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Someplace where no one knows our name
We'll find the start of something new
( @A. Silas Rothschild )
crédit/ tumblr quote ✰ bu me

vingt neuvième dispute bourée au téléphone avec Fallon. fallait que tu l’appel toi aussi, et fallait qu’elle réponde, quel idée de laisser son portable allumée  à presque quatre heures du matin, trouve une vie bordel Fallon, arrête de penser que j’peux pas vivre sans toi, même si c’est vrai. même si c’est vrai. t’avais un peu trop bue, avoue le, t’avais enchaîner les picolo, puis les picolo caliente, puis les shoots de bière et un mec chelou à même essayer de léché du sel sur ton ventre avant que tu prétendes que t’avais un truc à faire. c’était chiant, t’es chiante, mais t’avais l’impression de vivre réellement quand t’étais dans cette état là. tu t’enfuis dans le jardin de derrière, te laisse tomber sur un trasate et pianote sur ton portable à la recherche d’une musique pour danser. au bout de cinq minutes, tu te rend compte que t’es pas seule et te redresse dans un bon, faisant voler ton portable jusqu’au pied de la dite personne. « non, non, j’espère que l’écran est pas casser? » ouai putain les iPhones c’est de la merde, les écrans sont aussi fin qu’une mine de critérium et faut ensuite payer ça le double du prix du téléphone, c’est à cause d’injustice comme ça qu’on crée des dealers de drogue, parce qu’ils ont pas d’argent pour faire réparer leurs portables. « Désolée, il a sauté de mes mains. enfin, non c’est impossible, il faudrait qu’il est une âme pour pouvoir sauté quelque part ou une intelligence artificiel, comme les aspirateurs qui roule tout seul. mais dans ce cas là est-ce qu’on peut vraiment appeler ça une âme ? le fait qu’un objet puisse se déplacer seul ne lui donne pas une âme, puisqu’une âme est un mélange de sentiments et d’émotion. » tu marques une pause, parce que le ciel été parfaitement dégager et qu’on pouvait voir les étoiles d’ici, solaris sobre aurait sortit son télescope. « je suis désolée pour les céréales. tu vas rire, j’ai fait une crise d’angoisse juste avant et ensuite je me suis dit que je devrais pas y aller, que tinder c’est pour les branleurs qui savaient pas pécho et au final, j’ai apprécier. désolée si de ton côté ça a pas été le cas. »

Assis dans le jardin derrière la résidence des Mathers, je suis en train de fumer mon joint au calme. La fête bat toujours son plein à l’intérieur et la musique arrive très bien à mes oreilles. Soudainement, toi l’accro aux céréales vient me trouver et tu te laisses choir sur un transat sans même remarquer ma présence. Je t’observe, trouvant que tu es très différente de la fois où je t’ai acheté ces céréales. Me serais-je trompé à ton sujet et serais-tu une femme ? Je continue de fumer, comme si de rien était, comme si tu n’étais pas là te regardant en coin jusqu’à ce que tu remarques finalement ma présence. Ton téléphone atterris à mes pieds et j’en ris. Et lorsque tu commences à déblatérer sur le pourquoi, ton téléphone a décidé de venir me trouver, je roule des yeux et me lève, attrape ton portable et viens m’asseoir à tes côtés sur le transat, alors que tu n’as toujours pas fini de parler. Soudainement, mes lèvres atterrirent brusquement sur les tiennes et s’en emparent d’une façon pressée et fougueuse, tandis que ma langue essai de forcer le passage. Profite, je suis certain que ce n'est pas tous les jours qu'un homme t'embrasse ainsi. Ma main derrière ta nuque pour te tenir près de moi. Je m'en fiche si tu me repousses, ce n’est pas un problème pour moi. Lorsque je suis certain de t’avoir assez pris au dépourvu, je me recule, penche la tête sur le côté et te regarde. « C’est correct ? T’as fini de parler ? » Je soupire, secouant la tête vigoureusement… « T’as toujours autant la parole facile ou c’est parce que t’es ivre ? » Que je te demande, te rendant ton téléphone.

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effectivement, drink solaris n’avait rien avoir avec sobre solaris. elles étaient à des années lumières de se rencontrée, comme si l’une faisait partit d’une dimension parallèle quand l’autre vivait confortablement dans notre beau monde. et il avait eu droit à la pire des sobres solaris, celle qui été remplis d’anxiété et d’une envie inexplicable de mourir, on al déteste toute celle-là, surtout toi. mais alors que tu te lancer dans une tirade endiablé, expliquant tout ce qui n’allait pas dans ta vie et ta théorie sur le monde cachée des objets à intelligence artificiel, Silas, t’embrasse. plaque ses douces lèvres sur les tiennes, ses doigts stabilisant ta nuque. tu y répond, bien sur, trop soule pour comprendre et une envie soudaine d’en avoir plus, jusqu’à ce qu’il rompe le baiser. tu secoue la tête de manière positif pour répondre à sa question. « t’aurais aussi pu me demander de me taire, mais j’aime bien cette méthode là. » dis-tu en récupérant le téléphone, tu passes un doigts dessus, la vitre n’était pas brisée, tu le range ta poche. d’accord, on parle pas, on fait autre chose. tu le pousses sur le transat afin qu’il soit allongé et passe tes jambes de part et d’autre des siennes pour le chevaucher. tes mains se cale à ton tour sur ta nuque et tu l’embrasses de nouveau de manière sensuelle et délicate. l’alcool parle beaucoup, mais une part de toi à toujours attendue se moment, on match pas avec quelqu’un sans une attention perverse derrière, c’est inutile, c’est le but même de tinder, baiser sans avoir besoin de rendez-vous. ses lèvres, puis sa nuque que tu recouvres de petit baiser, tes mains à présent sur son torse. « tu m’oublieras demain, pas vrai? je suis persuadée que tu te rappel déjà pas de mon prénom. » il n’est pas mathers sans raison, ici un trou reste un trou. les histoires d’amour c’est pour les nul, même si parfois tu t’autorise à y croire.

C’est vrai, j’aurais très bien pu te demander de te taire au lieu de venir capturer tes lèvres dans un baiser brûlant, mais ça n’aurait pas été aussi drôle. J’aime prendre les autres au dépourvu et leur montrer que j’ai toujours le contrôle de la situation. Cependant, sans même, ai-je eu le temps de comprendre ce qui se passait, je me retrouve étendu de tout mon long sur le transat, ton corps sur le mien à califourchon, tandis que tes lèvres capturent à ton tour les miennes. Wô… Je suis si surpris qu’au début, je ne participe pas au baiser, mais me réveille rapidement de ma léthargie pour approfondir l’échange. Je ne m’attendais pas du tout à ça, ni même à ce que tu sois si directe. Je t’avais embrassé pour te faire taire, sans même penser au fait que ça pourrait aller plus loin. Et encore moins avec toi, dans une cours arrière alors que n’importe qui pourrait nous surprendre. Je te laisse embrasser mon cou, alors que déjà mes mains on trouver le chemin de ton soutien-gorge. Au nombre de fois que j’en ai détaché un, je commence à être un As à la matière. « Que je t’oublie ou pas… C’est vraiment l’important ? Tu peux pas juste profiter de l’instant présent? » Le pire, c'est que comme je ne suis pas ivre, je ne vais pas oublier, par contre non, je ne me souviens pas de ton prénom. Pour moi, tu étais simplement la fille aux céréales. Tu sais que tu ne m’as pas du tout fait une bonne impression ? Prenant une nouvelle fois d’assaut tes lèvres, je fais en sorte que ton corps se décolle quelque peu de moi pour que ma main passe vers l’avant, venant caresser lentement ta poitrine dans tous les recoins possible. Tu as réveillé quelque chose en moi que je n’ai pas ressenti depuis deux semaines. « Qu’est-ce que t’attends de moi Cereal girl? » N’étant pas dans une position qui m’avantage, je te relève et te place de sorte que je puisse te surplomber sur toute ta longueur en ayant pris soin d’enlever ton t-shirt au passage afin d’avoir une meilleure vue. Je souris en grand, te regardant avec appréciation, avant de me pencher et venir taquiner ta poitrine de nouveau, mais cette fois-ci de mes mains accompagné de ma langue.

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ses baiser avait quelques choses.. d’innovant, de nouveau, d’électrique. comme un coup de jus qui passer de tes lèvres à tes veines, traversant chaque parcelle de ta peau à coup d’éléctrochoque. c’était nouveau comme sensation, tu avais déjà embrasser des personnes avant lui, mais à côté ce n’était que de la bave de drapeau dégoulinant le long de tes lèvres, cherchant de manière maladroite à te faire du bien. il n’avait peut être rien de spéciale, peut être que c’est juste tout l’alcool que tu as bue qui te fait penser pareille, peut être qu’il s’est entraîner sur beaucoup trop de filles et que chaque baiser représenter le nombre de fois ou il avait déjà gober le sein d’une de tes camarades. cette images te traverser soudain, relier aux mots qu’ils venaient de prononcer. tu te redresses de manière brusque, il prend ça pour une invitation, te retire ton soutif en deux temps, trois mouvement et te voilà les seins à l’air dans le jardin des verts, très poétiques, on adore, enfin pas trop, enfin si, car c’était agréables, mais non. tu le repousse avec douceur et cache ta poitrine avec ton bras. « Oui, c’est important. » dit-tu pour répondre à sa question. « c’est même très important que tu saches au moins comment je m’appel. je ne veux pas être qu’un numéraux ou justement juste ‘’céréale girl’ » tu aimerais pouvoir faire des guillemets avec tes mains, mais tu te redresses avec maladresse pour retrouver ton souttif. tu aimerais que ça ne compte pas, que tu puisses juste baiser comme on claque une porte, mais c’est hors de ta porter. « Je sais pas si je suis prête à coucher avec toi, juste pour te prouver que je suis cool. » tu remet ton haut et garde ton soutif dans ta main, tout en t’essayant de nouveau sur le transat, laissant un espace entre vous deux. « Je m’appel Solaris, mais j’imagine que tu t’en fou?»

Lorsque tu me repousses, alors que je prenais mes airs sur ton corps, je reste béat, la bouche presque ouverte. Je te regarde dans les yeux, sans comprendre ce qu’il t’arrive. Pourquoi tu arrêtes tout, comme ça? Et là je comprends. Tout ça, parce que je ne me rappelle plus de ton prénom? Tout ça, parce que je préfère appeler cereal girl dû à la première impression que j’ai eu sur toi? À te voir agir comme ça, de jour en jour, je me demande de plus en plus ce que tu fais chez les verts. Tu n’as rien d’une mather, ou bien tu la caches bien cette fille désinvolte. « Que je connaisse ton nom ou pas, tu aurais juste été un numéro ou si tu préfères, un vide couilles. Alors, je vois pas où est le problème! » Tu te relève pour remettre ton soutien-gorge et je commence à rire à ta remarque. « Toi cool? Hum… J’ai pas cette opinion de toi… » Et ouais. Que tu t’appelles Solaris ou bien Joséphine, ça serait la même pour moi. Demain, je ne me serais pas souvenu de toi. Bon, oui parce que je suis loin d’être ivre, mais tu serais resté la pauvre petite cereal girl à mes yeux. « Mais c’est bon… Solaris. » Dis-je prononçant exagérément ton prénom. « Sauve-toi, va raconter à tout le monde que j’ai voulu te baiser, mais que tu as pris peur! » Je prends un joint que j’avais roulé il y a peu et le coince entre mes lèvres pour finalement l’allumé. Si je ne peux pas avoir du plaisir avec elle, au moins, Marijuana allait être efficace.