Am I important for you ?

   ( Rio & Angel )


   C'était mieux que l'on reste posés un moment par terre car je ne crois pas que l'objectif était que l'on fasse un accident avec l'état dans lequel je me trouvais. Il m'avait entre-temps demandé si je me souvenais où j'étais avant de me retrouver là, mais même avec toute la volonté du monde, mon cerveau tournait au ralenti. Sachant que je n'allais pas lui donner les informations nécessaires, il me proposa alors qu'on se lève et que l'on marche un peu, ce que j'acceptai. Aidée du jeune homme, je me relevais doucement, mais d'un coup mes larmes coulèrent sous le coup de l'émotion, consciente que c'était le néant total au niveau de mes souvenirs. D'un geste réconfortant, il me dit des paroles, certes banales, mais qui eurent le don étrange de me rassurer. Je leva les yeux vers lui, essuyant mes larmes comme je le pouvais, tandis que je l'écoutais me raconter que j'allais être prise sous son aile. Je n'étais pas dans mon état normal, quelque chose en moi persistait à me le faire croire, et pourtant j'avais le pressentiment que je pouvais faire confiance à ce type sorti de nulle part. Je hocha la tête pour lui signifier que j'étais d'accord avec son idée. Il finit par me donner enfin son prénom. « T'as un prénom qui inspire la fête pour quelqu'un d'aussi ... posé. Je crois qu'on a déjà dû te faire le coup de "Ah Rio, comme Rio de Janeiro", j'suis désolée, mais c'est la première qui m'est venu à l'esprit en t'écoutant. On est pas sortis d'affaires avec des prénoms comme les nôtres ! » lui dis-je « Et encore, je t'ai pas dit mon nom de famille, les deux combinés c'est pas mal non plus ! ». J'éclatai de rire. Angel Damon, franchement, s'appeler ainsi c'est être marqué à vie, à moins que je me maries un jour.   

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  Je ne sais pas quoi faire de plus pour la jeune femme. L’emmener à la maison semble tout de même une bonne idée parce qu’elle ne sait pas où elle vit. Elle ne le sait plus du moins. J’essaie de la soulever afin qu’elle puisse tenir debout mais c’est tout de même assez compliqué. Elle reste encore un peu assise et finalement, j’arrive à la soulever pour qu’elle se remette sur ses jambes pour qu’elle puisse reprendre ses esprits. Je n’ai pas envie qu’elle reste ici. Elle se met à pleurer et je ne sais pas trop comment m’y prendre. Quoiqu’il arrive, je ne vais pas la laisser ici. Je ne peux pas. Je ne suis pas comme çà. Elle peut ne pas me faire confiance, elle ne me connait pas après tout, mais non, je ne vais certainement pas la toucher, je ne profite pas des femmes. Je les préfère consentantes et certainement pas trop bourrées. Je soupire lorsqu’elle me parle de mon prénom. J’en étais sûr. Tout le monde me parle de mon prénom, du moins, beaucoup de personnes le font en tout cas. Je ne suis pas surpris qu’elle me parle de mon prénom. Posé ? Tu dis çà parce que tu ne me connais pas. lui dis-je tout en essayant toujours de bien la faire tenir sur ses jambes je ne suis pas du tout posé… mais çà on s’en fiche. Oui, Rio, fait penser à cette ville, je suis brésilien en même temps je ne sais pas pourquoi je lui dis tout ça mais c’est dit de toute manière. Je soupire une nouvelle fois. le tiens est plus original que le mien encore. je plisse les yeux lorsqu’elle me dit qu’elle ne m’a pas encore fait part de son nom de famille. Je ne suis pas du genre bien curieux alors je ne pose pas de question. est-ce que tu peux marcher ? lui demande-je alors afin de savoir si nous pouvions y aller ou bien s’il fallait encore attendre un peu dis moi quand t’es prête, je vais t’emmener chez moi.

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   Le jeune homme répondant au nom de Rio semblait tout de même me laisser une impression de douceur et de calme pour quelqu'un qui évoquait la capitale du carnaval et de la fête. Après, ce n'était sans doute qu'un préjugé car, comme il le disait, je ne le connaissais pas plus que ça. Cependant, j'étais loin de m'en ficher, j'aimais bien apprendre à mieux connaitre les personnes que je pouvais croiser tout au long de ma vie. « Pas moi » lui répondis-je, intéressé par ce trait de caractère qu'il ne m'avait pas encore dévoilé « Mais tu crois qu'un jour on pourrait apprendre à mieux se connaître ? Peut-être pas là maintenant avec le taux d'alcool que j'ai ingurgité, mais par exemple demain ou une autre fois, quand j'aurais retrouvé mes esprits ». Oui en fait j'aurais mieux fait de me taire, je dois passer pour une nana trop bizarre actuellement. Il me fait savoir ensuite qu'il est brésilien. « Ah c'est vrai, maintenant que tu le dis, je perçois un léger accent. Je crois que la seule chose que je sais dire c'est "Tudo Bem ?" et "Obrigado" » lui dis-je en riant. Puis pour détendre un peu l'atmosphère, je me mets à parler de l'originalité de nos prénoms, mais il trouve tout de même que le mien sort le plus de l'ordinaire. « Le tien n'est pas mal non plus » lançais-je avant de partir sur la blague de mon prénom et mon nom de famille combinés, sur lesquels il ne semble pas vouloir s'attarder. Au contraire, il semblait plus intéressé de savoir si je pouvais marcher afin que nous arrivions à bon port. « Je pense que oui » lui répondis-je « Je te suis »  

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Elle pensait vraiment que j’étais doux et calme. Si elle savait. J’étais vraiment tout le contraire. Bien évidemment, j’étais calme avec elle, elle semblait vraiment mal en point, et elle ne tenait même pas sur ses jambes. Je n’allais pas l’agresser, lui crier dessus ou encore être brusque avec elle. Ce n’était absolument pas le but. Elle me demande si on pourrait apprendre à se connaître. Je fronce les sourcils, je ne sais pas vraiment pourquoi elle me demande çà. Je n’ai pas l’habitude de ce genre de demande. C’est très étrange mais si elle le souhaite, on pourra en discuter plus tard. Là, elle semble tout de même bien trop alcoolisée. On verra lui dis-je tout simplement. Je ne suis pas forcément le plus doué pour les relations amicales ou bien des relations avec les hommes et les femmes en général. Bien évidemment, j’ai quelques amis, mais çà se compte sur les doigts d’une main. Je n’ai pas besoin d’avoir 500 personnes autour de moi. Je n’aime pas ça. J’ai ma famille et c’est le plus important pour moi. On va déjà te remettre sur pied si tu veux bien ok ajoute-je en la regardant droit dans les yeux. Elle essaie de parler portugais à présent tu ne devrais pas voir trop d’accent, je suis là depuis pas mal d’années et je parles anglais, français et portugais couramment je n’ai pas forcément d’accent, du moins, je ne la vois pas en tout cas Obrigada pour toi, c’est mieux, tu es une femme je ne sais pas pourquoi je la reprends. Finalement, je l’agrippe un peu pour qu’elle puisse prendre appui sur moi afin que nous allions à mon appartement. Heureusement, je ne suis pas très loin je ne suis pas loin lui dis-je tout en continuant à marcher. Nous arrivons finalement dans le hall de mon appartement. Nous prenons enfin l’ascenseur et j’ouvre la porte Installe toi sur le canapé si tu veux. Je vais te chercher un verre d’eau je la laisse et pars chercher un verre d’eau. Il faut qu’elle ingurgite toute l’eau que je vais lui donner tu bois tout le verre et je t’en donnerai un autre. Je te montrerai l’appartement, et tu pourras aller te coucher ensuite si tu le souhaite ou bien prendre une douche avant

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   La curiosité me perdra un jour, mais c'était plus fort que moi de vouloir découvrir comment le jeune homme se comporterait dans une situation différente de celle-ci. Heureusement pour moi, il n'avait pas refusé totalement ma proposition, car j'en aurais été clairement gênée sinon. Mais bien évidement, pour se faire, je devais clairement redevenir sobre. « Oui, pardon » m'excusais-je alors qu'il n'y avait pas vraiment de quoi le faire. Comme il était brésilien, j'avais senti un petit accent chantant dans sa voix, mais il m'arrêta tout de suite pour me faire savoir qu'il était là depuis pas mal d'années. Il savait en plus parler français en dehors du portugais et de l'anglais. Un véritable couteau suisse ma parole ! Il me reprit ensuite sur mes quelques mots de portugais dont un n'était pas tout à fait exact. « Du coup même si je m'adresse à un homme, à toi par exemple, je dois dire "obrigada" ? » lui demandais-je afin d'obtenir des précisions. Un peu plus et je pouvais lui demander de m'apprendre sa langue natale. Mais trêve de bavardage, on allait pas rester là trente ans non plus, du coup je me tenais un peu à Rio pour marcher, direction chez lui. Par chance, il n'habitait pas loin et rapidement, on arriva jusqu'à chez lui. Après avoir pris l'ascenseur, il me fit entrer et me donne pour seule consigne de m'installer sur le canapé tandis qu'il me chercherait un verre d'eau. Je m'exécuta aussitôt et pris place sur son sofa. Quand il revint, il m'indiqua qu'il fallait entre autre que je finisse ce verre. Pourquoi, je n'en savais rien, mais je n'allais pas chercher midi à quatorze heures avec une personne qui allait généreusement prendre soin de moi. J'avalai presque cul sec l'eau qu'il me tendait pour accéder à la suite du programme, à savoir la visite de son appartement.  

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J’aimerais vraiment qu’elle puisse redevenir sobre histoire qu’elle puisse au moins voir ou on va même si clairement, je ne lui ferai rien du tout. Je ne suis pas du tout comme ça. Elle semble complètement sans défense et je n’ai absolument pas envie de profiter d’elle. Elle pose beaucoup de question, mais je n’ai pas forcément envie de répondre. Je me force tout de même à y répondre un petit peu histoire de faire un peu la conversation. Mais j’ai toujours préféré mon petit côté solitaire. Dommage, pour ce soir, je vais devoir faire autrement. Je hausse les épaules lorsqu’elle me dit déceler un petit accent dans ma voix. Je ne dois plus vraiment l’avoir pourtant car je suis là depuis un bon bout de temps à présent. J’ai réussi à faire pas mal de choses depuis mon arrivée aux Etats-unis. J’ai appris plusieurs langues, grâce en partie au fait de regarder es dvds dans leur versions originales. Quoiqu’il en soit, je continue à la porter un petit peu du bout des bras pour qu’elle puisse aussi marcher d’elle même histoire de reprendre un peu de forces. Et oui, toujours dire obrigada car tu es une femme, enfin, jusqu’à preuve du contraire là, c’était mon petit humour mais ce n’était pas forcément le meilleur. Une fois chez moi, je l’installe sur le canapé pour que je puisse aller chercher un verre d’eau. Je la regarde finir son verre d’eau et le récupère ensuite. Je le pose dans la cuisine Allez viens je vais te montrer les lieux pour que tu puisses voir ou t’es lui dis-je en la regardant se relever là, tu as la salle de bain, je te donnerai une serviette propre si tu veux te doucher je continue mon petit tour les toilettes … je ne vais pas dormir avec elle, du coup, elle prendra mon lit et j’irais sur le canapé là, c’est ma chambre, tu pourras dormir là, et je prendrais le canapé du salon.

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   Un petit cours de portugais en express dans mon sauvetage de cet alcoolisme imminent, voilà qui ferait un bon sketch. Et puis, il semblait même s'amuser de la situation, lançant une vanne sur le fait que j'étais bien une femme jusqu'à preuve du contraire, ce qui détendait considérablement l'ambiance et n'était pas pour me déplaire. Je m'empêcha de répondre un truc dans le genre " tu veux vérifier ? ", déjà par respect, mais parce que j'avais déjà merdé une fois avec une vaine tentative de drague. Mais bon, je décida tout de même à ricocher sur sa plaisanterie. « Ah ce n'est pas dit ! Si ça se trouve je cache des attributs génitaux masculins ! » plaisantais-je. Après cette petite conversation pour le moins revigorante, on arriva chez lui, presque bras dessus, bras dessous. Un petit appartement tout à fait charmant nous accueillait, et je suivis rapidement ses instructions en prenant place sur le canapé, avant de le suivre pour la visite des lieux. Il me présenta principalement la salle de bains, les toilettes, et la chambre où je dormirai, parce que disons que les autres pièces étaient bien accessoires, pour peu qu'ils y en avaient d'autres. « Merci vraiment de m'héberger comme ça, j'imagine que ça ne doit pas t'arriver souvent de ramener des alcoolos chez toi ... » le remerciais-je, touchée d'autant de bonté, et puis c'était pas tous les jours qu'un semi-inconnu vous laissait son lit pour dormir dans le canapé « Je serai sans doute en train de dormir dans la rue, peut-être morte ou que sais-je,  si je n'étais pas tombée sur toi ». Preuve qu'il existait encore des gens biens sur cette planète.   

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Ce n’est pas tous les jours que je fais un « sauvetage » en pleine rue. Et, la nuit qui plus est. Mais je ne pouvais absolument pas laisser la jeune femme dehors, toute seule, sachant qu’elle avait encore pas mal d’alcool dans le sens et qu’elle ne savait même plus où elle vivait. Elle a eu de la chance de tomber sur moi car cela aurait pu être bien pire que ça. On ne sait pas sur qui elle aurait pu tomber. Je suis du genre à sauter sur tout ce qui bouge, toutes les femmes me plaisent, je suis un homme à femmes mais je ne profite certainement pas de leur faiblesse. Je ne touche pas à une femme lorsqu’elle est trop éméchée pour se souvenir de ce qu’elle fait le lendemain matin. Ah peut-être qui sait lui dis-je tout en rentrant dans son jeu. J’ai vraiment besoin d’une cigarette. Je l’accueille alors chez moi, c’est bien la première fois que je fais ça. Je lui montre un peu ou se situe les pièces histoire qu’elle puisse aller aux toilettes tranquillement, et prendre une douche. Il est vrai que ce n’est pas tous les jours que j’héberge une jeune femme qui a bien trop bu. Je ne dirais pas alcoolique, à moins que tu ais vraiment des soucis avec la boisson beaucoup d’étudiants font la fête quand vient la nuit, ils boivent à outrance et parfois ça devient même un peu trop dangereux mais ils font ce qu’ils veulent. Je bois aussi, mais jamais trop. L’alcool c’est bien mais il faut savoir ne pas en abuser. Je n’allais pas te laisser à la rue. je ne fume jamais chez moi, mais il me faut vraiment une cigarette. J’en récupère une dans ma poche et la met à la bouche sans l’allumer. Il fallait éviter ça quand même. Ce n’est pas bien de laisser quelqu’un dehors comme ça. Mais qui sait, tu es peut-être tombé sur la pire espèce ! oui, je parle parfois de moi à la troisième personne. Je vais te donner un tee-shirt aussi, histoire que tu ne dormes pas avec les fringues que tu portes là j’ai la flemme de changer les draps, il va falloir qu’elle fasse avec ou bien qu’elle dorme sur la couette si elle le souhaite. je vais fumer, tu peux en attendant te doucher, te préparer, faire ce que tu as besoin de faire je la laisse alors sans attendre des réponse et vais sur la terrasse. J’allume enfin cette cigarette dont j’ai vraiment envie.

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   J'ai vraiment eu un sacré coup de chance de tomber sur le jeune homme ce soir, qui sait ce qui se serait passé le cas contraire. D'ailleurs le courant passait assez bien, et je permettais même quelques plaisanteries avant qu'il ne m'héberge chez lui pour la nuit. Après avoir visité les lieux, je me mis à la remercier de cette hospitalité envers moi, la semi-inconnue. « Disons que mon problème avec l'alcool est assez récent ... » rectifiais-je en me mordant la lèvre de culpabilité « C'est parti d'un truc tout con quand j'y repense, mais disons qu'au lieu d'étaler mes problèmes, j'ai cherché à les régler seule mais ça a mal tourné ». Dans cet instant de confiance, je le vis sortir une clope mais sans l'allumer. « La pire espèce m'aurait laissée par terre à dormir dans la rue » lui répondis-je « Non toi tu fais partie des gens biens, je n'ai aucun doute là-dessus ». Il m'annonce ensuite qu'il allait me donner un t-shirt propre avant d'aller fumer sa cigarette. Etant non-fumeuse, j'aurais très bien pu lui tenir compagnie pendant cette pause, mais je décida de prendre la direction de la salle de bains pour une douche. N'ayant au préalable pas sorti le vêtement en question, je revins vers lui avec une serviette enroulée autour de mon corps et une autre dans les cheveux.    

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Parfois, je me dis que je suis trop gentil alors que ce n’est pas du tout mon caractère. Quoique, je sais que j’étai bien gentil à une époque mais ca c’était vraiment avant que Kara se casse et me laisse comme un mal propre. Quoiqu’il en soit, je n’y pense presque plus et çà c’est vraiment un bon début pour la suite. Mais je sais clairement que je ne vais pas me remettre avec une femme de sitôt. Je préfère m’amuser. et pourquoi as-tu commencer avec l’alcool déjà ? lui demande-je alors qu’elle peut très bien ne pas me répondre. Elle en a tous les droits. Je vais parfois dans le vif du sujet sans essayer de laisser la personne tranquille. Je ne le fais pas exprès, c’est juste ma curiosité et tout le reste. Parfois il est tout de même plus facile de parler avec un inconnu, qu’avec quelqu’un que tu connais, ou ta propre famille je n’y connais pas grand chose, mais lorsque Kara est partie après la fausse couche, j’ai longuement parlé avec une personne que je ne connaissais absolument pas. Personne n’est au courant. Je n’allais certainement pas la laisser dans la rue alors que les gens peuvent être très cons. Je suis un abruti mais tout de même, je ne ferai pas çà à une femme. Elle est encore bien éméchée mais une fois à la maison, je sens qu’elle commence à reprendre un peu ses esprits. Mais elle ne va pas dessoûler en si peu de temps. Je la laisse prendre ses repères et pars fumer une cigarette sur mon balcon. Je suis dans la cuisine lorsqu’elle revient vers moi avec une serviette autour de son corps. Elle semble vraiment bien. Son corps est pas mal du tout. Je vais te donner un tee-shirt je passe devant elle et pars dans ma chambre pour trouver un tee-shirt que je lui remets ensuite Tiens, tu as besoin d’autre chose ? lui demande-je.