Depuis Louison, tu avais eu de nombreuses brèves relations de seulement quelques mois avant de te rendre compte que ce qui te suffisait, c’était les relations d’un soir. Depuis, tu te baladais, de filles en filles sans réfléchir au reste. Lorsqu’elle avait répondu de façon encore plus intense à ton baisé. Tu avais commencé à ressentir. Tu ressentais une sensation ainsi qu’un désir vieux de quelques années. Tu avais chaud, tu la connaissais cette attente, celle où tu en voulais encore plus à chaque bouchée. Vous n’étiez jamais allés aussi loin avec Louison, la seconde base n‘avais jamais été atteinte tu ne sais même plus pourquoi d’ailleurs. Vous aviez dû rompre avant. En tout cas, tu en avais toujours eu envie. Depuis, tu avais eu le temps de testé ce qui te tentais, mais ça, tu n’y avais jamais eu droit. La française avait claqué la porte d’un simple coup de pied avant t’agripper le col de ta chemise. Une main sous son pull tu l’aidais à l’enlever avant de l’embrasser jusqu’à descendre dans le coup. Tu y avais enfin droit, cette sucrerie qui t’avais toujours donnée chaud.
« Si tu savais comme j’en ai eu envie. »
Tu faisais maintenant face à sa poitrine, si différente d’autrefois. Et à ce moment-là, alors que vous vous laissiez emportées par l’envie tu ;’avais trouvé » encore plus qu’elle ne l’avait jamais été. Tu l’écoutais te susurrer ton nom à l’oreille et ton désir grippai en une fraction de seconde.
« Fais pas l’innocente, Chamberlain je suis sûre que t’en avait envie toi aussi. »
Tu balançais tes chaussures dans un coin tout en l’embrassant avant d’enlever ton pantalon et de vous laisser allez sur le lit
« T’as toute la nuit pour le découvrir »