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I LOVE HARVARD
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    And juste like that ‡ Niels
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    Lien du postSam 1 Déc - 23:08
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    La vérité est insupportable. L'affront de trop. Qu'il puisse s'être épanché auprès d'une personne comme toi le hérisse jusqu'au tréfonds de son être. Tu le sens et goûtes une certaine amertume entre tes lèvres. Personne ne peut comprendre la complexité de tes facettes. Pas même toi Deirdre. Le cyan de tes orbes se fige lorsqu'il te coupe abrupt. Tu ne peux l'endormir par le verbe ou même par tes traits flatteurs, tu le sais. Sa haine vient bousculer le peu de sincérité dont tu es capable. Tu sens tes griffes démanger le laiteux de ta peau et prédit qu'une attaque serait facile. Mais tu y perdrais tout pauvre enfant. Tu ne lui offres pas le mal qu'il te fait sur un plateau. C'est pourtant mérité. Mais tu encaisses. Parce que c'est la seule chose que tu sais faire en bon pantin que tu es. Sois forte. Souris. Sois digne. Ne fais pas pitié et encore moins honte. Ton menton se relève comme pour parer symboliquement le coup qu'il te met. Tu ne parles pas. Tu ne le peux. Parce qu'alors, le timbre de ta voix habituellement si posé trahirait le vacillement qui s'attise à chacun de tes souffles. L'air se fait plus court entre tes poumons. Tu poses le verre que tu termines d'un trait, on ne perd pas une goutte de cet arsenic pour sang. Tu te diriges alors vers la sortie, contourne l'endroit pour aller vers l'arrière de l'établissement. Tu t'allumes un clope parce que tu sais qu'il débarquera tôt ou tard. Parce que tu sais que sa colère agira de nouveau contre toi. Parce que tu la désires presque, parce que tu te prépares à l'accueillir, tu te prépares au feu. Mais un incendie sans témoin, a bien plus d'intérêt. Il te brûlera toute entière et peut-être alors qu'après tu ne sentiras plus Deirdre. La douleur que tu portes.
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    Lien du postMer 19 Déc - 16:35
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    Tu serres les dents, tu l'observes se barre comme tu l'avais si gentiment imposé. Tu ne savais pas comment réagir, tu ne savais pas comment l'accepter. L'idée de t'être fait tromper te donner l'envie de gerber, de tout casser. Il était inconcevable pour toi de t'être fait berner, si facilement, si aisément. Tu secouais ta tête, tentant d'éjecter plus rapidement toutes ces pensées qui t'assaillaient. Qu'elle aille en enfer, et puisses-tu ne jamais revoir son visage pâle et ses yeux océans. T'aurais dû le voir venir, lors de votre première discussion. Ses iris t'avaient marqué lors de ce gala, ils étaient plus froids que le marbre. La chaleur et la détresse de ces derniers avaient eu raison de toi, sans compter la fumée de vos cigarettes qui s'entremêlaient. Tu te prenais un shot de whisky, t'avais besoin d'un remontant afin de continuer sans trop penser. Tu soupirais, reprenant ton service et rejoindre une nouvelle frénésie. Ton patron te demandait de sortir les poubelles, chose que tu t'apprêtais à faire. Cela signait toujours la fin de ton service, tu te pressais de la fermer et de t'en aller. Du temps libre, t'en avais besoin afin d'te vider la tête. S'remplir le crâne par des substances ici et là, comme à ton habitude. Clope au bec, elle n'attendait que d'être allumée. Le vent extérieur saisissait ton corps, tu rameutais ta capuche sur ta tête. T'allumais ta cigarette, t'ouvrais la benne à ordure et t'y jetais la poubelle sans grande difficulté. Tu ne manquais pas, par maladresse, de faire tomber ta cigarette dans une flaque d'eau. Putain. Tu prenais soin de la jeter, elle aussi. T'en sortais une nouvelle, et lorsque tu l'allumais, tu sentais un regard. Tu te retournais, tu l'observais. Tes sourcils se fronçaient, et tu faisais volte face avant d'entamer ta marche.
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    Lien du postJeu 27 Déc - 22:04
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    T'en es réduite à errer sur le trottoir Deirdre. Ombre parmi les ombres, ta silhouette gracile et hautaine tranche avec la macabre de l'endroit. La prestance est là mais l'envie est absente. Tu restes ainsi en silence de longues minutes. L'orgueil te crie de déguerpir de là, de ne jamais tenter de l'approcher à nouveau. C'était une erreur puérile, une crise passagère. L'ancienne Toi n'aurait jamais poussé sa soumission jusque là. Puisque c'est ainsi. Tu portes le poison à tes lèvres exsangues pour mieux l'expier. Tu veux te confronter à lui sans fards ni artifices. Tes billes incandescentes se laissent happer par le songe tandis que tu effectues ce geste machinal. Iris t'a bien appris les bases de l'auto-destruction. Tu l'aperçois bientôt entrain de sortir les poubelles. Tu soupires, ne sachant que faire. Ton corps décide pour toi et s'approche furtivement. Il fait tomber sa première clope en rallume une seconde et te voit. Tu n'observes que le mépris dans ses prunelles sombres et c'est dos faisant volte-face que tu contemples bientôt. « ça n'effacera pas ce qu'il y a eu entre toi et moi. » Que tu choisisses la fuite et le mépris, ça n'effacera pas nos confidences de laissés pour compte là dans l'arrière cour du Nirvana. J'étais l'oreille attentive comprenant tes écorchures et tu étais la mienne, nous nous sommes mutuellement pansés que tu l'aies voulu ou non. « Je t'ai connu plus courageux. » Plus en colère aussi, ta lèvre balaie un rictus d'affront. Parce que tu préfères encore essuyer sa colère que son indifférence. Tu préfères exister dans son enfer que l'emporter au paradis.
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    Lien du postDim 6 Jan - 14:29
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    Tu tournais le dos parce qu'il était plus simple pour toi de fuir, de te casser sans tirer un mot de plus. T'affrontais toujours tes peurs, t'affrontais toujours tes erreurs, t'affrontais toujours la vie malgré le mal qu'elle t'avait fait. Seulement là, c'était trop. Trop pour ton corps fatigué, trop pour ton esprit décontenancé. T'étais agacé de constater que tu t'étais trompé, si facilement trompé. Tu l'appréciais, Iris. Et tu la détestais, Deirdre. Tu ne comprenais pas comment elle pouvait être deux faces si différentes l'une de l'autre et pourtant n'être qu'une seule et même pièce. C'était impossible, tu ne pouvais pas le concevoir, tu ne voulais pas l'accepter. Ses mots tranchaient la nuit, tu soupirais, exaspérais. Tu ne voulais pas répondre, seulement la rage grandissait, elle la nourrissait. "Il ne s'est rien passé entre toi et moi". Tu criais, c'était démesuré, inapproprié. Ça te trahissait, Niels. "Je me souviens de rien, t'es contente ? J'ai déjà tout oublié, t'existes pas. T'as jamais existé, regarde, t'es qui même ?". Grand enfant, meurtri. Tu ne parlais jamais de Lili, tu la gardais enfouie au fond de ton corps, de ton coeur, de ton âme. Elle était toute à toi, éternelle, secrète. Iris en avait entendu parler, c'était bien la première. Seulement elle aussi, elle était partie. A tout jamais. Iris n'était plus au Nirvana, toi non plus d'ailleurs. Que Deirdre pourrisse en enfer. "Je veux aucune réflexion de ta part. Je t'ai connu plus honnête". Partagé entre l'idée de la voir crever et l'idée d'accepter cette part d'humanité qu'elle avait, certains soirs, sous un masque, sous le clair de lune. Tu te retournais, tu marchais, tu fumais, tu trébuchais, tu te retournais. "Ça fait quoi d'avoir tapiné pour pouvoir manger ? Hein ? Ça fait quoi d'avoir joué la catin le soir pour feindre être une princesse une fois le soleil levé ?". Tu la toisais, regard mauvais. Allez, crache ta version, ta vérité. Dans tous les cas, tu la mépriserais.
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    Lien du postDim 6 Jan - 20:36
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    Tu le provoques parce que c'est la stratégie du désespoir. Il a beau te détester, pas vouloir de tout ça, ça a bel et bien existé entre lui et toi. Il se pense berné par la disparition d'Iris, mais c'était bien toi sous ce masque. Alors tu te figes légèrement face à son cri. C'est ça de vouloir jouer avec le feu Deirdre. Il crie et ça te brise un peu plus mais tu montres rien, tu restes fière. T'es prête pour la tempête qu'il s'apprête à t'envoyer. T'envoies la clope agoniser là sur le sol et elle a un sort bien plus envieux que le tien, faut être honnête. Il s'éloigne de toi. T'as joué, t'as perdu Deirdre. Tu le vois tituber et t'envoyer cette dernière attaque. Tu sens le feu s'emparer de toi aussi, s'emparer de ta glace, tu le rejoins en quelques enjambées. Tu attrapes son tee-shirt et tu le plaques contre son mur. Ton regard est froid. Ton regard le supplie. T'aimes pas qu'on te confronte à cette réalité que t'as efforcé de repousser. « Je pensais que tu saurais toi. » Ce que ça fait ouais. De devoir s'abaisser à plus bas que terre, d'évoluer au milieu des ténèbres depuis le départ, d'avoir que soi pour s'en sortir. « Parce que quoi, y'avait que les billets qui nous séparaient avant ? Et maintenant que je les ai récupéré, je suis plus fréquentable. Tu te rappelles de cette fille d'il y a des années. » Celle qui t'a provoqué, t'a fait viré. T'as pas compris qu'elle se défendait, qu'elle hurlait en vrai ? Comme toi Niels. « Tu connais pas les gens qui attaquent pour se défendre ? Tu connais pas les gens qu'ont rien que le vide pour s'élever au milieu de la meute ? Je croyais que tu saurais ce que ça fait pourtant. » Et vous avez partagé ça souvent, le vide, l'absence, qu'importe de qui, vous êtes seuls tous les deux, avec cette angoisse sourde d'un nouvel abandon. Et il te lâche là en fait alors que tu t'exposes, il te piétine sans davantage d'égards pour ce paradoxe qui te représente. Tu relâches ton emprise avant qu'il t'en mette une, tu sens l'eau venir border tes cils, la rage aussi. Tu le regardes bien en face parce que tu veux voir son regard quand il va te rejeter pour de bon. Tu veux voir le courage qu'il va mettre dans cette entreprise de destruction que tu représentes.
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    Lien du postDim 6 Jan - 21:42
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    Tout était démesuré Niels, tu ne savais plus si tu devais rire ou pleurer. Pourquoi tu te mettais dans un état pareil ? Était-ce la sensation de perdre l'inconnue à qui tu parlais, tard le soir, partageant cigarettes et sentiments ? Ou simplement l'accumulation, la frustration, la déception. C'était flou à tes yeux, c'était excessif, tu ne savais plus comment prendre les choses. Pourquoi ne pas simplement l'ignorer, pourquoi agresser, pourquoi hurler. Pourtant elle montait en toi, la haine. La boule grandissait, tout allait exploser. Et ça tachait les murs de briques, ça éclaboussait partout, même sur elle. C'était chaud, c'était froid, c'était dur, c'était mou, c'était une multitude de contrastes mais les mots sortaient, tranchaient. Tu ne contrôlais plus rien, Niels. Et elle arrivait derrière toi, elle te plaquait contre un mur. Ta tête cognait, mais la douleur ne te saisissait pas. Tu secouais ta tête, essayant de contrer les mots qui parvenaient à tes oreilles. Tu ne voulais plus rien entendre, tu voulais qu'elle disparaisse. A vrai dire, tu voulais oublier tout ce qui était entrain de se passer. Tu ne voulais pas de la vérité, pour une fois, tu préférais un mensonge. Tes yeux se plantaient dans les siens, coléreux, fiévreux. Tu restais silencieux, collé contre ce mur. Tu la toisais, t'écoutais, quand bien même tu préférais filer. T'hésiter à la frapper, putain qu'est-ce que tu en avais envie, Niels. Prendre son visage et l'éclater, elle et ses larmes que tu ne souhaitais pas voir. Cela signifiait donc qu'elle aussi, elle éprouvait des émotions. T'étais tellement borné que tu ne voulais pas voir quelque chose de simple, même les gens riches souffraient. Et ouais, tu pourrais comprendre Niels. Seulement, le choc est trop grand pour aujourd'hui. Peut-être que d'ici quelques temps, tu pourrais comprendre. Peut-être, un jour, mais pas maintenant. Le temps de la démesure était à son comble, l'excès, la tornade qui s'était enclenchée était trop virulente. La pression relâchait, et tu ne perdais pas plus de temps. Tu te dégageais d'un coup d'épaule, t'extirpant tel un animal félin enfermé pendant trop longtemps. Tu la toisais toujours, faisant les cent pas, puis finalement... Tes mains attrapaient ses épaules, c'était à ton tour de lui coller le dos à ses briques glacées. Une main sur le buste pour la coincer, l'autre qui venait encercler son cou, sans grande pression. Tu tenais son visage, tu voulais lui faire peur, tu voulais qu'elle te supplie de partir. Jusque là, ses yeux t'appelaient, ses yeux te quémandaient. Tu voulais la voir fuir, oui. "Toi et moi on vient pas du même monde. Maintenant, tu vas m'oublier et dégager de ma vie. Les menteuses comme toi ne méritent aucune attention". Et ses jolis iris bleutés, tu les regardais, une dernière fois. Putain Niels, comment tu ne l'avais pas remarqué dès la première seconde où elle avait franchi ce bar ou la première discussion sur le trottoir. Tu lâchais tout, et tu reprenais ta marche.
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    Lien du postLun 7 Jan - 22:52
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    Tu peux lire la colère dans ses yeux, cette espèce de fièvre dans ses yeux. La douleur. De s'être trompée sur ta personne. De s'être exposé à ce qu'il juge être une Ennemie. De s'être livré à tout ce qu'il rejette. T'es bonne qu'à semer la douleur Deirdre. Partout où tu passes, des doigts trop gracieux et de tes billes trop pâles. Tu trompes les apparences, tu nourris l'énigme. Mais pas avec lui non. Tu as choisit dans ta haine un allié, un écorché aux plaies béantes qui nourrit ses failles des tiennes. Mais c'est trop pour lui. C'est la tromperie qui culmine, c'est la rage qui remonte. Et ses mains t'attrapent, et ses mains sévissent. Tu n'as pas peur non. De sa violence. C'est tout ce que tu mérites. Tu sauras Niels que je redoute davantage la tendresse, la douceur. La violence, j'ai grandi avec. Comme toi. Mes billes posées dans les tiennes, l'océan dans ton encre. Tu sens l'emprise de ses mains colériques sur ta gorge exsangue qui ne tarde pas à marquer la violence de son geste. T'es stupidement fragile Deirdre. Il te commande, il t'ordonne de t'oublier. Mais on ne te commande pas toi. Tout comme on ne le commande pas lui. « Je vais pas t'oublier non. » Que tu murmures simplement alors que son regard acéré se pose sur tes yeux trop cléments. Tu devrais le détester, le rejeter à ton tour, mais tu peux pas Deirdre. Tu peux pas oublier cette épaule qu'il a été quand t'avais personne pour entendre le tourment qui gronde souvent à l'intérieur de toi. Il est le seul à le comprendre, à le vivre souvent. Le seul. « Et je sais que tu le feras pas non plus. Qu'importe à quel point tu me détestes. » Et il s'éloigne de ta personne. Il te laisse là haletante dans cette ruelle sombre, brisée, repoussée, l'ombre de Deirdre et même l'ombre d'Iris. L'agonie de ce lien si unique qui s'était tissé entre vous. Il existe malgré tout. On ne peut pas effacer une écorchure sur le blafard de ta peau et pas même sur la sienne. « Je te connais Niels, oublie pas ça ! Je te connais. Vraiment. » Que tu lances à sa silhouette fuyante et déjà plus lointaine. T'es désespoir et pathétisme, t'essuies qu'un rejet de plus sur ta montagne déjà bien élevée. Tu culmines au sommet de celle-ci. Douleur. C'est tout ce que tu sèmes.

    THE END
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