Née Mathilde Katharina Amanda Sophia Alvilda af Glücksborg, princesse de Danemark, comtesse de Monpezat, elle est la seconde dans l'ordre de succession au trône, juste derrière son bien aimé père *ironie*. Sa naissance était prévu pour le 14 février, et tout le peuple l'attendait pour le jour de la St valentin, mais Mathilde s'est montrer au grand jour que 4 jours plus tard. C'est ce qu'on appelle faire une entrée fracassante et attendue. Elle est l'ainé d'une grande fratrie. Après elle vint encore 4 frères et 2 soeurs. C'était pas avec ses parents que leur ligné risquait de s'éteindre. Sixten a toujours été énergique, vivante, et radieuse. Elle n'a jamais vraiment beaucoup côtoyer ses parents. Ils étaient toujours occupé, gala par ci, déplacement par là. Certes, c'est sa grand mère la Reine, mais en tant que membre officiel de la famille et successeur de la Reine, ils avaient tout autant un emploi du temps aussi chargé. Elle a grandit pour ainsi dire avec toute la liberté qu'elle désirait. Il y avait des gardes du corps, ils restaient souvent au sein du palais, et les nourrices étaient là, comme les précepteurs pour s'occuper d'eux. En dehors de toutes ses activités "Royal" Sixten ne rêvait que d'une seule et unique chose : vivre sa vie comme elle l'entendait. Jamais en conflit avec ses frères et soeurs, elle se sentait exclus de leurs petit cercle. Peut être parce que Sixten était la seule à avoir des cours pour devenir une vrai futur Reine, un jour et pas les autres. Elle ne voulait rien de tout ça, mais elle se pliait aux exigences de ses maîtres. Peut être qu'elle cherchait l'approbation de son père et de sa mère, mais elle ne l'eut jamais. Son père peut démonstratif, sa mère étrangère à la famille ne pouvait pas vraiment étanché cette soif de reconnaissance et son envie de liberté dans un monde aussi codifié et lourd que la monarchie. Les meilleures écoles, les plus élitistes,  côtoyant l’aristocratie et les nobles. Elle apprit vite que tout le monde cachait son jeu, que personne n'était vrai, et elle l'apprit un peu à ses dépends. Adolescente, elle devait bien avoir 17 ans quand elle tomba enceinte de son petit ami, fils d'une famille très respectable de la haute. L'annoncer à ses parents fut la chose la plus dur au monde, heureusement elle n'était pas enceinte depuis bien longtemps, et ils planifièrent un mariage. A un bal donner au Palais ils comptaient annoncé officiellement les fiançailles de la belle. Ils étaient un peu jeunes, mais ils pensaient tous que ça irait, que ça finirait bien. C'était avant que son petit ami ne rompe avec elle, la veille de l'annonce officielle. Sixten était effondrée, elle était encore trop naïve malgré sa méfiance. Elle était tombé amoureuse, elle y avait cru, jusqu'au bout. Elle se retrouva enceinte a 17 ans, et seule. Pas vraiment le côté glamour qu'on pourrait souhaité pour une futur Reine. Capitaine de l'équipe d’athlétisme de son école, et membre active du club de pâtisserie et de mathématique. En privée Sixten passe son temps à chanter et elle est clairement pas mauvaise du tout. Mais une future Reine ne chante pas. Après cet échec sentimentale, le bébé devient problématique, heureusement, si on peut dire, la vie arrangera ça, lui faisant perdre son bébé très rapidement, avant même que son ventre ne commence à pointer. Étrangement cet événement traumatisant ne semblera pas la marquer autant qu'il le faudrait. Le comportement de Sixten change doucement, devenant plus difficile d'approche. Elle rie, elle sourit, elle fait des blagues, s'amuse avec le monde, tient sa place, tient son rang, n'est jamais en dehors des clous, et pourtant quand les spotlights s'en vont il sera difficile de lui tirer plus de trois mots. L'ambiance lui pèse, le Palais, les règles, les codes, le poids d'un futur pays sur les épaules sont soudainement trop grand et trop lourd pour elle. Inconsciemment elle blâme son rang pour cet échec dans sa vie. Elle réussit l'exploit avec son équipe d’Athlétisme de remporter une victoire écrasante lors d'une compétition. Sixten sera au bout de sa vie à la fin de cette journée particulière, mais elle réalise soudain que ce qu'elle veut, c'est simplement vivre. Ayant un dossier parfait sans anicroche, elle postule naturellement à Harvard, à la dernière minute. Aucun de ses parents n'a vu sa candidature, aucun de ses parents ne connait son projet, mais Sixten ne tient plus le rythme et son sourire s'effrite sur les photos. En l'espace d'un an tout change radicalement pour elle. Elle remercie mentalement ses parents ne de pas avoir chercher à la faire avorter par tous les moyens quand ils ont apprit la nouvelle, mais elle ne supporte plus le Palais. Ses parents et ses frères et soeurs ne sont pas d'un grand réconfort, Sixten n'ayant jamais eut de vrai liens avec eux. La seule dont elle est proche est sa grand mère, bien qu'occupé par tous les trucs Royaux. Elle est prise à Harvard où elle décide d'aller étudier les relations internationales et le droit international aussi. Elle veut devenir une bonne souveraine, mais elle veut surtout oublier qui elle est. Un tel paradoxe qu'elle ne parvint pas à gérer puisqu'à son entrée à Harvard elle file tout droit chez les Eliots. Le familier est assez rassurant même pour quelqu'un qui veut changer de vie ou du moins vivre différemment. D'ailleurs a peine arriver à Harvard, madame s'inscrit pour suivre des cours de chants, parce que chanter lui donne l'impression de revivre.  Elle n'oublie pas pour autant son côté sportive bien qu'elle se met à faire plus de sorties et de rencontre. Alvilda a une vie débordante et vivante même si elle a du mal à se lier à qui que ce soit. Plus le temps passe à Harvard, et plus elle parvient à oublier qui elle, ce qu'elle représente pour énormément de gens, et ce n'est pas forcément toujours à son avantages... Sixten profite de la vie.