroulée dans des draps, ou d’échanges de mots suffisamment bien choisis pour te tirer un doux sourire et te donner envie de garder ça encore discret tel un petit truc précieux, fragile et sans grande prétention, mais qui te fait un bien fou pour autant. « Disons que je me serais dit que t’es très téméraire mais que pour le plaisir des yeux, c’est très tentant. » tu marques une pause en cherchant une alternative, et tu enchaines de plus belle « ou bien que tu souhaites des préliminaires très particulières dans un coin discret de ce pub et que pour ça, t’hésites pas à essayer de me chauffer avec ton corps d’Apollon » tu fais mines de chercher ce fameux coin et puis lui adresses un sourire.

    Tu l’observes se débarrasser et s’installer en face de toi et tu te rends compte que physiquement, il est plaisant à regarder. Il joue dans ton jeu, et tu ne peux t’empêcher de saisir des sous-entendus plus que tentant et qui te tirent un sourire qui plus est « toutes les perches ? Parce que dans ce cas j’ai d’autant plus hâte de saisir les tiennes – au sens propre, comme au figuré » tu te mordilles légèrement la lèvre inférieure, voulant presque te punir de sauter à pieds joints dans ce petit jeu de sous-entendus pervers, mais pas déplaisants pour autant. « Et là, tout de suite, tu désires qui, dans ce cas ? » demandes-tu avec curiosité. Peut-être finirait-il par se dégonfler, mais tu doutes un peu. Du moins, t’espères en douter mais toi tu poses quand même la question, parce qu’il vient tout juste de te donner l’occasion de le faire et que maintenant t’as envie de connaitre la réponse en sachant qu’elle pourrait faire grimper une forme de désir différente, mais pas moins insignifiant « ohhh, petit flatteur, j’ai pas encore sorti le grand jeu. » tu attends un peu que le serveur se soit éloigné, et puis tu le questionnes « Tu partages parce que tu es quelqu’un de généreux, ou parce que t’as aucune attache ? Question piège, fais gaffe. » De toute façon, il sait que tu ne cherches pas spécialement de truc sérieux. En réalité, t’es pas vraiment prête pour ça. Tu ne cherches pas non plus à coucher avec un mec différent chaque soir, parce que tu te respectes un minimum, mais te relancer à corps perdu dans des sentiments, des promesses et des attentes tu n’y tiens plus.

    Tu arques un sourcil lorsqu’il évoque un mari et tu souris à son empressement. Tu lui montres tes mains : l’une ou l’autre bague oui, mais aucune qui ne vient signaler qu’un homme se trouve légitimement dans ta vie « Raté, pas mariée. » tu maintiens ton sourire et tu reprends de plus belle « ce n’est pas à cause d’un homme – ni d’une femme – que j’ai demandé à ce que ce ne soit pas chez moi. C’est plus compliqué que ça » … à savoir : une gamine d’un an que tu souhaites préserver un minimum. Au moins quelques temps, au moins au début « ça te turlupine un peu non ? De toute façon, tes murs ont l’air bien plus confortables que les miens tu sais »  et puis tu repenses à la question initiale : quand ? « Moi j’ai hâte de découvrir l’appartement d’un militaire parce que je suis sûre que t'as des trucs secrets bien caché, mais t’as tout à fait le droit de terminer ton breuvage aphrodisiaque, et puis moi je t’accompagnerai avec ma boisson de bébé » t’as opté pour du soft, parce que tu sais que tu peux être appelée à l’hôpital, et puis parce que tu n’as pas réellement envie de te perdre sous l’effet de l’alcool. T’as jamais été une grande amatrice de toute façon, non. Toi t’es pas le genre de fille à te bourrer la gueule pour passer un moment avec un gars, tu préfères assumer et savoir ce que tu fais, en gardant un certain contrôle de ta vie et de tes actes.

    Le serveur apporta les boissons et tu le gratifiais d’un sourire, tu lèves légèrement ton diabolo à votre rencontre et tu commences déjà à jouer avec la paille dans le breuvage. Par-dessus ton verre, une brochette de bonbons acidulés style Lutti, que tu proposes à Joshua « Tu veux un peu de pétillant dans ta vie ? » tu ris, tu jettes un œil autour de vous alors que depuis son arrivée tu n’avais plus vraiment fait attention à ce que vous entourait. Tu écoutes les paroles de ton interlocuteur, qui te tirent un nouveau sourire « Là, t’es en train de me draguer et c’est assez agréable parce que tu t’y prends pas comme un pied. » dis-tu avec beaucoup de spontanéité et de franchise qu’on te connait Lorsqu’il parle de tinder, aussitôt tu poses ton index sur ses lèvres pour le pousser à la discrétion, en réalité dans le civil tu l’assumes et tu te fiches bien de savoir que le serveur ou la vieille dame de la table d’à côté l’ait entendu, mais pour le jeu et peut-être un peu la séduction à ton tour, tu as cherché ce léger contact entre vous. C’est pas grand-chose, c’est même carrément minime mais t’as pas voulu t’en empêcher. « Eh non, je ne suis pas une ivoirienne en quête de nationalité américaine prête à te vendre mon âme pour qu’on se marie. Tu m’imaginais comment ? Plus petite ? Plus grande ? Plus moche ? Plus belle ? Plus grosse ? ah non je sais… imbue de moi-même parce que les chirurgiens ont tendance à se prendre pour des dieux. Ou bien totalement nymphomane avec juste l’envie que tu me coinces dans un coin de cet endroit, sans attendre d’être chez toi. »
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    Lien du postMer 8 Jan - 13:09
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    Josh, élevé dans une famille de militaires croyants, s'était un temps demandé où amenaient ce genre de relations, sur quoi reposaient-elles. Un temps réticent, bercé de romantisme et de valeurs familiales traditionnelles, il avait considéré ce genre de rapports malsains et manquant de spontanéité. L'officier ne comprenait pas ce que ses hommes, en rentrant au pays, trouvaient dans ce genre d'applications qui admettaient ne proposer que du cul. Puis à ses premières ruptures en opérations, il avait compris. Quand elles commencèrent à s'enchaîner, il les avait envié. Ils ne se prenaient plus la tête, construisaient sur du sable en sachant pertinemment que la mer emporterait tout à la prochaine marée haute. Il draguait au bar, mais ne sautait pas le pas de ces applications. Lorsqu'il le fit en arrivant à Harvard il avait eu à réfléchir, comment faire ? Comment parler ? Faut-il seulement parler et sympathiser ou se rencontrer pour obtenir ce qu'on voulait ? Avec Hazel tout avait été bien plus simple. L'honnêteté de s'avouer ce que chacun attendait de l'autre avait éclairci l'horizon, débridait et autorisait une complicité sans malentendu. Des gens s'entendaient bien jusqu'au moment crucial des questions de chair, où ici un quiproquo s'était installé, là un volte-face inattendu. Ici, les cartes avaient été posées sur la table et les joueurs pouvaient prendre le temps de siroter un whisky et fumer un cigare en ayant une conversation toute sympathique entre camarades. En l’occurrence, la sympathie se cachait derrière une tension charnelle assez palpable. Elle savait y faire avec les compliments en suggérant qu'il avait un beau corps et qu'il serait plaisant pour ses yeux de le voir. Paradoxalement Josh avait une certaine gêne à montrer son corps, il était bien bâti, puissant, athlétique et taillé par le sport, mais aussi la guerre. Et celle-ci avait laissé sur lui quelques cicatrices ça et là. Des éclats avaient laissé des cicatrices, sur le torse, l'aine, les bras. Rien qui ne lacérait et meurtrissait son corps, simplement de multiples marques indélébiles de ses engagements. Le militaire vivait parfaitement avec mais savait que la vue rebutait certaines. Par honnêteté il avait évoqué ces cicatrices, par chance elle était chirurgienne et en avait vu d'autres. Je viens à peine de m'installer et tu veux déjà qu'on aille faire plus ample connaissance dans les toilettes ? C'est toi qui es téméraire Hazel, et je vois que tu aimes particulièrement les perches au sens propre. Son rire, blanc, chaleureux, un peu mignon alors que ses yeux  clairs détaillaient sa partenaire de jeu, résonna dans leur coin. Cela signifiait tout simplement qu'il se sentait bien, qu'il était aussi décontracté qu'il aurait pu l'être avec un proche. Le fait de jouer la sincérité et la simplicité avait fait gagner du temps à leurs rapports, d'habitude il mettait plusieurs semaines à être aussi détendu avec quelqu'un. J'ai des vues sur une jolie chirurgienne que tu dois connaître, elle m'a conseillé un cocktail et me gratifie d'un beau décolleté en ce moment, fit le capitaine en remontant lentement son regard du torse jusqu'aux yeux de son date, comme pour accentuer ses propos. Josh, encore droit s'enfonça un peu d'aise dans le cuir moelleux sur lequel il était assis. Sa colonne vertébrale appréciait l'attention, elle qui subissait sans se plaindre à chaque saut en parachute, à chaque nuit passée sur du bitume graveleux d'une route cabossée au bout du monde. Mmh... parce que je suis généreux je pense. Je suis sans attache oui mais c'est pas de mon fait, et ce n'est pas une des raisons pour laquelle je partage. Fiou, réponse complexe à une question complexe. Ils avaient déjà évoqué sa situation, l'image du militaire solitaire, littéralement sans attache lui collait à la peau ; il ne cherchait pas à l'enlever mais il ne repoussait l'idée de la retirer un jour, tout ce qu'il voulait c'était quelque chose de simple.

    Josh buvait stratégiquement. Premièrement, il ne ressentait pas spécialement les effets de l'alcool avant la cuite, et il ne s'en était plus mis une depuis longtemps. Ensuite il voulait boire assez rapidement pour pourquoi pas passer aux choses sérieuses, sans boire trop vite pour ne pas passer pour un pochtron. La discussion sur la situation personnelle intrigante de Hazel, il sent que c'est quelque chose d'important pour elle. Comme première réponse, il lui adresse un sourire bienveillant et sincère avant d'entamer. Je te taquinais un peu Hazel, certes ça m'intrigue un peu mais rassure toi, tu ne me dois rien, tu as ta vie privée, tu as tes petits secrets. J'en ai, à notre âge on a tous des trucs derrière nous, on se les racontera peut-être un jour... après une partie de jambes en l'air. Il rajoutait un peu de légèreté, chacun était libre de s'ouvrir à l'autre. Ils signaient pour se faire transpirer mutuellement au lit, passer du temps ensemble, rire, si cette complicité devait impliquer de se connaître plus alors il en serait ainsi. Mais rien ne pressait. Et puis des secrets, les siens étaient compliqués aussi. Joshua disait qu'il était militaire, il taisait qu'il faisait partie des forces spéciales américaines, de l'unité des Green Berets, des mecs qui partaient souvent, qui connaissaient le feu, voyaient des choses que le secret défense interdisait de révéler. Il taisait encore plus qu'il était retenu pour intégrer la Delta Force, et que, ce-faisant il passerait dans une unité encore plus sélect et dangereuse. Il gardait aussi pour lui qu'un de ses frères avait perdu la vie sous le feu et que ça le hantait. Tu ne crois pas si bien dire, je coucherai avec toi partout dans mon appartement, aujourd'hui et quand tu voudras à condition que ce que tu y voies reste pour toi. Son ton était affable et jovial, mais gardait une part de vérité tout de même. Si quelque chose fuitait de chez lui, il était mort, pas physiquement, mais des mecs viendraient le sermonner longuement et durement. Mais Hazel savait lui faire penser à la séduction et au plaisir des corps qui s'attirent et qui s'appellent. Le commando se pencha en avant, referma doucement sa main sur celle d'Hazel, tenant la brochette et la porta à sa bouche pour arracher un bonbon avec les dents, yeux dans les yeux. Je dois faire attention à ne pas te croquer alors. Ca te dérange que je te drague ? Je trouve que ça rajoute un peu de piment, j'ai envie qu'on finisse au lit ensemble mais ça me fait plaisir de te dire que je te trouve belle, tu vas pas me retirer ça quand même ?

    Josh mâcha et engloutit le bonbon avant de presque terminer son verre et il se recula à nouveau contre le dossier de son siège, pouffant à la remarque de la chirurgienne. Cela rappelait des souvenirs de certains déploiements au capitaine elle avait vu juste. Ne te moque pas c'est arrivé à des mecs à moi en mission. Mais j'aurais eu la puce à l'oreille si tu avais commencé à me demander du pognon. Non j'imaginais pleins de choses en fait pas une en particulier. Des plaisantins qui me chauffent mais qui font une blague, tout est possible. J'ai eu de la chance de tomber sur toi. Et je ne te trouve pas arrogante ni prétentieuse même si je t'aurais trouvé en droit de le faire parce que réparer des coeurs c'est pas rien, quasi prométhéen. Il écouta patiemment la suite de sa phrase, avec un sourire taquin aux lèvres. Lorsqu'elle eut fini, Joshua posa sa main sur la table, paume vers le ciel comme un appel à l'attraper. Bon écoute, je vois que cette affaire de coin de la salle te travaille. Le serveur a l'air fatigué, ça doit être la fin de son service, il a verrouillé les toilettes des hommes, je suppose qu'il a dû y faire le ménage et qu'il veut que personne ne salisse pour ne pas avoir à y retourner. Visiblement les gens essaient d'entrer et comme le serveur ne réagit pas, ils vont chez les filles. Je peux nous y faire entrer sans qu'il n'y voit rien. Ou alors je lâche l'addition et on part directement chez moi. Ma main est tendue, tu choisis où tu nous amènes, dans les toilettes ou dehors pour aller chez moi. Mais dépêche, l'heure tourne.
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    Lien du postJeu 9 Jan - 0:19
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    Tu ne peux retenir un sourire. C’est une histoire de perche, mais au final, tu l’as réellement saisie lorsque t’as engagé la conversation avec lui sur Tinder. Du moins, c’est que t’as envie de te dire. Jusqu’à présent tu ne le regrettes pas, et t’es presque en train de te dire que finalement, sur Tinder il n’y a pas que des vieux pervers qui se font passer pour des petits jeunes et qui veulent satisfaire leurs envie avec des femmes qu’ils ne sont plus vraiment capable d’avoir en jouant la carte de l’honnêteté, alors qu’ils sont coincés chez eux avec une épouse plus réellement disposée d’assouvir quoi que ce soit. Non, toi t’es tombé sur un gars d’à peu près ton âge, avec les mêmes attentes quant à son inscription sur Tinder, mais surtout avec le même genre d’humour que toi. Vous avez directement joué cartes sur table et toutes les forteresses que tu aurais pu construire autour de ta petite personne se sont brisées. Ou presque. Tu émets encore une certaine résistance sur l’une ou l’autre chose te concernant, pas encore réellement prête de le dévoiler à un homme que tu n’as en face de toi que depuis quelques minutes, cette partie de ta vie. Mais tu te doutes qu’un jour tu finiras par lui dire. Mais là, t’as juste envie qu’il garde d’abord en tête que tu restes une femme, tout simplement. Machinalement, tu baisses les yeux vers ton décolleté et puis tu lui lances un regard suspect, toujours pour jouer ce petit jeu entre vous « Oui enfin, on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a, mais y’a quand même de quoi faire » lâche-tu dans un sourire, sans avoir l’idée de débattre sur ta poitrine. T’es pas la nana la plus fournie, mais tu ne t’en plains pas non plus. Tu peux au moins te permettre un décolleté sans avoir l’impression de te balader avec deux pastèque sur le point de te peter le dos « Mais je retiens que là, tout de suite, tu viens de mater mes seins ! Et après ça parle de moi qui veut aller faire un tour dans les toilettes » . Tu le taquines, tu lui lances un regard espiègle, même et puis tu portes ton verre à tes lèvres, comme pour camoufler ton visage après ce que tu viens tout juste de lâcher. Non, Hazel. T’assume, ordinairement, te dis-tu avec détermination pour te convaincre. T’es spontanée, tu ne cherches pas forcément à y mettre les formes, sans pour autant tomber dans la vulgarité. T’es médecin, t’as appris à dire tous ces mots sans une once de gêne. Eh oui, même les seins.

    Vous parlez de la situation de Joshua, rapidement et sa réponse t’intéresse malgré tout, t’as l’impression que ça va au-delà de coucher pour coucher. Vous arrivez aussi à parler d’autre chose, à apprendre à vous connaitre au moins un petit peu. Certes, votre discussion dévie beaucoup et c’est pas pour te déplaire, mais en savoir plus sur des sujets plus sérieux le concernant, ça te plait, ça t’intéresse et surtout, ça t’intrigue. « En fait, toi si tu devais décrire la femme qu’il te faut, ce serait une femme qui n’espère pas une vie de famille parfaite, avec un compagnon présent tout le temps. Il te faut une working girl, non ? Genre une nana du FBI, toujours sur le terrain ou encore une militaire qui n’a pas le temps de se plaindre de ton absence parce qu’elle-même n’aurait pas réellement de temps à vous consacrer. Et puis un jour vous vous retrouver comme des amants and to be continued… » Du moins, c’est l’impression qu’il te donne. S’engager, oui peut-être mais pas à n’importe quel prix, et surtout pas avec l’espoir de le maintenir bien gentiment chez lui, afin de pouvoir le voir tous les jours comme un vieux petit couple. Toi, c’est pas ce que tu veux et si tu vivais la vie d’un couple plus ou moins normal avec ton ex, vous aviez tous les deux vos horaires et ce n’était clairement pas la personne que tu voyais le plus. Au fond, t’as jamais réclamé une vie de petits vieux, peut-être même que tu n’en as jamais rêvé non plus. T’as besoin de liberté, t’as besoin qu’à ton boulot tu sois simplement « Docteur Lodge » et non pas « Docteur Lodge, la compagne d’untel et la maman d’une enfant d’un an » Tu ne parles pas souvent de toi, pas souvent de ta vie privée, parce que tu veux maintenir cette distance. Tu veux garder pour toi tes histoires, tes soucis, tes sentiments et arriver à faire abstraction de tout ça une fois au boulot. C’est comme ça que tu peux te donner à 100 %.

    « Je te montrerai peut-être dans les semaines à venir, si tu te sens suffisamment capable d’encore me supporter. Haha, ça c’est moins sûr et si tu parviens » tu marques une micro-pause, tu fais mines de réfléchir non sans le quitter du regard, et puis tu reprends « Enfin si, parce que j’ai de l’humour, je ne suis pas prise de tête, je suis parfaite au lit et qu’en plus, je ne suis carrément pas modeste »  et puis un peu gonflée aussi, mais toujours avec un cruel manque de sérieux mélanger à la plaisanterie. Au fond, il pique ta curiosité quant à son appartement qui semble si secret, ou bien si minés à tel point que tu te sens presque capable de lui réciter le serment d’Hippocrate remasterisé pour que ça match avec ses secrets et son milieu. Finalement, tu te contentes d’imiter les témoins appelé au tribunal en levant la main droite  « Je le jure » tu ris bêtement, puis avec un peu plus de sérieux tu enchaines « non mais je suis médecin, y’a pas plus bourré de secrets qu’un hôpital – A part chez le coiffeur -. Les secrets ça me connait, tu verras.  On pourrait même en avoir tous les deux, si tu veux…» tu te doutes qu’il comprendra de quel genre de secret tu parles, il n’y a qu’à voir ton air bourré de malice et cette lèvre que tu morts systématiquement lorsque t’es persuadée que t’en as vraiment envie. « Non, j’aime bien quand tu me dragues, donc t’as qu’à continuer. Mais tu le fais pour une seule raison. Tu veux t’assurer qu’après notre première partie de jambes en l’air, je te recontacte et tu sais qu’en marquant mon esprit autrement qu’avec du sexe, t’y arriveras parce que nous les femmes, on a besoin d’actes, mais aussi de paroles pour attendrir notre esprit et nos pensées. Vrai ou faux ? » Tu le fixes, tu veux qu’il te réponde même si t’es presque certaine que c’est un truc proche à ta théorie. Et toi, t’as probablement aussi envie que ça s’y rapproche.

    Tu n’as pas choisi la médecine et encore moins la chirurgie pour qu’on te tire un tapis rouge. Tu ne t’es jamais comparée à une déesse, même si tu aimes dire que t’es capable de les réparer. Parfois. Tu fais toujours tout pour ton travail, tout pour tes patients mais tu sais qu’il faut parfois prendre des risques qui ne paient pas toujours, au contraire « Mon chef de service se prend pour un dieu. Il est arrogant et détestable. Mais c’est le genre tellement fourré dans sa paperasse qu’il n’opère que très peu, alors forcément il peut se prendre pour dieu parce que jamais il ne fera d’erreur. Jamais il ne devra annoncer à une famille qu’une personne est morte sur une table d’opération, jamais il ne se trompera de jugement après avoir enchainé des heures et des heures de garde. C’est un dieu en carton en fait. Tu veux savoir la différence entre Dieu et un chirurgien ? C’est que Dieu ne se prend pas pour un chirurgien, lui. » tu hausses les épaules, et tu assumes de ne pas être une déesse du bistouri. « Je veux bien être un déesse dans ce que tu veux, mais pas en chirurgie. » Tu regardes la main qu’il te tend, avec un air interrogateur dans un premier temps, mais l’explication suit. Ton sourire s’élargit au fur et à mesure que tu comprends la proposition, mais tu le laisses terminer jusqu’au bout, voire même tu prends le temps de réfléchir, ou de faire durer le suspens. Ta réponse tu l’as déjà, mais tu le fixes durant plusieurs secondes et puis tu lui fais part de ton verdict « T’as bien trop de secret dans ton appart pour que je veuille aller explorer les toilettes d’un pub. » Dis-tu, sure de toi. Tu finis par te lever près de la table où vous êtes installé et tu le tires par la main pour lui faire comprendre que tu voulais du sexe, oui. Mais pas dans les toilettes ici présentes. « C’est loin du centre chez toi ? »
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    Lien du postJeu 9 Jan - 17:50
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    Josh écoutait la description faite par Hazel de la femme qui pourrait lui correspondre. Il était collé à ses lèvres, chaque mot résonnait en lui et faisait naître une réelle introspection. Cette réflexion, primordiale, sur ce qu'il voulait ne lui avait jamais frappé l'esprit. Il n'avait pas de type de femme prédéfini, il n'avait pour ainsi dire pas réfléchi à un plan de vie clair. Elle soulevait soudainement des points, dégageait des nuages et dessinait les contours d'un horizon. Joshua était sommé de réfléchir au plus profond de son être sur ce qu'il voulait, sur ce qu'il cherchait réellement. Ses sourcils se froncèrent légèrement, comme chaque fois qu'il devait réfléchir vite et trouver une réponse à ses propres questions. Mmh j'aurais tendance à te répondre « en partie ». Je suis d'une famille assez nombreuse et j'aime bien les gosses donc un jour j'en voudrai, je m'imagine bien vieux guerrier à parler de mes aventures mais pour l'instant c'est dur. Une femme qui bouge beaucoup c'est clairement plus facile parce qu'elle se morfond moins c'est sûr, après le plus important c'est qu'elle soit forte et simple. Ce que je fais, même si j'adore le risque, le danger, mes camarades, c'est quelque chose qui me dépasse et oui du coup j'ai besoin d'une femme qui a une vie, qui bosse, qui sauve des vies, quelque chose qui l'occupe jusqu'à ce qu'on revoit. Après dans ma tête c'est une vraie relation, pas un truc où chacun va voir ailleurs, au contraire. Ce serait plutôt quelque chose de très fort, fusionnel, quand on se retrouve on a du mal à se lâcher parce qu'on voudrait profiter l'un de l'autre. Un truc comme ça, mais j'avoue que je suis pris au dépourvu donc ne juge pas trop ma réponse, pitié. Josh clôtura une réponse peut-être un peu trop sérieuse pour une telle situation, par un léger rire détendu. Il espérait ne pas avoir brisé le charme ni laissé sous-entendre que son horloge biologique tournait, ce qui n'était pas le cas, il avait encore le temps, mais cette question avait suggéré une projection à long terme.

    Josh souriait au numéro d'Hazel, le secret médical était sacré, c'était une chance pour lui, elle devait savoir rester discrète même s'il ne pouvait s'empêcher de penser qu'il était confronté à d'autres types de secrets, plus dangereux et que tout le monde ne le supportait pas. Tu vois si clair dans mon jeu. Je veux que tu me voies comme je suis, un militaire sympa que tu peux mettre dans ton lit, avec qui tu peux parler et flirter sans te prendre la tête. C'est pas mal non ?
    Hazel tenait fortement à son métier, c'était touchant, il semblait y avoir une passion pour ce travail exténuant, stressant et souvent triste. La voir critiquer son supérieur le faisait sourire, il leur trouvait un point commun. Les deux célibataires étaient unis par un travail éprouvant, où la vie se jouait à rien, la solitude lorsqu'on prenait des décisions qui pouvaient faire basculer des existences. Il comprenait sa sensation, celle des regards posés sur soi, attendant un choix que personne d'autre n'assumerait de prendre, l'isolement dans les congratulations lorsque la marche mais aussi dans la tempête quand cela échoue. Josh acquiesça silencieusement, cela lui paraissait inutile de surenchérir dessus au risque de partir dans la comparaison. Il la comprenait en silence, son regard le témoignait, tout simplement. Il préféra la sortir de ses pensées en la faisant sourire. « Déesse en ce que je veux » ? Tu viens d'affirmer que t'étais parfaite au lit, ça me paraît tout destiné..., fit-il en pouffant.

    Les deux partenaires se dérobèrent du pub et sortirent. Josh avait à peine eu le temps de lâcher un billet et d'embarquer son sac sur une épaule. Le capitaine reluquait en détail le fessier de son rencard, il avait constaté ses atouts lorsqu'ils discutaient ensemble, mais elle en avait d'autres. Tout cela le mettait en appétit. Arrivé dehors, il tenta de se repérer, quelques coups d'oeil sur les panneaux, les bus... Il voyait où ils étaient. J'ai mon appartement dans Lincolnshire... viens. C'était à son tour de la tirer, pas trop fort pour ne pas lui déboîter quelque chose, une chirurgienne avait besoin de tout son corps en état, mais les yeux vifs du commando avaient aperçu un bus qui passait dans son quartier. Celui-ci allait partir mais ils marchèrent assez vite pour entrer par la porte arrière. Ils y étaient collés à cause de la foule. Joshua sentait ce corps qu'il désirait juste contre lui. Il était plus grand qu'elle et ses yeux posés sur elle, la scrutaient avec délectation. Le militaire était plus silencieux, comme s'il était passé dans une autre phase, plus physique, électrique. Hésite pas à t'accrocher à moi si tu ne trouves aucune barre à saisir, je voudrais pas que tu te blesses, fit-il avec le sourire en coin dont il ne se départait jamais face à Hazel. Il bénissait les transports en commun bondés des heures de pointe en grande ville dans ces moments, il se collait légitimement à une femme dont il avait envie et qui voulait de lui. Les minutes jusqu'à l'arrêt devant son immeuble étaient chargées d'une tension charnelle palpable seulement par eux deux. Ils étaient dans une bulle au milieu de ses gens, il la regardait, la sentait contre lui, cela valait des centaines de caresses. La bulle éclata, temporairement lorsque la sonnette retentit pour descendre, Josh l'attira vers la sortie jusque devant son immeuble, il badgea, la porte s'ouvrit. Allez-viens, je suis au quatrième, dit-il en la menant vers l'ascenseur. A nouveau le militaire était collé à elle, mais cette fois plus de foule pour se pressait contre eux. Une pulsion guida le soldat et, sa main robuste posée doucement sur la nuque de Hazel, ses lèvres vinrent déposer un baiser passionné et fiévreux sur celles de la chirurgienne. Allons-nous créer quelques souvenirs à deux qu'en dis-tu ?  
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    Lien du postDim 12 Jan - 18:39
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    T’es plutôt étonnée de la réponse que te fournit Joshua. En réalité tu étais loin d’imaginer qu’il pouvait aimer les enfants, mais en même temps tu ne le connais pas vraiment… Donc pourquoi pas ? Peut-être que ton inconscient en avait tout simplement conclu qu’un militaire ne pouvait pas aimer les enfants. Qu’il ne les détestait pas forcément, mais qui ne les aimait pas au point d’espérer sa progéniture plus tard. Toi non plus, tu ne pensais pas vraiment avoir des enfants et te voila déjà maman d’une petite princesse qui vient tout juste d’avoir un an. Une petite fille qui t’étonne chaque jour et qui t’apporte beaucoup de joie de vivre avec ses yeux remplis  de curiosité. Et puis lorsqu’elle croise une girafe dans un magasin de jouet… La situation t’offre une bouille tellement craquante que tu la mangerais et pourtant, parfois tu dois lui briser le cœur, en lui rappelant que des girafes, elle en avait plein à la maison. « J’imaginais pas que t’espérais avoir des enfants. T’es pas amener à être souvent chez toi, t’as pas peur que ça te porte préjudice ? » tu sais de quoi tu parles, parce que toi non plus t’es pas souvent chez toi, mais pour l’instant Célestine ne s’en rend pas vraiment compte, alors t’essaies de l’habituer en lui disant que tu dois travailler. Tu lui adresses un sourire, suivit d’un peu de suspens et puis tu reprends « … Mais ta réponse me plait »

    Probablement que c’est la seule et unique fois que tu te prêteras au jeu de Tinder parce que peut-être que la prochaine fois, tu ne tomberais pas sur un homme comme Joshua. Vous arrivez à plaisanter, à vous comprendre et à vouloir la même chose sans se prendre la tête. Tu aimes aussi le charme que cette relation dégage et t’as conscience que tu ne parviendras pas à trouver ça chez un autre parce que ça reste unique, unique avec cet homme-là. Tinder c’est marrant, un peu. Mais au bout d’un moment, on tourne vite en rond et toi t’es plutôt du genre à faire tes rencontres dans la vie réelle, spontanément. Alors oui, il est un peu ton exception et tu en es pour le moment bien ravie « J’avoue, difficile de trouver meilleur menu que celui que tu proposes.. Surtout sur tinder. » dis-tu en plaisantant. Tu te mords la lèvre alors que t’es précisément en train de te demander quelle numéro portes-tu dans la liste des rencontres qu’il aurait pu faire sur ce site. « et pour le moment, j’ai pas envie d’un autre menu, le tien est bien trop gourmand » tu ajoutes une pointe de malice dans ta déclaration, et une bonne grosse dose de vérité. Physiquement, il est plaisant et vos discussions que tu gardes en mémoire te pousse à vouloir découvrir d’autres choses, d’autres moments bourrés d’excitation et de curiosité. « Je viens de me tirer une balle dans le pied, merde. Obligée de donner le meilleur de moi-même alors. J’espère que t’as pas couché avec une future actrice porno avant moi sinon je vais être recalée » tu t’es jamais prise pour une déesse au pieu, t’as toujours joué le jeu de la spontanéité en appliquant tes envies et en répondant à tes désirs. « après, je pense être douée pour certaines chose, quand même. » tu souris encore en cherchant à lui donner un peu plus envie de te découvrir dans un lit.

    Tu entraines le militaire au milieu de la rue, pour lui montrer que tu ne comptes pas écarter les cuisses dans ce pub, aussi sympa soit-il. Il t’a promis un appartement de militaire, et tu le veux. T’es comme ta fille, suffisamment curieuse pour oser poser tes yeux un peu partout et poser des questions sur ce que tu vois. Tu l’as prévenu en te doutant qu’à un moment donné, toi aussi tu devras satisfaire sa curiosité. Ta maison est relativement normale, avec des jouets d’enfant que tu ne cesses de ranger à chaque fois que tu passes par-là, et qui se retrouvent à nouveau au milieu du jeu de quille dès que tu as le dos tournés. Tu as toujours essayé de rendre cette maison le plus cocooning possible afin d’offrir à Célestine un endroit où elle se sentirait bien et en sécurité. T’as pas grand-chose à cacher, si ce n’est peut-être tous ces jouets qui pourraient satisfaire sa curiosité à lui, alors que tu n’es pas encore totalement prête à lui dire que oui, tu partages ta vie avec un petit être haut d’une soixantaine de centimètres. Il te tire par le bras alors que tu ne t’y attends pas du tout, et tu comprends qu’il a repéré un bus qui vous mènerait jusqu’à destination. Ca non plus, tu n’as plus vraiment l’habitude. Toi, tu te rends à ton boulot en voiture et pour le reste, tu préfères te perdre dans les rues de Boston à pied, dans les limites du raisonnable. Tu observes tous ces gens qui vous entourent et qui vous forcent à rester collés l’un à l’autre. Ma foi, ça te plait en fait et puis tu relèves les yeux vers lui lorsqu’il te soumet une suggestion bourrée de sous-entendus. Tu lui rends son sourire prête à lui répondre lorsque le bus se stoppe pour laisser entrer d’autres personnes. En voyant la porte qui s’ouvre, tu n’as pas d’autres choix que de te presser plus encore contre lui « j’espère que tu profites au moins de la vue du décolleté » dis-tu avec humour et puis tu reprends, alors que la porte s’est refermée « profite encore parce que j’ai pas envie de bouger. » non, la proximité là, tout de suite, ça te plait et si t’as souvent clamé avoir horreur du bus, pour le coup tu trouves ça suffisamment plaisant pour voir les voyages en transport en commun d’une manière totalement différente.

    En sortant du bus, tu le suis curieuse de savoir jusqu’où allez-vous encore vous balader pour finalement arriver jusqu’à son immeuble. Il te parle d’un quatrième étage et tu lui souris à la vue de l’ascenseur. Oui, là tout de suite, t’as des pensées pas très catholiques quant à la vue de cet ascenseur, mais tu gardes ça pour toi pour le moment. Tu le regardes s’approcher de toi alors que tu sens l’excitation monter d’un cran et tu accueilles ses lèvres en lui rendant un baiser plein d’envie non sans poser tes mains sur le torse habillé du militaire. Tu souris, t’es presque déçue de devoir rompre le contact alors que les portes de l’ascenseur s’ouvrir une fois à l’étage demandé. T’acquiesce et une fois chez lui tu ne peux t’empêcher de balayer l’endroit du regard, rapidement. Tu regardes les murs et tu souris en songeant à votre discussion « c’est vrai que tes murs ont l’air ultra confortables » c’est sorti tout seul et puis tu avances de quelques pas, tes yeux ne quittant pas l’endroit du regard. T’es bien trop curieuse, Hazel, mais ça te plait de découvrir cet endroit alors que t’as juré de ne en dire. Tu te retournes finalement vers lui pour s’en approcher dangereusement « as-tu conscience que c’est totalement différent de chez moi et que si tu gagnes des points, tu pourrais y mettre les pieds, un jour ? Tu penses pouvoir y arriver ?»
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