Ma camarade prenait plaisir dans le jacuzzi, j’adorais lire ces traits de bonheur sur son joli visage. Des plaisirs simples mais efficace, c’était facile de procurer un court extase par une chaleur pareille. Dans un sens j’étais en avance sur la formation, on allait installer des Jacuzzi dans le bar pour que les clients n’aient pas chaud.

Comme l’alcool, à consommer avec modération si on ne voulait pas sortir de l’eau toute ridée. Je riais de bon cœur lorsque Dana revenait sur sa position, disant qu’elle ne voulait pas fini fripée. Elle avait un si joli corps que ça serait bien dommage. D’ailleurs j’en profitais pour lui donner un nouvel aperçu du mien, cette fois un peu plus fière.

- N’est-ce pas ?

J’avais un grand sourire, elle me regardait et j’aimais ça. Je me trémoussais un peu dans l’eau avant de reporter mon buste dans le bassin pour qu’il reste au frais. J’avais du mal à restée sans bouger dans l’eau, mais j’essayais de rester sur place et de me dégourdir les jambes en leurs faisant faire des mouvements dans l’eau.

- Je fais des études d’anthropologie à Harvard, autant dire que j’en ai déjà vu des paires de seins … des paires de tout en vrai, et pas que des jolis corps.

On avait des cours d’anatomie qui prenait une bonne partie du programme, mais c’était rare qu’on ait de la chaire sur les sujets d’examens. Alors que pourtant ça serait tellement plus intéressant d’étudier un corps comme celui de Dana, je suis certaine que les filles comme les garçons retiendraient beaucoup mieux l’emplacement des os et des organes.

- Je peux te dire par exemple, sans avoir besoin de la regarder longtemps, que ta poitrine est oppressée derrière un soutien gorge trop étroit.

Je riais une nouvelle fois en ma rapprochant de ma camarade dans l’eau. En regardant, même au niveau de son épaule, on pouvait voir la bretelle pénétrer légèrement dans la peau. En frolant l’épaule de la brune, je passais mon doigt au commencement de la bretelle, contre la clavicule de Dana, et je remontais sous la bretelle, en glissant contre son épaule.

- Je dis pas ça pour que tu l’enlève. Loin de moi cette idée malicieuse pour te déshabiller. C’est difficile de trouver un soutiens gorge qui soutiens comme il faut sans agresser la peau.

En barbotant dans l’eau comme une petite folle, j’expliquais à ma camarade ce que je faisais à Harvard. Elle, qui était plus en mode détente dans le jacuzzi, avait l’air un peu perplexe. J’ai bien vu quand j’ai dit que j’étais anthropologue qu’elle me regardait avec des gros yeux circonspects. Je souriais tout de même quand on parlait des corps que j’étudiais.

- En vrai, c’est très intéressant, j’ai toujours été curieuse, et j’aime découvrir de nouvelles choses. Mais tu sais, même le plus beau corps, quand je dois l’étudier, c’est même pas … excitant dans le sens où tu l’imaginerais.

C’était tout sauf dur de se détacher d’un individu qu’on devait étudier. A l’école on travaillait beaucoup sur les cadavres, mais on avait aussi plusieurs volontaires pour une étude approfondie d’un corps encore en activité. Le système nerveux en fonction c’est passionnant. Mais un corps nu dans cet environnement, c’est tellement glauque …

- Pour être concrète, si je t’avais totalement nue devant moi, sur une table froide à devoir étudier chaque forme de ton corps parfait … Je ne serai pas aussi enthousiaste qu’en te regardant te détendre dans ce jacuzzi avec moi. L’auscultation d’un corps, c’est pas très réjouissant …

Pour être parfaitement honnête avec moi-même, il m’était arrivée de m’adonner à certain jeu sexuel, avec des partenaires qui fantasmait sur le fait de se faire ausculter. Quand ça restait un jeu, l’excitation restait présente, mais voilà, tout ça c’était pour que ma voisine comprenne un peu ce que je faisais.

- Désolée, je voulais pas plomber l’ambiance, sinon bah en dehors, c’est pour ça que je suis là, je bosse pour payer mes études.

Le bar c’était une façon rapide et facile de rester à Cambridge. Je pouvais assumer ma passion pour le chant, et puis j’avais mon autonomie financière. Je ne voulais pas effrayer la brune, alors on attendrait un peu pour échanger nos petits secrets.

En attendant, je lui donnais un cours sur comment faire respirer son corps, ou au moins ne pas l’oppresser. Je lui parlais de son soutien-gorge trop serré, en lui montrant la bretelle qui venait tout doucement presser la peau délicate de son épaule. Elle me demandait si j’étais une experte en rigolant, et j’entrais dans ce fou rire un peu communicatif.

- Te moque pas ! Je suis très sérieuse.

J’enlevais mon doigt de son épaule et reculais en lui lançant de l’eau au visage, doucement, comme une petite fille qui ne sait pas quoi répondre après qu’on se moque d’elle. Je lui tirais la langue malicieusement, toujours en riant avant de sortir du jacuzzi. J’allais directement dans la chambre sans faire attention que j’en mettait partout, et récupérait mon soutiens gorge.

Avec mon sous vêtement en dentelle rose je retournais dans l’eau, pimpante, en voulait démontrer à Dana ce qu’elle ne savait pas. Je le brandissait vers elle pour qu’elle puisse se rendre compte de la qualité de mon vêtement que j’avais quand même retiré parce que j’avais trop chaud. Je finissais même par lui lancer au visage, amusée, en attendant qu’elle l’intercepte.

- Tu vois la différence ? Regarde là … La bretelle, elle … comme ça Tu … Raah … et merde enlève le tiens, si tu veux que je te montre.

Partageant avec ma colloc du week end un peu de ma vie à Harvard, je lui expliquais surtout en quoi consistait ce que j’étudiais. Les corps j’ai pu en découvrir, de toute sorte, toutes les couleurs, beaucoup de mal formé aussi. Parce qu’après les cas généraux, on étudie surtout le leg de la nature sur nos corps fragiles.

Dana, elle me reprenait quand je parlais de son corps que je prenais plaisir à découvrir ici. C’est clair que je préfère trop la voir dans sa parure de sous vêtement que d’en faire un cas d’école banal et déconcertant. Je ne reprenais pas sa phrase, pas tout de suite, je continuais mon débat sur l’anthropologie en lui proposant même de passer à l’exemple.

J’étais allée rechercher mon soutiens gorge, pour lui montrer en quoi le sien n’était pas adapté. Mais quand je lui demandais de le retirer pour qu’on regarde, je n’avais pas imaginé qu’elle le ferait si vite pour l’envoyer si loin. La brune c’était mis à rire quand j’essayais de lui expliquer, c’était pas si facile, encore moins maintenant finalement.

- Fallait pas le jeter … enfin c’est … pas grave.

Le regard avait oscillé entre le sous vêtement rouge qui était parti plus loin sur le sol de la chambre, et cette poitrine bien galbée qui se brandissait vers moi. On s’occuperait tout à l’heure du maintien, pour l’instant je me concentrais sur les seins de ma voisine. Elle voulait vraiment mon avis d’experte ? Ou simplement m’offrir une vue imprenable.

- Dis c’est blanc tout ça … les seins aussi ont besoin de voir un peu de soleil de temps en temps.

Sans parler du bronzage parfait, j’avais déjà parler à Dana en arrivant de ce besoin de faire respirer son corps. Et par des chaleurs comme ça, si je m’écoutais, je me baladerais nue, partout, tout le temps. Je m’approchais pour venir examiner d’un œil d’experte, c’est ça qu’elle voulait non ? Avec un doigt je réhaussait le sein gauche en le maintenant par en dessous.

- Est-ce que tu connais tes mensurations ? Tu sais qu’il faudrait les recalculer tous les ans ?

Je venais presser son sein avec mes doigts autour de son téton. Est-ce qu’elle savait qu’un sein était composé de graisse essentiellement ? Et que la contenance variait en proportion chaque année ? Je palpais, toujours le gauche, en m’amusant plus avec pour l’instant que je ne faisais de test scientifique.

- Un sein c’est du tissu adipeux … de la graisse en vrai. Alors pourquoi un homme avec un gros ventre peut étaler sa graisse en public, et une femme avec une belle poitrine devrait la cacher ?

Pour continuer je l’aidais à se tourner. En attrapant la brune par son avant-bras, je la faisais s’avancer dans l’eau près de moi pour que je puisse passer derrière elle. J’avais finalement lancer mon soutien-gorge près du sien, plus loin au sol pour mieux m’occuper de la partie théorique. Dans son dos, le passais mes bras autour de sa taille, et cette fois avec mes deux mains ouvertes, je venais soutenir chacun des seins de Dana à pleine paume jusqu’à ce que les deux soient équilibrés.

- La, comme ça c’est parfait. Tu sens l’équilibre, le maintiens. C’est le résultat que tu devrais obtenir avec un bon soutiens gorge à ta taille.

La fameuse Dana avait droit à un cours en règle sur le choix et l’utilisation de sous soutiens gorge. Lorsqu’elle me donnait un accès sans concession à sa poitrine agréablement bien dessinée, je ne me privais pas regarder et pour donner un avis constructif sur ce que j’avais sous les yeux.

Si j’avais déjà vu des seins albâtres, ceux de ma voisine avaient une couleur pâle qui tranchait avec le reste de son corps bien bronzé. C’était le fait de voir la poitrine nue qui tranchait, et sa réaction quand je le soulignais me faisait sourire. J’imaginais ma camarade se balader sur la plage en monokini.

- Tu me donneras l’adresse de ta plage, je viendrai bronzer avec toi !

La belle avait déjà pu le remarquer, je n’avais pas de problème avec mon corps, ni avec le fait de me balader torse nu. On ne voyait pas de marque de bronzage, même pas les bretelles d’une robe ou d’un soutiens gorge, c’était important pour moi d’avoir une peau parfaite. Mais juste pour revoir Dana, et l’encourage à ma manière je me ferais un plaisir de me déshabiller avec elle sur la plage.

Le corps de ma camarade était vraiment bien proportionné, elle en était consciente, non ? Je continuais mon cours magistral dans le jacuzzi en expliquant la nécessité de prendre ses mensurations régulièrement et d’avoir en fonction un soutien adapté. Je venais même imager en proposant mes mains comme soutiens.

- J’ai dû être un soutiens gorge dans une autre vie, avoue je fais ça bien ?

Je souriais, avec les deux seins de ma camarade dans chacune de mes mains. Si je voulais faire part de mon expérience sur la façon de soutenir sa poitrine, je devais avouer aussi que je prenais plaisir à la caresser. D’un soutiens ferme et inflexible, je laissais chacun de mes pouces venir caresser le sein qu’ils avaient à portée.

- Tu sais ce qu’il y a d’intéressant aussi quand tu es incollable sur l’anatomie ?

En venant appuyer juste au bon endroit je lui faisais une preuve par l’exemple. Je savais exactement où appuyer pour stimuler le désir d’une femme, toujours en position derrière Dana, je laissais mes mains cavalières venir pincer un premier sein à peine en dessous du téton. Si la jeune femme se laissais aller sous mes caresses, elle ne tarderait pas à découvrir une sensation qui ne la laisserait pas de marbre.

- Je sais exactement où allez pour procurer … ça !

Ne sachant pas à quoi m'attendre lors de ce week end de formation, j'étais un peu réticente, même si rapidement je me laissais envoûté par le charme de ma nouvelle chambre. Le charme surtout de ma camarade de chambre. J'étais maintenant derrière elle, chacun de ses seins dans chacune de mes mains a lui prouver que j'avais sûrement été un soutiens gorges dans une autre vie.

La vérité c'est que je prenais plaisir a la démonstration, et que chaque gémissements de Dana, aussi petit soient ils étaient un appel a continuer. Commençant non loin des tétons, je me rapprochais un peu plus, sensuellement, je laisser la belle juger de mon expertise. Entre mes doigts je sentais sa poitrine se durcir et je ne savais que trop bien qu'elle aimait ça.

- Si j'étais un soutien-gorge, j'ai du être a ta taille. On sent que tes seins sont fait pour mes mains.

Il fallait avouer que la brune avait une poitrine de rêve. Le genre qui pourrait rapidement me faire tourner la tête. J'arrête un instant de la caresser, reculant, faisant même le tour de Dana. Je lui souriais, tendrement et me delectais de ce que j'avais sous les yeux.

Un sourire malicieux sur mes lèvres, je la poussais tout en la regardant, de ma paume je la faisait reculer jusque contre le record du jacuzzi. Venant placer mes mains au niveaux de ses hanches, je m'aidais de l'eau du bassin pour venir porter la brune et l'assoir sur le rebord.

- Ton corps est vraiment parfait ! C'est l'avis objectif d'une professionnel.

J'adorais ce que j'avais sous les yeux, et je ne pensais plus du tout a cette formation a laquelle on était sûrement déjà en retard. Je m'approchais de Dana pour cueillir cette fois son sein entre mes lèvres. Je mordillais son tétons avec un soin particulier laissant une main remonter le long de sa cuisse. Si la brune se laissait faire, on passerait a un examen beaucoup plus approfondie, mais ça n'arrangerait en rien notre retard naissant.

- Laisse moi continuer l'examen, j'aimerais voir le corps entier !

Mon sourire devenait plus coquin, et mon regard moins innocent. Le jeu prenais une ampleur différente, et si la belle se laissait faire, elle perdrait rapidement cette culotte en dentelle rouge qui me faisait doucement de l'oeil. Du bout des doigt je caressais la dentelle au bord de sa cuisse, c'est vrai qu'un joli corps de femme, je n'ai jamais su y résister.