Il est tôt et je tourne dans mon lit. Je n’ai pas beaucoup dormi. Pas l’envie, ou bien tout simplement parce que le travail m’a plus excitée qu’autre chose, je ne sais pas. J’ai joué un petit peu à la play, vaincu deux trois gugusses à Tekken, qui se pensaient encore et toujours plus forts qu’une femme. C’est assez satisfaisant quand même, de se dire qu’on peut couper quelques couilles qui se croient bien plus supérieurs qu’il ne le faudrait. Quoiqu’il en soit, après plusieurs défaites, ils ont décidés de m’abandonner, prétextant qu’il était temps pour eux d’aller au lit. Au lit ? Je ne connais absolument pas cette phrase et je pense surtout qu’ils en avaient marre de se faire battre par une femme, à tour de rôle. Je ferme les yeux, tentant désespérément de dormir encore une petite heure ou deux mais rien n’y fait, les premiers rayons du soleil tentent de se frayer un chemin jusqu’à ma chambre. Je soupire, et regarde l’heure. Oui, il est beaucoup trop tôt pour se lever. Je grimace, je n’ai vraiment pas envie de sortir du lit, la couette est si moelleuse mais va bien falloir que je trouve quoi faire des mes dix doigts, et tout de suite, me vient une petite idée. Un petit sourire plein de malice apparaît sur mon visage alors que je sors du lit, mets mes chaussons et sort de ma chambre après bien évidemment avoir jeter un petit coup d’oeil au miroir pour voir dans quel état se trouvaient mes cheveux. Toujours en bataille, comme d’habitude. Je les ébouriffe un petit peu et sors en débardeur et petit short noir. La cuisine ne sent pas encore le doux parfum du café, c’est pourquoi j’entreprends d’en faire un peu. Rapidement, le café embaume la cuisine et je ferme les yeux un instant. J’en sers deux tasses et pars en direction de ta chambre, en espérant que tu sois seule et pas en bonne compagnie. Quoique, çà me défoulerai pas mal de pouvoir jeter mon café bien chaud sur la tête de l’inconnue qui pourrait partager ton lit. Je deviens un peu … je ne serai quel terme employer finalement, mais quand il s’agit de toi, je crois que je commence un peu trop rapidement à sortir les griffes. Le café s’empare de mes narines alors que j’ouvre la porte de ta chambre. Personne, seulement toi dans ce lit un peu trop grand pour une seule personne tu ne penses pas ? Je marche doucement mais me prends le pied dans je ne sais quoi et avec un petit cri, laisse tomber les deux cafés sans le vouloir sur la couette, pile au bon endroit. fuck que je lance alors que tu te réveilles vraiment pas comme il faut je suis désolée que je te lance, alors que je m’empresse de partir dans la salle de bain pour récupérer une serviette et commencer à t’essuyer bon c’est pas comme si je l’avais jamais touché c’est vrai, je ne t’essuie pas en prenant des pincettes, çà ne sert à rien.

bon on va pas se mentir la soirée d'hier a été plutôt intense. avec quelques collègues ont est sorti boire un verre, fin plusieurs pour être honnête et wala quoi hein. on a bien fêté le transfert du copain quoi, comme il se doit. puis j'y peux rien si c'était une soirée karaoké, fin j'veux dire, elle était juste trop dingue cette soirée voilà. puis cette petite brune qui m'a refilé son numéro après m'avoir roulé quelques pelles, m'ouais, franchement c'est trop à refaire sérieux. bon par contre le réveil est un peu plus difficile à assumer, heureusement que j'fais rien ce matin car j'serais pas opérationnel non. donc je dors comme un gros caca, limite en étoile de mer m'voyez, affalé comme c'est possible de l'être dans un deux places. sauf que j'entends pas apple rentrer dans ma piaule, je l'entends pas qui approche à pas feutrés tel un chat et... j'suis clairement pas prêt lorsqu'elle me renverse son café bien chaud sur... moi, mon lit, mon putain d'entre jambes bordel! autant dire que j'me réveille d'un bon en hurlant "aïe bordel de merde!" comprenant rien à ce qui m'arrive et ouf pour elle que j'ai pas des réflexes à la con car c'est un coup à prendre un poing sans le vouloir ça! jetant la couette sur le côté pour libérer mes pauvres jambes bien rougit par la chaleur "putain mais ça brûle! apple qu'est ce que t'as branlé?!" ouais difficile de faire pire réveil que ça j'crois. je souffre. et elle s'excuse et se dépêche d'aller me chercher une serviette alors que je grimace un bon coup "t'abuses sérieux, c'est quoi ce réveil de la mort là..." tandis qu'elle vient... m'essuyer les couilles? fin le boxer hein autant dire ce qui est. je fronce les sourcils d'un "mais qu'est ce que tu fou là?" alors qu'elle m'fait sa réflexion et que je roule des yeux en poussant sa main et me levant "mais c'est pas le problème juste que ça sert à rien tu m'as brûlé les couilles là." grimaçant encore un peu en ouvrant ma commode pour prendre un autre boxer.

C’était clairement pas le plan, c’était pas comme çà que j’avais prévu ton réveil, je te jure mais j’ai toujours eu deux mains gauches et bien évidemment fallait que çà tombe sur toi, ce matin et sur ton entrejambe. Je voulais les choses bien, mais à chaque fois, y’a un truc qui foire. Et il est tout à fait normal que tu te lèves d’un bond et que tu commences à t’énerver parce que je crois que j’aurais fais la même chose que toi si t’avais çà sur ma jolie poitrine. Je passe ma main sur ma bouche, je suis choquée, mais même pas surprise, parce que çà m’arrive de temps en temps. Je récupère une serviette et commence à la passer sur ton sexe. Je le connais, je l’ai déjà vu, alors fais pas le prude ou le mec énervé avec moi. enfin, tu peux, parce que c’est tout de même un réveil assez… brusque finalement mais je vais pas te laisser dans ce merdier et je préfère commencer à éponger. Je ferais une machine plus tard avec mes draps, et j’y mettrais aussi les tiens. Je grimace quand tu me demandes que j’ai branlé, ben écoute, rien de ben fou, j’ai juste voulu te ramener ton fucking café et je me suis prises les pieds dans tes putains de chaussons, tout simplement. Tu vois, rien de bien fou quoi, la routine je me suis pris les pieds dans tes chaussons, je suis désolée que je te lance, alors que t’es terriblement à cran je voulais juste t’apporter un café et un donut parce que les flics adorent ça un petit cliché au passage, oui je sais. Tu me demandes que je fou mais je t’en pose des questions ? T’es bien un flic sérieux ! Tu vois bien que je suis en train d’essuyer ton caleçon pour absorber le café heureusement que ce n’était qu’une tasse et pas toute la cafetière sinon, si je serai encore. c’était pas le réveil prévu au programme Riley je récupère le donut dans son sachet par terre et te le balance tiens, çà va ptete te faire du bien je devrais pas dire çà parce que je sens que tu vas t’énerver encore plus. Je soupire, à chaque fois, le destin est contre nous, je te jure. Je passe ma main dans mes cheveux en bataille afin de passer une mèche derrière mon oreille une fois que tu te lèves pour récupérer un autre boxer dans ta commande. Tu vas quand même pas te mettre à poil devant moi ? j’ai profité du moment sachant que t’étais pour une fois tout seul à la maison j’insiste bien sur le pour une fois, pour qu’il comprenne que çà me soule clairement qu’il rentre toujours accompagné. Je soupire tu veux un autre café ? je dis autre, mais en soit, le premier est sur ton caleçon et pas dans ton estomac.

ce genre de réveil dont on se passe bien tsé... ce genre de réveil qui te met le démon dés le matin! putain de bordel de foutre de merde voilà! j'ai juste envie de hurler sur tout ce qui bouge là et grrr que ça brûle putain! j'suis sûr que j'ai la bite toute rouge là merde quoi. elle s'excuse mais... mais j'ai quand même envie de l'insulter fuck off! je grimace un "ouais bah tu peux le ravaler ton désolé, regardes où tu mets les pieds j'sais pas où lève les un peu plus quand tu marches sérieux." grognant encore un peu "et il est passé où le donut hein?" grimaçant encore un peu avant qu'elle commence à répliquer, chose à laquelle je réponds le bon gros cliché du "ouais bah toi t'es bien une femme hein, alors remballes tes mains." ET PAN! popopooooo. ouais faut que je change de caleçon sinon j'vais mourir des couilles. j'me lève pour fouiller dans mes affaires tandis qu'elle me balance le donut "ouais super, très malin ça c'est toi qui va le manger moi j'te le dis." lui relançant avant de me mettre dos à elle pour retirer sans pression mon caleçon pour lui jeter également et enfiler un boxer. elle l'a déjà vu mon cul et ma bite après tout, elle me l'a dit elle même alors rien à foutre "putain j'suis brûlé en vrai, j'suis tout rouge." et ça pique! fait chier. écoutant sa réflexion avant de répondre "bah merci de l'attention maintenant j'pourrais pas ramener de meuf pour au moins une semaine." alors qu'elle me demande si j'veux un autre café "ouais, mais celui là tu le laisse sur le comptoir de la cuisine s'te plait." allant vers la salle de bain pour aller prendre ma douche.

Ouais t’es complètement énervé et je peux comprendre, mais ta chambre c’est un bordel sans nom, j’y peux rien et j’espère que les meufs que tu ramènes ici, elles font pas attention. Tu me diras, non elles doivent pas faire attention, avec ce qu’elles ont sous les yeux. Bref, je remue la tête, faut que je me chasse toutes les images que je peux avoir de la tête. t’es quand même chiant, je te jure, ouais, c’est le bordel ici, j’y peux rien moi. Je m’excuse et tu fais le mec j’aurais bien ajouté un petit je t’emmerde mais on va tout de même rester cordiale, du moins un petit peu en tout cas. Je soupire. Tu me fatigues. Je joue pas les victimes, mais vraiment, je m’excuse, accepte. Je vais me rattraper, tu verras, mais je sais que là, c’est clairement pas le moment de tenter de se faire pardonner. Je dois bien avouer que çà doit faire mal, surtout sur ton sexe, et puis ouais, d’un côté, je suis un peu contente parce que tu pourras certainement rien faire pendant quelques jours. bon, même moi je pourrais rien tenter si jamais, j’aurais eu dans l’idée de tenter quelque chose. Je te lance le donut, et ouais il donne pas vraiment envie. T’as de la chance, j’en ai pris d’autres, et ils sont dans la cuisine, mais j’ai même pas envie de te le dire tellement t’es casse pied. ouais, j’ai un peu abusé, mais j’ai pas fais exprès. Je vais quand même pas tenter d’abimer ton outil de jardinage parce que j’aime pas que tu partages ton lit avec des pouffes quand même. Je n’irais pas jusque là non. Je lève les yeux au ciel quand tu me demandes de remballer mes mains, je suis sure que sans çà, tu les auras bien apprécier mes mains. Je me redresse et te regarde te changer. Je devrais pas te mater, mais I DONT CARE, j’ai bien envie de le faire et je ne vais certainement pas me gêner de le faire d’ailleurs. tu m’as bien regardé là ? non je vais pas le manger ton donut, surtout pas avec ce qu’il reste dans la cuisine. Tu retires ton caleçons que tu me balances en pleine face Ah cool, çà m’évite de t’en piquer un merci, je vais pouvoir le mettre en offrande sur mon autel qui t’es dédié je plaisante bien évidemment, mais autant tenter de dédramatiser la situation même si je sens que cela va être compliqué. je suis sure que tu es dans l’excès, montre moi ce n’est pas pour mater pour le coup, c’est que c’est un mec et que lorsque çà ne va pas, ils ont tendance à partir loin, dans l’excès, vous voyez. avec plaisir, je me suis dis que ça te ferait du bien de passer du temps sans pouffes autour de toi je bats des cils et te fais mon plus beau sourire. Je te laisse aller prendre une douche alors que je file à la cuisine pour te refaire un café. Je m’installe sur une chaise, mets les pieds sur la chaise et place une main sur mon genou et prends la tasse dans mon autre main. Ta tasse t’attend mon petit. Je te vois finalement débarquer dans la cuisine j’ai failli remettre ta tasse dans le micro-onde que je te lance, et je te montre finalement deux autres sachets tiens, je dois bien nourrir mon colocataire, et comme c’est sa passion les donuts y’en a d’autres mes lèvres touchent finalement la tasse pour pouvoir boire une gorgée de café ça va mieux ? T’es moins rouge ?

à l'entendre c'est limite de ma faute si elle s'est cassé la gueule genre et je grimace à répliquer "c'est ma chambre, elle est en bordel si j'veux en fait." non mais oh! quelle râle si on parle du reste de l'appart' mais là c'est mon royaume on y touche pas. elle peut s'excuser autant qu'elle veut là tout d'suite j'ai clairement pas envie de les prendre en compte wesh, elle bien de me cramer la queue et les couilles! au réveil genre! c'est juste pas possible là j'suis fou. elle ne détourne pas d'un poil les yeux quand j'me change d'ailleurs, coquine tss. mais son donut elle peut le garder et je la regarde d'un grand sourire abusé "bah t'as cas te le garer dans le cul." petite vengeance perso sur le tas et paf. et hop je lui lance mon caleçon au passage histoire d'en remettre une couche et je fronce les sourcils à l'écouter dire des conneries "un autel carrément? wouah." je sais qu'elle déconne mais quand même! sait-on jamais, dans un coin caché de sa chambre hein. mais ça pique clairement, j'suis rouge et ça demande de passer à l'eau froide tout ça. putain de bon matin sérieux ça ne se fait pas. elle veut que je lui montre et j'me met dos à elle d'un "non arrête de rêver." c'est rouge je l'invente pas mais j'vais pas mourir pour autant c'est juste... qu'on parle de ma queue putain merde quoi! et je roule des yeux à l'entendre parler de mes conquêtes "en quoi ça m'ferait du bien hein? si je les ramène c'est bien parce qu'elles me font du bien." jouant des sourcils d'un sourire provocateur en prenant des affaires direction la salle de bain. une douche fraiche plus tard et une bite moins en ébulition j'me ramène en jean et débardeur dans la cuisine, cheveux encore humides pour la voir installée avec son putain de café. lui répondant un large sourire "trop aimable." avant de récupérer ma tasse et regarder les donuts qu'elle a en réserve. je fouille et en prend un au chocolat que j'me colle aussitôt entre les dents pour aller m'asseoir à mon tour d'un long soupire. croquant dedans, je mâche à la regarder et répondre "ouais ça va, elle est encore opérationnelle." jouant des sourcils pour ajouter "heureux de constater une fois de plus qu'elle peut résister à tout." pour boire mon café.

 Ouais je te rejette clairement la faute même si je sais pertinemment que c'est moi la fautive. Mais il faut bien dire que ta chambre est tout de même un peu en bordel et j'ai pas vu les chaussons par terre qui traînaient. Je sais pas ça se met au pied du lit ou juste la ou tu poses les pieds quand tu te leves mais non, toi tu decides de les mettre en plein milieu. Sorry not sorry. J'ai quand même mal pour toi je l'avoue, parce que mon dieu ça reste une boisson chaude sur ton petit oiseau quoi. ouais je sais mais quand-même t'as pas envie de faire un petit peu de rangement ? J'espère que ton flingue est bien rangé lui par contre on sait jamais parce que si t'es un brin bordélique, j'espère au moins que le flingue est bien planqué quand même. Je détourne pas le yeux et j'avoue que c'est plutôt pas mal de revoir tes petites fesses musclées et je dirais pas non pour te voir entièrement nu mais de face. Bref, je secoue la tête pour me retirer cette vision de la tête. Et en plus tu deviens vulgaire quand tu me parles, c'est bien ça ah non désolée y a qu'une chose qui peut passer je lève les yeux au ciel et récupère le caleçon que tu m'envoie en plein dans la figure. ouais je me suis dis qu'il fallait bien au moins ça. Et je ferai un peu de vaudoo aussi histoire de rétablir tout ça qu'est ce que tu peux m'oripiler parfois je te jure mais ça me fait de l'animation à la maison. Je me voyais pas vendre cet appartement immense. Non impossible c'est ce que papa m'a laissé et je suis bien trop sentimental pour le coup. Je te demande de me montrer comment c'est rouge parce que je te crois pas forcément. Tu m'excuseras hein mais tu restes un mâle et ça peut en faire des tonnes quand ça s'y met. de une je l'ai déjà vu donc je serai pas surprise de ton petit kiki... en vérité c'est pas du tout petit mais passons de deux, t'es vraiment une petite nature bon j'avoue que tu me fais ça sur les seins je te bute. ouais t'en a pas marre de toutes les ramener ? T'en as pas une seule qui te fait kiffer, ou deux trois à la rigueur mais toujours changer comme ça, ça doit être fatiguant je m'amuse moi aussi mais ça fait un petit moment que j'ai rien fais. Tristesse quand même. Disons que je cherche pas au final. Ça vient ça va et c'est tout. Je prends ou pas et voilà tout. Je te laisse prendre ta douche et m'installe à la cuisine en attendant que monsieur revienne fraîchement douché. ah qu'il est ronchon y'a de quoi je sais mais oublie, c'est fini sérieux. Tu joue des sourcils quand tu me dis que c'est bon, ta queue est opérationnelle. Ben voilà tout est réglé au final je te fais un clin d'œil et bois une gorgée de mon breuvage. je peux essayer autre chose pour voir si elle resisre bien à tout si tu veux j'aime te taquiner, vraiment. Et j'aime quand tu t'énerves car c'est tellement rapide avec toi. je veux un chien, tu viens avec moi à la SPA ? Je pense pas y trouver mon bonheur malheureusement mais j'ai un contact au pire est-ce une bonne idée ? Je sais pas mais j'ai tellement envie d'un chien depuis bien longtemps.

un regard autour de ma chambre et je réponds "t'en fais pas pour mon flingue, ma chambre je la rangerais quand ça me prendre mais pas aujourd'hui." finissant sur un large sourire exagéré. et roule des yeux à l'entendre me lâcher ses sous entendus là et parler de vaudou sur ma personne, no way. mais elle est visiblement en mode chiante en plus d'être mal réveillée et parle de mon "petit kiki" là? je lâche un rire forcé avant de répliquer "si il était si petit, t'aurais pas fait cette tête là la dernière fois que j'te l'ai enfoncé." imitant son expression lors de nos derniers ébats histoire de la calmer un bon coup. finissant sur un petit jeu de sourcils avant de rire fier de moi "et la petite nature elle t'emmerde voilà." refermant mon dressing. mais elle trouve toujours à redire sur mes... relations sexuelles? ouais et je la fixe avant de faire une moue en haussant les épaules "non j'en ai pas marre mais si tu préfère que j'aille chez elle j'peux faire ça aussi, c'est juste que tu me verrais carrément moins." et m'approchant pour passer à côté d'elle en terminant sur un "et... je me calmerais quand j'aurais trouvé celle qui m'fera vibré le cœur plus que la queue." lui souriant en lui frôlant le bout du nez avec mon doigt pour filer vers la salle de bain. ouais one day maybe que j'aurais cette fille qui m'fera oublier toutes les autres, celle qui m'donnera pas envie de tremper le biscuit ailleurs que dans son... fin vous m'avez compris quoi hein. et une douche plus tard je la rejoins dans la cuisine. ma bite va mieux et j'suis enfin calmé. et je souris à ses commentaires avant de froncer les sourcils suspicieux d'un "ah oui? comme quoi?" ouais tiens montres moi l'étendu de ton imagination. et là? elle me lâche comme une bombe qu'elle veut un chien et je hausse les sourcils à la fixer, clignant des yeux deux fois avant de percuter "un chien... genre un vrai chien?" fronçant les sourcils avant de dire "et ça serait quoi ton bonheur exactement?" pitié pas de caniche, de bihcon ou connerie du genre sinon je déménage direct.

 bon, on va peut être pas épiloguer, parce qu’on pourrait y passer des heures. Tu veux le dernier mot, je veux le dernier mot, on est donc pas dans la merde si on continue comme çà. C’est ton jour de chance aujourd’hui, si on oublie la partie sexe en chaleur tu vois, parce que je vais pas répondre une nouvelle fois à ce que tu me dis. Je me contente de souffler et de hausser les épaules. T’as raison tu fais bien ce que tu veux dans ta chambre, mais après viens juste pas pleurnicher si je te renverse encore du café dessus. C’était pas voulu, parce que crois moi, si je pouvais encore jouer avec toi, je le ferai volontiers mais je commence à me poser des tonnes de questions et c’est pas vraiment ce que j’avais en tête. J’étouffe un rire quand tu me parle de ce que tu as fais la dernière fois qui te dis que je ne faisais pas semblant ? faudrait peut-être recommencer finalement mais je vois que que ce qu’on a fait tous les deux t’a marqué, c’est intéressant je te fais un clin d’oeil et prétends être choquée lorsque tu me dis que ta petite nature m’emmerde oh ben écoute, je suis ouverte à tout un tas de choses ouais. Je te regarde droit dans les yeux quand tu me dis que t’en as pas marre de coucher avec tout un tas de femmes. Le contraire m’aurait étonné de toute manière et je commence à bouillonner mais je dis rien, du moins pas pour l’instant en tout cas mais sache que çà me saoule, oui, çà me saoule de te savoir en toutes ces femmes de merde. et tu penses que çà me ferait chier de plus te voir autant ? je pars sur un terrain bien glissant parce que si tu vas chez toutes les femmes que tu fréquentes, oui, ne plus te voir me ferait bien chier. J’ai un peu trop de fierté pour le coup, mais je te jure que je sens la colère me monter. Une fois de plus, je fais bien de ne rien te dire puisque tu ne sembles pas sur la même longueur d’onde que moi, tu ne sembles pas être intéressé par plus que ce qu’on a déjà ici. Je soupire et file dans la cuisine. Je dois bien admettre que je suis un peu dépitée pour le coup mais on ne commande pas tout ce qui arrive. si je te dis tout, tu finirais par fuir, ce serait plus très drôle mais je suis prête à te donner des exemples quand même. je te fais finalement part de mon envie d’avoir un chien. T’es là, je suis là, et nos emplois du temps, qui ne sont pas forcément super bons, pourraient tout de même réussir à bien se caler sur un chien. attention, je veux pas d’un caniche, ou d’une toute petite boule tu vois. oui un vrai chien, pas une peluche je lève les yeux au ciel, parfois tu me dépites je te jure je voyais çà dans l’idée je te tends mon téléphone après avoir été dans mes photos pour te montrer ce que j’avais en tête. Un husky, un chien loup ou bien un berger, fin ce genre de chose tu vois. Mais attention, ne swipe pas à droite… je crois que je n’ai pas supprimer la pente photo que j’avais faite.