Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityC'est une blague céleste? • Alrion - Page 2
I LOVE HARVARD
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    C'est une blague céleste? • Alrion
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    Lien du postLun 1 Avr - 19:04
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    The worthest Joke
    Aloysius & Orion

    « All my life, I've been waiting for someone like you. I've looking for someone like you. Oh... You make me...  »


    « Que veux-tu, je te l’ai déjà dit, je suis exceptionnel comme mec. Et encore, là, j’suis pas en forme. » Je levai une nouvelle fois les yeux au ciel, feignant l'indignation devant tant de prétention simulée. « Vais-je un jour te voir en forme ? Parce qu'entre l'alcool, la fatigue, et le fait d'être blessé, je vais finir par croire que je ne te plais que lorsque tu n'es pas dans ton état normal.» Et s'en suivit un immense moment affection. Un de ces moments comme je n'en avais plus connu depuis longtemps puisque moi je n'étais pas du genre très tactile. J'étais un très bon ami, du moins je le supposais, mais pour les câlins, il valait mieux ne pas compter sur moi. Pourtant avec lui, c'était naturel. Je ne devais pas lutter ou me forcer, ça me venait tout seul. Et je me retrouvais à le serrer fermement contre moi et à recouvrir son visage entiers de petits bisous. « Non mais, arrête, tu vas finir par me baver dessus. » Fallait pas me tenter avec ça, parce que moi aussi je savais me comporter comme un gamin, et s'il tirait un petit peu trop sur la corde raide, il risquait de se retrouver avec un magnifique filet de bave collé au visage. « Ne me tente pas.» Dis-je dans un rire, avant de reprendre mon sérieux, considérant qu'il fallait quand-même que je me décide à faire mon travail et à le soigner. Aussi un frisson me parcourut lorsque ses lèvres se posèrent dans mon cou, mais je me levai et repris ma place, prêt à recoudre sa blessure. « Mh, j’ai intérêt à bien me tenir alors. Mais en soit, je ne m’inquiète pas trop, je suis toujours sage. » Tout en gardant cet air sérieux que j'avais toujours lorsque je travaillais, je lui balançais d'une voix ironique. « On l'a vu l'autre jour dans les vestiaires, plus sage tu meurs.» Et l'air de rien, je continuais à préparer mon matériel, ne lui lançant pas même un regard pour rajouter à l'effet "sérieux", même si l'envie de rire me torturait. Prêt à commencer je l'informais que cette fois il n'aurait pas mal. « Heureusement, j’aurais pleuré comme une gonzesse. »  dit-il, ce qui me fit sourire. « Je payerais cher pour voir ça.» Orion en train de pleurer comme une femme le tout ponctué de petits "Aïe... Aïe... AIEUH", ça devait juste valoir son pesant d'or.
    Je me mis à la tâche et les nombreux coups d'oeil que je lui lançais m'apprirent qu'il n'était pas très à l'aise avec la vue du sang, et des pratiques médicales. Ca n'avait rien d'étonnant en soi, considérant ses cicatrices mais aussi la peur généralisée dans la pensée commune des humains concernant les hôpitaux. Pourtant les hôpitaux leurs sauvaient bien souvent la vie.
    Une fois finit, je l'interrogeais sur les raisons de son accident, mais une infirmière nous interrompit, m'informant que je pouvais l'emmener au scan. Je la congédiais poliment mais fermement, l'informant que je l'emmènerais moi-même.  « Ouh, monsieur Zorander, quelle autorité. Un vrai mâle dominant dans toute sa splendeur. » Je soulevais la main droite et repliais tous mes doigts, sauf le majeur, dans sa direction. « C'est Docteur Zorander, petit.» Dis-je en me retenant de rire, pour feindre encore plus le côté autoritaire et sûr de moi. Puis je me saisis des barreaux de son lit, commençant à le déplacer. « Non mais, je ne peux pas y aller en chaise roulante ? » Je tapotais du bout des doigts sur la barrière en ferraille, tout en avançant dans le couloir. « Il me semblait pourtant que t'étais le genre de gars un peu tape à l'oeil.» Pas du tout et je le savais, mais jouer avec lui était tellement bon.
    Je l'informais par la suite qu'il avait intérêt à me remercier comme il se doit pour le voyage en première classe chez AirAloysius, ce à quoi il répondit la chose suivante : « Si tu savais les idées tordues qui me passent par la tête pour te remercier… » Cette phrase eut le don de me provoquer une bouffée de chaleur, juste dans le bas ventre, me mettant rapidement à imaginer un paquet de choses, moi aussi. Inconsciemment, le regard dans le vide, pensif, le bout de ma langue vint glisser le long de ma lèvre inférieure. « Pour ça, c'est quand tu veux.» Oh que oui, ça c'était quand il voulait. Et même si j'étais loin de n'éprouver que ça pour lui, il était inutile de nier que je ressentais un violent désir pour lui. Une sorte de passion, même.
    Nous arrivâmes à la salle du scanner et je l'invitais à s'allonger... « Docteur, c’est déplacé ce genre de demande quand même ! » Un rire m'échappa.  « Ok, ok, je m’allonge. J’espère que ça ira vite, je vois pas pourquoi on en fait tout un plat c’était juste un petit accident de rien du tout…et j’aime pas les boites à conserve. » Et là je sentis qu'il était probablement effrayé. Je le regardais un moment sans rien dire, jusqu'à ce qu'il murmure qu'il détestais les hôpitaux. Je me penchais vers lui, toujours pas décidé à me mêler de ce qui ne me regardais pas, je glissais une main dans ses cheveux et les caressais un moment. « Je reste là, ok?» Normalement j'aurais dû aller de l'autre côté de la vitre, mais là il avait besoin d'être soutenu, et je voulais être son soutien. Je voulais lui montrer qu'il pouvait se fier à moi. Un grand pas un avant, dans le sens inverse de la fuite de l'autre jour. Une première preuve des efforts que je consentais à fournir suite à ma promesse quelques minutes plus tôt.
    Je me rendis à l'entrée de la pièce et prit une tenue de protection contre les rayons x, et la mit, ayant auparavant retiré ma blouse et mon stéthoscope. Je revins près de lui. « Tu ne pourras pas me voir ni m'entendre, mais je laisse ma main sur ton pied, ok? Essaye de ne pas bouger, y'en a juste pour quelques minutes.» Je levai la main, prêt à appuyer sur le bouton qui ferait bouger l'allonge mécanique, mais je m'arrêtai au dernier moment. « Je te promets que je te sors de là avant d'aller voir les clichés.» Sur ces mots, j'appuyais sur le fameux bouton, et je le regardais rentrer dans le scanner, tandis que je posais comme promis ma main sur son pied, je tendis l'autre au technicien pour qu'il commence les clichés.
     
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    Lien du postJeu 4 Avr - 12:40
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    C'est une blague céleste? // @ALOYSIUS R. ZORANDER ※※※ Ne me plaire que lorsque je ne suis pas dans mon état normal ? Non, bien sûr que non. « Non mais, tu n’as pas compris, tout ces états sont mes états normales… » Dis-je en ricanant légèrement. « Puis, je ne suis jamais en forme, sauf quand je dors douze heures d’affilées. » Bon, ce n’est pas totalement faux étant donné que je suis une vraie marmotte quand je m’y mets. Mais la douceur est une chose qui a tendance à m’apaiser, à me calmer. Je suis un homme en soit très tactile, très câlins. J’aime rester des heures serrer contre les personnes que j’aime, garder un contact physique avec eux. Que ce soit lui ou même une simple amie, le contact physique sera toujours là d’une certaine façon, même si il sera forcément différent. Mais voilà, monsieur semble être un enfant dans l’âme alors que ses baisers parsèment mon visage et qu’il me dit de ne pas le tenter… « N’y pense même pas, dégueulasse petit personne. » Dis-je en lui faisant de gros yeux qui, je suis sûr, passent inaperçus vu notre position actuelle, mais ce n’est pas grave, c’est juste pour le sport. Il se détache de moi pour commencer à se préparer et face à ses paroles, je me sens rugir légèrement en repensant à la scène des vestiaires…Seigneur, si il pouvait éviter de remettre ça sur le tapis ça serait cool, parce que clairement, j’avais plus qu’apprécier mais y repenser me donne de terribles bouffées de chaleurs. « Je ne vois absolument pas de quoi tu parles. » Mensonge. Je sais exactement à quoi il fait allusion, d’ailleurs, j’y repense très souvent et les images ont tendances à me mettre dans un état second. « Même pas en rêve. » Dis-je en lui faisant de nouveau les gros yeux face à sa remarque, comme quoi, il payerait cher pour me voir pleurer comme une gonzesse. Disons que, forcément, c’est loin d’être quelque chose de sexy quand on y repense. Mais effectivement, je ne sens rien lorsque l’aiguille transperce la peau. J’évite de regarder par principe, parce que l’image que ça donne est loin d’être ragoutante. Il s’agit quand même de ma peau…bon, j’espère ne pas avoir de cicatrice, je pense en avoir déjà assez quand on y regarde de plus près. Entre les marques de crocs, les griffures, les greffes de peaux. Mon corps est un lambeau marqué. D’ailleurs, une fois fini il me demande ce que j’ai fait, néanmoins, ne infirmière rapplique à ce moment-là et Alyosius fait preuve d’une autorité assez sexy, à ne pas en douter. Chose à laquelle il réplique avec un beau majeur dressé. « Tu sais où tu peux te le mettre ? … Non, ne réponds pas, je sens que tu vas lâcher une cochonnerie vu ton regard lubrique et pervers. » Dis-je en le pointant brusquement du doigt. Comment ça j’anticipe sa réaction ? Non, mais en règle générale quand on balance une phrase comme ça, la personne en face à tendance à avoir une arrière-pensée assez…perverse. Bref, me voilà carrément transporté dans les couloirs pour un scanner et en plus, avec le lit. Une chaise roulante ça n’aurait pas fonctionné ? Apparemment non. « oui bien sûr, tu sais, je suis le mec qui adore mettre des paillettes pour être regardé. » Dis-je avec une ironie certaine, roulant des yeux alors que monsieur me pousse à travers les couloirs et que je décide de le taquiner à ma façon. Enfin, ça fonctionne à moitié vu que des idées lubriques me traverses l’esprit et, dans un sens, je suis certain que c’est pareil de son côté. Décidément, cet épisode dans les vestiaires a eu tendance à me retourner l’esprit, me donner des idées et des envies qui se propagent en moi comme un poison cinglant et envoutant. Je ne réponds pas à ses dernières parles, préférant la fermer sur ce coup-là. D’ailleurs, la suite est moins amusante vu que je me retrouve couché sur le scanner, chose que j’apprécie moyennement. Être de la sorte confinée est une chose que je n’aime pas, ça fait remonter de vilains souvenirs et Alyosius le remarque étant donné que ses doigts glissent dans mes cheveux pour me dire qu’il reste avec moi. « Hm…ok. » Dis-je simplement, trop concentrer pour retenir une panique quelconque. Je l’observe du coin de l’œil bouger, enfiler une combinaison que j’aurais pu considérer drôle l’air de rien. Mais là, je n’ai pas la tête à ça. Face à ses paroles, je ne fais que hocher la tête et ce, jusqu’à ce que je sente mon corps entrer dans cette foutue machine. Je ferme les yeux, je tente de ne pas me crisper et laisser la panique m’envahir. Saloperie. Je déteste être dans cet état. Néanmoins, je me concentrer sur la main sur je sens sur mon pied, je me concentre sur une présence extérieure pour rester immobile. Les minutes s’écoulent, je crève de chaud et quand, enfin, la machine se stoppe et que mon corps fait le trajet inverse, je peux respirer…Déglutissant difficilement, j’ai l’impression d’avoir la nuque trempée, des sueurs froides et ce genre de connerie. Franchement, je dois avoir l’air con, non ? Je me positionne en statut assis et passe une main dans mes cheveux. « Sérieux, vous aimez torturer vos patients avec des machines comme ça…Après c’est bon, y’a plus rien à faire, rassure-moi. » Demandais-je, pressé de quitter cet hôpital de malheur.

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    Lien du postDim 21 Avr - 18:52
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    Aloysius & Orion

    « All my life, I've been waiting for someone like you. I've looking for someone like you. Oh... You make me...  »


    Ce moment passé allongé tous les deux dans son lit d'hôpital à faire des câlins fût plus agréable que ce que j'aurais pensé. En fait, jamais je n'aurais pu penser être si tactile, parce que même avec le seul homme que j'avais aimé, je ne l'étais pas autant. J'étais jusqu'ici plutôt le genre de gars qui détestait qu'on lui tienne la main dans la rue, le genre de gars qui repoussait les gens gentiment ou moins gentiment lorsqu'on le collait de trop... Mais pas avec Orion. Avec Orion tout était différent, y compris la vie en elle-même. Avec lui, je pouvais passer du déchirement violent au bisounours en l'espace de seulement quelques minutes. Qu'est-ce que ça me faisait de vivre ça ? Sincèrement je l'ignorais. Tout ce que je savais c'est que je voulais fuir... Fuir et en profiter aussi longtemps que la vie me le permettrait. Il me donnait envie de vivre à deux-cent à l'heure. Il faisait battre mon coeur plus grand, il m'offrait des milliers de nouvelles perspectives.
    Aussi, je recousais sa jambe en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, et nous nous retrouvâmes dans le couloir, moi poussant son lit, pour l'emmener au scanner, le tout après qu'un air lubrique soit passé à la vitesse de l'éclair sur mon visage, suite à sa réflexion au sujet de mon doigt.
    « oui bien sûr, tu sais, je suis le mec qui adore mettre des paillettes pour être regardé. » Un rire s'échappa de ma gorge, tandis que mes doigts tapotaient doucement sur la barrière que je tenais, juste derrière sa tête. « Evidemment. Je t'imagine parfaitement avec une écharpe à plumes rose bonbon, torse nu, et un short moule-cul dansant sur un char, pendant la gay-pride.» Et cette image était du genre profondément cocasse non? Néanmoins, Orion torse nu c'était... Une image qui en dépit du reste ne pouvait pas me laisser indifférent.
    Nous arrivâmes finalement en salle de scanner, et je remarquais rapidement qu'il était mal à l'aise alors que je l'invitais à s'allonger sur la planche en acier. J'enfilai donc une protection aux rayons x, et laissais ma main sur son pied pendant toute la durée des clichés. Je le ressortis en appuyant une nouvelle fois sur le bouton lorsque le technicien me fit signe que c'était bon. « Sérieux, vous aimez torturer vos patients avec des machines comme ça…Après c’est bon, y’a plus rien à faire, rassure-moi. » Je remarquai qu'il semblait tout transpirant, l'angoisse sans aucun doute. Je me penchai donc pour déposai un baiser sur son front, après l'avoir essuyé de sa sueur d'un revers de main. « J'sais pas, j'vais peut-être devoir demander à Derek Shepperd de venir te découper le cerveau.» Je lui fis un clin d'oeil, ne sachant pas tellement si Grey's Anatomy c'était son délire, j'avais préféré faire une petite blague pour détendre l'atmosphère. « Je reviens. J'vais voir les clichés.» Je retirais la tenue de protection, la remis à sa place et entrait dans le SAS où se trouvait le technicien, je restais un moment avec lui à regarder les différents clichés, puis finalement je revins vers Orion, un sourire aux lèvres. « Tout va bien, ton cerveau est niquel... A part un évident déficit en neurones, mais pour ça la médecine n'a pas encore trouvé de solution durable.» Je lui fis un clin d'oeil complice, puis je me saisis à nouveau du barreau de son lit pour le ramener dans le box où il était encore il y a quelques minutes.
    « Bon, vu que t'as été sage et que mon service se termine dans...» Je soulevai mon bras pour jeter un oeil à ma montre. « Maintenant. On va se le faire, ce resto?»
    Je m'assis au bord de son lit, me saisissant de sa main la plus proche de la mienne, et la portait à mes lèvres afin de l'embrasser. Comme s'il m'était impossible de me passer trop longtemps du moindre contact avec lui. Comme s'il fallait que je le touche en permanence.
    « J'compte bien te ramener chez moi, ce soir, Orion.» Je plongeai mon regard dans le sien, insistant de fait sur le sérieux de mes propos. Oui, je comptais bien l'emmener dîner, puis le ramener chez moi, ne serait-ce que pour m'endormir collé contre son corps. Et même si dans un coin de ma tête la différence d'âge non négligeable de onze ans faisait peur, j'avais envie de sauter par dessus ce fossé que mes angoisses creusaient entre nous.


     
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    Lien du postDim 21 Avr - 21:21
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    C'est une blague céleste? // @ALOYSIUS R. ZORANDER ※※※ Le bruit est stressant, énervant et quand enfin la machine se stoppe, je peux respirer. Je me suis concentré sur cette main posée sur mon pied, aussi drôle que ça puisse être, ça a été le seul repère face à cette réalité. Lorsque la machine fait en sorte que mon corps prenne le sens inverse, je me redresse péniblement, une légère couche de sueur venant perler sur mon front. Seigneur, que je déteste les hôpitaux et ce qu’ils me rappellent. Ça ne devrait plus arriver, depuis le temps…mais apparemment, les blessures restent béantes, les souvenirs reviennent lorsque l’on s’y attend le moins. A mes mots, le médecin s’approche, dépose un baiser sur mon front ce qui me fait sourire. A croire qu’il aime ça…me toucher, déposer des baisers sur ma peau, comme pour me rassurer, me montrer qu’il est là et qu’il ne va nulle part. Face à ses mots, je souris en coin. « Derek est franchement sexy, on ne va pas le nier…mais en soit, je regarde la série que quand y’a rien d’autres à regarder…Bon ok, je regarde parce que y’a des belles gueules dans cette série. » Aussi bien chez les femmes que les hommes, on ne va pas le nier. Je reste un mec, j’ai mes préférences, mais disons que les acteurs de cette série sont tous canons. Il m’annonce qu’il revient, qu’il va aller voir mes clichés et je prie une divinité lointaine que rien ne soit découvert. Je n’ai pas envie de finir ma nuit ici, oh non. Curieux, j’observe les environs, je passe mon temps en choppant à des trucs ici et là, comme un gamin qui ne sait pas quoi faire. Parfois, j’observe mes pieds, j’observe mes mains, ma jambe et autres conneries…Bref, je me fais royalement chier. Après un certain temps, Alyosius revient enfin et fait une réflexion sur mes neurones. « Tu sais, on ne peut pas avoir le charme et les neurones, c’était en option à ma naissance… » Dis-je en souriant en coin. « Regarde-toi, t’as pas eu le charme, mais t’as eu les neurones, personne n’est parfait ! » Ben quoi…Moi aussi je peux l’emmerder quand je le veux. Je retourne dans mon lit, telle la princesse que je suis, je me laisse pousser jusqu’au box et peux enfin m’asseoir avec un soulagement non dissimulé. Une fois assis, je pose mon regard sur lui et souris. « Et bien, si tu as fini, c’est avec plaisir. » Et pas qu’un peu, ça me redonne une motivation certaine que je ne parviens pas à voiler. Il vient s’asseoir à mes côtés et, de nouveau, prend ma main pour la porter à mes lèvres. Mais c’est qu’il en deviendrait câlin le médecin…ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. Néanmoins, ses prochaines paroles viennent me foutre une boule au ventre sans que je ne le montre ou que ça ne se transmette sur mon visage. Rentrer avec lui ce soir ? Qu’envisage-t-il pour ce soir ? Je décide de passer outre…Je verrais à ce moment-là. « Et bien, si tu ne ronfle pas, je n’y vois pas d’inconvénients… » Une pointe d’humour pour cacher le stress. Doucement, j’approche et vient déposer un baiser sur ses lèvres avant de reculer et me redresser. « Bon, tu vas te changer ? Je t’attends dans le couloir. » Et dans un clin d’œil, je m’enfuis vers le couloir en boitant…

    Sincèrement, la soirée s’est radicalement bien passée. Une fois arrivés au restaurant, nous avions commandés, beaucoup parler, mais davantage flirter…assez pour que ça me titille, pour que quelques fois, des bouffées de chaleurs s’emparent de moi. Quelques taquineries, mais la gêne n’était pas présente, pas vraiment. Maintenant il sait. Oui, il sait mon âge, je n’ai plus rien à cacher à part le souci familial que j’évite soigneusement. Une fois le restaurant terminé, je n’avais pas bronché en montant dans sa voiture et en me faisant ramener chez lui. Néanmoins, dans le véhicule, je reste silencieux. Toute la soirée j’avais fait en sorte de le toucher d’une façon ou d’une autre. Ma main qui frôle la sienne, des sourires en coin et charmeurs. Oui, je l’avais littéralement allumé à ne pas en douter et, du coup, inutile de dire qu’il m’avait rendu l’appareil. Et là…je suis partagé. Je ne sais pas ce qui va se passer, je ne sais pas ce qu’il attend de moi aussi. Sincèrement, dire que je n’ai pas envie de lui serait mentir, mais une peur de l’abandon se présente. Et si il n’avait fait ça que pour m’avoir dans son lit ? Et si, après, je n’existais plus vraiment à ses yeux ? Tellement de questions qui me hantent, qui font en sorte que je ferme ma gueule. La tête légèrement penchée en arrière, je tente de digérer tout ce que j’ai mangé…du moins, c’est ce que je fais croire et ce, jusqu’à ce que la voiture s’arrête annonçant l’arrivée à destination.


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    Lien du postDim 21 Avr - 22:01
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    « All my life, I've been waiting for someone like you. I've looking for someone like you. Oh... You make me...  »


    Nous avions donc passé une bonne partie de la soirée au restaurant, un peu comme... Un couple? Ouais un peu comme un couple, fallait le dire. Et ça me faisait bizarre, ce sentiment avait du mal à partir. J'avais la sensation que j'étais en train de damner mon âme en me laissant aller de la sorte avec lui. J'avais l'impression que plus les minutes, les heures, les jours défilaient plus je m'accrochais à lui, et plus je fonçais droit dans un mur de béton armé.
    Mais j'avais promis n'est-ce pas? J'avais promis d'essayer, alors j'essayais. Et plus j'essayais, plus ce que je ressentais pour lui prenait le dessus sur tout le reste.
    Le repas se déroula sans encombres, discussions, et flirt... Enormément de flirt. Trop de flirt pour que je reste calme pour être honnête. Mes hormones étaient en ébullition, et je mourrais d'envie de lui sauter littéralement dessus.

    Une fois le repas terminé, je me rendis en sa compagnie jusqu'à ma voiture, et pris le volant en direction de chez moi. A plusieurs reprises, malgré son silence sa main vint caresser ma cuisse, remontant parfois si haut que j'en eut l'impression qu'il cherchait à me faire passer un message silencieux. J'étais néanmoins partagé, puisque son silence me laissait penser qu'il n'était pas tout à fait serein. Le regard fixé sur la route, parce que j'étais vraiment le genre de mec prudent quand je conduisais, je lui jetai néanmoins de temps en temps un regard dans le rétroviseur central et je frissonnai au contact de sa main, notamment lorsqu'elle remontait.
    Après une vingtaine de minutes, nous arrivâmes devant chez moi, une maison un peu en dehors de la ville, entourée d'un jardin, je me servis d'ailleurs de mon bip pour ouvrir le portail électrique et m'engageait sur le chemin graveleux me garant un peu plus loin devant la maison. Ma maison... Ou plutôt mon domaine recelait plusieurs surprises qui m'étaient chères, notamment dans le jardin à l'arrière. J'étais un grand amoureux des animaux, Orion l'ignorait mais peut-être qu'il le découvrirait bientôt. J'attendis qu'il sorte lui aussi de la voiture pour la verrouiller avec le système centralisé, puis je l'invitais d'un signe de main à se diriger jusqu'à la porte. Faut dire que ma maison pouvait impressionner au premier coup d'oeil. J'étais riche, forcément puisque j'étais chirurgien. Mais je n'étais pas le genre à le montrer à tout va, hormis exceptions je m'habillais assez simplement. Cette maison était simplement mon caprice, et l'expression directe de mon besoin perpétuel d'être en contact avec la nature.
    Une fois sur le perron, j'ouvris la porte et le laissai passer en premier, lui faisant ainsi découvrir un salon immense -bien trop immense pour moi seul faut le dire-, au mobilier très moderne, dans des tons blancs et gris,  avec une grande baie vitrée qui donnait sur l'immense -elle aussi- partie de jardin qui se trouvait derrière la maison et qui se voulait arboré. Je refermais derrière nous et enclenchais le système d'alarme.
    C'est alors que sans m'y attendre le moins du monde, Orion vint plaquer sa bouche contre la mienne, d'une façon presque pressante. Je glissais mes mains dans son dos, laissant au passage tomber mes clefs au sol dans un cliquetis métallique, lui rendant son baiser avec autant d'empressement que lui. Mais au bout d'un instant, je décollais mes lèvres des siennes, le souffle court, à cause de l'excitation.
    « Tu préfères pas que je te fasse visiter avant?» Un petit sourire vint se coller au coin de ma bouche, tandis que ma main droite vint se glisser dans le sienne, mêlant mes doigts aux siens. Une part de moi avait envie de lui faire comprendre, de lui montrer que j'étais sérieux, que je voulais bien plus que son corps. Même si j'ignorais exactement la nature de ce que je voulais, il était établit dans ma tête que ça dépassait de loin le simple désir sexuel. Parce que oui, c'était pour ça que j'avais tant insisté pour l'emmener chez moi, avant tout, pour lui faire une place dans ma vie, pour le laisser découvrir mon monde.



     
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    Lien du postMar 23 Avr - 23:29
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    C'est une blague céleste? // @ALOYSIUS R. ZORANDER ※※※ Sincèrement, je ne réalise pas ce que je fais. Pris dans mes doutes, pris dans mes propres émotions, je suis tiraillé entre l’envie et la passion, la suspicion et les interrogations. Tout ça se mélange, fait un gros bordel dans ma tête. C’est comme une sensation de bien être et, au contraire, de malaise totalement contradictoire. Si la soirée se passe merveilleusement bien, le retour se fait plus silencieux. Al est tout aussi silencieux que moi, cherchant probablement à me laisser seul avec mes pensées et dans un sens, je l’en remercie. Instinctivement, ma main est venue se poser sur sa jambe. Distraction comme une autre, me gardant piégé dans cette réalité qui prend une tournure qui me brutalise de l’intérieure. Que va-t-il se passer ce soir ? De quoi aie-je vraiment envie ? Suis-je le mec d’une longue liste ? Ou pas ? Aie-je vraiment envie d’avoir une réponse à cette question ? Je n’en suis pas certain. Une fois encore, instinctivement, ma main glisse en caresses sur sa cuisse, remontant parfois trop haut. Le pire dans cette histoire c’est que je n’y prête pas plus attention que ça, je ne le fais pas forcément pour l’allumer. Une partie de moi tente de rester dans le mouvement, alors que la seconde elle, se pose trop de questions. J’aimerais bien me foutre une claque mentale, me dire que je devrais peut-être calmer mes propres ardeurs. Lorsque la voiture se stoppe, je cligne plusieurs fois des yeux. « Et ben mon vieux, t’es bien loti. » Mon vieux…Merde, Orion, t’abuse. Je ricane avec amusement, lui offrant un petit sourire en coin alors que j’observe l’habitation. Ce n’est clairement pas mon ancienne caravane, ma chambre universitaire. Je ne pense pas avoir un jour les moyens de me payer une baraque comme ça…En-même temps, j’aurais dû me douter des moyens du beau mec. Chirurgien, toujours assez bien habillé, les revenus il les as. Moi pas. Encore une chose qui nous différencie. Je ne suis pas pauvre, mais pas riche. Je dois bosser dans une animalerie, je dois gagner de l’argent pour continuer à payer mes frais de scolarité qui sont assez élevé. Mais Alyosius, il a déjà sa carrière, son renom probablement. Il a bossé pour avoir ce qu’il a, ou pas…Qui sait, peut-être qu’il est riche de naissance. Cette fortune, j’aurais dû l’avoir si j’étais resté dans ma famille d’origine…Oui, j’aurais dû grandir dans l’opulence, comme mes jumelles, mais la vie en a voulu autrement pour moi. C’est peut-être une bonne chose. Sortant de la voiture, j’évite de trop m’appuyer sur ma jambe blessée, boitant, je me dirige vers chez lui et entre calmement. La nervosité reprend le dessus comme une poussée d’adrénaline. Que faire quand c’est comme ça ? Détourner mon attention, mais également la sienne. Je n’ai pas envie qu’il comprenne ce qui me tracasse…Non, je n’ai pas envie qu’il me pose de questions, pas ce soir du moins. Peut-être jamais. Franchement, j’ai juste envie de suivre mes instincts et ceux-ci me poussent dans ses bras. Je n’écoute pas ma conscience et, dès que la porte fut fermée, je viens plaquer mes lèvres contre les siennes. Ma main glisse dans sa nuque, mes doigts glissant dans la naissance de ses cheveux. Heureusement, il ne me repousse pas…Pas de suite du moins. J’entends ses clefs tomber sur le sol, ses mains glisser dans mon dos. Un frisson vient allumer une flamme qui ne se contrôle pas, ma langue venant chercher la sienne. Les murs semblent sécurisants, comme si ici, rien ne pouvait spécialement m’arriver, nous arriver et c’était agréable…Puis, malheureusement, il met fin à notre baiser. Ma respiration se coupe, je dégluti difficilement, les ardeurs littéralement en feux. Putain, il est sérieux ? Il est vraiment en train de me proposer de visiter avant ? Sur le coup, j’ai envie de l’étrangler mais je m’abstiens en sentant ses doigts s’entremêler aux miens. « Vu la taille de ta maison, on va en avoir pour toute la nuit. » Dis-je avec une pointe d’ironie non voilée, posant un regard séducteur sur lui, un sourire en coin s’étant dessiné sur mes lèvres. « Bon, allons-y, mais ont fini par la chambre, ça me semble un bon point de chute… » Mais qu’est-ce qui me prend ? Cacher mes peurs sous des airs charmeurs, c’est plus facile…mais ce n’est absolument pas une habitude chez moi, bien au contraire. Me mordant l’intérieure de la joue, je le suis calmement, essayant de calmer ma nervosité, mais également cette foutue chaleur qui me prends aux tripes et qui me donne envie de lui sauter dessus. Une pièce, deux pièces…trois pièces…Je finis par péter un plomb à la quatrième, non, à vraie dire, c’est dans le couloir que je perds patience. Sans crier gare, cette fois-ci, je le plaque contre le mur en souriant en coin, mon visage proche du sien. « Ok, tu me feras visiter le reste plus tard. » Murmure sensuel, mes lèvres frôlent les siennes. « Là, j’ai d’autres idées en tête. » Ajoutais-je alors que mes doigts détachent son pantalon avec une agilité certaine, ma main glissant sournoisement sous ses vêtements alors que mes iris se plantent dans les siennes. Bravo Orion, ça c’est du joli !


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    « All my life, I've been waiting for someone like you. I've looking for someone like you. Oh... You make me...  »


    « Et ben mon vieux, t’es bien loti. » dit-il en commentant l'aspect de ma maison. J'haussai les épaules, ce n'était pas spécialement une fierté, mais tout de même un havre de paix. Evidemment que j'avais bossé dur, pendant onze ans précisément pour en arriver là. Nous rentrons donc dans la maison et rapidement sans que je m'y attende, je me retrouve avec un Orion qui semble très excité collé à moi, sa bouche épousant avec perfection la mienne, le baiser se fait plus prononcé, plus sensuel, ses doigts dans ma nuque, dans mes cheveux... De quoi me rendre complètement fou. Mais même si c'est difficile, je décide de rompre cette étreinte, juste après que ma langue ait rejoint la sienne, si délicieuse...
    « Vu la taille de ta maison, on va en avoir pour toute la nuit. » rétorqua-t'il après que je lui ai proposé de visiter d'abord. « C'est pas un château non plus.» Dis-je dans un rire.
    « Bon, allons-y, mais ont fini par la chambre, ça me semble un bon point de chute… » J'arquai alors un sourcil, faut dire que ce type de comportement, je ne lui avais jamais connu jusqu'ici, donc c'était un peu surprenant. Je décidai néanmoins de ne pas m'en offusquer. Peut-être se décidait-il enfin à exprimer clairement ce désir qu'il ressentait pour moi? Peut-être avait-il arrêté d'avoir peur d'être attiré par un homme?
    Sur ces pensées je commençais à lui faire visiter la maison, commençant par la cuisine, puis une chambre, une autre et alors que nous étions dans le couloir je fus soudainement plaqué contre le mur. « Ok, tu me feras visiter le reste plus tard. » Je déglutis péniblement au contact si frivole et éphémère de ses lèvres très -trop- proches des miennes.  « Là, j’ai d’autres idées en tête. » Je déglutis une nouvelle fois, victime de ses mains qui déboutonnèrent mon pantalon, de ses yeux qui se plantèrent dans les miens. De ces yeux ténébreux qui me collaient des frissons. Aussi, je pris sa main et la retirai de mon jeans, ouvrant la porte juste derrière moi et l'attirant dans la pièce en ma compagnie, me saisissant de son t'shirt sans douceur.
    « Bienvenue dans ma chambre.» dis-je, le souffle court, tout en venant recoller mes lèvres contre les siennes, mes doigts se glissant dans ses cheveux et s'en emparant, tandis que je l'invitais avec moi en reculant jusqu'au lit. Je finis par me laisser tomber dessus en arrière, l'entraînant avec moi dans ma chute, ce qui fit qu'il se retrouva allongé au dessus de moi. Une fois ainsi installé, je me saisis en silence de sa main qui se trouvait précédemment à l'intérieur de mon pantalon et la remit là où elle était.
    Mon autre main elle, remonta dans sa nuque, et ma bouche repris possession de la sienne, dans un baiser enflammé, dans un baiser fiévreux, dans un baiser désireux. Mes cuisses s'écartèrent pour lui laisser une place entre celles-ci, tandis que quelques soupires d'excitation m'échappaient pour venir s'écraser contre sa bouche. Mon corps était littéralement en ébullition, et il pouvait déjà clairement le sentir à l'intérieur de mon pantalon. Je finis par détacher ma bouche de la sienne, venant la glisser le long de son cou, par une multitude de baisers sensuels, remontant jusqu'à son oreille où je murmurai d'une voix tremblante d'excitation. « Tu m'rends fou, Orion...»
    Oh que oui, ce mec me rendait fou. Fou de désir. Et cela pouvait se sentir puisque désormais ma bouche était redescendue dans son cou, et cette fois c'est mes dents qui s'attaquaient à sa peau, mais sans jamais lui faire mal. Finalement mes lèvres se refermèrent autour d'un morceau de sa peau, et se mirent à suçoter cette chair si violemment désirée, si ardemment voulue. C'était une évidence, je voulais le marquer. Je voulais qu'il porte sur lui les traces évidentes de mon passage, et en quelques sortes de l'appartenance dont je me donnais le droit sur lui,  probablement à tord.
    L'une de mes cuisses vint se coller contre sa hanche et ma main droite attrapa le bas de son t'shirt, pour le remonter juste assez pour que nos peaux entrent en contact. Juste assez pour que je puisse le sentir un peu plus.
    Mon bassin se soulevai, avide d'entrer en contact avec le sien, même si sa main créait un contact. Mon corps n'était plus qu'un esclave, un esclave du désir dévorant qu'il éprouvait.
    Je finis par relâcher mon étreinte sur la peau de son cou et observa un instant mon chef d'oeuvre, un air satisfait collé au visage, et l'envie furieuse de lui dire qu'il m'appartenait, mais je n'en fis rien. Au lieu de ça, je retournais coller ma bouche à la sienne, ma langue partant directement à la recherche de la sienne, s'élançant dans une valse enflammée. Mon bassin donnait quelques petits à-coups afin de se frotter au sien, autant que c'était possible. Je le voulais, je le voulais ici et maintenant.



     
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