J’avais compris la détresse de ma vie en voyant toute ses personne mourir autour de moi, mon ex petit ami qui était aussi mon ami d’enfance, ma mère qui était gravement malade, et tant d’autre choses que mis bout à bout j’en était arrivais à des extrêmes, heureusement une fois de plus Elyas avait laisser son nez trainer dans ma vie pour me secouer un peu avant qu’une connerie ne soit faite. J’avais besoin de le voir, de voir Tate, je voulais lui dire à quel point il compté pour moi et que je tenais sincèrement à lui, mais comment le lui avoué pour le reste ? Oui j’avais peut-être un peu d’attachement pour ce jeune homme, bon d’accord beaucoup d’attachement ! Mais rien ne pouvais être simple dans la vie et sur le trajet pour me rendre chez lui, j’avais reçu un sms un peu étrange de Willow, je ne savais pas trop comment y réagir, alors je répondais avec le plus de tact possible. Une fois devant chez Tate je soupirais profondément, passant en boucle dans ma tête tout ce que j’allais bien pouvoir lui dire. Je n’avais pas encore sonné ou toquer à la porte que déjà le stress et la timidité me rendais les joue très légèrement rosée, j’aurais presque fais demi-tour si je n’avais pas pris la ferme décision de prendre ma vie en main. Je sonnais donc enfin, attendant que Tate m’ouvre.

Je ne m’attendais pas à ce que Tate ouvre la porte, après tout nous avions des personnes à nos services lui comme moi. Alors, quand je vois sa frimousse, ce beau gosse qui m’ouvre la porte, je rougis. Il était toujours aussi beau, et cela me faisait toujours autant plaisir de le voir. En fait cela me faisait même du bien de le voir, comme si son regard chassé les mauvaises pensée de mon esprit. Jalousie ? Bon d’accord, je dois l’avouer j’avais eu une réaction un peu maladroite vis-à-vis de Willow, et je la mérité cette remarque. Tien en parlant d’elle, elle m’avait envoyé de texto sur le trajet. Elle me souhaitait d’être heureuse avec Tate et qu’elle n’était au finale peut-être pas une fille pour lui. Ces messages m’avaient tout de même fait de la peine pour elle. Je venais poser ma main dans celle de Tate. « Je te le promets pas de jalousie cette fois ci mon roi. » Je riais légèrement au surnom que je venais de lui donner, non je ne me moquais pas, mais tout de même pour des retrouvailles le surnommer mon roi … Je n’avais pas lésiné sur le surnom affectueux. Mon regard ce plantait dans le sien, et c’est spontanément, que je lui sauté au cou pour lui faire un câlin ! Il m’avait terriblement manquais. « Je suis heureuse de te revoir. » j’avais enfilé une robe assez simple, de couleur claire au vus du beau temps qu’il pouvait encore y avoir pour un début septembre. Dans simplement trois petits jours nous allions retrouver le chemin de l’université, je me demander alors si nous allions rester en contact lui et moi. Bien que depuis peu j’avais ouvert les yeux sur la nature de mes sentiments envers lui. Je tenais à lui plus que je ne voulais le croire. « Comment vas-tu ? » lui demandais-je innocemment.

Votre majesté ? Voilà que Tate me donné un surnom qui me fit tout de même rire sur l’instant, mais un petit peu rougir aussi. Je n’étais pas une princesse comme les autre, complètement guindée et étroite d’esprit. J’avais l’avantage d’être une fille simple, qui ne se prenait pas la tête. Je le regarde après ce bisou qu’il venait de déposer sur ma joue, je ne savais plus trop comment réagir, je voulais l’embrasser mais en même temps je voulais être certaine qu’il le voulait aussi. Ma main était restée dans la sienne, me laissant guider à travers son Penthouse, qui était cela dit très grand, cela me faisait pensait que je devais aller chez Sloan, il allait m’héberger un peu le temps que je me trouve un logement, mon colocataire ayant pris la fuite, je ne pouvais pas rester dans la villa que nous occupions avant. Mais revenons à nos moutons. Sans m’y attendre je me retrouvais de nouveau contre Tate, mais cette fois ses lèvres se collèrent au mienne. Je fermais les yeux pour profiter de ce baiser. Puis je rouvris les yeux une fois le baiser rompus pour pouvoir répondre à sa question. « Hm pas très bien. Mon grand-père est malheureux comme une pierre, l’état de ma mère s’aggrave, et en plus je n’avais tout juste pas le droit de sortir du palais. Non franchement la Suède, sans toi c’était un cauchemar. » Et encore je pesais mes mots. Je plonge mon regard dans celui du beau brun, sourire aux lèvres. « Mais je suis avec toi maintenant, donc c’est bien mieux. » Oui sa présence me faisait du bien, mais je ne savais pas trop par où commencer vis-à-vis de ce que je voulais lui dire, tant pis, j’allais y aller au feeling, écouter mon instinct. « Et toi au Laos comment ça s’est terminé ? » lui demandais-je avec un sourire innocent collé aux lèvres.

Tate avais été au cœur de toute mes pensées c’est dernier temps. Au départ nous avions parlé, bus et puis dansé, pour finalement terminer dans sa chambre au Laos pour une nuit très sensuelle. Finalement alors que je ne pensais pas le revoir, qu’il était juste un coup d’un soir, et que je serais une fille de plus à son tableau de chasse, je prenais peu à peu conscience que finalement non. Alors autant dire que me trouvais ici devant ce magnifique brun me rendais heureuse, la Suède ne devenais qu’un souvenir à oublier quand j’été dans ses bras. J’avais eu beaucoup de temps pour réfléchir à la nature de mes sentiments envers Tate pendant que j’étais enfermé au Palais en Suède. Le beau brun semble désolé pour moi et me dit qu’il est là pour moi quand je veux. Je rougie avec un sourire aux lèvres, j’avais de la chance d’avoir rencontré Tate, sincèrement. Je plonge mon regard dans le sien et je lui réponds. « Je veux bien merci, sers moi la même chose que toi. » je n’étais pas compliquée comme fille, n’est-ce pas ? En réalité il me manquait juste un brin de courage pour tout lui déballer cartes sur table, je ne pouvais tout simplement pas, alors j’allais certainement parler trop encore une fois et lui faire comprendre que je l’aimais bien, même plus que bien dans un discourt pompeux. Lorsque les deux verres résonnèrent après que nous ayons trinqué, je ne pouvais pas m’empêcher de rire légèrement. S’il savait la raison de ma venue, il aurait trinqué pour porter un toast, ou pas ! Il me demande alors ce que je voulais lui dire. Je dégluti nerveusement avant d’enfoncer mon regard vers le sol. Oups trop tard, il fallait se lancer maintenant. Je buvais une petite gorgée de mon verre avant de reposer ce dernier sur la table basse. « Très bien. Je ne sais pas trop par où commencer, alors du coup je voulais te dire que notre rencontre au Laos a été tout simplement magique, je ne m’étais pas sentis aussi bien depuis des semaines. Puis on à garder contact après cette nuit ensemble, et je t’avoue que cela m’as surprise, mais que j’étais heureuse que ça soit le cas. Après je suis partis en Suède et puis il y a eu ma maladresse envers Willow. Et quand tu m’as annoncé que finalement tu avais besoin d’être seul, j’ai été mal, et j’ai compris que j’avais eu peur de te perdre … le simple fait de penser t’avoir perdu m’as broyé le cœur. J’ai eu la durée de mon voyage en Suède pour réfléchir. J’en suis arrivé à une conclusion inévitable. Je … Je tiens à toi beaucoup plus qu’une simple amie, je tiens à toi car j’ai des sentiments pour toi Tate Murray. » Je n’avais pu m’empêcher de rougir de plus belle en lui annonçant que j’avais des sentiments. J’aurais voulu l’embrasser, être dans ses bras, mais je ne voulais pas le coller si jamais ce n’était pas réciproque, même si de toute évidence le jeune homme emblais tout de même tenir à moi. Je plongeais mon regard dans le sien, la bombe était lançais, je lui avais enfin dis, maintenant j’attendais de voir sa réaction, sa réponse, j’avais l’impression d’être aussi intimidé et timide qu’une fille devant son premier amour.

Je souris légèrement à ses paroles, comment un jeune homme comme lui peut-il en arriver à se définir comme quelqu’un de mauvais en sommes ? Il s’amuse, brise des cœurs ? Et bien quoi ? Nous le faisons tous, sauf que lui au moins il l’assume, il ne se cache pas derrière des excuse. Je m’approche de lui et dépose un bisou sur sa joue, avec la douceur d’une rose à la veille de son éclosion. « Tu sais Tate, je ne dirais pas que tu es quelqu’un de pas bien, et tu sais pourquoi mon chou ? Car tu es honnête, tu ne cherches pas à dissimuler tes défaut, tu les avoues. Mais tu as raison, prenons notre temps, voyons-nous de temps à autre, et on verra comment évolue nos petit moment à deux. » Lui lançais-je avec un sourire enjôleur. Cette fois mes lèvres se posent sur les siennes, lui dérobant un baiser. Lorsque je rompe le baiser, je lui fais un petit clin d’œil. Je reprends mon verre que j’avais posé sur la table basse et j’en bois son contenu, et repose le récipient là où je l’avais pris. Mon regard c’était fixer dans le sien, et histoire de ne pas rester sur cette conversation, je changeais de sujet. « Bon et si tu me montrais ce que le grand Tate Murray fais lorsqu’il a du temps libre. » lui demandais-je en laissant un petit rire m’échapper.