Etais-ce vraiment à moi de lui raconter l’histoire de mon cousin et de son ex ? Non pas réellement, mais de toute façon je n’avais rien à y perdre. « Leur histoire est compliqué, il été les meilleurs amis du monde, et puis ils ont, ils ont eu un différent, et depuis l’un comme l’autre ne peut plus se voir. » Je n’allais tout de même pas lui dire que Aymalyne avait coucher avec Cole alors qu’elle était en pseudo couple avec Abélard, hors de question. Je soupire, finalement je me demande quand même un petit peu ce que je fais là à parler de la vie de mon cousin. Je termine mon café, et je soupire, je plante mon regard dans le sien et le met en garde sur mon cousin, et d’un coup, c’est le drame. « Non ! » disais-je un peu affolée. « Enfin ce que je voulais dire c’est non, je ne veux pas que tu partes, je sais que parfois c’est dure d’être le nouveau, surtout avec un passif avec certaine figure importante d’Harvard. Reste je t’en prie. » Je lui souris et commande un second café. Je passe ma main dans mes cheveux.

« Alors du coup tu me disais que tu étudie le droit et la musique. Pourquoi avoir pris deux cursus aussi différents ? » J’observe ses yeux, je les trouve magnifique, et bien quoi ? On ne peut plus mater les jeunes hommes tranquillement maintenant ?! « Enfin ne le prend pas mal, hein, mais le droit et la musique sont deux domaines très différents. Moi par exemple j’ai pris politique et comme tout bon politicien doit savoir entretenir des relations diverse et importante avec tous les pays, mon second choix à naturellement été les relations internationales. » Je n’avais pas choisi mes études par plaisir, je me les été imposées pour pouvoir un jour reprendre la direction de l’empire de mon père, alors je m’imaginer déjà Andrew me répondre que la musique c’est par passion ou un truc de ce genre-là. Je souris nerveusement. « Je suis désolée je t’avoir parue observatrice ou impolie, c’est juste que … Cette période de l’année n’est pas réellement c’elle que je préfère. » Oui je déteste l’approche de mon anniversaire, car le jour de ma naissance, est aussi celui de la mort de ma mère et à cause de moi, je ne l’ai jamais connue.

Je fronce mon regard quand elle me sort ce "non" assez radicale. Et beh, elle était au moins clair et net sur le fait que je ne devais rien savoir. D'accord ok, pas de soucis. De toute façon j'arriverais peut-être à l'apprendre qui sait ou pas. J'avais pas l'impression de parler de beaucoup après à Aymalyne en ce moment. Je l'a comprend de toute façon, elle me déteste pour ce que je lui ai fais et là pour le moment je veux surtout voir comment sont les filles ici à Harvard avant de tenter une drague vers cette petite Ayma à nouveau. J'avais un carnet d'adresse et de plan cul à remplir. Les sentiments? Qu'est ce que c'est? J'en ai aucune idée. Puis bon regarder, je veux pas non plus que des conquêtes la preuve, cette jeune femme devant moi là qui est sur ses gardes, je n'en veux même pas dans mon lit, juste faire connaissance, avoir des amies ici. Puis elle est dans la même maison que moi il faut que j'apprenne un peu à faire connaissance puis comme ça elle pourra dire à Ayma que j'ai changé que je ne cherche pas réellement à voila faire du mal ou que du sexe dans ma vie. Voila j'ai trouvé je vais totalement utiliser cette Athénaëlle pour réussir mes fins les plus machiavéliques. Qu'est ce que je suis un bon. Je lui dis alors que je vais partir ça servait à rien, notre conversation allait jamais arrivé mais voila, elle dit d'un coup venant limite du coeur que je devais rester. Je souris en restant alors à ma place.

Voila maintenant qu'elle essaye donc de se racheter, elle essaye de s'intéresser à ce que je faisais, droit et musique elle me dit que ça n'avait rien à avoir et qu'elle faisait elle un cursus qui avait totalement un rapport. Pour moi ça avait un rapport, peut-être pas à ses yeux après tout mais bon qui sait. Je la regarde en rigolant. C'est vrai que la musique est ma passion, j'aimais créé, composer, en jouer et chanter mais voila c'était pas du tout"Parce que je veux devenir l'avocat prenant la défense des artistes principalement, pour qu'il puisse valoir leur droit au niveau des droits d'auteurs et tout autre chose. C'est un grand problème dans le monde de la musique. D'où j'ai pris musique, c'est aussi ma passion, je chante et je compose moi même en faite mais comme ça je peux prendre des cours plus approfondi dans le solfège pour reconnaitre les partitions plus rapidement, les premières notes, les intonations. Mais même temps je veux aussi être simplement avocat de toute façon même si j'ai pas de spécialité. Je veux juste aider les gens." Je souris, c'était une évidence pour moi, j'ai toujours été baigné dans cela. Et puis mentir, parler, j'étais le meilleur pour baratiner. C'était un atout pour moi. "Et toi pourquoi la politique et tout ça? Enfin... Pour une fille comme toi... " C'est vrai c'était rare les femmes dans la politique surtout aussi belle. On va pas se mentir, elle était mignonne. Elle me dit qu'elle s'excuse pour avoir paru assez froide et observatrice. "Je comprend, on a du te parler de moi de toute façon et de tout ce que j'ai pu faire. Puis comment ça? Pourquoi en cette période de l'année? Pourtant je trouve qu'on entre dans la plus belle? Le froid, l'hiver, Noel, le retour en famille. " Je souris, je pense déjà repartir à Londres pour faire Noël avec mes parents. Je ne connaissais personne ici, j'avais pas de copines et puis Noel c'est en famille simplement.

Tu l’observe et tu ris à ton tour, pourquoi la politique ? C’était une grande histoire dans ta vie, le combat de ton père en réalité, car oui c’est lui qui voulais que tu suives c cursus, et puis toi tu voulais devenir une femme importante, respectée, alors ton cursus t’avait semblé approprié pour le devenir. « Et bien, dans un premier temps c’est mon père qui a voulus que je suive ce cursus et pas un autre, il pense que c’est mieux pour que je puisse un jour reprendre ses affaires. Mon père à un énorme empire dans la finance et aussi une ligne de bijouterie de luxe très prisé. Et personnellement, je trouve que c’est le meilleur cursus à suivre pour pouvoir un jour devenir une grande femme respectée. » Tu souris en regardant ta tasse vide, ton sourire se perds dans le vide, oui u est fière de ce que tu es, de la jeune femme que tu souhaite devenir. « Non on ne m’a pas dit ce que tu as fait, juste de me méfier, et très franchement je n’écoute pas les conseils des gens, sinon je ne serais pas ici. Je suis une jeune femme qui n’aime pas qu’on lui dise quoi faire, je suis aveuglément ma propre vois, personne ne peut m’imposer une direction à prendre. » Voilà c’est dit, maintenant il le sait qu’importe ce que tu entendras sur lui, tu te fieras uniquement à ta propre opinion. C’est donc le moment pour lui de montrer qu’il n’est pas ce que tout le monde prêtant. Tu lèves les yeux pour plonger ton regard dans le sien, et très vite tu lui avoue ne pas aimer cette période de l’année, qu’elle te rend morose et terne. Et le mot de trop sort de sa bouche, le mot famille.

Tu soupire, ton cœur s’alourdi, il devient si lourd que tu à l’impression qu’il va s’arracher de ta poitrine pour tomber sur le sol, tu manque d’air, ton esprit se perds dans des flash-backs de discussion avec ton père, ton regard devient vide, comme si soudainement plus aucune vitalité ne t’anima … Il a, sans le vouloir, touche une corde sensible, la plus sensible de ta vie. « Je, je n’aime pas du tout ça moi. Je suis née un dix-sept novembres, de l’année dix-neuf cent quatre-vingt-seize. Vers huit heure du soir. Ma mère est morte ce même jour de cette même année à huit heure dix. » Oui tu es née en tuant ta mère, sa te ronge, tu en crève de l’intérieur, sa te pourrie les entrailles à chaque fois que tu y pense, alors en parler, c’est trop difficile pour toi, tu ne le supporte pas. Tu as besoin d’air, sinon tu vas exploser, tu vas devenir une bombe à retardement et tu vas faire des dégâts que tu ne veux pas causer. Tu attrape ton sac, paye le serveur quand il passe près de vous, tu paye ta boisson et la sienne aussi. Tu te lève précipitamment, et tu plante ton regard dans le sien. « Désolée je ne peux pas rester, on se revoit demain d’accord ? » et tu t’enfuis, tu fuis pour qu’il ne voit pas ta peine, tu fuis pour qu’il ne voit pas tes larmes. Ferdinand est là il t’attend, tu monte dans la limousine et tu lui demande de partir très vite et de rouler jusqu’au cimetière. Dans la voiture tu craque, tu pleures. Tu as besoin d’aller sur sa tombe car parler d’elle, de ta mère t’as rappelé que depuis trois mois tu n’as pas déposé une seule fleure sur son lieux de repos éternel.

THE END.