Tu viens regarder cette princesse qui est tienne depuis un moment, elle avait réussit là ou Anastasia avait échoué sur ce plan là. Le rendre heureux. Mais finalement, il la regarde pour lui sourire en coin et elle vient sur ses genoux. Un petit moment intéressant, près d'un petit déjeuné parfait sous le soleil de l'Italie. Il vient déposer ses lèvres plusieurs fois, et voilà qu'elle te bouffe du regard, du moins c'est elle qui le dit. Ca compte pour le côté sexuel ouais, ç a m'excite même un peu. Mais pour le côté nourriture, pas trop dis-tu avec un petit sourire taquin et fier, t'es un petit con mais tu apprécies ce moment, elle caresse ta joue, tu as toujours tes lunettes de soleil sur le nez et elle ne voit pas à quel point tu es à la regarder, à la dévorer tes yeux, à l'avoir sur son corps, tu es juste attiré par elle finalement. Tu souris en coin doucement, tu viens venir passer ta main dans ses cheveux lentement pour sourire lentement J'attends que ça, te voir marcher lentement avec mes chemises sur le dos et sans doute rien en dessous, comme là tu la vois prendre une fraise, et tu la vois même manger, c'est bien et c'est parfait hein, mais voilà qu'elle te chauffe avec les paroles, tu décides finalement d'approcher tes lèvres lentement de son cou pour les frotter délicatement alors que tu viens murmurer à son oreille C'est toi qui sera nue devant moi, je pourrais t'admirer toute la journée si je le voulais, juste pour connaitre chaque partie de ton corps par coeur pour parfaitement te satisfaire, à chacun de tes désirs et ta main vient défaire seulement les deux ou trois boutons qui sont encore mis et ta main remonte de son ventre jusqu'à son cou pour faire descendre jusqu'à son bas de ventre Je suis le meilleur chauffer les gens, sache le pour la prochaine fois petit sourire en coin alors que tu souffles lentement sur son cou au niveau de son oreille.

Quand t'es avec lui, le monde semble s'effacer un peu plus disparaitre peu à peu, s'évaporer. T'as ce sourire resplendissant quand il est dans le coin et t'es juste contente d'être avec lui en Italie. Tu sais pas combien de temps ce genre de bonheur durera, mais tu prends tout ce que tu peux, tout ce qu'il a à t'offrir. Tu prends tout, sans te poser trop de questions. Est ce qu'il voit d'autres filles ? Peut être. Certaines sont peut être même déjà venue ici. Mais quel est l'importance ? On a tous un passé, pas vrai ? Là, toi, tu vis dans le présent. Tu peux plus t'enfermer dans l'avant, tu veux voir ce qu'aujourd'hui t'apporte. Alors t'es là, assise sur ses genoux, vêtu de sa chemise à peine fermée. Il t'embrasse, plusieurs fois à la suite et tu souris suite à ça, lui lançant une remarque et sa réplique t'arrache un nouveau sourire alors que tu le lâches pas du regard, caressant sa joue avec tendresse alors que sa main passe dans tes cheveux. T'es hypnotiser par lui j'crois. Un peu trop accro à sa présence. Totalement sous le charme de son caractère à la con. Je devrais le faire plus souvent alors. être comme ça, avec sa chemise sur le dos pour vêtement. Tu détournes ton regard pour attraper une fraise et la manger avant de lui lancer un sous entendu. Sourire en coin malicieux, tu le vois approcher ses lèvres de ton cou, elles le frôllent et remontent doucement pour glisser quelques paroles à ton oreille alors qu'une de tes mains se pose sur sa nuque. Tout en parlant, ses mains viennent défaire ta chemise et l'ouvrir, lentement. Il caresse ton ventre et baisse sa main petit à petit. Parcourant ton corps, offert à lui. Il est fier, de te faire cet effet, de te faire de l'effet tout court. Parce qu'un frisson te parcoure et que tu te mords la lèvre inférieur en l'écoutant. T'aimes pas spécialement qu'on te matte, tu préfères le faire, qu'on te regarde toi te mets mal à l'aise en général, quand t'es nue, parce que tu manques d'assurance et probablement parce que tu te trouves des défauts où t'en as pas. Son souffle sur ton cou. Ouais, il est doué le con pour te faire monter l'envie. Je vois ça ... que tu souffles alors que lentement tu retire entièrement sa chemise, lui donnant une pleine vue sur ton corps. Vous êtes sur la terasse, des gens peuvent probablement vous voir, mais t'es dans ta bulle, tu t'en fou. T'es avec lui.

Tu regardes la jeune femme face à toi, tu as l’impression d’être dans un rêve, un rêve éveillé pris par les portes de Morphée. Parce que tu ne t’attendais pas à ça avec elle. T’es pas du genre à t’attacher trop rapidement comme les pseudos couples d’Harvard qui sont déjà mariés au moins de deux mois de relation. Donc autant dire que tu es lent, et là ça va peut-être trop rapidement avec elle, tu ne sais pas. Elle réussit à enlever ta peine du bout de ses doigts quand elle te touche, elle réussit à te faire enlever de la tête que Anastasia est partie avec Jules, autant dire que c’est difficile mais c’est vrai. Tu viens alors de réaliser qu’elle est sur tes genoux à toi, la princesse d’Espagne, future souveraine du royaume. Qui l’aurait cru ? Tu viens sourire doucement à sa remarque, elle va réellement le faire plus souvent ? Ou juste dire ça comme ça pour éviter te froisser ? Tu ne sais pas en fait. Tu viens croquer de nouveau dans un fruit pris au hasard et voilà qu’elle essaye de te chauffer mais tu répliques. Tu sens son corps réagir au quart de tour, tu sens son corps frissonner aussi, sans doute à côté de l’humidité de ton corps encore présent. Et finalement tu t’amuses un petit peu avec elle parce qu’elle a réussi à t’exciter en deux secondes. Et son geste de retirer la chemise ? Tu peux pas t’empêcher de regarder, mais tu es un homme, tu as les yeux partout. Tu remontes finalement sa chemise, presque frustré de devoir le faire, merde de merde. J’aimerais éviter que toute l’Italie voit ce qui m’appartient, tu permets Et tu l’embrasses, simplement pas comme un baiser volé non, un vrai baiser digne des grands noms. Tu as toujours les pans de sa chemise dans les mains, tu en profites pour la regarder ensuite Par contre, si tu veux bien, on finira cette discussion dans le lit à quelques mètres d’ici parce que tu m’as donné chaud là Quoi que lui faire l’amour sur cette terrasse privée ça pourra être drôle et amusant non ? Mais tu voudrais éviter qu’elle se retrouver nue dans toutes les magazines italiens et puis y’a beau papa qui sera pas d’accord aussi

Avec lui, tu te sens toi, je crois que c'est pour ça que t'apprécie autant sa compagnie. Il te fait rire. Il te fait sourire il te fait te sentir bien. Noah Ferrari est un emmerdeur et un petit con, mais pourquoi il pourrait pas être ton emmerdeur et ton connard ? Tu connais sa réputation, tout le monde la connait enfaite. Tout le monde sait qu'il est un coureur de jupon mais toi, tu t'en fou, genre tu fonce dans le mur enfaite. Parce que t'as ce bien être quand il est dans le coin que t'avais oublié depuis longtemps. Là, en Italie t'as l'impression que vous êtes seuls au monde alors que t'es là sur ses genoux, tu le cherches, tu le chauffes et tu le sais. Mais t'as besoin de sentir que tu l'attires toujours. Qu'entre vous il y a toujours de l'alchimie. Et quand il joue avec tes nerfs c'est ton corps entier qui répond. T'as un frisson et cette envie de lui bien trop présente. Tu colles un peu plus ton corps à lui et tu finis par retirer la chemise qui te sers de seul vêtement. Tu sens son regard sur toi et tes joues rougissent sans que tu le contrôle vraiment. C'est comme ça t'as pas totalement confiance en toi, tu peux manquer d'assurance. Après tout, il fréquente pleins de femmes, t'as pas mieux que celles avec qui il est sorti. Il t'admire, quelques instants avant de remonter la chemise pour te couvrir. Pas parce qu'il a honte. Mais qu'il veut pas partager son monopole sur ton corps. Il tient les chemises par les pans et t'embrasses, un vrai baiser que tu lui rends avec envie. Alors que tes mains glissent le long de son torse. Tu profites de son contact. Et ses paroles suivantes alors qu'encore une fois il te matte te fait sourire un peu plus alors que tu lui caches les yeux d'une main et que ta seconde descends plus au sud pour constater qu'il est en forme J'ai bien l'impression qu'on pourrait la continuer dès maintenant. T'en penses quoi ? que tu lances avec un sourire en coin. T'es prête à courir jusqu'au lit. Ouais ouais, il te fait cet effet là Noah Ferrari.

Tu finis par croire que tu arrives à te faire désirer par une femme, c'est bizarre en fait, t'habitude c'est le contraire, ce sont elles qui se sont désirer même si tu arrives toujours à les avoir et c'est tout le contraire, tu n'aimes pas ça, tu n'arrives pas à contrôler cette part de bien qu'il y a en toi, ce côté sage et posé que tu avais tant avec Nico et finalement tu te rends compte qu'elle arrive lentement à te changer d'une façon bizarre et intéressante aussi. Tu viens lui embrasser les lèvres, un baiser plutôt rapide alors qu'elle commence à te cacher les yeux, tu commences à rire à cette façon de faire, bon par contre, aucune remarque sur sa main qui effleure sa peau sur le côté sud de ton corps T'inquiète pas pour ça et tes mains aggripent finalement ses fesses pour la lever et tu t'accroches à elle. En fait, ça se passe si lentement, entre le fait de la déposer sur le lit, de s'occuper d'elle et de l'embrasser jusqu'à sans souffle, sans oublier cette douceur charnel du matin, tu aurais pu continuer toute la journée mais elle voulait visiter et tu lui avais promis que tu le ferais. Alors bien sur, une fois allongé dans le lit, les yeux qui s'ouvre sur le soleil d'Italie, tu la regardes. Ta main glisse sur son bras lentement, tu souris un peu plus, légèrement plus comme un besoin de te sentir bien, tout était passé lentement dans ta vie et tu avais l'impression que cela allait rapidement avec elle, comme si elle pensait tes douleurs et tu pensais les siennes. Mais c'était encore plus différent. Tu viens déposer tes lèvres sur les siennes pour ajouter ta main qui descend vers sa hanche, tu aimes son corps oui Je vais à la douche et on y va ? tu venais quand même de nager, autant le dire honnêtement, tu te devais d'être propre en plus donc autant réellement le faire. Et puis elle risquait d'être décoiffer aussi mais ce n'était qu'un détail que tu n'annonças pas.

Entre vous c'est simple, beau. C'est bien. Ca te fait du bien. Tu te poses pas vraiment de questions que les autres qu'il voit. Je pense que dans le fond, tu sais mais que tu veux pas en savoir énormément. Tu préfères fermer les yeux très fort et te raccrocher à ce pseudo bonheur que vous avez quand vous êtes ensemble. Peut être que tu te contenteras uniquement de ça, ou peut être que tu verras d'autres hommes pour être à égalité et pas t'attacher trop. Tu sais pas encore. Tu te poses pas la question. Là, maintenant tu le veux lui et tu l'as. Tu aimes ce contact de vos corps, l'un contre l'autre, dans le lit alors que le désir et le plaisir sont votre seul mot d'ordre. Sous le soleil d'Italie, au milieu de la douceur de la matinée, tu pourrais passer ta journée comme ça, dans ses bras, contre lui. Même si c'est épuisant et déraisonnable, tu pourrais. C'est comme ci vous vous bruliez les ailes en présence de l'autre, mais ça fait tellement de bien, comme sensation, comme ressenti. T'es pas prête à dire non à ça. A renoncer, à lui, sa tête de con, son caractère de merde, et a sa perfection à sa façon. Je crois que c'est sa différence à côté de toi qui te plait. Vous avez pas la même vision des choses et c'est bien non ? Vous finissez là, allongés dans le lit, nus et pour ta part, t'es exténuée. Tes cheveux blonds en bataille. Un fin sourire sur les lèvres alors qu'il caresse ton bras avec douceur. Tu poses ton regard sur lui et il t'embrasse avec douceur alors que sa main parcoure ton corps et tu souris à sa remarque D'accord, je t'attends là. sourire aux lèvres tu t'installes pour regarder la ville du lit, admirer la beauté de l'Italie de ta fenêtre. pour t'envouter de la beauté de la ville.

Silence complet dans cette chambre après des moments de plaisir intenses et bruyants. Qui pourrait t’interdire ça, et qui pourrait lui interdire cela ? Personne ici, vous êtes deux et c’est votre force finalement. Tu viens caresser son bras mais tu ne pouvais pas quitter ses bras. Sauf que tu étais obligé, tu viens l’embrasser, elle te dit qu’elle t’attend et tu passes au dessus d’elle T’as plutôt intérêt, j’ai pas envie de te perdre dans Rome Baiser volé pour ensuite passer de l’autre côté du lit et te voilà dans la salle de bain pour souffler un peu et pouvoir prendre une douche rapide. Tu en profites pour te laver les cheveux, le corps, rapidement et tu sors de la salle de bain, une simple serviette autour de la taille et ton regard sur Emilia encore dans le lit Tu sais que j’apprécie ce genre de regard sur moi, mais j’ai l’impression que tu vas me bouffer Tu enleves la serviette pour te mettre dos à elle et lui lancer, t’es un chieur ce matin, mais tu viens de nager pendant une heure et demi, autant dire que tu es en pleine forme, et tu t’habille d’un bermuda beige et d’une chemise blanche, tu la regardes en souriant doucement avant d’humecter tes lèvres Allez debout princesse, tu vas finir par nous mettre en retard et je ne pourrais pas te montrer tout ce que tu veux parce qu’elle voulait visiter alors autant voir les choses parfaites de l’Italie