J'ai souvent déçu avec ma réputation, mais c'est ma réputation, c'est moi qui l'est choisi, je connaissait très bien les risques surtout à l'université, mais le risque que je craignait le plus c'était bien évidement mes parents. Ils savaient tout sur moi, je fessais de mon mieux pour garder mes conquêtes secrètes, mais tout va très vite ici les bruits de couloir vont tellement qu'il est difficile d'avoir une vie privé. Surtout, quand on est professeur au saint d'une grande université. On dirait que la jeune femme connaît ma réputation, c'est étrange de parler de mes coups d'un soir avec elle, mais bon, je hausse les épaules toujours sur le ton de l'humour puis je lui réponds. Oui, enfin, j'avais, car sinon, sa fait trop d'ennui pour un seul homme, dis-je en rigolant, mais c'est vrai le doyen de l'université apprécie moyen qu'un professeur prend du plaisir avec ses étudiantes… Je l'avoue oui, je suis un véritable tombeur de ses dames. Je me trompe ? Dis-je en draguant légèrement mon ex petite amie.

Normalement, je devrais être en colère envers la jeune femme, mais ce n'est pas le cas, je suis plutôt en colère envers moi-même. Ce n'est pas des manières de se venter de ses conquêtes avec son ex petite amie, j'aurais pu faire sa pour l'enragé, mais ce n'était pas mon attention, je ne suis donc pas doué avec les filles, ou tout simplement parce que j'ai perdu la main avec mon ex Sher déjà que tout à l'heure ce n'était pas la fête entre nous,
parler de ses plans cul lui donne plus envie de ce cassé qu'autre chose, je la regarde donc avant de lui dire. T'as raison, je pense… Dis-je en la regardant faire avant de me dire que je n'ai jamais vu une telle scène de gênante avec une fille depuis longtemps et c'est de ma faute. Oui, il n'y a que les connards qui se vente comme si les femmes, c'était des morceaux de viande, dis-je avant de poursuivre. Je te propose de tout recommencer depuis le début, tu es d'accord, on oublie cette conversation ?