J’ai jamais trouvé trop de temps pour te voir et je m’en veux. T’es mon cousin et j’aurais dû être plus présente pour toi. Je suis désolée si je t’ai blessé en donnant ton numéro à Charlotte aussi, mais bon, t’es tellement mignon, que je voulais vraiment te faire plaisir et te donner un petit coup de main. Je n’ai rien dis de méchant, tu sais, je n’ai même pas dit que tu l’aimais bien, préférant simplement lui dire que t’étais dans son téléphone. Rien de plus, rien de moins. Mais si t’es mal, alors j’aimerai pouvoir tout effacer et tu sais que je ferai n’importe quoi pour toi. T’es ma famille, et je fais toujours tout pour la famille même si on se connait que depuis peu. Je te dis que j’ai envie de te voir, et tu ne rechignes pas. C’est déjà un bon point, c’est que tu ne fais pas la tête. Du moins plus en tout cas. Je suis d’un coup soulagée. Je me prépare à la hâte, un jean slim et un débardeur feront très bien l’affaire pour aujourd’hui. Tu me dis que t’es nu, mais j’espère que tu vas mettre quelque chose sur ton petit corps mon chou car t’es beau, mais t’es malheureusement mon cousin donc on va éviter les conneries tu vois. Je ne mets pas longtemps pour te retrouver chez toi. Quand je sonne, j’ai un petit sourire et je ne peux pas m’empêcher de dire Ouvre cette porte petit panda, en espérant que t’es plus à poil quand même j’étouffe un rire et je vois finalement ta tête mince, moi qui pensait que tu resterai tout nu plaisante-je avec un petit sourire. comment çà va chaton ? je te fais un bisou sur la joue et entre comme si c’était chez moi.

Ta cousine voulait te voir et tu lui propose et décide qu'elle passe chez toi, c'est rapidement que les choses s'arrangent et qu'elle arrive devant ta porte, tu enfile vite un peignoir, oui t'as la flemme de t'habiller aujourd'hui. J'ai mis mon petit peignoir, ne t'en fait pas. Elle entre alors dans ta penthouse et tu l'accueille avec un sourire en lui faisant la bise. Déçu de mon peignoir... T'as du bol qu'on soit proche toi, y a longtemps que tu aurais passer à la casserole. Lui dis-tu en rigolant comme un fou, tu avais même du mal à te rattraper de ton fou rire. Ça va bien et toi ma belle ? Tu faisais comme chez toi, après tout, c'était pareil quand je venais et ce n'était pas plus mal.