dancing in the dark with you between my arms — La bonne idée de la porter, au risque qu'elle s'échappe et qu'elle fasse n'importe quoi. Il ne sait pa,s il ne peut pas anticiper toutes ces réactions. Elle pourrait facilement retourner dans la foule de cette boite et se perdre, ou traverser une route et se perdre.. Ouais, non, elle se perdrait et comme ça, il sait où qu'elle ne risque rien. Pour autant, il se stoppe dans sa démarche, lui assurant que non, il ne la baise pas. Elle le saurait, s'il la baisait, qu'elle ne s'inquiète pas. Un léger sourire le traverse quand elle lui fait ce compliment mais jamais à l'aise, dans ce genre de compliment alors, il ne dit rien. Elle souffle, au creux de son oreille et son corps en répond, par des frissons. C'est juste dingue l'effet qu'elle peut lui faire. Il lui suffit d'un rien, en plus. Oui, je te fais l'amour.. Et il lutte, déjà, pour ne pas craquer, tout de suite. Il n'aimerait pas le faire avec elle, dans cet état. Pas comme ça. Même si l'envie y est. Elle sera toujours attirante pour lui, elle lui fera toujours cet effet. C'est tellement agréable, en même temps. Et je lutte pour ne pas céder, parce qu'il est hors de question que je te fasse l'amour, dans ton état. Alcoolisée, droguée... et il en passe. Le mélange, pas bon du tout. Demain, elle en aura pas vraiment le souvenir, surement. Ouais, il veut qu'elle s'en souvienne, le petit coquin. Je ne réponds plus de moi, quand tu me touches.. Il est faible. Bordel, faut qu'il arrête d'être faible ! Il reprend la marche, jusqu'à l'hôtel, alors qu'elle décide d'une danse privée. Il connaît la fin de cette soirée, pourtant, juste avant, il vient de dire non.. mais comment lui résister ? Devant son hôtel, l'hôtel des riches, apparemment mais Aaron a voulu se faire plaisir pour ce Summer Camp, donc devant l'hôtel, il la dépose, l'entraînant par la main jusqu'à l'intérieur. Tu veux me faire céder ? dit-il par rapport à la danse, par rapport à tout. Bordel, elle est tellement belle.

Au début, cette relation j'la prenais comme un jeu. Comme quelque chose d'éphémère, un coup d'un soir ou plusieurs coups mais ça s'arrêtait là. Et j'me rends compte que j'me suis prise à mon propre jeu, que quand il n'est pas là à m'serrer dans ses bras il me manque, il me manque beaucoup trop pour un truc éphémère ou sans importance. J'sens qu'il fait sa place doucement, en moi, qu'il s'installe et ça m'fait flipper. Y'a encore quelques jours j'savais pas comment faire pour mettre une croix sur Marin, comment oublier ce qui avait pu s'passer.. Et aujourd'hui, Aaron il prend toute la place. Il efface tout le reste d'une facilité déconcertante, et plus ça va et plus j'ai envie de me perdre avec lui. Il est doux dans tout c'qu'il fait, il m'fait du bien comparé à tout les autres. J'souris quand il confirme, mes doigts viennent caresser sa joue, et c'était comme si on était de nouveau seuls au monde. Comme si le temps venait de s'arrêter pendant quelques secondes, juste le temps d'un regard, d'un rire, d'une passion trop dangereuse. Je retire ma main, la laisse en suspend près de son visage, mes sourcils se rabattent et je le dévisage. - Arrête tes conneries, j'suis bien ! Regarde. J'prends son visage entre mes mains, le ramenant à moi pour coller son front au mien et le regarder droit dans les yeux. - J'suis bien, et j'ai envie de toi Buckley.. Que j'dis fermement. Alcoolisée ou pas, ça change absolument rien au fait que tu m'excite. Que tu m'attire d'une force surhumaine bordel.. - Laisse moi te toucher encore alors.. Ouais, laisse moi te redécouvrir à nouveau, te faire frémir autant que tu l'fait avec moi. Et je viens capturer ses lèvres dans un baiser intense, tendre en même temps avant de les relâcher dans un sourire. Il m'escorte jusqu'à son hôtel, je lève les yeux et la lumière me brule les rétines. Je me protège à l'aide de ma main, redescendant lentement pour éviter de tomber et m'engouffre dans le hall d'entrée en l'attirant par la main avec moi. - J'veux tout. Absolument tout de toi. Je me mords la lèvre, tire sur sa main pour le ramener jusqu'à moi. Je passe mes bras autour de son cou, l'embrassant encore. Encore plus, des baisers fiévreux, langoureux, avec une envie sans nom. Marchant à reculons jusqu'à l'ascenseur, plus rien ne compte. - Je te veux toi Buckley. Que j'lance sans m'en rendre compte, les yeux fermés, les lèvres emmêlées aux siennes.

dancing in the dark with you between my arms — Et il y a ce mystère autour de Sage. Qui est-elle, vraiment ? Il ne le sait pas mais c'est ce qui lui plait. Parce qu'elle arrive encore à le surprendre. C'est l'une des choses qui l'attirent. Pas que. C'est juste qu'elle un pouvoir sur lui, juste inexplicable. C'est comme ça. Elle l'attire comme un aimant. Et s'il croise son regard au détour d'une rue, au détour d'une soirée, un simple regard et il est comme absorbé par elle. Il ne sait pas ce qu'il se passe. Il n'y a pas d'étiquette, là-dessus, sur cette relation. Il ne veut pas se poser de questions. Pas maintenant, pas tout de suite. Il veut juste être avec elle, même dans son état. Bien qu'elle jure que tout va bien. T'es bien parce que t'es sous l'effet de tes merdes. dit-il normalement, sans une once de colère, non. Il n'a pas la force, de lui faire la morale et puis, ça ne sert à rien. Il est qui, lui, pour lui dire quoique se soit, à ce sujet ? Il ferme les yeux, un court instant, quand il la sent proche d'elle et qu'elle lui affirme qu'elle a envie de lui. Lui aussi, il a envie d'elle. Tellement que ça ne serait pas permis. Il rouvre les yeux, reprenant la marche. Sage.. qu'il murmure. Même s'il lutte, au fond, il le sait. Il sait qu'il est faible et qu'il veut juste se laisser aller, dans ses bras. Il la laisse l'embrasser, sans broncher. Comme s'il essayait de lutter contre cette envie. Oui, il veut lui faire l'amour et toute la nuit, toute la journée de demain. Encore et encore. Mais pour l'instant, il remarque que son état est bien trop sous l'effet de l'alcool ou de la drogue. Est-ce raisonnable ? Parce que oui, il s'en soucie. Mais... voilà qu'il l'amène dans son hôtel. Elle l'attire jusqu'à l'intérieur, passant ses bras autour de son cou et... bordel. Ses mains se posent sur taille, qu'il presse légèrement, la faisant reculer vers l'ascenseur. Le baiser devient plus sauvage et passionnel. Non, il ne répond plus de rien. Je te veux pour cette nuit, pour demain, pour.. qu'il répondit entre deux baisers, alors qu'il appuie sur le bouton de l'ascenseur qui ne tarde pas à arriver. Il y a du monde ? Il ne sait pas et il s'en fiche, il ne peut se décoller d'elle. Quel impatient, il peut faire. Parce que sa main vient se loger contre la cuisse de la belle.

Je clame que je vais bien, que je suis dans un bon état tout en sachant que c'était loin d'être le cas. Que la drogue m'apaise, m'envoie dans un monde où mon passé s'envole, mais j'sais pertinemment que cette sensation finira par disparaitre dans quelques heures en y laissant un chaos sans fin. Me laissant dans un tourbillon de colère et de tristesse, et Aaron, met le point là-dessus, me ramène doucement à la réalité. Une réalité que j'ai pas envie d'entendre, que j'veux ignorer pour l'instant et profiter de cet élan de bien être. - Embrasse moi et tais toi ! Que je dis dans un petit rire avant de kidnapper ses lèvres. Il me suit, abandonnant sa bonne conscience d'pas vouloir me toucher dans c'genre de moment. Et puis j'aurais pas accepté, j'veux pas qu'il me repousse, jamais. Peu importe dans l'état dans lequel je suis, j'veux qu'il succombe à chaque fois.. Comme moi. J'suis incapable de lui résister. Et j'recule jusqu'à l'ascenseur, ses mains sur mes hanches me donnent un équilibre et j'fais attention à rien ni personne. Il cite mon nom et j'laisse échapper un simple.. - Hm.. Ma bouche trop bien occupée pour que j'prenne la peine de répondre correctement. On s'enfonce à l'intérieur de la cabine de fer, j'entends qu'il enfonce un bouton et mon dos heurte la paroi. Je ferme plus fort les yeux, mes mains qui se baladent partout sur son corps que j'ai envie de dévorer un peu plus à chaque seconde. À chaque baiser enflammé. - Et j'veux être près d'toi.. Le souffle saccadé, ma langue qui se fraye un chemin jusqu'à la sienne, ma main dans ses cheveux qui l'entraîne jusqu'à mon cou. - Ce soir, demain, et.. Je termine dans un soupir, sentant sa main se glisser entre mes jambes que j'écarte machinalement. Un frisson arraché, je me pince les lèvres à ce contact et mon coeur s'emballe un peu plus. - Les jours qui suivent. Soufflais-je en ramenant son visage jusqu'à moi pour l'embrasser encore. Mes doigts glissent jusqu'aux boutons de son jeans que je défais rapidement, les portes s'ouvrent derrière lui dans un sale grincement.

dancing in the dark with you between my arms — Au fond de lui, il veut être raisonnable et ne pas passer pour le mec qui profite de la situation. Elle n'est pas dans un état normal, puisque l'alcool et la drogue se mélange dans son corps. Il n'oublie pas non plu, son appel de détresse. Doit-il comprendre quelque chose ? Est-ce que la Sage qu'il a pu voir, dans ces toilettes étaient encore là ? Il ne connaît rien de sa vie mais il sait qu'il veut la protéger. C'est bizarre mais il faut toujours qu'il protège et qu'il soit attiré par ce genre de fille. Ce n'est pas fait exprès, ce n'est pas un critère de recherche, pourtant. Il laisse échapper un sourire à ses mots et il prolonge, légèrement, le baiser, pas tellement convaincu. Il se voyait déjà la ramener dans sa chambre ou la sienne et la faire dormir sur le lit. En sécurité. Mais... il ne peut lui résister longtemps, surtout quand elle dit ce genre de chose, surtout quand elle sait où toucher. Dans le hall, il pose ses mains sur sa taille, ses hanches, la faisant reculer jusqu'à l'ascenseur. C'était trop.. Elle est là, avec lui, pour cette nuit. Il prendra chaque occasion, avec elle. La porte s'ouvre rapidement, encore un bouton et il retrouve ses lèvres tandis que l'une de ses mains se posent sur sa cuisse, ses courbes qu'il veut découvrir encore et encore. Est-ce permis de désirer une personne, à ce point ? Il entend ses mots et c'est ce qu'il veut. Ses lèvres qui se baladent dans son cou, mordillant sa peau. Alors que sa main empoigne sa cuisse, tellement il est fou de désir. Ses jambes s'écartent et l'envie de s'y aventurer s'y place. Elle s'attaque à son pantalon. Non, ils son incapable d'attendre. Chaque endroit est un endroit à eux. tout ce que tu veux.. qu'il souffle contre ses lèvres, revenant chercher sa langue. Mais les portes s'ouvrent, il tente de vérifier si c'est le bon étage. Oui, ça a l'air alors il l'entraîne alors que des personnes ne tardent pas à rejoindre l'ascenseur, quelques secondes après. Il avance à reculons, sans jamais lâcher sa belle. Il pourrait carrément le faire dans ce couloir mais il retrouve la porte, coinçant la jeune femme entre lui et cette porte. Il tente de chercher la carte pour ouvrir mais difficile avec Sage contre lui.. des difficultés à se concentrer.

Tu m'donne le tournis, tu m'plonge dans l'ivresse la plus déconcertante quand me prend tout contre toi. Que tu me murmures ce genre de phrases, que tu m'embrasse de cette façon. Et j'sais aussi que j'suis en train de me laisser happer dans le sillon de passion qui m'fait vibrer. Et c'est obscène à quel point je te désire, je te cherche de partout, dans mes draps dans lesquels tu t'es perdu avec moi l'autre soir, dans ma messagerie où j'attends un texto qui n'arrive jamais. Je te cherche dans ma douche, quand mon regard se perd sur ma peau et me ramène au moment où tu as pu la posséder. Et j'attends.. J'attends que tu viennes m'extirper de ce monde, pour m'emmener dans le notre. Sauf que ce soir, j'en avais assez d'attendre, ma patience avait des limites et il me restait plus qu'à provoquer un peu les choses. J'ai bien fait,toi aussi tu prends ton pieds avec moi, tu t'enivre de mon corps, de mes chaudes caresses et de mes étreintes fougueuses. J'peux presque entendre ton cœur battre, tout comme le mien qui menace de quitter ma poitrine pour finir à tes pieds. J'étais brisée, un fond craquelé, moche, terne. T'aimeras pas c'que je suis à l'intérieur, j'le sens.. Tu finiras par me rejeter, c'est comme ça qu'on traite les déchets non ? On les jettent. C'est ce que tu feras avec moi, j'le sais bien. Mais ta bouche est bien trop exquise pour que je m'en passe maintenant, ton touché bien trop habile pour que je laisse mon corps entre des mains qui ne te valent pas. Sa main sur ma cuisse, soupir intense, et je termine par dézipper sa fermeture éclaire. Le repoussant hors de l'ascenseur sans le lâcher. - Et moi j'veux tout. Gourmande quand il s'agit de toi. Quand c'est pour te garder.. On arrive face à la porte de sa chambre, mes lèvres ne se sont pas décollés des siennes et il s'agite en cherchant nerveusement sa carte. Je souris, abandonnant sa bouche le temps d'un instant. - Laisse moi chercher. Un brun malicieuse, ma jambe vient se caler entre ses jambes, caressant son entrejambe sensiblement. Ma main se balade sur son torse, descendant jusqu'à son flanc, passant derrière pour atterrir sur ses fesses que je presse. Glissant ma main à l'intérieur de sa poche mais n'y trouvant rien, je secoue la tête d'un air faussement désolé, puis glisse mes doigts sur sa hanche et revient à sa poche avant. J'enfonce ma main à l'intérieur, prenant contact avec la carte quasi immédiatement. J'en profite pour caresser sa cuisse à travers le tissus, me mordant la lèvre du bas sans le quitter des yeux. - Je l'ai ! Que je souffle victorieuse en ressortant le petit objet en plastique, la secouant sous son nez avant de la faire glisser dans ma culotte. - Mais sois tu viens la récupérer, sois tu me fait l'amour dans ce couloir.. Sourire enfantin sur les lèvres, je met mes mains derrière mon dos pour lui laisser le choix.

dancing in the dark with you between my arms — C'est comme une addiction, son corps, sa peau, ses mains, ses lèvres. Il veut tout, il veut pouvoir la sentir encore et encore. Sans jamais que ça se termine, sans jamais s'en lasser. Il sait très bien où tout ça va l'amener. Ce n'est pas la première fois mais comme d'habitude, il fait taire cette partie de lui pour mieux profiter de l'instant présent. Un instant agréable, qu'il apprécie tout particulièrement. Ils se cherchent, ils se trouvent, ils jouent, ils flirtent, ils se provoquent, ils se touchent.. bordel mais il en a pas assez. Il aime ce désir qu'ils entretiennent depuis le début de ce bizutage. Il serait même prêt à redevenir bizut, pour elle, le temps de quelques heures. Il veut tout à la fois quand il s'agit de Sage. Il veut la posséder, totalement et il sait qu'il veut être le seul. Mais il n'oublie pas qu'elle est libre, autant qu'il l'est, lui aussi. Mais quand même... c'est fort, entre eux, non ? Il y a quelque chose de spécial, voir même d'unique. L'envie d'elle est décuplé dans cet ascenseur, il pourrait la prendre, lui faire l'amour contre cette paroi. La voir jouir sous ses coups de rein et recommencer dans la chambre. Toute une nuit torride sous la chaleur de leur corps. Rien qu'à y penser, quelques secondes, ça l'excite. Il veut sentir son corps, tout entier contre le sien. Qu'il claque même, contre le sien, au rythme de leur ébat. Il recule jusqu'à trouver la porte de sa chambre. Mais avec quelques difficultés à trouver la carte pour ouvrir la porte. Sage se dévoue, à sa façon, ce qui l'excite encore plus. Sa jambe qui se cale les siennes, au niveau de l'entre-jambe. Il y a déjà une bosse de formé d'ailleurs mais ce qu'elle fait, ça accentue les choses et il s'en mord la lèvre. Il la laisse faire, il la regarde même. Fou de désir. Non, ils ne se quittent pas du regard. Il frémit à chaque contact, réceptif à ces gestes jusqu'à trouver la fameuse carte. Sauf qu'il ne la récupère pas.. non... la chanceuse se retrouve dans la petite culotte de Sage. Rien que ça, ça l'excite doublement. Un ultimatum s'offre à lui. Bien difficile, d'ailleurs. Et si, je faisais les deux ? Parce que les deux options lui tentent bien. Il se rapproche d'elle, une main qui se loge sur sa cuisse, la faisant remonter, tout contre lui et l'autre qui plonge sous sa robe, dans sa culotte. Il récupère la carte, qu'il laisse tomber par terre. La main retourne dans sa culotte pour lui faire du bien. Ses lèvres frôlent les siennes et dans un murmure : T'imagines pas à quel point, l'effet que tu as, sur moi.

"Je te veux". Ses mots viennent s'agripper à mon cerveau, tournent en boucle et me donne ce putain de sourire sincère au bout des lèvres. Ça faisait bien longtemps que les mots d'un homme ne m'avait pas touché comme ça. Depuis Noah en fait.. Et ce souvenir m'habille de tristesse en un claquement de doigts, mon sourire s'estompe et mon visage se referme aussitôt. J'essaye de garder la face, mais la drogue dans mon organisme me fait me focaliser sur cette mauvaise période. J'ai pas oublié, j'arrive pas à oublier bordel, et les plaies restent encore et toujours ouvertes. - Ne dit pas ça. J'me braque, je me renferme aussitôt. Tout se mélange dans mon esprit, trop de substances illicites qui guident mes pensées et c'est Aaron qui en fait les frais, Dans ses gestes, dans sa parole, j'ai l'impression de revoir Noah. Il me hante, son souvenir me détruit encore même en étant plus là. Il me laissera jamais refaire ma vie, jamais il me libérera de son amour. Je ferme les yeux, le jeu, la séduction prend soudainement un goût amer. Et j'ai l'impression de revenir en arrière, de revenir dans ces toilettes de boîte de nuit avec Aaron et j'suis tétanisé. J'me souviens de tout, ça me submerge d'un seul coup et j'perds pieds. Ma lèvre tremblante, son doigt en moi et mes yeux qui se ferment plus forts encore. - Aaron.. Je souffle comme pour me convaincre que c'était bien lui face à moi. Qu'il n'était pas ce démon que j'essaye de fuir. Et mes bras s'enroulent autour de lui, ma tête sur épaule et mes ongles s'ancrent dans sa peau jusqu'à la déchirer. J'essaye de me concentrer sur le plaisir qu'il est en train de me donner, j'essaye de toutes mes forces mais j'sens que je me crispe. Même sa douceur devient douloureuse. - J'ai mal.. Je murmure contre sa peau. J'ai le mal de tout, le mal de coeur.