Elle ne répondit pas à ma question. Elle secoua juste sa tête, je fronce le regard, pourquoi? qu'est ce qu'elle avait, à quoi elle pensait. Pourquoi je n'arrive pas juste à lire dans les pensées des gens. On était si proche là, mon bras autour de taille, elle était contre moi. Je lui caresse doucement. Bien sur, on voit comment ça peut finir cette position, mais je ne pouvais pas, enfin je devais retenir mes pulsions. JE ne peux pas faire ça à Athénaëlle simplement pas. Impossible. Aymalyne se relève d'un coup de moi, je ressens comme une fraicheur qui parcours la pièce. Comme si elle faisait tout pour que cette tention disparaisse. Ca veut dire quoi? Qu'elle l'a ressent aussi? Je ne sais pas dans quoi on s'embarque. Je ne sais pas ce que ça va donner. Je l'a suis direction la cuisine alors que je met les mains dans mes poches, je me pose contre l'un des plans de travail en la regardant prendre un verre de vin. "Vasy envoi moi un verre aussi, histoire que tu ne sois pas seule à boire. Ca fera moins alcoolique." Je souris en m'approchant d'elle en lui tendant aussi un verre. Je me retourne puis en chuchotant après avoir récupéré un verre je dis en rigolant. "Ton ilôt central me donne tellement des idées..." Je lui fais un clin d'oeil. Qu'est ce que je fais. Je peux pas penser à ça. Bon je m'en fous voila c'est dit, puis j'adore rire et draguer pour rien. Elle me connait de toute façon, puis elle sait au combien je suis une grosse merde en drague! C'est bien connu. Je laisse juste mon charme opéré. Puis elle, mon charme elle le connait.

Elle me servit un verre de vin! Je pense que oui tous les deux on en avait besoin. Il fallait qu’on passe à autre chose, je voyais son regard qui avait déjà évolué entre elle et moi, ce n’est plus le même qu’en Octobre a Halloween, il est plus gentil, moins sec. Bon après tout je l’ai tellement fait souffrir cette femme que j’aimais. J’ai fais le con, elle me déteste, je me déteste moi meme d’avoir fait ça. J’ai appris mes erreurs et je n’ai plus envie que ça arrive... aujourd’hui on avait tous les deux évoluer, avancer. Elle était en couple avec Abelard, moi? Athenaelle pour le moment on va dire. Elle est à des milliers de kilomètre de moi même si ce soir elle va m’appeler. C’est dur surtout de la savoir la bas avec Noah. Je n’ai pas confiance en lui, et en elle. Peut être que je me trompe. Je verrais bien à son retour. Je sors de mes pensées et je regarde autour sont cet îlot qui me donne des idées pas tres catholiques avec Aymalyne. Mais bon elle a un corps de déesse aussi. Enfin je l’imagine toujours aussi belle malgré ce 6 ans mainenant... elle sort de ses pensées aussi et je sursaute quand elle me demande d’un coup de partie. Je ne comprend pas. Je ne vois pas ce que j’ai Fais de mal.. « non mais t’en fais pas je ne vais pas te sauter dessus hein. Je respecte ton couple avec Abelard. Je ne suis pas là pour foutre la merde désolé...  » je ne venais pas pour ça. Juste la faire sourire un peu que’elle aille mieux . J’avais réussis voilà maintenant elle me jeté dehors. Je pose le verre en soupirant « bref... si ce que tu veux je pars ok... » je vais reprendre mon manteau puis revient dans la cuisine elle n’avait pas bouger. Je m’approche et l’embrasse rapidement sur les lèvres. Un frison me traverse mais je n’y fais rien. Je ne dois pas. « ce que j’avais eu envie de faire sur le canapé... au revoir Princesse. » je me retourne me dirigeant vers la porte enfilant ma veste. J’avais fais une connerie oui. Je ne regrette pas. J’ouvre la porte et me retourne vers Aymalyne. Comme pour la regarder une dernière fois. Pourquoi on ne peut pas être juste amis?

Je n’avais plus rien à faire ici, de toute façon... je voulais juste l’aider, qu’elle aille mieux, et même moi. Je voulais pense à autre chose qu’Athenaelle, elle consume mon énergie, et je n’aime pas la savoir si loin de moi. Puis en plus Ayma était pas bien a cause de ce debile de Belge... il fallait bien que quelqu’un comme moi, qui l’a connaît depuis tellement de temps, pas seulement parce que j’ai été son petit ami pendant des années et même son fiancé mais aussi car on a été longtemps amis quand on était jeune... elle a toujours été ma voisine, on était des meilleurs amis qui ont décidé de se donner une chance, une grande chambre que j’ai gâché a l’epoque de l’adolescence et voilà... je regrette mes erreurs. Enfin bon avant de partir je l’embrasse furtivement sur les lèvres. Ça m’avait manqué, elle m’avait manqué. Je l’aime. Je pars vers la porte et au moment où je sors, je reçois un objet sur la tête.. je passe ma main a l’endroit et regarde au sol. Une banane? Elle a donc pas changé... je souris en la ramassant... « une banane? T’as pas change ta technique pour que je me retourne hein? Entre la banane de notre rupture et celle-ci pour que je me retourne et te réponde... pas mal » je souris et je l’a repose sur l’an table me reprochant bien sûr d’elle a nouveau. Mon regard dans ses yeux, ces doux yeux. « Je l’ai fais car j’en avais envie, une pulsion... un dernier baiser comme un adieu... » je reste à la même hauteur qu’elle, elle est détruite a l’interieur Elle ne sait plus ce qu’elle doit faire ou pas. Je ne fais rien, j’attend une réponse, un signe de sa part. Si rien n’arrive je me déciderai à partir...

Je l'a regarde, oui j'avais fais une erreur, puis je l'avais embrassé mais je ne regrette pas. Pas du tout, si ça peut lui faire changer un peu son moral, et ses pensées, j'espère que ça a bien fonctionner. Je regrette simplement notre rupture qui avait été brutale et maintenant cette réputation qui me suit pour longtemps et surement toujours. J'avais été un homme entièrement débile, qui avait perdu la femme de sa vie, sa fiancée. On avait tellement de chose de prévu et tout ça à l'époque je le vivais très bien. "T'es vraiment folle, j'apprécie cela." Je souris, puis elle me dit qu'elle devra le dire à Abélard. J'hausse les épaules. Qu'elle le fasse de toute façon je n'ai plus rien à perdre, si ce n'est perdre ma place chez les Eliots. Mais bon si c'est pour devenir comme les autres, je préfère fuir si il le faut. "Parle lui en écoute. Si tu lui dis tout ce qu'il se passe, fait donc." J'hausse les épaules, puis je me retourne à nouveau, ma main sur la poignée de la porte. "Bonne soirée Aymalyne. " Je soupire, je ne l'aurais plus à moi, c'est finir, j'en suis conscient et ça depuis mon arrivée ici de toute façon. J'en ai encore une confirmation.