Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTu es tombé sur pire que toi ... MARIN
I LOVE HARVARD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Le Deal du moment : -39%
    Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
    Voir le deal
    1190 €

    Tu es tombé sur pire que toi ... MARIN
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMer 11 Oct - 21:13
    taggercitereditionsupprimeradresse
    tu es tombé sur pire que toi....
    — with Marin

    La journée s'annonçait plutôt bonne. Je n'avais pas beaucoup de cours et ma nuit avait été bonne. Endormie au bras d'un parfait gentleman, j'avais su profiter comme il se devait de la chair masculine. Je n'avais plus aucune envie, toutes comblées. J'arborais la journée fièrement. Prête à répondre au moindre petit faux pas. Je pris la direction des grands escalier pour allez à l'amphithéâtre. Mon regard s'arrêta sur quelques silhouette. Ne pouvant m'empêcher de critiquer le style de certaine étudiante. J'étais comme sa nature et trop franche. Une garce, vous pouvez le dire. Une fois en haut, mon poignet s'offrit à moi. Il était bien trop tôt pour aller en cours. En avance pour une fois, je m'avançais vers la cafétéria universitaire. Un bon café allait me faire du bien. Amatrice de café, il m'arrivait d'en boire très régulièrement et le premier du matin était le plus important. Une fois la boisson chaude entre les mains, je m'avançais vers l'escalier me postant au balcon. J'avais une vue imprenable sur ceux qui montaient les marches. Discrète sur mon perchoir, je me mis à sourire en voyant le bout du nez de ce fameux Marin. Futur éliot. Je n'arrivais pas à l'empiffrer. Trop sur de lui, le simple son de sa voix m'irritait la gorge. Mes yeux se plissèrent lorsque j'eu une petite idée. Un sourire machiavélique sur le visage, je me penchais légèrement sur le balcon. Marin avançait tranquillement sans prêter aucune attention à moi. Mon gobelet s'inclinait au fur et à mesure avant de finalement se verser totalement sur la joli veste en jean de monsieur parfait. Son visage se releva en ma direction et fière de moi je lui fis : " Voila qui est mieux ! Passe une bonne journée Perol !!!! " dans ta face.

    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMer 11 Oct - 23:48
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Encore une journée bien chargé entre la psychologie cognitive, la social ou bien encore le français que j'avais pris en seconde discipline. Si pour le dernier je pouvais réussir les doigts dans le nez, étant français d'origine, je connaissais ma langue maternelle jusqu'au bout des ongles mais pour les autres c'était tout une autre histoire. Les relations entre les gens, les théories, j'étais plutôt à la ramasse en ce moment et je comptais bien me plonger dedans, un constat alarmant à la fin de l'un de mes cours qui avait eu le don d'être un choc électrique. Ayant une pause de quelques heures, je profitais pour passer à la cafétéria, j'avais ce besoin de recharger mes batteries pour le reste du travail qui m'attendait. Dire qu'à présent je sacrifiais mes soirées pour me plonger dans mes études, décidément, la eliot avait fait de moi un tout autre homme, presque irréprochable. Mais incroyablement dépendant à la cigarette. Je sentais déjà mon corps réclamé la nicotine, tellement que je finis par céder en posant une cigarette sur le coin de mes lèvres. Je monte les marches, une par une, cherchant mon briquet quand tout à coup, une pluie, de l'eau ou je ne sais quoi s’abat sur moi. Je suis trempé. Je ne comprend pas, levant mes bras pour contempler d'ampleur des dégâts. Une odeur amer m'agresse alors les narines. Sans suivis un ricanement provenant d'en haut. Callie. Forcément. Je fronce les sourcils, lâche ma cigarette de toute manière qui ne sert plus à rien et monte les marches à présent beaucoup plus vite. Je cours jusqu'à elle à présent. Je ne lui laisse pas le temps. Elle le voit, et se met à courir aussi. Je vais me la faire. Les jurons me sortent par la bouche. Je suis grand, j'ai repris le sport, je la rattrape en un rien de temps. Je la soulève et la porte sur mon épaule. La honte me ronge, je me suis fais remarquer pour une raison et ça m'agace. Abominablement. Je passe par les cuisines sans la moindre gêne et en tenant fermement cette saloperie qui avait le don de se débattre de manière sauvage. Elle finit à la plonge dans une immense bassine d'eau, le cul le premier. Je souris, satisfait de ce que je venais d'accomplir devant le regard effarouché des salariés. « Je te jure que si tu recommences, c'est ton brushing qui y passe. » répliquais-je en enlevant ma veste toute neuve que je venais lâcher par terre. Je n'en avais plus besoin et l'argent pour m'en racheter une, je l'avais. Une tâche pareille de café était impardonnable sur ce genre de tissu. Je la déteste.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 12 Oct - 20:11
    taggercitereditionsupprimeradresse
    tu es tombé sur pire que toi....
    — with Marin

    Il n'était pas difficile de le détester. Marin avait ce petit quelque chose d'insupportable. Sa façon de faire, la façon dont-il avait cette manière de prononcer chaque syllabe de chaque mot m'irritait au plus au point. Il faisait partie de ces personnes qui ne pouvaient pas faire un truc avant de m'énervé. Et oui, facilement irritable, j'avais tendance à partir au quart de tour. Mon sourire s’agrandit lorsque mon café toucha sa veste. Légèrement provocatrice sur les bords, je reconnaissais avoir commencer. Une petite vengeance sur les nombreux début de chamaillerie qu'il avait commencé. Une fois ma connerie faite, Marin se mit à courir vers moi. Je compris rapidement qu'il ne fallait pas que je reste trop longtemps dans les parages. Je me mis à courir. En un rien de temps, il se trouva à ma hauteur et me porta sur ces épaules devant tout le monde. " Lâche moi !!!! " dis-je en me débattant. Tout sa devant le regard amusé des autres étudiants. Il se dirigea vers la cafétéria, passa la cuisine avant de s'arrêter à la plonge. " Même pas en rê......" je n'eu pas le temps de finir ma phrase que mon cul était plongé dans cette énorme évier remplie d'eau. Coincé, mon regard se porta immédiatement sur l'étudiant. " Je te jure que si tu recommences, c'est ton brushing qui y passe. " j'ai peur connard ! ma main se porta sur la poignet d'une casserole qui flottait autour de moi. Il retira sa veste et la lâcha. Dans un mouvement vif, je remplis de l'eau dans la casserole et la lui balança. Je me mis à rire : " Attends tu as dis quoi juste avant ?! " dis-je en lui rebalançant une casserole d'eau sale vers lui. Son regard était mauvais, voilà que j’attisais ce feux malsain. Alors qu'il s'apprétait à répliquer. Une voix roque et mauvaise nous sortis de nos bêtises. " BORDEL DE MERDE ! C'EST QUOI CE BORDEL ! VOUS FAITES QUOI DANS MES CUISINES JE PEUX SAVOIR ? " mes sourcils se froncèrent et d'un air hautain. " Et déjà descend d'un étage papi ! C'est lui qui a commencer " dis-je sur un ton défensif. Loin de penser que notre sort était sceller. Si sa continuait.... il allait appeler les flics s'étaient sur !

    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 15 Oct - 22:00
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Les soeurs Gates. Se ressemblant toutes les deux comme deux gouttes d'eau pourtant, l'une avait cette terrible manie de m'emmerder plus que l'autre. Je ne me souviens même plus du jour où j'avais finalement commencé par les différencier. Peut être le soir où nous avions craqué ? Je serre les dents tout à coup, parce que je m'énerve, je me déteste de fondre aussi facilement pour sa plastique pourtant c'est ce que je fais. Et comme pour me punir, la jeune femme, du haut de son mètre quarante ne cesse de se montrer capricieuse en réalisant tous ses fantasmes les plus énervants qu'il soit sur moi. Comme cette tasse à café qui avait eu raison de ma veste en cuir que j'avais finalement abandonné sur le sol, ne me servant plus à grand chose désormais. Et même planté là, dans l'évier, la jeune femme n'en démordait pas, me jetant à la gueule une casserole d'eau. Une vraie garce dans toute sa splendeur, ne lâchant jamais sa proie même si elle se débattait. Elle se fou de moi, et l'agacement passe un cran au dessus, mêlé à de la frustration de ne pas pouvoir répliquer à cause des employés présent dans la cuisine. Callie s’énerve sur le cuisinier et je roule des yeux en entendant sa réponse des plus gamines qu'il soit. J'attrape le bras de la jeune femme pour la désarçonner de sa casserole pour une fois de plus la trimbaler sur mon épaule. Je ne dis rien et visiblement mon silence agace d'autant plus l'homme d'une quarantaine d'année derrière moi, et si au départ, je m'en foutais royalement, ses railleries commençaient sérieusement à me chauffer. « Ta gueule. » répondis-je tout simplement, choquant le vieux par la même occasion. Dire que nous étions deux eliots, nous devions plus montrer l'exemple, l’excellence même et non cette décadence incontrôlable. Je sors de la cuisine par la porte de derrière, l'entraîne avec moi avant de la lâcher subitement pour qu'elle retrouve le sol. Cul sur terre, je m'accroupis à sa hauteur et encadre son menton de mes doigts pour qu'elle me regarde attentivement. « Je vais vraiment te faire mal. T'es à la Eliot, pas dans ta piscine à boule ici. » répondis-je avec sérieux, n'étant absolument pas d'accord avec ses méthodes. Complètement trempé dans ma magnifique chemise blanche qui me collait à la peau, je ruminais comprenant que j'allais devoir rentrer à la Eliot House pour me changer. Je l'abandonne donc sur place et me met en route. Une mini crise cardiaque plus tard en pensant que j'avais oublié mes affaires dans ma veste alors qu'elles ne se trouvaient que dans mes poches arrières. Heureusement nous étions sur le campus et par la même occasion près des maisons, me permettant de ne pas perdre trop de temps.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMar 24 Oct - 18:57
    taggercitereditionsupprimeradresse
    tu es tombé sur pire que toi....
    — with Marin

    Provoquer les autres était la chose que je savais brillamment faire. Demander à mes soeurs ou à mon frère. Il n'était pas difficile pour moi de pousser l'autre à la faute. Je pouvais être chiante et Marin était le premier que j'arrivai à énerver rapidement. Insupportable l'un et l'autre. il ne nous fallait pas beaucoup de temps pour arriver à saturation de l'un ou de l'autre. Aujourd'hui, je l'avais volontairement provoqué et voilà que je me prenais un " Ta gueule ". Je l'avais mérité mais je n'arrivais pas à m'empêcher à froncer mes sourcils. Il me mit encore sur ces épaules m'obligeant à quitter la cuisine ou se trouvait le cuisinier en colère. Je me mis à souffler bruyamment. Il me posa lourdement à terre me faisant tomber. Mon regard noir le scrutait avant qu'il ne s'agenouille devant moi. Ses doigts se posent sur mon menton l'obligeant à le fixer. Ce qui n'était pas difficile en soit. " Je vais vraiment te faire mal. T'es à la Eliot pas dans ta piscine à boule ici. " ces menaces ne me faisaient ni chaud ni froid. Mais fait donc Marin, frappe moi ! Frappe moi ! pensais-je sadiquement. Il se redressa et quitta l'endroit ou il m'avait déposer. Mon silence ne me suffisait pas. Je n'avais pas envie de m'arrêter là malgré les menaces de l'éliot. J'avais encore cette incontrolable envie de le faire sortir de ces gonds. Me redressant, je partie le rejoindre une nouvelle fois. Il marchait rapidement vers la éliot house. Complètement mouiller, on pouvait parfaitement voir son dos se dessiner. Ses muscles ressortaient lorsqu'il marchait. Alors qu'il arrivait à l'embranchement de deux bâtiments. Je lui saisie son bras et le plaqua violemment contre le mur. Visage contre le mur, bras derrière le dos. Je me collai à lui en l'emprisonnant de mes petits bras. " Tu vas me faire mal Perol ?! fait donc, va y. Mais sache que tu n'es pas le seul à décider quand est-ce que tu dois me faire chier ou non. " dis-je au coin de son oreille en insistant sur chaque parole. Mon corps collé au sien, je ne voulais pas qu'il se dégage. " alors va y énerve toi Marin ! J'attends que sa " dis-je en le lachant subitement pour qu'il me fasse face.


    non non elle est pas sadique Tu es tombé sur pire que toi ... MARIN  166564858 Tu es tombé sur pire que toi ... MARIN  1881463262 Tu es tombé sur pire que toi ... MARIN  1881463262
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 26 Oct - 13:31
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Je n'étais pas dans mon état normal. Je me sentais humilié et cette sensation était tout bonnement impossible à concevoir pour un Perol. Cette saloperie avait eu ce qu'elle voulait, j'avais réagit sous le coup de l'impulsion alors que ce n'était absolument pas mon genre. Mais pour qui se prenait-elle ? Je représentais l'élite, la beauté à la française, le charme, la douceur en apparence, un certain niveau de vie que la plupart des étudiants ne pourraient jamais atteindre même en travaillant toute leur vie. Une magnificence que j'avais entretenir juste pour me sentir supérieur. Mais que Callie venait de résoudre à néant en m'affichant de la sorte face aux autres étudiants. Je me dirige vers l'eliot house, j'ai vraiment besoin d'un autre accoutrement, je ne supportais pas de sentir encore ce liquide brûlant dégoulinant dans le dos, de me sentir salit par qu’il venait d'elle, parce que je devenais collant. J'abandonnais la jeune femme sur l'herbe, la laissant comme une conne, m'occupant de bien autre chose de plus important. Moi. Mais elle ne lâche pas l'affaire, je me retrouve tête contre le mur et le bras violemment retourné rapidement, sans vraiment que je ne puisse me rendre compte vraiment de ce qui se passait sur le moment. Mais qu'est-ce qu'elle fou ? Je rage carrément, je ne suis plus du tout agacé, je suis vraiment énervé, j'ai envie que sa tête touche le béton. Plus elle appuie sur mon bras et plus je souffre. Je sens cette humiliation dont elle se délecte sans soucis. Elle me susurre des mots à l'oreille qui me font crisper la mâchoire, je vois rouge. Et quand elle me lâche enfin, je pense à milles et une façon de lui encadrer la tronche dans le mur d'en face. Personne, absolument personne ne pouvait en arriver là avec moi. Je me retourne brutalement et ne pense pas enlever son stupide sourire sur son visage. Si les perols étaient une famille connue pour leur richesse, rien n'est arrivé tout seul, les menaces faisaient aussi partis du jeu. Je pose ma main encore valide, et n'ayant rien reçu sur son cou, la faisant basculer tout contre le mur d'en face. « Tu crois que tu peux ? Tu crois vraiment que tu peux m'énerver sans rien ? » demandais-je en serrant légèrement ma prise. « Le jour où tu pourras m'énerver vraiment, sera le même de ta propre mort. » Je la lâche, le regarde franc et aussi dur que la pierre. La mettre en pièce était ce dont j'avais envie, mais je n'allais pas succomber si vite, pas si elle en avait envie. Les palpitations se freinaient doucement, mais je n'en gardais pas moins une petite envie. Celle d'une bonne claque sur le front pour qu'elle se le cogne une fois de plus contre le mur. Un rictus revient. J'enlève finalement ma chemise puisque nous étions tout près de la Eliot. « Tiens, puisque t'es un déchet, je te laisse le soin de l'emmener chez toi. Aux ordures. »
    Contenu sponsorisé
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas

    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum