Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitystop act' like everything's okay ≈ (ares)
I LOVE HARVARD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Le Deal du moment : -20%
    -20% Récupérateur à eau mural 300 ...
    Voir le deal
    79 €

    stop act' like everything's okay ≈ (ares)
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postLun 26 Nov - 0:39:15
    taggercitereditionsupprimeradresse


    Send me your location
    Let's focus on communicatin' 'cause
    I just need the time and place to come through

    (x)

    @Ares Raad

    Cogiter, mijoter et calculer la meilleure façon de faire souffrir cet idiot. Quelles conneries avait-il encore fait ? À quel point elles étaient graves pour que je m’en retrouve mêlée ? Pas directement, mais être prise par surprise par une bande de vauriens sur le chemin du retour, me menaçant tout en m'encerclant pour faire pression et ce dans le seul but de leur avouer où se trouvait Ares, je suis impliquée quoi qu’il en soit. Pourquoi lui ? Que diable a-t-il encore fait !? Bien sûr j’ai tout démenti, niée jusqu’à la dernière sueur , me faisant passé pour la nana qui a été larguée comme une vieille chaussette, feignant le dégoût pour sa personne. Après quelques minutes de persuasion, ils ont enfin fait demi-tour, non sans oublier de faire passer le mot, si un jour, je le recroise, que s’en était fini de lui et qu’ils allaient lui faire la peau. Grande gueule pour toujours, je leur ai répliqué de dos à mon tour qu’ils ont qu'à lui faire passer le message eux-même, que je n'étais pas leur boniche à tout faire. Bien sûr, j’ai fui bien avant d’entendre sa réponse. Mon premier geste c’était de composer son téléphone et lui raconter ma mésaventure, sauf qu’en connaissant Ares, si je ne l’affronte pas face à face pour qu’il me dise la vérité en plein visage, il allait dévier le sujet à mort. À la place, j’étais rentrée chez moi , décidée que le lendemain sera le bon moment de l’aborder. Une vraie torture. Ces heures écoulées, m’imaginant les pires scénarios durant les cours, dérivant mon attention de la matière à examen. Comme je ne voulais pas attendre la nuit, et avoir une nouvelle fois une charmante visite de ces jeunes hommes, je fais un saut à mon appartement,après mon dernier cours de l’après-midi, enfilant un trench-coat noir et un bonnet de la même couleur, histoire de me fondre dans la masse dans l'hyperactivité du centre ville de Boston. Comme je ne voulais pas attendre la nuit, et avoir une nouvelle fois une charmante visite de ces jeunes hommes, je fais un saut à mon appartement, après mon dernier cours de l’après-midi, enfilant un trench-coat noir et un bonnet de la même couleur, histoire de me fondre dans la masse dans l'hyperactivité du centre-ville de Boston. Arrivée chez lui ,devant sa porte, je laisse ma colère se déferler en cognant sur cette dernière. “C’est moi” dis-je à voix haute, n’ayant pas l’habitude de frapper la porte aussi violemment. “Ouvre moi ou sinon je te jure que je défonce cette porte” vrai, mais avec ma force de rongeur, je ne ferais que me blesser qu’autre chose.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 9 Déc - 12:34:28
    taggercitereditionsupprimeradresse

    Sous ma poitrine c'est plus froid qu'en Islande.
    J’ai jamais été vraiment honnête avec moi-même, j’ai toujours été le sale con qui mentait la plupart du temps, et je crois que j’ai commencé à croire mes propres mensonges. Comme le fait de m’en sortir, le fait d’avoir pris une arme, et de rester enfermé chez moi, ma conscience qui me hurle que c’est une bonne idée, que si un jour ils décident de venir, qu’ils me trouvent, je saurais comment me défendre. Mais, la vérité. C’est que j’ai peur, j’ai peur d’affronter ça, parce que c’est pas ma faute, c’est pas ma faute si ce gamin est mort, c’est pas ma faute s'il a voulu une dose, je ne suis que le vendeur, je ne suis que celui qui l’a aidé à aller un peu mieux. Ouais, peut-être que c’est un peu la mienne, j’ai pas demandé la pièce d’identité parce qu’il me faisait penser à mon petit-frère disparu, peut-être qu’il faisait vieux, qu’il faisait désespéré. Peut-être que j’avais envie de lui tendre la main, de la mauvaise manière, mais la seule que j’avais. Je m’étonne à me détester plus qu’avant, je m’étonne de me laisser gober par la noirceur de mes pensées, je me laisse sur ce canapé, fumant joint sur joint en buvant quelques verres d’alcool, priant au fond qu’on me laisse tranquille, de m’oublier quelques temps. Mais quand je le veux, c’est quand quelqu’un commence à toquer contre ma porte, violemment. Mes poils se dressent, j’écarquille des yeux en cherchant mon arme. Elle est planquée dans un tiroir, et j’ai le temps d’aller la chercher, mais c’est ta voix qui résonne. Comme un couteau planté dans mon cœur, je peux sentir la haine que tu as envers moi. C’est parce que je ne donnais plus de nouvelle ? Je fronce les sourcils, passant mes mains sur mon visage en marchant en direction de la porte. Je termine par l’ouvrir, posant instinctivement mes iris clairs sur ton faciès. « Qu’est-ce qui t’arrive bébé ? » Ton surnom, enfin, tu as plusieurs surnoms, mais c’est celui que je préfère. Je m’adosse contre l’encadrement de la porte pour te laisser entrer, et renfermer cette dernière après ton passage. Je me tourne vers toi, persuadé que tu vas me balancer le fait de ne pas passer, ou de ne pas t’écrire. « Si tu viens m’engueuler parce que tu pensais que j’étais mort, et bien je suis vivant, j’ai juste besoin d’un peu de temps. » Un peu de temps pour réfléchir comment m’en sortir. Et surtout éviter de mettre mes proches dans la même merde que moi. Je croise mes bras contre mon torse, m’avançant vers toi, déposant un baiser sur le sommet de ton front. Mon sourire était faux, presque fantôme, mais je me devais d’être normal devant toi, je me devais de te mentir cette fois.
    code by EXORDIUM. | imgs by tumblr


    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMar 18 Déc - 21:03:27
    taggercitereditionsupprimeradresse


    Send me your location
    Let's focus on communicatin' 'cause
    I just need the time and place to come through

    (x)

    @Ares Raad

    Les bras croisés, j’attendais qu’il ouvre enfin sa porte. Plus l’attente se faisait, plus je m’énervais. Enfin, quand il ouvre, je me retiens de lui envoyer mon poing au visage, mais je fais le choix judicieux de ne pas le faire, sachant que c’est moi à la place qui se ferait mal et non lui. « Ta gueule avec ton Bébé. Non pas, cette fois, il ne m’aura pas à l’usure. Non pas, cette fois, il ne m’aura pas à l’usure. Je n’attendais pas qu’il m’invite et rentre dans son appartement. Enfin, quand il ouvre, je me retiens de lui envoyer mon poing au visage, mais je fais le choix judicieux de ne pas le faire, sachant que c’est moi à la place qui se ferait mal et non lui. Rien qu’à voir mon agitation, il se trouve un autre excuse pour ne pas avoir été plus présent ces derniers temps, rien de plus pour me faire péter les plombs pour de bons. « Y’a pas juste ça Ares ! Non seulement, tu ne me donnes pas de nouvelles, mais je me fais suivre par des types louches qu’ils veulent savoir où tu te caches ?! C’est quoi ces conneries ?! Si tu crois m’éviter encore plus longtemps, je suis désolé pour toi, mais ça n’arrivera pas. Maintenant, je veux que tu sois honnête avec moi Ares et par pitié n’essaie pas de mentir pour me protéger, car entre nous deux, c’est bien toi qui es en danger, non moi. » Je m’approche pour me retrouver sous son nez. Je faisais une bonne tête de moins que lui, je me torturer le cou pour être vis-à-vis de ses yeux. « Regarde-moi et dis-moi la vérité Ares. Tu peux faire ton petit jeu avec qui tu veux, mais pas avec moi. » J’étais littéralement à bout de souffle après avoir déversé tout mon inquiétude dans sa gueule. Mille et mille scénarios se jouaient dans ma tête. Bien sûr, l’un terminait plus pire que l’autre et il était le seul à pouvoir enfin mettre fin à cette torture en révélant la vérité.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postLun 24 Déc - 0:34:59
    taggercitereditionsupprimeradresse

    Sous ma poitrine c'est plus froid qu'en Islande.
    Plus je t’écoutais, et plus je réalisais les événements que tu as pu subir à cause de moi. Moi, qui voulais que tu sois hors de tout ça, je voulais que tu ne puisses pas être mêlé, et pourtant, tu étais là, face à moi, tu m’imposais tes paroles, et tu te plaçais face à ma personne. Malgré le fait que tu sois plus petite, je sentais à quel point tu pouvais être menaçante, et à quel point, tu ne mentais pas quand tu disais avoir peur pour moi. J’ai toujours été comme ça, j’ai toujours fait en sorte de te mentir pour te protéger, et éviter que tu sois mêlée, ou même que tu comprennes le danger dans lequel je pouvais être. Et ça me brisais de l’intérieur, juste de t’imaginer être entouré de gars qui voulaient sans doute ma mort, qui me cherchaient corps et âme depuis bien quelques jours. J’avais peur pour toi, mais je ne le montrais pas, je ne pouvais simplement pas. « Ca devait être des potes qui me cherchaient pour une drogue chérie. » Je haussais les épaules, passant mes bras autour de ta nuque pour te rapprocher de mon corps. Je voulais juste sentir ta présence, oublier que cette fois, tu étais dedans, et qu’ils savaient tout de moi, oublier que j’allais probablement devoir me barrer, pour simplement éviter plus d’emmerdes à mes proches. Je pinçais mes lèvres, en me reculant. Je déviais mes iris dans les alentours, avant de prendre ta main pour nous diriger en direction du canapé où on prenait place. « Il y a rien, je peux t’assurer. Je pense juste qu’ils voulaient de la drogue ou une merde pareille. Et ça fait des jours que je suis pas allé bossé au garage, alors j’imagine qu’ils sont énervés parce qu’ils m’ont plus vu. » Haussant les épaules, j’affiche un grotesque sourire, observant les traits de ton visage. Tu étais la douceur, la simplicité dans ma vie, et sans toi, je savais que je pouvais couler, je savais que sans toi, sans cette tendresse dont tu me faisais preuve relativement souvent. Je pouvais vite perdre pied. « Et je suis désolé pour les nouvelles. J’étais pas en forme. Et puis, je trouvais pas de boulot, j’ai rien à bouffer depuis des jours. » c’est peut-être pour te demander si c’est aussi possible que tu m’aides à ce niveau. Sauf qu’avec toi, j’ai absolument pas honte, puisque tu savais comment j’étais, et dans quoi, je vivais.
    code by EXORDIUM. | imgs by tumblr


    Contenu sponsorisé
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas

    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum