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besoin de me vider la tête (rplibre)
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une soirée de merde. une période de merde aussi. j'ai dû quitté Harvard car mon père ne souhaite plus payer ne souhaitant plus faire sa bonne action. certainement une nouvelle pouf à entretenir. je bosse comme livreur à ubereats, j'essaye de faire passer un peu de drogue dans certaines commandes au passage. je me suis tourner vers ça ne sachant pas quoi faire d'autre, je faisais des études d'arts plastiques mais sans diplôme ça ne me sers strictement à rien. besoin d'argent pour garder un toit au dessus de ma tête, l'illégalité m'a ouverte ses portes j'ai carrément plonger dedans. ce soir je suis la assis au comptoir à réfléchir sur tout ça, j'enchaîne les verres. je te vois prendre place à mes côtés, tu te commandes un verre mais ta carte ne passe pas malgré plusieurs tentatives. le barman râle un peudoucement, tiens donne lui son verre quand même je pose un billet face au barman et il te donne ton verre. ma bonne action je viens de la faire.
#rplibre
AIN'T MY FAULT (( libre))
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Il avait besoin de respirer en dehors de l'appartement. Avec Lourdes qui semble de plus en plus suspicieuse de tes activités, disons comme ils sont, questionnables. Tu te demandes si elle fouillait dans tes affaires quand t'avais le dos tourné. Vu vos horaires opposés, tu ne serais pas surpris qu'elle profite de ce temps pour étancher sa curiosité. Du coup, tu avais caché des caméras dans ta chambre au cas où elle déciderait de dépasser les limites et découvrir ce qui devait rester à tout prix rester cacher. Tu décides de la tester, prenant comme excuse de vouloir te goinfrer au fives guys. Excuse tout à fait légitime vu ta faim et ta flemme de vouloir préparer quoi que ce soit comme repas. Tu passes ta commande et attendre à l'autre bout du comptoir pour attendre que cette dernière soit prête. Téléphone en main, farfouillant les réseaux sociaux pour te distraire, on appelle finalement ton numéro de commande. Tu t'apprêtes à l'agripper quand quelqu'un d'autre la prend à ta place. ꟷ Euh, c'est pas pour vous ça, je vous ferais remarquer. Le ton légèrement menaçant, t'allais pas laisser cette personne partir avec ce qui t'aies dû.
#rplibre
L'heure du recueillement (libre)
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Le vingt-six mai était une date clé dans ton existence. Ces derniers jours, tu ne t'étais pas montré au meilleur de ta forme, bien au contraire. Même si physiquement tu étais présent, mentalement, tu étais ailleurs, absent. Tu te renfermais plus que d'habitude et il fallait vraiment bien te connaître pour comprendre que quelque chose n'allait pas. Les plus proches connaissaient ton terrible secret, tu pourrais te reposer sur eux, compter sur leur soutien mais aujourd'hui tu avais besoin d'être seul. Tu avais coupé ton téléphone portable pour ne pas être dérangé, tu n'étais pas chez toi, ni aux endroits où tu pourrais habituellement te rendre. Tu n'avais pas de lieu de sépulture pour Sarah, à Boston, et tu n'avais pas non plus l'envie de rentrer où vous aviez vécu, si loin d'ici. Tu n'avais pas envie d'affronter tes parents, pas aujourd'hui, même si tu gardais à l'esprit que tu devais avoir une conversation sérieuse avec eux, parce que tu leur avais caché pas mal de choses te concernant. Faute de mieux, donc, tu t'étais rendu au cimetière pour te recueillir. Tu t'étais réfugié dans l'église attenante pour allumer une bougie, et prier. Tu avais profité de ce silence enveloppant et réconfortant pour panser les blessures de ton coeur meurtri. Tu t'étais aussi excusé d'avoir perdu ton alliance, qui n'était pas réapparu depuis que votre colocataire indésirable s'était tiré avec, de même que certaines autres de vos possessions. Après de longs moments, tu quittas finalement l'église pour te retrouver à errer dans les allées, les mains dans les poches de ton long manteau noir. Tu t'étais finalement arrêté en face d'une tombe anonyme, qui n'avait pas l'air d'avoir été entretenue depuis longtemps. Les gens qui se trouvaient là dessous avaient-ils été oubliés? Cette pensée te serra le coeur, aussi tu te dirigeas vers le stand de fleuriste situé à l'entrée, pour acheter un bouquet. Tu étais en train de fouiller tes poches à la recherche d'un billet à donner à la vieille dame, sans forcément faire attention aux personnes qui se trouvaient autour. C'était sans doute une idée absurde d'acheter des fleurs pour des gens que tu ne connaissais pas mais ce faisant, tu faisais d'une pierre deux coups, puisque tu les offrais également à Sarah par leur intermédiaire.
#rplibre Diluvienne est la pluie. + Landon
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De la flotte. Encore. Trombe diluvienne qui cascade. Frappe l’herbe duveteuse de l’université. Accompagne l’ombre jusque sous le porche de la bibliothèque d’Havard. Contre un des piliers majestueux, il prend appuie.Tambourine à ses oreilles, le bruit du martèlement de l’eau. Ricoche sur les vieilles pierre. Les cheveux humides, il les arrangent du mieux qu’il peut pour éviter de qu’ils gouttent dans ses orbes. Le sac posé au sol, il en sort une clope. L’allume, avant de s’engouffrer dans la bibliothèque. Encaisse le premier examens. Celui de huit heures. Tôt. Trop. Il s’était contenté de faire un oral de son compte rendu. Celui de sa semaine dans les Caraïbes. Tachant de faire abstraction d’elle.
#rplibre
( libre) fuir les méandres de mes pensées
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trente avril - 23h
#rplibre — Je m'installe confortablement sur le tabouret du bar, observant l'animation autour de moi. Le brouhaha des conversations et le tintement des verres créent une symphonie familière qui me plonge dans une atmosphère détendue. Je fais signe au barman, lui demandant un whisky. Il me lance un sourire complice et commence à préparer ma boisson. Je laisse mon regard vagabonder, absorbant l'ambiance du lieu. Les lumières tamisées projettent des ombres dansantes sur les murs, créant une aura mystérieuse et envoûtante. Le bar est animé ce soir, une multitude de visages inconnus se perdant dans la foule. Le barman glisse le verre devant moi, rempli d'un liquide ambré qui scintille sous la lumière. Je prends le verre entre mes mains, appréciant la chaleur qui s'en dégage. Je porte le whisky à mes lèvres et savoure la première gorgée, laissant les saveurs riches et complexes imprégner mon palais. Le whisky brûle doucement en descendant ma gorge, réchauffant mon corps de l'intérieur. Je me laisse bercer par la sensation apaisante, me perdant dans les méandres de mes pensées alors que je sirote lentement ma boisson. Ce moment de tranquillité, juste moi et mon whisky, est exactement ce dont j'avais besoin pour échapper au tumulte de la vie quotidienne ou pas.
#rplibre — Je m'installe confortablement sur le tabouret du bar, observant l'animation autour de moi. Le brouhaha des conversations et le tintement des verres créent une symphonie familière qui me plonge dans une atmosphère détendue. Je fais signe au barman, lui demandant un whisky. Il me lance un sourire complice et commence à préparer ma boisson. Je laisse mon regard vagabonder, absorbant l'ambiance du lieu. Les lumières tamisées projettent des ombres dansantes sur les murs, créant une aura mystérieuse et envoûtante. Le bar est animé ce soir, une multitude de visages inconnus se perdant dans la foule. Le barman glisse le verre devant moi, rempli d'un liquide ambré qui scintille sous la lumière. Je prends le verre entre mes mains, appréciant la chaleur qui s'en dégage. Je porte le whisky à mes lèvres et savoure la première gorgée, laissant les saveurs riches et complexes imprégner mon palais. Le whisky brûle doucement en descendant ma gorge, réchauffant mon corps de l'intérieur. Je me laisse bercer par la sensation apaisante, me perdant dans les méandres de mes pensées alors que je sirote lentement ma boisson. Ce moment de tranquillité, juste moi et mon whisky, est exactement ce dont j'avais besoin pour échapper au tumulte de la vie quotidienne ou pas.
Rouge dans les prunelles + Parker
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Habile garçon. La carcasse qui se dissimule dans l’ombre. Enchaine les jardins pour fuir un vieux sexagénaire dont il visitait la baraque. Pour voler s’entend. Heureusement qu’il la portait, sa cagoule. Parce que d’ordinaire, ce n’était pas toujours le cas. A croire que là haut, on lui balancé un joker. Une chance pour un type comme lui. Surement semé, il s’applique à disparaitre. A devenir que spectre. Par précaution. Et puis, le karma reprend sa place. Décide de lui balancer des bâtons dans les roues. Dernière maison. Il déboule dans un lieu rempli de monde. Sans doute un truc important vu l’allure de certains. Rouge dans les prunelles. Face à lui, la sortie de secours se fait inexistante. Le mur lui est refusé à cause de sa visibilité. S’offre à lui, l’unique moyen : prendre la porte normale. Celle des gens normaux. Alors, il tente de s’y mêlé Pax. De passer inaperçu. En commençant d’abord par retirer le tissu sur sa tête. Puis, de faire profil bas. Lui, vêtue de noir avec ses vieilles nikes défoncées, mais bien pratique pour se faire silencieux. Tente la percée, le blond. Jusqu’à ce qu’une vieille tente de l’alpaguer, alors, il fait ce qu’il sait faire de mieux. Prendre une nouvelle route. De la paume de la main, il pousse une porte au hasard. Ferme à clé sans regarder derrière lui. Erreur de débutant.
#rplibre
zoom zoom (aria & naim)
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zoom zoom
plage
30.04.24, début de la nuit
@"PSEUDO"
weed
30.04.24, début de la nuit
@"PSEUDO"
weed
l'envie d'être seul, ce soir. l'envie de trouver ta conscience, paradoxalement, pas vraiment. surtout pas la motivation d'un énième conflit. scott d'un côté, alys de l'autre. impossible d'aimer les deux, sans problèmes. éternel ambivalence. ça te prends la tête, toi. t'es venu la, quelques chips, de quoi dessiner, ton chien inutile et le joint, trop chargé. teckel qui fait sa vie, plus loin. tes doigts sur le marker, tracent les lignes noires. le cul dans le sable, musique sur les oreilles. t'entends pas zoom qui part mener sa vie. le chien qui est parti voler la chaussure, de l'inconnu.e plus loin. t'entends pas qu'il joue à la course poursuite, basket entre les dents, chaussures qui rafle le sol, tant qu'il est petit. parce que le chien il s'éclate lui, quand quelqu'un lui cours derrière.
#rplibre
(libre/m) black out | tw
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(tw) morphée t'offre une pause. un répit. douce nuit que tu passes là, aria. bercée par un joli rêve. enchanté. une vision calme, douce et reposante de ton inconscient. pause dans tes révisions. dans tout ce stress qui t'envahit depuis plus de deux semaines maintenant. tu as du mal à gérer la pression d'harvard. à chaque exams c'est pareil. tu te mets dans le même état à chaque fois. pourtant tu gères bien. très bien. parmi les élèves les plus brillants de ta promo, tu te mets une telle pression toute seule. besoin de réussir pour prouver à ton père que tu peux y arriver, toi aussi. digne fille. à la hauteur des espoirs qu'il place en toi. tu serais bien resté dans ce doux rêve mais la réalité te rappelle à la raison. yeux qui s'ouvrent doucement. presque douloureusement. reprends conscience de ton corps. de la gorge prêteuse à cause de l'alcool. et cette odeur. tu n'es pas chez toi. petit corps qui se redresse légèrement. tête qui se tourne sur le côté. tu vois cet homme, de dos. yeux qui s'écarquillent. il est torse nu. tu ne reconnais pas cette silhouette. cri strident qui s'échappe de tes lèvres.haaaa . tu plaques tes mains sur son dos et le pousses de toutes tes forcesmais t'es qui toi ? DEGAGE . carcasse lourde qui tombe sur le sol. la panique dans les veines. pic d'adrénaline. tu ne te souviens de rien de la soirée de la veille. c'est le flou le plus complet. tu n'es pas chez toi. tu ignores ce qu'il a pu se passer. - #rplibre
Cela devait être une balade |RPLIBRE
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Cela devait être une balade /pseudo
Lyle s'était coucher tôt, s'étant promis de rendre son devoir a son professeur en bon état demain avant ses cours de la matinée. C'est ainsi qu'il avait pris soin de préparer ses affaires pour terminer demain matin avant de quitter son chez lui. Son chez lui avec la vue sur la forêt de Mohawk Trail.
Le temps semblait être désagréable au loin, mais ici ils étaient en sécurité, Lyle se rappelait qu'une vieille dame lorsqu'il était au Japon lui avait fait des prédictions, des prédictions de voyante dont-il n'avait pas pris au sérieux, car toutes dames ainsi veulent de l'argent.
Mais la nuit lui avait été horrible, ayant des flash de son enfance, des flash enfoui au fond de lui pour ne pas le blessé. Mais ce cerveau bien plus horrible que l'on peut croire. Puis vient au rêve qui lui semble réel. Celui de sa mère qui lui sourit et viens lui faire un câlin. Alors qu'il a vue l'horreur sous ses yeux étant plus jeune. Puis le voilà qui se réveil d'un coup se relevant d'un bond dans son lit, seul observant la pièce vide.
Les larmes viennes à couler et il renifle pour prendre un sweat et un pantalon dans son armoire. Pour ensuite enfiler ses baskets et aller vers la forêt. Connaissant les lieux!
Ayant pris une lampe avec lui, il commence a s'engouffrer dans la forêt. L'esprit encore prit par ce rêve cauchemardesque. Puis en continuant sa foulée. Il entend des bruits ou comme des gémissement. Ne sachant pas quoi faire. Il décide de se rendre vers le bruit, puis découvre une personne. Il espère que la personne ne présente d'ailleurs pas la même maladie que lui. Lui qui a l'insensibilité congénitale à la douleur. Se baissant et regardant un peu la personne, il vient dire.
Vous avez mal où? Et vous êtes là depuis quand?
Le temps semblait être désagréable au loin, mais ici ils étaient en sécurité, Lyle se rappelait qu'une vieille dame lorsqu'il était au Japon lui avait fait des prédictions, des prédictions de voyante dont-il n'avait pas pris au sérieux, car toutes dames ainsi veulent de l'argent.
Mais la nuit lui avait été horrible, ayant des flash de son enfance, des flash enfoui au fond de lui pour ne pas le blessé. Mais ce cerveau bien plus horrible que l'on peut croire. Puis vient au rêve qui lui semble réel. Celui de sa mère qui lui sourit et viens lui faire un câlin. Alors qu'il a vue l'horreur sous ses yeux étant plus jeune. Puis le voilà qui se réveil d'un coup se relevant d'un bond dans son lit, seul observant la pièce vide.
Les larmes viennes à couler et il renifle pour prendre un sweat et un pantalon dans son armoire. Pour ensuite enfiler ses baskets et aller vers la forêt. Connaissant les lieux!
Ayant pris une lampe avec lui, il commence a s'engouffrer dans la forêt. L'esprit encore prit par ce rêve cauchemardesque. Puis en continuant sa foulée. Il entend des bruits ou comme des gémissement. Ne sachant pas quoi faire. Il décide de se rendre vers le bruit, puis découvre une personne. Il espère que la personne ne présente d'ailleurs pas la même maladie que lui. Lui qui a l'insensibilité congénitale à la douleur. Se baissant et regardant un peu la personne, il vient dire.
Vous avez mal où? Et vous êtes là depuis quand?
code by astrophilia.
#rplibre
Morphée s’égare + Laia
25 Réponses298 Vues
Eau paisible. Lisse. Noirceur opaque perturber par le reflet de l’opale. De ses lippes, le bâton rougeoie. Il en aspire la fumée herbeuse pour y trouver l’apaisement. Sur le ponton, ses pieds ses chaussures se balance au-dessus de l’océan. À ses oreilles claque le tambourinement discret des bateaux contre les quaies. Toc…toc…toc… Ses pensées s’egarent. Muscles endoloris par le travail pénible, il en ressent le tiraillement quand il lève une fois de plus le bras pour fumer. Peine le sommeil. Oublié par Morphée, il cherche l’envie. De dormir. De rejoindre le bateau de sa sœur et d’être enveloppé par le néant. Mais il n’y arrive pas Pax. Le cerveau toujours en action. Pense déjà à demain. Toujours sur ses gardes, il perçoit le bruit intrusif. Inconnu. Lui qui brise l’habituel cacophonie. Sur ses gardes, il patiente.
#rplibre
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