Tu étais étudiante en neurosciences et en sport pour les enseignements mineures. Deux domaines qui te passionnaient véritablement. Par conséquent, si tu loupais par inadvertance le dernier cours de la journée qui n'était autre qu'un cours de statistiques, personne ne t'en voudrait. Surtout que tu avais des raisons bien plus que légitimes. Tu passais la soirée chez Aaron. C'est peut-être pour ça que tu avais cette espèce d'excitation qui ne t'avait pas quittée de la journée. Qu'importe le cours séché t'avait permis d'aller t'acheter de quoi ravir ton homme. Bel ensemble de lingerie, jolie robe, et quelques courses. Il t'avait laissé la clé de son appartement exceptionnellement, et si tu t'étais appliquée à faire en sorte que tout soit parfait, tu avais comme fini par t'impatienter après que monsieur ait eu un contre temps. Tu avais fait comme chez toi en commandant un dîner chez un traiteur aux talents aphrodisiatques, et finalement avec l'attente tu avais fini par te séparer de tes chaussures à talons pour enfiler un sweat du jeune homme par dessus ta jolie robe. Hé te voilà enfin ! Avais-tu dit, contente de le voir malgré que tu aies eu l'impression d'avoir attendu une éternité. Enfouie dans le canapé tu ne lui en voulais nullement. Mais tu étais contente de le voir. T'avais quand même pas oublié, si ? Tu en doutais mais ta petite moue semblait à la fois traduire ton soulagement qu'il soit enfin là, et ta déception d'avoir comme perdu un peu de temps sur votre soirée. D'ailleurs te redressant tu finissais par t'en approcher. Tu croisais les doigts pour que rien ne gâche le reste de cette soirée.

Ma journée était affreusement longue, fort heureusement, je ne vais pas tarder à rejoindre la belle Ellen à mon appartement, je suis légèrement en retard, j'espère qu'elle ne m'en voudra pas trop, surtout que je n'ai pas oublié, car je pensais à ce moment toute la journée. En effet, quand je ne suis pas auprès de la jeune femme, elle me manque terriblement, ce soir, je pense qu'on va rattraper le temps perdu. Ne pas la voir dans l'université me perturbe assez, même si nous n'avons pas le droit d'avoir une relation, car je suis un professeur elle une étudiante, je me dis que je me sens bien, je suis, heureux de passer du temps avec la jeune femme. Je m'estime chanceux de sortir avec elle, car elle est incroyablement sexy. Après une journée ennuyeuse, j'entre enfin à la maison, j'imagine son impatience à l'idée qu'on passe une soirée en tête-à-tête, moi aussi, je le suis. J'entre donc chez moi, le sourire aux lèvres, en retrouvant la jeune femme, je la regarde en souriant avant de lui répondre. Oui, bonsoir bébé. Je m'approche de la belle brune pour l'embrasser tendrement avant de poursuivre. Je te demande pardon pour mon retard, je ne pensais qu'à toi toute la journée, je suis très heureux de passer cette soirée en ta compagnie m'a belle. Dis-je de nouveau en souriant, je vois que mes vêtements te vont toujours aussi bien, dis-je en me mordant la lèvre. Ta journée s'est bien passé ? Je m'installe alors avec elle sur le canapé, en attirant Ellen dans mes bras. Tu m'as beaucoup manqué.

Tu t'étais impatientée c'est vrai. Après tout l'idée de venir directement chez lui c'était bien pour profiter au maximum de cette soirée. Au final, vous aviez perdu du temps mais en le voyant arriver, tu oubliais presque.  Ce mec te faisait vibrer. Sa voix te faisait du bien, homme viril qu'il était. Accueillant ses lèvres aux tiennes pour un tendre baiser, tu finissais par sourire, amusée par sa réplique, glissant tes bras à son cou. Beau parleur, à croire que tu avais prévu ta phrase d'accroche ! Tout y était quand on y pense. Il s'excusait, te flattait, et te rappelait qu'il était ravi d'être avec toi. Fallait-il préciser que c'était réciproque ? Certainement pas. Tu n'aurais pas attendu sinon. Je me sens bien dedans... c'est pas ce que j'avais prévu pour ce soir, mais t'as voulu te faire désirer, et j'avais froid. Encore un peu et tu te serais peut-être assoupie tant tu avais été bien dans ce sweat que tu portait par dessus la jolie petite robe spécialement achetée pour ce soir. Oui plutôt bien et toi, qu'est-ce qui t'a retenu ? Le suivant vers le canapé tu espérais qu'il n'y avait rien eu de trop important pour expliquer ce petit contre temps, et finalement tu souriais à sa réplique en t'installant à califourchon sur lui. Ah oui ? Beaucoup, comment ? Tes lèvres frôlant les siennes, tu ne résistais à l'embrasser, à te blottir contre lui. Sa carrure te plaisait tellement, tu te sentais bien à ses côtés, et sa maturité t'apaisait certainement.

J'aime beaucoup me faire désirer sa toujours était dans mon habitude, il faut dire, mais attention de ne pas le faire trop longtemps surtout quand on sort avec la sublime Ellen, quelque chose me dis que j'ai une petite surprise sous mes vêtements, est-ce que j'ai était assez sage pour le découvrir, est-ce que son impatience ne va pas me punir ? J'allais le voir dans peu de temps, je la regarde en souriant avant de lui répondre, on dirait que tu me connais très bien bébé, dis-je en plongeant mon regard dans le sien. Ah bon ce n'état pas ce que tu avais préparé chérie ? Dis-je en me mordant la lèvre, tu penses que je suis pardonné pour que je puisse retirer mon sweat pour découvrir ma petite surprise, dis-je en fessant une petite moue devant ma belle. Oui ça à était, dis-je en la regardant, est bien, j'avais des dossiers à terminer dans mon bureau, mais j'en avais assez, je voulais te retrouver. Puis la belle brune s'installe en califourchon sur moi, je la regarde avec une forte envie avant de lui chuchoter, manquer comme ceci bébé, dis-je en retirant mon haut pour me retrouver torse nue devant la belle brune. Je prolonge le baiser en profitant bien de la douceur de ses lèvres avant de l'embrasser délicatement dans le cou, puis-je lui retire le sweat en découvrant sa magnifique robe. Oh mon dieu bébé, tu es tout simplement divine, c'est pour moi cette jolie robe ? Dis-je en continuant de l'embrasser dans le cou, restant les yeux rivé sur sa belle robe.

C'est vrai que tu avais vite appris à le cerner, et tu aimais ça. Tu aimais aussi qu'il prenne le temps de se justifier, de te flatter, et de rassurer le temps d'une phrase sans que tu ne le réclames. Peut-être qu'un mec plus jeune n'aurait pas été aussi délicat face à un retard. Aaron était attentionné, mature et rassurant, tu adorais ça. Alors tu te serais contenté d'un sweat et d'un chignon du dimanche, toi ? Il était tellement parfait que tu ne t'étonnerait pas qu'il puisse se contenter d'un truc décontracté. Mais si tu pouvais être décontractée par moment, tu savais aussi être coquette, et tu devais bien ça à ton chéri. Il faut le dire vous n'aviez pas l'occasion de trop sortir, et tu t'en accommodais assez bien, mais en revanche tu faisais tout pour que même confinés chez lui vous puissiez profiter. Glissant ton index à ses lèvres alors qu'il faisait la moue, tu ajoutais. J'ai quitté le campus en début d'après-midi.. j'avais hâte aussi mais c'est mal de me faire attendre à cause de simples et misérables dossiers.. Loin de toi l'idée de le culpabiliser certes, mais tu en jouais. Il était tellement attentionné que tu pouvais te le permettre. Alors qu'il t'exprimait à quel point tu lui avais manquée en exhibant son torse, il t'offrait un baiser des plus plaisants, et tes mains très vite palpait sa carrure, ses épaules que tu adorais. Il en profitait pour te retirer ce fameux sweat tout en te distrayant grâce à ces baisers à ton cou, qui ne te laissait clairement pas insensible. Non la robe c'est pour moi.. pour toi c'est ce qu'il y a en dessous.. Avais-tu gentiment murmuré à son oreille, que tu taquinais de tes lèvres. C'est pas en étant assise à califourchon que tu lui exposerait ta robe, mais vous étiez comme occupé à vous bécoter. Tu crois qu'on arrivera à dîner avant ? As-tu dit amusé. Vous viviez cette idylle cachée, et la tension était toujours trop prenante.

Je ne sais pas si je peux me qualifier de petit ami idéal, mais apparemment, c'est une chose qui se fait rare dans le monde d'aujourd'hui, pour moi une femme s'est précieux, il faut en prendre en soin, je peux remercier mes parents pour cette éducation, pour moi, une femme ne devrais pas être malheureuse quand elle est en couple, elle devrait respirer le bonheur, alors je fais du mieux que je peux pour apporter de la joie à ma petite amie Ellen, quand je ne suis pas présent dans sa vie ou en retard dans un rendez-vous, je me dois de me justifier, de lui dire la vérité, car lui mentir ne sert à rien. J'adore être attentionné avec elle, il faut dire que la belle brune me le rend bien, j'adore lui glisser de joli mot doux au creux de son oreille, je la regarde en souriant avant de lui répondre. Oh
tu sais avec toi, tout me va, tu es tellement parfaite à mes yeux, dis-je en gardant le sourire, je te promets que je vais réussir à me faire pardonner durant cette nuit d'amour que nous allons passer ensemble, dis-je en me mordant la lèvre tout en continuant de lui embrasser le cou. Tu t'es offert une nouvelle lingerie rien que pour moi bébé ? Dis-je en sautillant comme un enfant, j'avais tellement hâte de lui retirer sa robe, j'aime quand elle était sexy pour moi, je ne vais pas me mentir, je la regarde à nouveau avant de poursuivre. Hum, je pense qu'on peut zapper le dîner bébé, dis-je en rigolant avec elle, je poursuis mes baisers sur son coup, je pose mes, mains sur son corps pour lui caresser avec envie, je commence à lui retirer le haut de sa robe en apercevant son joli soutif, hum dis-moi bébé qu'est ce que j'ai fait pour mériter autant de chance ? Dis-je en allongeant la jeune femme pour me mettre au-dessus d'elle afin d'être plus à l'aise pour lui retirer sa belle robe, je me mords une nouvelle fois la lèvre quand je découvre sa lingerie. Je ne sais pas quoi dire, je ne trouve plus les mots, tu es la perfection incarné, dis-je en collant mon corps contre le sien, je continue d'embrasser son coup en lui caressant sensiblement ses superbes jambes. J'ai très envie de toi...

Etre flattée c'était toujours agréable, certes, mais il fallait reconnaître que tu adorais la manière dont Aaron avait de te regarder. Il avait un regard sur toi tellement beau, tellement trop que tu pourrais aussi par moment finir par te sentir toute chose, presque intimidée. Alors quand il te disait qu'avec toi tout lui convenant tu souriais délicatement caressant sa barbe de quelques jours puis ses lèvres.Mmh, j'ai hâte. Je suis contente de passer toute la nuit avec toi, vraiment. Oui, il faut dire vous ne vous voyiez jamais à l'extérieur, c'est pour ça que très tôt vous aviez pris le parti de vous voir dans vos appartements respectifs et reste pour la nuit ça promettait toujours des moments sympas. Je savais que l'initiative te plairait, et je crois que mon professeur de statistiques ne m'en voudra pas, j'ai parfois du mal à définir mes priorités. Oui tu avais sécher le dernier cours de la journée pour faire plaisir à Aaron, professeur de l'université mais il faut dire c'était clairement ton homme. En ce moment, tu ne voyais que par lui, et tu étais très épanouie avec. Amusée, tu riais alors qu'il t'invitait à zapper le dîner, et tu te laissais déshabiller. J'aime autant dire qu'on commence par le dessert.. on dînera après. Oui tu avais attendu pour dîner, et tu tenais à manger en tête avec lui comme un vrai couple, mais le problème avec Aaron c'est que tu ne lui résistais pas. Alors quand il te demanda ce qu'il avait fait pour mériter autant de chances, tu ajoutais simplement à la recherche de ses lèvres, tout contre sa bouche. Chuutt.. Ta main à sa mâchoire masculine tu l'embrassais à ses lèvres alors qu'il te basculait sur le canapé pour te passer au dessus, taquinant sa langue de la tienne juste avant qu'il n'investisse son cou à nouveau de ses baisers. T'es vraiment indiscipliné.. Finissais-tu par dire en détachant sa ceinture, ouvrant sa braguette, et descendant son pantalon avec ta jambe puis ton pieds. .. mais j'adore ça, et j'ai envie de toi.. Là maintenant, tanpis vous ne feriez pas les choses dans l'ordre. Il t'avait cherché, il t'avait trouvé sans lutter, mais c'était l'effet qu'il te faisait. Mater le derrière musclé d'un professeur de sport c'était toujours agréable, toi tu avais l'occasion d'y glisser tes mains et déjà tu ne te privais pas.