the more we distance ourselves, the more I desire you. // @ZACHARY E. LANNING ※※※ Allongée sur mon lit, observant le plafond depuis une heure environ en essayant de me sortir le voisin de l'esprit. Je ne cesse de me refaire en boucle ce super week end que l'on a passé tout les deux. Le plaisir que j'ai eu à être auprès de sa famille, comme si pendant quarante huit heure j'en avais eu une moi aussi. Zachary était un garçon fantastique et plus j'apprenais à le connaître et plus je m'attachais à lui. Je faisais de mon mieux pour mettre de la distance, mais il avait réussi à me chamboulée totalement au point que je savais plus vraiment où j'en étais. J'étais revenue avec la conviction que je ne m'attacherais plus à personne et je l'avais rencontré. Auprès de lui, j'oubliais celui qui avait brisé mon cœur au point de ne plus jamais faire confiance. Alors après cinq jours sans lui, il me manquait atrocement et je me décidais à lui écrire un message. Quand il répondit, j'hésitais un moment avant de lui dire réellement comment j'allais. Puis finalement, je jouais la carte de l'honnêteté pour découvrir que je lui manquais moi aussi. Je n'avais qu'une envie c'était sortir d'ici et aller le rejoindre, me jeter dans ces bras. Finalement, quand Zach me fit comprendre qu'il en avait lui aussi envie, malgré tout ce qu'on s'était déjà dit, je réfléchissais pas. Je jetais mon téléphone sur le lit et je partais en courant, traversant le salon pour rejoindre l'entrée pied nue. Je ne prenais pas la peine de frapper, j'entrais et il était là debout face à moi. Je me pinçais les lèvres nerveusement et un sourire glissa sur nos lèvres. « Tu pourras plus faire marche arrière après ça.. » Dis-je en faisant quelques pas vers lui, en ne quittant pas ses yeux jusqu'à ce que je me jette finalement sur ses lèvres. En retrouver le goût salé me fit frémir, pressant mon corps contre le sien c'est avec avidité que je le désirais. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine et je souriais malgré moi contre ses lèvres.

the more we distance ourselves, the more I desire you. // @Elbeth Cartwright ※※※ Ce week-end avait juste été dingue, je pensais que j'allais souffrir par la présence de mon paternel mais absolument pas, en plus avec Beth c'était juste parfait, on s'était considérablement rapproché et je dois dire que je me sentais vraiment en confiance. Cela faisait un bout de temps qu'une femme ne m'avait pas autant touché, je me sentais vivant en sa présence, je me sentais moi-même mais j'avoue que depuis que nous étions rentré, il n'y avait plus grand-chose. Aujourd'hui était un jour banal, un jour de boulot, des factures à payer, une journée complètement ennuyante jusqu'à ce SMS. Elle. Beth m'envoyer un texto, puis deux, trois, on se mettait à discuter et je dois bien avouer que je ne pouvais pas m'empêcher de penser à elle, de penser à un potentiel nous deux, là mon boulot ne comptait absolument pas, ni même ma famille rien, ce que je voulais c'était qu'elle vienne me rejoindre chez moi. Je n'allais pas lui dire plus que ce que je venais de faire, je voulais qu'elle laisse parler son coeur, qu'elle ne soit pas influencée par moi entrain de lui demander de venir alors quand ma porte s'ouvrait, je peux vous dire qu'un sourire se dessinait sur mon visage. Elle était là face à moi puis après les quelques mots prononcés, ses lèvres rencontraient les miennes. Je n'allais absolument pas la repousser, je la voulais c'était une certitude, tout ne serait pas si facile mais on verra plus tard, pour l'heure, mon coeur était bien trop heureux. Mes bras s'enroulaient autour d'elle, la serrant fortement contre moi, je sentais son sourire durant son baiser, tout comme elle devait sentir le mien. "Tu es certaine?" demandais-je en posant mon front contre le sien. Je la lâchais pas, hors de question de faire la même erreur que l'aéroport.

the more we distance ourselves, the more I desire you. // @ZACHARY E. LANNING ※※※ Je marchais à l'instinct depuis tellement d'années que parfois il m'avait joué des tours, mais aujourd'hui il fallait que je lui parle que je m'excuse d'être celle que j'étais avec ces peurs et ces doutes. Je voulais qu'il tente de me comprendre et qu'il soit patient avec moi parce que même si j'étais pas prête à m'engager dans une relation de couple de peur de souffrir encore une fois, la chose dont j'étais certaine c'est que j'étais entrain de craqué pour lui. Je n'arrivais plus à me sortir de la tête qu'il me remplace, qu'il me laisse à cause de ce que je lui faisais vivre. Là tout ce qui comptait pour moi c'était de pouvoir être auprès de lui, dans ces bras. Alors avec son autorisation, je filais le rejoindre sans me poser plus de questions. Je voulais laissé libre court à mes envies, à la passion qui l'animait en moi. Zach avait tout bouleversé en moi et j'étais pas prête à y renoncer même si je savais que ça serait pas toujours facile parce que je ne pourrais sans doute pas tout avoir. Seulement, je ne voulais pas y penser maintenant, quand je le vis ça me parrût une évidence et je venais l'embrasser. Pour une fois y avait plus de doute à avoir, ou de réserve juste me laisser aller. Pressé contre lui, je savourais ce baiser qui semblait interminable tant il avait été attendu depuis des jours. Ma main qui se perdait dans ses cheveux pour glisser sur sa joue avec tendresse quand enfin je reprenais mon souffle. Je parvenais à ouvrir les yeux, sentant le souffle chaud de sa respiration contre mes lèvres et je souriais timidement. « Y a plein de chose dont je suis pas certaine, mais ce dont je suis sûre c'est que je ne veux plus jamais ressentir ce manque que tu procures en moi Zach. » Le reste, il allait falloir du temps pour savoir ce qu'ils allaient faire de tout ça, surtout de savoir ce qu'elle désirait réellement parce que dans le fond elle le savait, Zach voulait quelque chose de stable.

the more we distance ourselves, the more I desire you. // @Elbeth Cartwright ※※※
Pour la première fois depuis un moment, un baiser m'avait fait perdre complètement la tête, je me sentais débile de frissonner, de me sentir fébrile, je l'avais tellement apprécié que quand nos lèvres se descellaient je ressentais le besoin de l'embrasser encore. Ma question était importante, j'avais peur qu'elle fasse tout ceci sur un coup de tête, niveau sentiment nous étions complètement différents, elle ne voulait rien de stable, moi j'en avais fini avec les histoires d'un soir mais je crois qu'on partait sur la bonne voie, Beth n'était pas une fille de passage, mon coeur me le disait clairement. "Je serais là." Lâchais-je avant de l'embrasser de nouveau, ce baiser était beaucoup plus intense que l'autre, la plaquant contre le mur de la cuisine avant de lâcher ses lèvres pour embrasser des parcelles de son cou. "Ok peut-être qu'on devrait..." Je me mis un peu à rire, je m'attendais absolument pas à ce qu'elle me procure cet effet, pour tout avouer, Beth était une belle femme, le genre de femme qui finissait dans mon lit, seulement avec ce qu'elle avait vécue, j'avoue que je ne voulais pas forcer le destin. "Je rêve où tu es pieds nus." dis-je en baissant les yeux, je me mettais un peu à rire alors que ma main poussait une de ces mèches derrière son oreille afin de libérer le bleu de ses yeux que j'adorais dévorer. "Dis moi si tu veux que j'arrête." Je l'embrassais de nouveau, ma main glissait sur sa hanche puis sur sa cuisse pour qu'elle puisse nouer ses jambes autour de moi, je faisais glisser le tissus de son débardeur sur son épaule avant de lui retirer complètement pour embrasser la naissance de sa poitrine et la porte jusqu'au canapé. Ok j'étais foutu, je savais à cet instant que je m'attachais beaucoup trop à elle pourtant j'y allais tête baissé.

the more we distance ourselves, the more I desire you. // @ZACHARY E. LANNING ※※※ Tout ce qui était entrain de se passer, je l'avais voulu et j'avais attendu ce moment depuis une semaine. Zach me laissait croire que j'avais peut être une nouvelle opportunité de laisser un homme entrer dans ma vie. De cesser de croire qu'il finirait tous par m'abandonner. Je voulais croire en lui et je voulais vivre ce moment. Malgré nos différences et nos divergences d’opinion, nous voulions tout les deux la même chose être ici. Je savourais le goût de ses lèvres jusqu'à mettre fin à ses craintes. Nous en avions tout les deux, mais celui d'être tout les deux ce soir me semblait évident. Il me rassura à son tour et j'eus un petit cri lorsqu'il me plaqua contre le mur, bon sang ça fit bouillir mon sang, je pouvais sentir claquer mon pouls. Il éveillait en moi énormément de passion et j'amplifiais ce nouveau baiser en venant jouer avec sa langue sensuellement, laissant mes doigts glisser sous son haut pour sentir ses abdos. Cet homme n'était pas humain. Ses lèvres dans mon cou me firent frémir et je lâchais un soupir d'aise. Je savourais chacune de ses caresses. « Qu'on devrait quoi ? » Demandais-je amusée alors que nous étions tout les deux animés par cette envie féroce de sentir nos corps l'un contre l'autre. Je me doutais que savoir mon passé pouvait lui mettre des barrières, mais au contraire je voulais qu'il me touche et qu'il soit différent des autres. Je ne pus m'empêcher de rire à mon tour en réalisant que j'étais parti sans mettre de chaussure. « Oh ça.. oui je crois que je me suis un peu trop précipité jusqu'ici. » Retrouvé ces lèvres étaient une délivrance, je me délectais du plaisir qu'il me procurait. Enroulant ma jambe autours de sa taille, je pouvais sentir mon bassin contre le sien et ça faisait que faire monter la température. Me laissant entraîné sur le canapé, je venais l’accueillir entre mes cuisses. « Ne t'arrête pas. » Murmurais-je en accrochant son regard quelques instants. Je savais pas dans quoi je mettais les pieds, mais j'étais entrain de m'engouffrer dans une relation qui aurait sans doute raison de moi tôt ou tard. Mais là je m'en fichais, tout ce qui comptait c'était nous deux. Je revenais à la charge de ces lèvres avec passion, l'enroulant de mes jambes je venais bouger mon bassin contre le sien avec envie. Doucement je venais faire remonter son t-shirt pour le lui retirer et admirer sa musculature en me mordant la lèvre.

the more we distance ourselves, the more I desire you. // @Elbeth Cartwright ※※※
Ce soir était le tournant de notre relation, il n'y avait pas de retour en arrière possible et je n'en voulais aucun. Désormais allonger Sur le canapé, je ne cessais de l'embrasser frissonnant malgré moi quand ses mains passaient sous mon t-shirt. Pour tout vous avouez j'avais toujours eu du mal avec mon corps, je ne le montrais pas, jamais mais les cicatrices présentes avaient toujours eu tendance à faire naitre de la pitié et un complexe. Certes j'en avais beaucoup, énormément mais cgacunes faisaient partie de moi, de mon histoire et alors que je l'embrassais toujours en jouant de ma langue je finissais par me décrocher de ses lèvres pour venir au même pied d'égalité qu'elle sait à dire torse nu. Je la regardais, quoique le mot le plus convenable c'était plutôt que je la dévorais du regard, j'avais qu'une envie et c'était de la faire mienne. De sentir chaque parcelle de sa peau nue contre la mienne, de sentir son souffle s'hurter contre mon cou, ces idées me faisaient encore plus frémir, me rendait encore plus impatient. Avec hâte je retirais son bas le faisant glisser le long de ses longues jambes, pour le moment rien ne me laissait croire qu'elle ne voulait pas tout ceci au contraire je crois qu'elle était tout aussi impatiente. À ses pieds, je finissais par retirer mon jean rapidement pour partir embrasser la naissance de ses cuisses, un baiser sur son sous-vêtement en dentelle et je remontais. J'avoue l'appel de ses lèvres était bien trop fort, Beth n'était pas en reste, elle avait tendance à m'emprisonner entre ses jambes collant son bassin contre le sien en se mouvant, je perdais bien trop facilement pied en la sentant faire ça contre moi, je réagissais beaucoup trop aussi mais après un basé langoureux la seule chose qui m'appelait c'était sa poitrine à qui je ne laissais aucune chance d'échapper aux assauts de ma bouche.

the more we distance ourselves, the more I desire you. // @ZACHARY E. LANNING ※※※ J'étais mordue de ce type, droguée depuis que j'avais passé quarante huit heure avec lui. Maintenant, je me mettais à pensé à lui tout le temps, à me demander si il voyait d'autre femmes ou bien alors je ressentais un terrible manque. Zachary était comme une nécessité un besoin dans ma vie chaotique, elle partait en vrille et si j'avais songé à partir pour ne plus jamais revenir, il avait tout remis en question. L'appel de ces lèvres étaient de plus en plus forte, je ne parvenais plus à les lâcher même une minutes. Son corps m'attirait et je faisais pression contre lui. Nos bassins se caressaient avec envie, tandis que ses lèvres sur ma peau me faisait frémir. Je me cambrais basculant la tête en arrière pour en savourer tout le plaisir. Il me rendait folle. Nos deux corps marqués par les blessures du passé, je sentais ses doigts frôlé mes cicatrices quand je faisais pareil avec les siennes. Je ne ressentais aucun malaise avec Zach parce qu'il savait déjà tout de moi et ça rendait les choses plus facile. Je me mordillais la lèvre en le regardant me déshabiller et en faire de même avec son pantalon. Comme un homme pouvait il être sculpté avec autant de perfection. Ses baisers ne faisaient qu'accroître les soupirs qui s'échappaient d'entre mes lèvres à présent. Revenant à l'assaut de mes lèvres, le baiser était torride, la chaleur de pus en plus étouffante. Je gémissais à l'exploration de ma poitrine. Mes mains glissaient dans son dos et jusqu'à ces fesses que je pressais contre moi. Je n'en pouvais plus j'avais envie de lui, d'être lié à lui dans la plus grande intimité. Je déposais des baisers sur sa peau et remontait jusqu'à ces lèvres. « Tu me rends folle. » Murmurais-je à son oreille d'une voix suave à présent.