Tu vas assurer, arrête de t'en faire. Je vais pas me gêner pour boire un bon petit verre, et merci pour les serpents, on va éviter qu'ils me bouffent, et honnêtement je pense pas avoir bon goût.
T'es vraiment un sale petit con, je suis gentil pour une fois. Mais à chaque fois j'oublie que t'es un petit gamin, mais ça va, j'aime bien ça, me semble.
Dommage que tu sois déjà loin, beb's. J'aurais pu le murmurer au creux de ton oreille.

Tu penses revenir quand ? Fin, tu vas pas rester des semaines et des semaines ? Ca me fait déjà chier de te partager dans ce sens.

Je peux passer chez toi ce soir ? Ou tu es encore pas rentré ? J'aimerais te dire certaines choses.

Flemme de bouger ? Je savais pas que t’avais la flemme de bouger pour moi.
Je peux venir ? Ou tu ne veux plus me voir ?

Tu peux arrêter de t’entrainer dix Minutes.

Laisse tomber.

Bien. J’viens dans dix Minutes.

( envoyé le samedi 19 janvier, quelques heures après la bombe. )

Jonah
j'espère que t'étais pas dans Boston cet aprem, j't'en supplie dis-moi que tout va bien
réponds-moi dès que tu peux, j'ai à te parler.

dieu merci.
j'ai reçu des éclats de métal dans les jambes, ils m'ont enlevés tout ça, j'ai mal mais ça va.
par contre je vais pas te mentir, Lara... elle s'est faite bien plus touchée. ils l'ont de suite emmenée au bloc quand ils nous ont transférés, mais j'ai pas de nouvelles pour le moment, je flippe.

Jonah... Tu l'as pas vu sur le sol, les yeux fermés. Pendant un instant, j'ai cru qu'elle était morte. Alors elle est peut-être toujours au bloc, et on a pas de nouvelles, mais je suis sûr qu'ils font tout pour qu'elle s'en sorte. J'ai insisté jusqu'à ce qu'ils acceptent de me donner une chambre avec elle, si tout se passe bien, tu pourras la voir en me visitant comme ça.