Aler - Death leaves a heartache no one can heal, love leaves a memory no one can steal.

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Lien du postMer 23 Mai - 0:08

Death leaves a heartache no one can heal, love leaves a memory no one can steal
— with @Alejandro Ortega

Après ce début de soirée chaotique, je me réjouis presque de le voir esquisser un sourire en regardant le paquet que je lui tends. C’était un geste profondément sincère de ma part, chargé de sentiments et de symboles forts. Des symboles qui représentaient ma famille, quelque chose que j’avais tendance à sacraliser, probablement parce que mes parents n’étaient plus. Il découvrit alors le bijoux et ne retint pas son enthousiasme. Je souris à mon tour, heureuse qu’il apprécie le geste. Je riais nerveusement. « Ce n’est rien … ça me fait vraiment plaisir à moi. » J’acquiesça finalement souriante. « Il fallait bien que l’impact de cette noix de coco reste gravé sur autre chose que sur mon front ! » souriais-je davantage. Ma cicatrice ne se voyait plus vraiment depuis longtemps déjà, même si une minuscule marque presque invisible était restée, cachée la plupart du temps par ma chevelure. De façon plus sérieuse, j’évoquais avec lui mon envie d’officialiser avec lui. Peut-être que malgré ma mort, sa présente à mes côtés retrouverait plus de légitimité auprès de mes amis, pensais-je, et surtout, symboliquement c’était important pour moi. A ses mots, je souriais et venais doucement déposer mes lèvres sur les siennes, comme pour sceller cet engagement. Je caressais sa joue tendis qu’il vint murmurer à mon oreille. Je le regardais droit dans les yeux avec un petit sourire alors que ma main n’avais pas quitté sa joue et revins l’embrasser. Encore et encore alors que mes doigts glissèrent sur son torse pour défaire les boutons de sa chemise, que j’ôtais, la déposant sur les draps au bord du lit. J’avais envie de lui. Terriblement. très vite, je le plaquais doucement sur le lit, grimpant sur son corps à califourchon, toujours en robe de soirée. Mes mains sur son torse, je l’observais délicieusement. « Je t’aime. » murmurais-je avec douceur. « Et j’ai envie de toi Ale … » soupirais-je.

©️ LOYALS.

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Lien du postMer 23 Mai - 1:34

Death leaves a heartache no one can heal, love leaves a memory no one can steal
— with @Harper Eleanor F. Kennedy

Alejandro était bien conscient que cette montre, ce cadeau, n'était pas le fruit du hasard. Un petit cadeau qu'elle avait acheté au détour d'une boutique. Non, il avait la sensation qu'avec ce cadeau, elle lui donnait les clés de la porte de la dynastie Kennedy, une sorte d'accès privilégié. Le signe qu'il faisait parti de sa vie désormais, quoiqu'il arrive. Harper rit, affirmait que ce n'était rien. Non, au contraire, ce cadeau... c'était tout.

-Harper, je sais ce que ce cadeau représente pour toi.

Glissait-il. Alejandro a la prétention de commencer à connaître un peu sa future petite amie quand même, bien que la Kennedy conserve et conservera sans doute toujours sa part de mystère. Quand on y pense, Alejandro aussi a sa petite part de mystère. Ce qui est certain, c'est que c'était une bonne chose que la date de leur rencontre soit gravée autrement que pour cette histoire de noix de coco.

-Tu as bien raison. Quand tu te lanceras en politique, cela fera une belle anecdote à raconter aux gens.

Pour le moment par contre, les projets plus immédiats des deux tourtereaux étaient de faire l'amour, tout simplement. Une nuit qu'Alejandro voulait, souhaitait mémorable. Sans trop se mettre de pression non plus. À ce qu'il suggère, sa nouvelle petite amie vient l'embrasser de plus belle. Que ses baisers sont doux et bons, ses caresses aussi, délicates et chaleureuses à la fois. Il sent sa chemise devenir plus ample, son torse être à découvert et bientôt, les pans glisser de sur ses épaules. En moins de deux, l'Espagnol était torse nu, sa petite amie sur les genoux.

-J'ai envie de toi aussi. Comment te résister.

Il caressait les cuisses de sa copine, cette peau qui était découverte ici et là, merci à sa robe.

-Te faire l'amour serait plus facile si tu n'avais pas cette robe sur le dos.

C'était une petite requête et Alejandro était bien prêt à donner un coup de main si nécessaire.

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Lien du postJeu 24 Mai - 1:50

Death leaves a heartache no one can heal, love leaves a memory no one can steal
— with @Alejandro Ortega

Il était évident que la symbolique était au centre de mon geste envers Alejandro. Cette montre me rappelait un grand-père que je n’avais jamais connu et je l’admirais tout autant que je m’inspirais de ma grand-mère dont j’avais pu récupérer la véritable montre, qui ne quittait jamais mon poignet. J’avais la sensation que tous deux, ces montres aux poignets, pourrions régner sur ce monde, puisqu’il m’avait donné le temps que je lui avais demandé. « Alors tu sais ce que tu représentes pour moi. » répondais-je comme une évidence avant de sourire à sa remarque. « J’en suis persuadée. » Je mentais malheureusement cette fois-ci, n’espérant plus aucun avenir politique, plus aucun avenir tout court. Mais je ne voulais pas y penser tout de suite, et m’enfermais dans cette bulle, un dernier souvenir heureux avant de quitter cette suite. Préventive et légèrement psychopathe sur les bords, j’avais il y a longtemps rédigé un testament en compagnie de mon notaire, que j’avais quelques peu modifié suite à ma rencontre avec Alejandro. Je savais que je pouvais partir en sécurité, je pouvais alors me lâcher avec mon amant, me mettant des œillères temporaires sur mon atroce fin. Je grimpais sur ses genoux après l’avoir libéré de sa chemise et venais l’embrasser avec douceur et tendresse. J’avais terriblement envie de lui, ça même mes démons ne pouvaient pas me l’enlever. Je sentais sa main parcourir mes cuisses et l’excitation montait. Je lui souriais et me relevais alors de ses jambes. Debout face à lui, le regard plongé dans le sien, mes mains allèrent aussitôt dégrafer le dos de ma robe qui tomba à mes pieds, dévoilant sous ses yeux mon corps nu à l’exception d’un petit bout de dentelle noire qui me servait de string. Je bougeais lentement le bassin vers lui pour m’avancer. « C’est mieux comme ça ? » demandais-je d’un faux air innocent.

©️ LOYALS.

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Lien du postJeu 24 Mai - 14:17

Death leaves a heartache no one can heal, love leaves a memory no one can steal
— with @Harper Eleanor F. Kennedy

En plus de suggérer qu'ils soient en couple, Harper lui donnait cette montre comme pour montrer le sérieux de leur engagement, de ce qui les unissait. Une marque d'amour, à n'en pas douter et venant de la femme qu'il aime, elle prenait tout son sens. Bien sûr, il souriait, tout heureux. Ils étaient dans leur bulle les deux amoureux et comptait bien en profiter. D'ailleurs, les envies partagées ne tardèrent pas à prendre le dessus. Tendresse et douceur émanait d'Harper, passion et désir d'intensité commençait à pointer le bout du nez chez Alejandro, qui suggérait à son amante de se déshabiller pour la suite.

Ce que la belle brune fit, toute en élégance, ses yeux dans ceux de son bel amant qui ne ratait pas une miette du spectacle. Chaque fois qu'il la retrouve ainsi nue, il est ébloui, vraiment. Le beau brun s'avança pour être au bout du lit et prendre la belle par les hanches, l'attirer plus près pour venir déposer un baiser contre son ventre après avoir dit.

-Et comment... De toute beauté.

Ajoutait-il en espagnol après le baiser.