Quand on est issu d'une grande famille respectée, on ne choisit pas forcément ce que va être votre vie et encore moins la personne avec qui on va passer sa vie, avec qui on va s'afficher, avec qui on va vivre, fonder une famille et qui on va aimer. Un nom de famille, ça se respecte, ça se travaille. Et c'est de cette manière qu'Adrian se retrouva lié à la fille des Kennedy, Hope. Adrian avait à peine 19 ans quand il la rencontra, il tomba instantanément amoureux. Sans explication. Le charme de la belle blonde le fit succomber. Elle était si fragile et malgré tout le soutien qu'elle possédait de sa fratrie, le poids de son nom de famille ne semblait pas facile à vivre pour elle, Adrian était attentif à cela et soutenu Hope dans chacun de ses choix, quoi qu'il arrive, il choisit d'être avec elle et de se battre pour elle.

Les années ont passées et les deux jeunes sont restés amoureux, vivant au jour le jour, rendant fières leur famille respective. Hope semblait plus douée qu'Adrian, lui, ce macho qui voulait être l'homme de la maison, celui qui ferait vivre sa famille. Il eu du mal à se faire à l'idée, elle était mieux que lui. Mais avec le temps, il réussit à se faire à l'idée. Il suivit ses études à la faculté, eu son diplôme et se lança dans une carrière d'avocat bien rapidement avec le soutien de son père pendant que sa petite amie se lançait dans une carrière de médecine.


Tout allait si bien, qu'Adrian mit le genou à terre. Hope accepta. Une demande en fiançailles de toute beauté qui aurait pu rendre jalouse n'importe quelle femme de cette planète tant le romantisme était de rigueur. La date de mariage planifiée. Adrian accompli l'impardonnable. Lui, l'homme parfait, ne fit l'erreur qu'une fois. Mais une fois de trop. Elle le trouva dans leur lit. Avec une autre femme. La décision fut sans appel. Elle le quitta. Une décision qui le mit hors de lui, la part de noirceur camouflée en lui ressurgit et il devint violent. Frappant celle qui devait être sa femme. La boucle de sa ceinture retentit tellement de fois qu'il la laissa là, le sang répandu, sans force dans le bras pour frapper une nouvelle fois. Il l'aimait tellement fort qu'il jugeait qu'elle ne pouvait pas partir, qu'elle n'avait pas le droit. Alors il frappa, frappa et frappa encore. Laissant une marque à vie sur le corps de la blonde.