Je suis en retard. On a pas fixé d'heure, mais malgré tout, je sais qu'il est en train de m'attendre comme un con. La faute à quoi ? À mes 35454 émotions contradictoires que je ressentais tout le temps. Ce qui faisait de moi une personne émotionnellement instable, incapable de prendre des décisions. J'étais allongée sur mon lit, les jambes pendant hors de celui-ci et je fixais le plafond, les larmes perlant sans le vouloir le long de mes joues. Toutes les trois minutes, je changeais d'avis quand à la suite de ma soirée. Y aller ou ne pas y aller ? Faut dire que ce qui était prévu avait le don de m’angoisser. Rien que d'y penser, j'comprenais des dizaines et des dizaines de choses. D'abord, j'étais capable de coucher avec quelqu'un sans l'aimer. Parce que oui, je me sentais capable de coucher avec Mikke et non, je n'aimais pas le Pforzheimer. Il était un ami, un ami proche en qui j'avais entièrement confiance, mais j'étais dépourvue de sentiment amoureux le concernant. Et mon dicton qui est on aime quelqu'un jusqu'à ce qu'on aime quelqu'un d'autre était toujours véridique. J'étais éperdument amoureuse de Miles et rien ni personne n'était en mesure de me le sortir du crâne. Ce soir, j'avais donc compris la nuance entre faire l'amour et coucher avec quelqu'un bien que ce ne soit pas encore arrivé. Et puis, ça me faisait comprendre que de coucher avec une personne n'allait pas me faire du bien. Peut-être sur le moment, pendant quelques heures, mais j'étais certaine qu'après ce moment, tout allait me revenir dessus telle la deuxième vague d'un tsunami. Ouais. Je réalisais tout depuis quelques heures déjà. J'étais vide depuis que j'avais perdu mon homme. Je me sentais vide et personne n'allait pouvoir combler ce vide. J'étais définitivement foutue. À moins que de réussir à conquérir Miles une seconde fois. Mais on pouvait seulement discuter via nourrice interposée. D'ailleurs, ce week-end avec Caprice, il m'avait fait du bien. J'avais retrouvé une partie de mon cocon, mais en même temps, ça me rappeler à quel point j'étais désormais éloignée de lui. FUCK. Ma vie c'est de la merde. J'me levais, allais en direction de la salle de bain pour avoir l'air plus attirante, moins dépressive. J'passais une robe qui disait déshabille-moi et je quittais les lieux sans plus attendre, en coupant mes pensées. J'aurais tout le temps de pleurer et m’apitoyer sur mon sors dès demain.

Je suis en retard. Vraiment en retard. Si ça s'trouve, il dort déjà. Ou... il a changé ses plans. Il est peut-être même déjà avec une fille, qui sait ? J'm'en fiche. J'cogne à la porte et je m'adosse au mur attenant. Quand ça s'ouvre, j'affiche un sourire timide. Ouais, j'ai jamais été une fille provocante. « Bonsoir » que j'lâche en entrant et en m'adossant cette fois à la porte. « Tu as attendu ? » Sans blague Marla, il est bientôt 22 heures. Ouais. Désolée Mikke, mais j'ai une putain de voix qui me crie son prénom. Enfin bon, tu le sais que je suis détraquée et qu'on l'fait pour notre moral à tous les deux, non ? « Désolée pour le retard ».

@Mikke Fitzgerald

Et t'es là, assis sur le canap', entrain de prendre des nouvelles de Hope, entrain d'être fraîchement sauvée de ses démons. Et putain, tu l'espères au plus profond de toi. Et puis, t'as du temps devant toi, puisse que Marla est entrain de se défiler. Tu le sens. Tu savais qu'elle viendrait pas et franchement, tu lui en voudras même pas. Pour une fois, t'avais pas prévu un repas de dingue. Puis que déjà, Gaïa avait décampé depuis une bonne semaine et donc t'étais dans l'incapacité de faire un bon repas; et puis en plus de ça, t'avais pas envie de cuisiner. C'était pas le but de la soirée. Alors ouais, Marla, elle t'a dit qu'elle avait besoin de réconfort et vous aviez convenus de faire l'amour ce soir. Ok. Pourquoi pas. C'est pas comme ci c'était la première fois que t'avais un rendez-vous pour une petite partie de jambes en l'air. Mais là, c'était différent. C'était Marla. Quelques mois plus tôt, t'aurais trouvé ça easy de te la faire, même si tu la trouvais coincée. Ça aurait même une super expérience. Mais finalement, il s'en est passé des choses depuis le début de l'été et aujourd'hui, Marla c'est devenue une pote, une amie même. Des amies, t'en a pas des tonnes. Tu les comptes sur les doigts d'une seule main. Coucher avec Marla, tu sais pas si ça changerait un truc. T'en sais rien. Tu pourrais t'en foutre, mais non. Evidemment, t'imagines pas une seule seconde qu'elle pourrait tomber amoureuse de toi à la longue ou quoi que ce soit. Mise à part lâcher ça dans une conversation pour la taquiner, t'y crois pas une seule seconde. C'est surtout parce que toi, tes amies filles, t'as envie qu'elles restent de simples amies. Et bam... qu'est ce que tu fais là ? T'es entrain de créer un espèce de sexfriend avec Marla. Alors non, du coup, toi tu comptes pas te défiler, maintenant que t'as oui. Mais si elle, elle se défile, tu lui en voudras pas du coup. Ça t'aideras. Marla elle est tellement cute, tellement adorable, t'en apprends tous les jours sur elle. Et c'est pour ça, que t'as pas envie que cette nuit ensemble mettra un soupçon de malaise entre vous. T'as envie que votre complicité perdure encore longtemps. Parce qu'en ce moment Marla, c'est celle qui connait le plus de choses de ta vie. C'est celle a qui tu penses en premier pour te confier, parce qu'elle te juge pas. T'as pas envie de perdre tout ça. Et puis, quelques minutes après avoir raccroché avec Hope, t'es rassuré. Rassuré de savoir qu'elle se remet petit à petit et t'as qu'une hâte, c'est d'aller lui rendre visite demain. Et là, ça sonne. Tu te lèves, traînes des pieds pour aller ouvrir. Sourcils qui se dressent, sourire en coin, tu pouffes légèrement de rire « Bonsoir » tu t'écartes de la porte pour la laisser rentrer « Tu as attendu ? » on va dire que t'as tué le temps. Après avoir refermé la porte derrière elle, tu lui fais signe de te suivre jusqu'au salon - Nope, je m'étais mis en tête que tu t'étais défilée. J'étais au téléphone avec ma meilleure amie. - tu lui fais face assez rapidement et prend un air assez sérieux - Du coup, tu veux boire un verre ou deux avant qu'on se mette dans le lit ? - t'arques un sourcil, l'air interrogateur... mais en vrai, t'es un vrai salaud... cette envie de la rendre mal à l'aise, tout le temps. Mais avant une quelconque réaction, tu tapotes son épaule - Avant que tu partes en courant ou que le rouge te monte aux jo... ah trop tard, ça c'est fait ! Enfin bref, je déconne... - Ouais, le rouge monte vite chez Marla, mais c'est ça qui la rend si cute - Allez assis toi et dis moi c'que tu veux... - que tu lâches, petit sourire au coin des lèvres, les yeux rieurs.

Mes émotions étaient contradictoires, c'est ce qui m'avait conduit à prendre mon temps avant de venir jusque chez Mikke ce soir. La nature du rendez-vous avez le don de me stresser parce que ça faisait quelques temps que je n'avais pas eu de rapport sexuel et aussi, parce que ce n'était pas Miles. Faut le dire, quand on est habitué à une personne, c'était toujours difficile de bousculer nos habitudes. Mais, j'étais là. J'étais en face de lui et je ne comptais plus me défiler. J'le suivais même jusqu'au salon, non sans une once de nervosité qui m'amenait à me triturer les doigts. « Nope, je m'étais mis en tête que tu t'étais défilée. J'étais au téléphone avec ma meilleure amie. » Je grimaçais à l’écoute de la première partie de sa phrase avant de finalement sourire quand il me parle de sa meilleure amie. « Elle va bien ? » Je n'avais pas eu connaissance de toute l'histoire à propos des péripéties récentes avec sa meilleure amie, mais il avait eu l'air assez inquiet pour que j'ai à poser la question. Puis, ça me permettait de penser à autre chose un peu enfin... c'était jusqu'à ce que Mikke fasse grimper le stress en flèche en quelques secondes seulement. « Du coup, tu veux boire un verre ou deux avant qu'on se mette dans le lit ? » J'haussais les épaules sans trop savoir quoi lui répondre. J'étais pas habituée à tant de franchise dans le domaine - avec un coup comme ça du moins. Mes joues, elles commençaient à prendre des couleurs rien que d'imaginer la suite, faisant naître une bouffée de chaleur dans mon corps. « Avant que tu partes en courant ou que le rouge te monte aux jo... ah trop tard, ça c'est fait ! Enfin bref, je déconne... » Mes sourcils se froncent et mes joues se colorent un peu plus. « T'es vraiment un con parfois » que j'affirme avec ma moue boudeuse. Ça se faisait pas de me faire subir ma gêne de plein fouet. « Allez assis toi et dis moi c'que tu veux... » Mon regard se tourne vers le canapé, puis vers Mikke. Hum. Allez Marla. T'es capable de tout ça, suffit de mettre le cerveau en attente. « Ce que je veux... » que je souffle d'un air détaché en enlevant mon manteau pour révéler ma robe déshabille-moi. Ma main vient balancer mes cheveux en arrière tandis que mes yeux trouvent les siens à nouveau. « Un orgasme, c'est trop demander ? » Sait-on jamais qu'il en soit pas capable ahah. Les hommes, quand ont les piques dans leur égo, c'était là qu'ils étaient les plus efficaces. Mes joues sont toujours colorées, mais je ne me démonte pas, j'avance vers le brun. Mes doigts frêles viennent se glisser sur son torse pour créer une proximité, bientôt, c'est mon corps qui se retrouve contre le sien. « Sauf si tu as changé d'avis ? » Sourire en coin, regard joueur, je me hissais sur la pointe des pieds pour déposer mes lèvres sur les siennes, chastement. Un court baiser de quelques secondes pour le faire réagir. Bien que mes lèvres se soient séparées des siennes, la proximité restait toujours la même. Nos souffles se mêlés et mon sourire étirait mes lippes dans l'attente de la suite.

Tu ne saurais presque pas comment t'y prendre. D'habitude, quand tu sais que la meuf vient pour passer un bon moment dans ton lit, tu sais direct comment passer aux choses sérieuses. Sauf que là, il s'agit quand même de Marla. Celle qui ne te connais pas vraiment comme la plupart des meufs te connaissent. Genre, Marla c'est celle qui t'as vu faire de la randonnée, qui t'as vu camper, qui t'as vu rire aux éclats... du coup... c'est plus complexe. Non pas que t'ai aucune envie d'elle, mais... c'est plus compliqué d'amener la chose. Et puis, du coup, tu t'étais fais à l'idée qu'elle n'allait pas venir ce soir. Alors t'avais pris ton téléphone pour appeler hope, prendre de ses nouvelles et c'est vrai que t'étais moins dans le mood. Mais te connaissant, on sait tous que si elle y donne un peu du sien, ça arrivera bien assez vite « Elle va bien ? » tu lui avais parlé des problèmes de hope, de sa 'disparition'. tu souris légèrement et soupire - ouais... elle se remet doucement. - fort heureusement d'ailleurs. La perdre, c'est la dernière chose que tu souhaitais. Hope, elle est tout pour toi, même si tu sais pas comment lui montrer. Mais ça, c'est l'histoire de ta vie Mikke. Tu sais pas dire les choses. T'aimes pas les élans d'affections. Ça te mets toujours mal à l'aise. Pourtant, Hope, elle mérite un peu de douceur venant de toi. Surtout en ce moment. Bref, t'avais pas envie de parler de ça maintenant. T'avais plus envie de te concentrer sur elle. Sur vous deux. Sur ce qui allait se passer entre vous, ou pas ? Toi t'en avais envie, mais elle. Alors, tu voulais tâter le terrain en lançant une petite pique humoristique « T'es vraiment un con parfois » t'hausse les épaules et approuve d'un signe de tête. La contredire sur ça, tu peux pas. T'es vraiment qu'un con. Ça tu le sais bien - J’excelle dans ce domaine, ouais. - et tu souris de plus bel, jusqu'à ce qu'elle te fasse du rentre dedans. « Ce que je veux... » elle enlève son manteau, laissant apparaître une robe qui met encore plus ses jambes en valeurs que la dernière fois. Détail que te fais sourire légèrement. Et tu sais pertinemment qu'à partir de ce moment là, sa jolie robe, elle ne la gardera pas bien longtemps. Tu la laisses faire, elle te charme et c'est plutôt agréable. Puis là, elle lâche la bombe en te fixant du regard « Un orgasme, c'est trop demander ? » et clairement, ça, tu t'y attendais pas. Elle s'avance vers toi, tes yeux suivent ses doigts qui se posent délicatement sur ton torse - Je... Ouais, j'crois que c'est dans mes cordes. - Tu dis ça non un sourire espiègle au bord des lèvres. Puis, quand elle se hisse sur la pointe des pieds pour venir déposer un baiser sur tes lèvres, t'as juste qu'une envie, c'est la plaquer contre ce mur là, derrière elle et lui faire l'amour comme jamais personne ne lui a fait. Mais t'as pas non plus envie de jouer au chaud lapin. Tu vas y aller doucement... Alors, quand elle vient se coller contre toi, tes yeux viennent se poser dans les siens, puis tes lèvres viennent effleurer son épiderme au creux de son cou pour ensuite venir s'y poser, pendant qu'une de tes mains, vient se poser au creux de ses reins pour remonter petit à petit jusqu'en haut de sa fermeture éclair  et tu lui murmures dans l'oreille avant de la regarder de nouveau, sourire aux lèvres - Je crois qu'on devrait commencer par ça... - Tu descends la fermeture éclair de sa robe petit à petit. Ton autre main vient trouver refuge sur sa hanche et tes lèvres reprennent, quant à elles, refusent de nouveau au creux de son cou, remontent doucement le long de sa mâchoire, au coin de ses lèvres, puis se posent sur ces dernières pour un baiser tendre.  

« ouais... elle se remet doucement. » Bonne nouvelle donc puisque la disparition de sa meilleure amie l'avait beaucoup préoccupé ces derniers jours. Au moins, il avait toutes les raisons d'être de bonne humeur ce soir. Malgré une petite distance pour entamer notre rendez-vous inhabituel, j'sentais que Mikke allait rapidement se remettre dans le mood. D'ailleurs, il ne perdait pas de temps pour me chercher et essayant de me faire rougir. C'était réussi parce que ce n'était pas la chose la plus difficile à faire, clairement. Mes joues changeaient constamment de couleur et j'arrivais pas à faire en sorte que ça ne se produise pas. Pour la peine, je n'manquais pas de l'insulter, c'était de bonne guerre. « J’excelle dans ce domaine, ouais. » Et ça me faisait rire tant que ce n'était pas méchant. J'avais toujours apprécié les personnalités piquantes, celles qui me sortaient de ma zone de confort. C'était exactement ce que je m’apprêtais à faire à cet instant ; sortir de mes habitudes. Je commençais par envoyer le signal en me délestant de mon manteau, révélant une robe qui mettait mes courbes en valeur. S'il avait l'habitude de la Marla timide et chétive, il allait découvrir celle qui était prête à toutes les folies ce soir. J'allais pas me démonter, me montrant un brin provocante. Ce dont j'avais envie ? De ne pas regretter d'être là ce soir. Je voulais qu'il me change les idées quelques heures et qu'il me fasse apprécier le moment comme il se doit. J'avançais vers lui sans lâcher son regard, mes mains glissant sur son torse dans l'attente d'une réponse à ma question, qui ne tarda pas. « Je... Ouais, j'crois que c'est dans mes cordes. » Le contraire m'aurait étonné. Sur la pointe des pieds, j'dépose mes lippes sur les siennes pour un baiser chaste, le premier. C'était une habitude pour moi de demander l'autorisation de la sorte. Je ne dérogeais pas à la règle ce soir. Mon corps collé au sien, j'enroulais mes bras autour de sa nuque tandis que sa main à lui, resserre notre étreinte. Je penche ma tête sur le côté quand je sens son souffle venir caresser ma peau sensible, à l'affut du moindre baiser. Cela faisait si longtemps, j'étais clairement en manque de toutes ces marques d'affection. « Je crois qu'on devrait commencer par ça... » Ses mains s'affairent dans mon ds pour défaire la fermeture de mon vêtement. Ma tête est embrouillée, si par moment je pense à beaucoup trop de choses et surtout à une autre personne, Mikke me ramène à l'instant présent en déposant un chapelet de baisers jusqu'à mes lèvres. Je lui rend son baiser avec bien plus d’ardeur qu'il n'a pu en mettre jusqu'ici. Les mains viennent s'immiscer quelques instants sous son t-shirt avant de le remonter pour le passer au dessus de sa tête et le faire tomber au sol. Aucune surprise, j'connaissais déjà cette vue. Au moins, cette fois, j'pouvais toucher et découvrir ses lignes du bout des doigts. Mes lèvres avaient quitté les siennes pour s'attarder sur sa mâchoire, son cou. J'voulais embrasser chaque parcelle de sa peau. Mes menottes s'affairaient à défaire sa ceinture jusqu'à ce qu'il m'oblige à lever les bras pour retirer ma robe. « Aucun commentaire » que j'souffle contre ses lèvres. Parce que j'étais pas à l'aise du tout avec mon corps frêle, ma peau trop blanche, mes formes peu dessinées et surtout mes nombreuses cicatrices. J'voyais toujours mes défauts, jamais mes qualités. Et c'était toujours à partir de ce moment que le stress revenait pendant quelques minutes.

T'espères qu'elle passera un bon moment, qu'elle ne regrettera pas d'être venue et qu'elle en redemandera même. T'as beau faire le malin, mais là, tu sais pas trop comment t'y prendre. Surement parce que Marla est assez différente de toutes les filles avec qui tu couches d'habitude ? Tu ne saurais comment expliquer ça, mais en tout cas, tu vas essayer de ne pas la décevoir, parce qu'elle mise beaucoup sur toi pour lui offrir de la tendresse, donc on se retient et on évite les grosses fessées pour l'instant. Franchement, tu sais même pas si tu te permettrais là tout de suite ou même dans la soirée. Par contre, plus tard, elle prendra comme les autres. C'est pas comme ci, les autres s'en plaignaient. Mais là, t'as envie d'être plus délicat. De lui ôter sa robe pour découvrir son corps petit à petit, la couvrir de baisers encore et encore. Juste que vos corps apprennent à se connaître le plus tendrement possible; et si elle a envie que ça soit plus dynamique, du moins, moins tendre, pas de soucis. tu t'adapteras à ses envies. mais pour l'instant, tu te vois pas faire autrement que de la laisser parcourir les parcelles de ta peau de ses lèvres, de son souffle chaud. souffle et baisers qui font frissonner immédiatement. une fois sa robe enlevé pendant un de vos baisers, elle lâche « Aucun commentaire » et du peu que t'en touche à cet instant, toi t'as bien envie de commenter à quel point, t'as envie de plus à chaque secondes - chut... - tu la soulèves d'un geste léger, la laisse accrocher ses jambes autour de ta taille et l'amène jusque dans ta chambre, éclairée seulement par la lumière de ton pc - ouais on oublie les bougies - pour la poser et l'allonger sur ton matelas. sachant bien à quel point elle semble complexer, tu te places sur elle pour ne pas qu'elle le soit encore plus et commence à déposer des baisers au creux de son cou, en remontant le long de sa mâchoire pour venir saisir sa lèvre inférieur délicatement entre tes dents. Tu descends le long de son cou, puis descends jusqu'à t'arrêter à sa poitrine, généreuse poitrine qui plus est qui te fait pas mal d'effet pour le coup. sans compter à quel point elle pouvait sentir divinement bon. Tes lèvres s'attardent sur ses seins tandis qu'une de tes mains saisis une de ses cuisses. entre baisers et légers souffles sur sa peau, t'as qu'une envie c'est de continuer. qu'elle n'est aucun soucis à se faire. elle est parfaite.