Poppy n'aurait pas pu laisser la situation empirer de cette manière. Non seulement sa meilleure amie méritait qu'on la traite telle une reine, mais en prime, quiconque lui faisant du mal aurait le droit à se payer la colère de l'américaine multipliée par dix. Cette dernière possédait beaucoup de frustration et de problèmes insolubles la rendant particulièrement hargneuse ces temps-ci, par conséquent, c'était pleine d'énergie qu'elle venait de passer prendre sa meilleure amie, dont le stress se sentait à des kilomètres. Pas étonnant... avoir l'impression de jouer son existence sur une seule relation... elle connaissait. Du moins avait-elle connu, il fut un temps, où tout était encore simple. Mais la jeune maman partait du principe qu'à l'heure où elle parlait, seul son fils comptait, ainsi que la charmante demoiselle pour laquelle elle avait imaginé un subterfuge pas piqué des hannetons. Hey ma chérie ! s'exclama-t-elle en lui embrassant la joue, parfaitement naturelle, pas stressée pour un sou de son côté. N'aie crainte, je ne suis pas une tortionnaire quand même ! Je veux juste qu'il sache que tu n'es pas juste un morceau de bidoche ou bien une poupée sans émotion, qu'il peut trimballer sans tenir compte de tes sentiments... Ceci étant, Poppy comptait bien respecter le désir de sa meilleure amie, qu'elle serra doucement dans ses bras avant de se diriger vers le fameux Julian, qui n'avait que trop joué avec les sentiments d'Elisa. Cela cessait aujourd'hui. Julian ? Je viens de la part d'Elisa... elle ne va pas venir tout de suite, je veux te parler un peu d'abord. Elle m'a demandé de te préciser qu'à la fin elle voudrait te voir, mais... je voudrais que tu te rendes compte que jouer au con avec une personne en or comme ça, c'est prendre le risque quasi certain de la perdre... t'en as conscience ? Pour le moment, c'était encore soft. Il fallait bien qu'il se défende...

Ce matin, je me réveille brusquement comme toutes les nuits depuis plusieurs semaines, je ne dors pas beaucoup à peine quelques heures, je ne mange pas beaucoup non plus, il faut dire que quelque chose de lourd me tracasse, en effet en ce moment je pense énormément à Elisa, elle est sans cesse dans mes pensés, mais surtout dans mon coeur, je n'arrive pas à oublier la jeune femme, je pense que j'ai fait une grosse erreur en la laissant tombé comme une malpropre sans donné de nouvelle par la suite, je pense également que je ne mérite pas une fille comme Elisa, mais voilà je suis, encore amoureux d'elle, c'est compliqué pour moi d'être loin d'elle, je sais que je lui est fait du mal, je m'en veux, je m'en suis mordu les doigts durant cette longue absence dans la vie de la jeune femme. Je sais que sa va être très dur pour moi de la reconquérir, mais je crois en nous je crois en notre histoire, c'est pour cela que je lui avais envoyé un sms pour lui dire que j'avais très envie de la retrouver, c'est dingue comme elle me manque, son rire, l'embrassé être auprès d'elle tout simplement. C'est simple elle hante mes pensés. Mon retour sera certainement très tumultueux, mais je suis préparer à cela, après tout l'amour peux tout combattre non ?
Faire mon retour à Boston était très compliqué, car j'ai du laissé ma mère souffrante, mais elle va mieux, ce n'est rien de grave, mais elle était tout de même mal au point, je sais qu'elle ne sera pas seul, je sais qu'elle aura du soutiens celle de ses sœurs, je leur fait confiance à mille pour-cent, c'est pour cela que je suis revenu tranquille à Boston.
Elisa, m'a donné rendez-vous dans un café, j'avoue que je suis assez stressé de revoir la jeune femme, mais j'ai tellement hâte de la revoir, même si a première approche, elle ne sera pas très contente de me retrouver, mais en même temps, je la comprends très bien.
J'attend donc la jeune femme, j'étais déjà présent, j'étais sous pression, je ne veux pas faire de nouveau un faux pas avec elle. Puis d'un coup, je vois surgir une femme que je ne connais pas certainement une amie d'Elisa, je comprends qu'elle est peur. Je comprends qu'elle est besoin de protection de la part de son amie, je la regarde, avant de lui répondre. Bonjour, puis tous les deux, on s'assoit pour mieux discuter ensemble. Enfin, j'ai plutôt l'impression que je vais en prendre pleins à la tronche, mais je l'aurais bien mérité. Je sais, je m'en veux, je regrette d'avoir agi ainsi avec elle, j'aimerais me rattraper, je ne ferais plus d'erreurs avec elle, je voudrais m'excuser auprès d'elle. Je la regarde en attendant ce qu'elle à d'autres à me dire… Je regarde au tour de moi, pour voir si je n'aperçois pas Elisa quelque part…

Bon côté défense, clairement on repasserait. Poppy le toisait avec un rien d'incompréhension dans le regard, ne sachant pas si elle devait lui cracher tout de suite à la figure, le secouer jusqu'à ce qu'un billet de cent dollars n'en tombe ou bien, en dernier recours, lui offrir la chance extraordinaire de parler avec Elisa. Après tout, sa meilleure amie était assez grande pour sortir ses propres armes en cas de besoin mais l'américaine ne savait que trop bien à quel point les hommes pouvaient être vils et savoir attendrir le cœur de la plus intransigeante des femmes... l'actrice en étant, hélas, la preuve vivante. C'est tout ce que tu as dans le ventre ? lâcha-t-elle dans un sourire en coin, pas franchement convaincue. Il allait devoir montrer pâte blanche devant sa potesse adorée sans quoi la jeune maman risquait de jouer les louves avec elle, dans le but unique et ultime de la protéger. Va falloir faire un peu mieux que regretter, pépito... non parce que là, j'entends surtout des mots. Des mots et rien d'autres. Tu es peut-être sincère d'avoir mal agi avec elle, mais tu as pensé à ce qu'Elisa a ressenti quand tu l'as sciemment mise de côté ? Elle, qui n'attendait qu'un peu de ton attention ? Je vais te dire une bonne chose : pour cette fois seulement je vais m'écarter parce qu'elle veut te parler et parce que je respecte profondément sa volonté... mais tu lui fais du mal encore une fois, même en oubliant juste de lui dire bonjour, et l'enfer de Dante paraîtra une partie de plaisir à côté de ce que je te ferais subir, vu ? Après l'avoir pointé du doigt, la volcanique blonde tourna les talons pour retourner auprès de sa meilleure amie, pas peu fière de sa petite intervention. Il est tout à toi ma chérie ! Bon j'ai joué la garce de première histoire qu'il soit tout mielleux après, mais je suis restée soft et tu connais ma parole, je n'en n'ai qu'une... en revanche s'il te refait du mal je les lui coupe aux ciseaux rouillés ! Ça va aller, tu es sûre ? Au pire je peux rester un peu dans les parages au cas où, avec mon téléphone, et si tout va bien tu m'envoies juste un "ok" par sms ? Louve protectrice un jour, louve protectrice toujours.

C’était fou comment l’amour pouvait rendre complètement dingue. Enfin, si je n’étais pas certaine d’être réellement amoureuse, j’avais pourtant toujours ces papillons dans le ventre et les yeux qui brillaient à chaque fois que je voyais Julian. Je me fichais pas mal de cette différence d’âge que nous avions, je me fichais pas mal qu’il soit professeur, tout ce que je voulais c’était pouvoir me retrouver avec lui à chaque fois que je le pouvais. Malheureusement, je n’avais pas eu de nouvelles pendant plusieurs semaines. Julian m’avait complètement mise de côté, et je n’avais aucune explication. Nous avions fini par ne plus être ensemble, une nouvelle fois. Je lui en voulais, je lui en voulais horriblement de me faire subir tout ça alors que je ne demandais que son amour, que d’être avec lui, même si nous devions vivre cachés tous les deux parce que j’étais son élève et qu’il était mon professeur. Vivre cachés ne me faisait pas peur, au contraire, ça ne me faisait absolument pas peur. Je ne savais pas du tout ce qu’il se passait entre lui et Poppy mais je voyais plus Poppy s’agiter un peu que lui. Je ne savais plus si ce que nous faisions était bien ou pas, mais j’avais eu besoin de Poppy car ce fut la jeune femme qui m’avait ramassé à la petite cuillère. Pendant plusieurs jours j’avais été au plus mal. J’avais pleuré, j’avais fait n’importe quoi aussi et j’avais finalement décidé de me mettre à fond dans le travail pour Poppy mais aussi dans mes cours pour les examens qui arrivaient à grands pas. J’avais aussi séché les cours de photographie, ne voulant pas voir Julian. Je n’avais pas le courage de l’affronter. J’étais perdue, et j’avais été franchement surprise de recevoir un sms de la part de Julian. Surprise, contente, triste et très en colère contre lui. J’avais beau n’avoir que 21 ans, j’étais très mature pour mon âge et je n’avais pas besoin de quelqu’un comme lui dans ma vie. S’il ne faisait pas d’efforts, je ne pouvais rien faire pour lui, pas même pour nous. Je la vois finalement qui tourne les talons. Je la regarde s’avancer vers moi. Oui çà va aller… merci Poppy lui réponds-je alors que j’appréhendais d’y aller. Promis, je te tiens au courant sans faute. je lui fais un petit sourire et la laisser partir après lui avoir fais un câlin. Je m’approche finalement de Julian. Je ne veux pas sourire, je ne veux pas lui donner cette satisfaction. Je déglutis tout en m’asseyant en face de lui. Bonjour Julian je reste sobre tu voulais me voir je laisse planer la phrase, attendant qu’il dise quelque chose.  

Mon père, voilà à qui je ressemble quand je fuis mes sentiments pour la belle Elisa, je ne veux pas être comme lui, je ne veux pas être l’homme qui ne pas élever, l’homme qui ne m'a pas reconnu à la naissance, je souffre beaucoup de son absence dans ma vie, je ne le montre peut-être pas, mais je pense souvent à lui des fois peut-être un peu trop, pensé à lui sans cesse est mauvais pour moi, cela détruit mes relations personnelles. Fort heureusement, j’ai le soutiens sans faille de ma mère, mais je n’en peux plus de tourner dans le vide par sa faute, il faut que je fasse quelque chose, avant de perdre Elisa, je ne veux pas détruire le peu de chance qu’il me reste pour retrouver mon ex petite amie Elisa. Mon père, c’est un énorme fardeau dans la vie de tous les jours, ma mère me dis souvent que je devrais parler de lui à quelqu’un peut-être pas à une personne que je connais, mais à un professionnel, malheureusement, je ne peux pas, parler de lui est pour moi impossible, car je ne le connais pas tout simplement, en même temps, c’est de ma faute, je me suis toujours interdit de le voir ou d’avoir des informations sur lui, ce qu’il est devenu après qu’il m’ait lâchement abandonné. Elisa, m’en veut beaucoup, car je ne m’ouvre pas assez avec elle, j’aimerais pouvoir le faire, j’aimerais être à l’aise de parler de mes sentiments avec la jeune femme, mais c’est tellement compliqué pour moi, mais pour elle, je pourrais faire tous les efforts du monde, pour qu’on soit heureux tous les deux, je sais que c’est un miracle qu’elle accepte de me voir, pour dire la vérité ça m'a beaucoup étonné qu’elle dise oui pour le rendez-vous en tête-à-tête ...
Oui, c’est tout ce que j’ai dans le ventre, dis-je en pensant dans ma tête, avec elle, je ne voulais pas faire le malin, alors je la laisse parler en attendant qu’elle termine pour que je puisse enfin voir Elisa, mon Elisa, mon cœur palpite, mes mains deviennent tellement que je suis pressé de la voir...
D’accord, je ferrais attention s'est promis...
Je laisse alors, les deux amis, se dire au revoir, Elisa, était enfin présente, la jeune femme est toujours aussi belle, toujours aussi précieuse, je la regarde sans la détacher du regard, son amie est enfin partie, je vais pouvoir parler tranquillement avec Elisa, pour lui dire a qu’elle point que je suis désolé, pour lui dire qu’elle m’avais tellement manqué.
Oui, je voulais te voir, car tu m’as énormément
manqué, je sais, c’est de ma faute, je te promets que je vais changer pour toi, pour nous, car je crois encore en nous Elisa. Je suis tellement troublé par sa beauté que j’en perds mes mots, elle est la seule femme au monde à me déstabiliser à ce point...Tu es toujours aussi belle.

Je ne suis vraiment pas sereine à l’idée de voir Julian aujourd’hui. Après tout, je n’ai pas eu de nouvelles de lui depuis un petit moment. Il le sait, il sait que j’ai peur de l’abandon, il connait un peu mon histoire, mon passé à paris, mais non, il est parti, et pas qu’une fois. Deux fois. Si lui ne parle pas forcément, moi, je lui ai toujours ouvert mon coeur, je lui ai toujours expliqué ce qu’il se passait dans mon esprit. Lui, n’a jamais été très ouvert, il n’a jamais été très communicatif même quand je lui ai prouvé que l’on pouvait être ensemble malgré qu’il était mon professeur et que j’étais son élève. Il m’avait embrasse le premier, mais c’était rapidement rétracté. Il m’avait dis me trouver jolie, et finalement, n’avait plus rien dis. Je ne savais pas sur quel pied danser avec lui. Il fallait qu’il comprenne que je n’étais pas une poupée. Je voulais tout simplement être avec lui mais il avait une nouvelle fois tout gâcher et je ne savais pas si on pouvait une nouvelle reprendre là ou nous avions laissé les choses. Là, où nous avions laissé notre histoire. Je savais que notre histoire ne demandait qu’à être écrite mais il avait complètement arraché les pages avant même que l’on puisse écrire quelque chose. J’avais laissé Poppy allé le voir un instant et lui avait demandé de rester tout de même assez sympathique parce que je ne voulais pas non plus qu’on s’acharne sur lui. Je sais, j’étais peut-être trop gentille pour le coup, mais c’est comme ça. J’avais encore des sentiments pour lui et ils n’allaient pas partir plus vite que la lumière. Non, impossible. Lorsque Poppy revient, je lui fais un câlin et va à la rencontre de Julian. Mon coeur bat à cent à l’heure quand j’arrive devant lui. C’est fou, il me fait toujours autant d’effet. tu voulais me voir ? lui demande-je alors qu’il vient de me le dire. Il se fiche de moi, ce n’est pas possible. Je soupire et continue à l’écouter Ne fais pas de promesse que tu ne pourrais pas tenir Julian s’il te plait je n’ai pas envie de l’entendre me faire des promesses s’il ne va finalement pas les tenir. je te manque ? Mais fallait peut-être t’en rendre compte avant tu ne penses pas ? je ne peux pas être trop gentille, je ne veux pas être trop gentille. Pas avec ce qu’il m’a fait. Julian… je soupire de nouveau, je ne sais pas par où commencer Je ne sais pas ce qu’il t’a pris, je ne sais pas pourquoi t’es parti comme ça. Encore une fois. T’as pris peur ou bien je ne sais pas. J’ai cherché à comprendre pendant des jours mais j’ai finalement abandonné parce que franchement, me faire le coup deux fois, je ne sais pas. je n’ai pas envie de pleurer. Je le regarde droit dans les yeux lorsqu’il me dit que je suis toujours aussi belle Julian, s’il te plait… je n’ai pas besoin d’entendre ce genre de chose. si je suis là, c’est pour écouter ce que tu as à me dire…

Ma mère était gravement malade, j'étais parti de Boston à la seconde ou j'ai su qu'elle était faible, mais en partant de Boston, j'ai fait une grosse erreur, j'aurais dû demander à Elisa de m'accompagner avec moi pour le soutenir face à la maladie de ma mère, mais j'avais peur, au début, je ne savais pas pourquoi j'avais peur, c'était un sentiment étrange, je n'aimais pas ça du tout, ma mère, pourtant souffrante, savais que quelque chose me perturber, mais je ne voulais pas lui en parler pas dans l'état dans le qu'elle était ma mère. J'avais mal au cœur, de voir ma mère, aussi faible, d'habitude, c'est une femme forte, elle porte le monde sur ses épaules, c'est une femme incroyable, j'aurais pu lui présenter Elisa, en lui disant que c'est la femme de ma vie, celle avec qui je veux terminer ma vie. Mais j'avais peur, j'avais compris pourquoi, pas que ma mère n'accepte pas Elisa, je suis sur qu'elle aimerais beaucoup Elisa, mais j'avais peur que notre relation deviennent trop sérieuse, j'ai toujours fuis, j'étais en quelque sorte un lâche, mais je ne compte plus partir, je vais rester à Boston, je vais tout faire pour que la jeune femme me donne une nouvelle chance pour notre relation, je sais qu'elle ne voudra pas qu'on soit ensemble tout de suite, mais pour elle je serais patient, pour l'heur, il faut d'abord qu'elle accepte de me parler comme avant pour cela il faut que je parle, je vais tout lui dire à propos de mon départ, je vais tout lui dire pour ma mère, ce que je ressent pour elle, car pour dire la vérité je ne lui est jamais vraiment dis. Je la regarde avant de lui répondre, oui, j'ai pris peur Elisa, je sais qu'en apparence, je suis quelqu'un de calme, quelqu'un qui n'exprime pas ses sentiments, mais en regardant notre relation qui devenais de plus en plus sérieuse, j'ai eu la trouille, j'aurais dû, t'en parler, je m'en excuse, dernière promesse que je te fais avant d'agir avec mes actes, je ne partirais plus jamais, d'accord ? Dis-je en la regardant dans son regard rempli de tristesse par ma faute... Ma mère était malade, je me devais d'être auprès d'elle, je ne voulais pas que tu me voies triste, mal, car ma mère était malade, mais c'était stupide de ma part, tu aurais dû venir avec moi, je n'aurais pas dû partir seul, oui, j'avais des regrets, mais j'ai envie qu'on aille de l'avant, que nos problèmes soit, dernière nous, mais il faudra un long chemin avant que cela arrive. Je la regarde une nouvelle fois avant de poser ma main sur son visage pour lui glisser une petite caresse, un geste que j'avais l'habitude de faire lorsque nous étions en couple. Je t'aime encore, je sais que toi aussi, je t'avoue dès que je t'ai revu, j'avais une folle envie de t'embrasser. Je m'en mords les doigts d'avoir agi ainsi avec toi, quand je te dis que tu me manques, ce ne sont pas des paroles en l'air.

Il est beau. Tellement beau. Mon cœur a envie de sortir de ma poitrine à force que j’avance vers lui. Je n’aime pas ça parce que je lui en veux tellement mais en même temps, j’ai tout simplement envie de me blottir dans ses bras et de pouvoir l’embrasser. Il me manque, il m’a manqué. J’ai tellement de sensations qui se bousculent dans ma tête, dans mon corps, qu’il faut que j’essaie de ne rien transparaître. Je n’avais pas envie qu’il voit ma faille, parce que je ne voulais qu’il ait la satisfaction de voir que je l’aimais toujours, que je l’aimais même plus qu’avant, sans même comprendre pourquoi, alors qu’il m’avait complètement laissé tomber. Deux fois ! Ce n’était pas une fois, mais deux fois et j’avais peur que si je le laissais une nouvelle fois entrer dans ma vie, il me ferait le coup une troisième fois. J’étais jeune, je n’avais que 21 ans, 22 ans en Aout et pourtant, j’avais envie de me poser, j’avais envie d’être avec quelqu’un qui savait que je pouvais ressentir, une personne avec qui je serais en sécurité, avec qui je me sentirais en sécurité. Je me fiche complètement de l’âge, je ne compte pas, je donne tout simplement. Peu importe l’âge, la couleur de sa peau, ses cheveux. Quand mon cœur choisi, je ne suis plus maître de mon propre corps. Il me fait défaut. La chose que j’ai toujours reproché à Julian, c’est son manque de communication, j’étais toujours là pour lui, j’aurais toujours été là pour lui et çà n’aurait pas changé. Je savais que ce je voulais et il ne l’avait absolument pas compris. Pourtant, j’étais prête, vraiment prête à tout lui donner. Mon amour pour lui, mon amitié, mon écoute. Si je suis venue c’est vraiment pour qu’il me parle, qu’il me dise pourquoi il est parti comme ça, pourquoi il m’a fait subir ça alors que j’étais là pour lui. Je soupire lorsqu’il me dit qu’il a pris peur. J’aurais préféré qu’il me donne une autre raison que celle-ci, je ne sais pas, cela aurait peut-être fais moins mal, je ne sais pas. Je ne sais plus. Tu n’exprimes rien, tu ne m’a jamais parlé, j’ai même cru un moment que t’étais avec moi parce que je t’avais forcé à être avec moi lui dis-je alors, essayant de ne pas trop laisser échapper de larmes tu aurais dû me le dire, tu aurais dû me dire que t’avais peur. Je ne sais pas pourquoi tu as pris peur, enfin, si tu me l’as dit, mais t’as 32 ans, je pensais que tu voulais quelque chose de sérieux justement. visiblement je m’étais trompée. Je secoue la tête, je ne peux pas croire ses dires. ne me fait pas çà Julian, ne me promet pas ce genre de chose s’il te plait je l’implore presque mais il ne peut pas me faire ce genre de promesse. Il m’explique alors que sa mère était malade, j’ai de la compassion pour lui, je regrette tout ça mais je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours cette difficulté à cet instant. J’ai toujours eu peur de l’abandon et il m’a lâchement laisse tomber parce qu’il avait peur J’aurais aimé que tu me parles, j’aurais aimé que tu me dises tout ça, vraiment. J’ai toujours eu peur qu’on me laisse tomber, toi tu l’as fait lâchement … je comprends pour ta mère, et j’en suis désolée. J’espère qu’elle va mieux, j’aurais été là pour toi, je ne t’aurais jamais laissé tomber. je suis sincère, j’aurais vraiment toujours été là pour lui. Quoiqu’il arrive. Je le regarde droit dans les yeux, je le regarde amoureusement car je suis encore amoureuse de lui. Je n’ai pas envie de retomber facilement dans ses bras et pourtant, tout mon corps hurle de désir pour lui. je t’en veux, je vais être honnête, je t’en veux tellement de m’avoir fait ce coup-là et deux fois ! soupire-je alors j’ai peur, je ne peux pas me remettre avec toi parce que j’ai tellement peur Julian… mais je t’aime, vraiment, depuis longtemps, même avant que tu te rendes compte que j’étais là  

Je n'ai jamais était impressionné par qui que ce soit, mais je l'avoue que la présence de l'amie d'Elsa, mais fait quelque chose, je ne connais pas son prénom, je ne connais rien d'elle, tout ce que je sais, c'est qu'elle doit être très importante dans la vie de mon ex petite amie Elisa, ex petite amie, dont j'ai envie de reformer un couple avec elle, mais elle ne veux plus me faire confiance, du moins elle ne peux plus me faire confiance. J'ai du mal à gérer mes émotions, j'ai du mal à, comment dire être moi-même avec la personne que j'aime, j'ai peur qu'elle ne veux pas accepter celui que j'étais vraiment, j'ai comme l'impression d'avoir blessé la jeune femme, en disant que j'ai vais peur de m'engager sérieusement avec elle, je me suis tout simplement mal exprimé, cela fait entre autre partie de mes défauts, en amour avec mes sentiments, c'est très dur pour moi de bien m'exprimer. J'ai remarquer que la jeune femme n'ai plus présente dans mes cours de photographie à Harvard, je la comprend, mais j'ai envie qu'elle soit la de nouveau dans mes cours, c'est important pour elle, pour moi, j'ai besoin de sa présence pour être tranquille, j'ai peur qu'elle me fuit, je sais que c'est drôle, car c'est ce que j'ai fait avec elle, deux fois, mais si elle me fait je serais vraiment perdu, je serais détruit, j'ai besoin d'elle dans ma vie, avec Elisa, on s'est construit une petite bulle, ou nous étions bien, j'aimais notre relation secrète, j'aimais nos rendez-vous à risque, j'aimerais retrouver cette passion avec la jeune femme, mais elle à peur, je dois trouver la solution pour ne plus être effrayer par mon absence, mais surtout la peur que je l'abandonne de nouveau, je la regarde avant de lui répondre.

Tu ne m'as jamais forcé à être avec toi, je t'aime de tout mon cœur, tout ce que je veux, c'est être ton petit ami, même si j'avais eu peur, mais maintenant ce n'est plus le cas, j'ai envie de vivre une folle histoire avec toi, de continuer sur notre si belle lancée il y a eu de fausse note par ma faute certes, mais si tu me laisses une chance, on va vivre quelque chose de vraiment incroyable, j'avais la voix qui tremble, mais je pensais tous les mots que je venais de dire avant de reprendre. Comme je viens de te le dire, je veux être avec toi pour plus tard être ton époux, je n'ai jamais parlé de ce genre de chose avec toi, mais pour la toute première fois de ma vie, je me vois marier avec la femme que j'aime, cette femme, c'est toi, dis-je en la regardant, je suis désolé d'avoir était autant mystérieux avec toi, sa fait partie de mon caractère et je le regrette puce. Elle est désolée pour ma mère, elle me demande si elle va mieux, je la reconnais bien la toujours le cœur sur la main, elle est adorable avec moi, même si je suis le roi des connards avec elle… Ma mère va beaucoup mieux merci, je sais que tu aurais était présente pour moi, j'avais toujours la voix noué, je ne pouvais pas craquer, mais au moins elle verrait que j'ai des sentiments profonds pour elle… Laisse-moi une nouvelle chance, je ne veux pas que tu m'écartes de ta vie, je ne veux pas que tu me détestes je ne pourrais pas le supporter. Je t'aime aussi Elisa… Dis-je en rapprochant mon visage du sien, elle était vraiment touchante, mais je veux tellement que sa putain de peur disparaisse, je la regarde également amoureusement dans les yeux avant de poser mes lèvres sur les siennes pour l'embrassé légèrement...