You said "Me and you against the world"
— with jaspeandra

On revenait du voyage Quincy et soyons clairs ; ça a été une horreur. J'aurais voulu dire le pire voyage mais disons que c'était le second pire voyage. On avait atterrit au milieu de nulle part, passer quelques jours -qui étaient beaucoup plus long que la moyenne-, sans avoir accès aux médicaments de Jude ni même à nos vêtements ou quoi que ce soit d'autre dans la valise en soute. Même si au final on a réussi à rejoindre l'hôtel, les dégâts étaient déjà fais, surtout concernant la santé de Jude. Depuis l'hôpital, j'avais envoyer un message à Jasper en lui disant que j'arrivais dans quelques heures, et c'était maintenant. Il était assez tard, les heures de visites à l'hôpital était terminées et j'avais pris un taxi jusque ici -mon porte monnaie souffre, lui aussi-. Je vous passe le fait que je frappe et qu'il ouvre la porte. Mon sourire est présent, mais mes traits sont inondés d'inquiétude, surtout concernant Jude. J'enlace néanmoins mon ami, osant demander proche de son oreille ; "ça s'est bien passé toi ici avec Riley ?" elle t'a pas trop épuisé ? Fait souffrir ? Pleurer la nuit ? Parle moi de quelque chose de beau, sort moi de ce monde pendant rien qu'une minute.

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On m'avait accordé quelques jours en compagnie de Riley, et j'vous raconterai pas combien j'ai dû refaire un cours en accéléré de couches, de tolérance aux cris, et de dosage de la chaleur pour les biberons. Torrey est partie depuis trop longtemps. Mais, ça revient vite. Puis, les choses sont bien plus simples quand on sait qu'elles ont une fin ; c'est l'avantage des non-parents. Alors quand tu ouvres la porte Leandra, tu ne vois pas de cernes sous les yeux clairs, ni même de soulagement suite à ta venue. La compagnie de Riley est bien moins difficile que celle de ton duo, étrangement. "ça s'est bien passé toi ici avec Riley ?" La serre brièvement dans ses bras, comme une habitude. Un réflexe. « Nickel. Au début j'ai cru qu'elle allait me mettre à la porte, mais finalement elle a accepté qu'on cohabite. » Plaisante l'homme, tout en s'écartant, pour enfin poser ses prunelles sur la femme. « Et toi.. qu'est-ce qui se passe ? » Les yeux se plissent légèrement, et, tu m'la feras pas à moi. On va pas parler de l'histoire qui la fait dormir le plus rapidement, et combien elle se marre quand j'essaye de chanter un truc super-mega-faux, elle, elle va bien. Toi, pas vraime

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J'ai pas l'habitude de craquer, tu le sais, toi, que l'égo est fort, que la colère passe avant les larmes, que la vengeance se dessine avant de laisser place au doute. Alors oui, mes traits sont inquiets, plus fatiguée qu'habituellement, moins doux. « Nickel. Au début j'ai cru qu'elle allait me mettre à la porte, mais finalement elle a accepté qu'on cohabite. » Rigole en hochant la tête, cherchant le bébé du regard dans la pièce, « Et toi.. qu'est-ce qui se passe ? » Les yeux se reposent dans les bleus face à elle, souris tristement et hausse les épaules, "C'était.. un désastre, ce voyage." je retire mon sac de l'épaule, le posant dans un coin, "On a atterrit en urgence au beau milieu de nulle part et.. Jude a pas eu accès à ses cachets pendant une semaine donc il est à l'hôpital et ils vont le garder un petit moment." le sourire est quand même présent, parce que je ne souhaite pas inquiéter, même si je sais que ce n'est pas Jude qui t'inquiète. "Du coup j'ai tous les examens à réviser, les petits à m'occuper et Jude à aller voir à l'hosto... c'est pas comme si c'était déjà assez compliqué comme ça." rigole nerveusement, "J'sais ce que tu vas dire, ne dis rien." la phrase est peut-être partie plus sèche que je l'espérais. Je sais que ce bébé était une mauvaise idée, que j'aurais pas du, je connais ta manière de penser là dessus, tu sais. J'ai perdu tellement de monde autour de moi pour cette petite vie qu'est Riley.

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"C'était.. un désastre, ce voyage." Ton visage le laissait présager. Je n'retrouve le repos qu'on est censé voir sur les traits de ceux qui reviennent de vacances. A la place, de la fatigue et de l'inquiétude. "On a atterrit en urgence au beau milieu de nulle part et.. Jude a pas eu accès à ses cachets pendant une semaine donc il est à l'hôpital et ils vont le garder un petit moment." Ouais, l'avantage, c'est que j'm'inquiète pas vraiment pour Jude. C'est un peu un running gag, ses séjours à l'hôpital. Un truc qu'il nous fait tous les un ou deux ans. Il va s'en sortir, comme d'hab'. Et moi, j't'ai toi inquiète, comme d'hab'. J'dois taire l'ironie qui n'attends qu'à sortir, au bout de ma langue. Ca ne me réjouit pas pour autant. « Combien de temps ? » Je m'intéresse, t'as vu. "Du coup j'ai tous les examens à réviser, les petits à m'occuper et Jude à aller voir à l'hosto... c'est pas comme si c'était déjà assez compliqué comme ça." J'me mords la langue. La colère du Jasper ruiné est plus facile à calmer, désormais. Elle ne s'exprime quasiment plus. "J'sais ce que tu vas dire, ne dis rien." Hausse un sourcil, s'écartant d'un pas, les bras croisés contre le torse. « Contente-toi de me laisser un mot sur la porte, si t'as pas envie de réponse en face. » Je t'ai connu plus courageuse, Leandra. Mais tu vois, j'vais même pas te le dire. Parce que tu vas tellement te le dire, dans ta vie future, que j'ai plus besoin de te le murmurer. Et, les regrets n'ont plus le droit d'exister, quand tu as choisis d'avoir un nouvel être. « Laisse-moi Riley jusqu'à ce que Jude sorte de l'hôpital. » Le bordel est déjà présent dans l'appartement, de toute façon. Y a des trucs de bébé partout. « Laisse-la moi, ça te libérera du temps pour réviser. » Qu'il répète, d'une voix plus adoucie, délaissant le hall d'entrée pour entrer dans le salon. « Et arrête de tirer cette tête, il a déjà connu pire ton Montgomery. » Le sourire qui pointe aux commissures.

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C'est pas que j'ai plus d'envie, de détermination ou de motivation, non, c'est juste que je suis fatiguée. J'aurais du m'y attendre, j'aurais du le prévoir. J'aurais certainement dû m'armer bien avant pour ce que je vis là, dans le présent, mais on ne sait jamais ce qui arrive ensuite. J'ai pas perdu cette ambition, tu sais, c'est juste que ça se craquelle, à certaines parties de mon corps. Au sens propre comme au figuré. « Combien de temps ? » Je sais que tu te forces, et j'apprécie. Regarde-nous, à retomber dans de l'amitié. "Deux semaines, au minimum." dans ces eaux là, quoi. C'est de l'observation, de toute façon.  « Contente-toi de me laisser un mot sur la porte, si t'as pas envie de réponse en face. » Le sourire naît sur mes lèvres, sans disparaître, "T'a toujours les bons mots, j'savais que je faisais appel à la bonne personne !" meilleur ami, ex amant, ex amour, appelle-nous comme tu veux, de toute façon je suis plus certaine qu'un terme puisse être pour nous désormais. Appelons nous étrangers avec des souvenirs en commun. « Laisse-moi Riley jusqu'à ce que Jude sorte de l'hôpital. » Secoue la tête, hors de question. « Laisse-la moi, ça te libérera du temps pour réviser. » Il a pas tord, mais tu sera pas toujours là pour me sauver, j'le sais. Un jour t'en aura marre, un jour tu partira. Je le suis jusqu'au salon, m'affale dans le canapé, « Et arrête de tirer cette tête, il a déjà connu pire ton Montgomery. » - "J'sais ouais..." regarde autour, "Elle dort ?" je l'avais supposé depuis l'entrée dans l'appartement, sans la voir. Les yeux se tournent vers l'Ellington et la question se pose, "Et toi, ta semaine ? Les cours, la vie d'adulte, tout ça ?" donne moi quelque chose, n'importe quoi. Et quand bien même je sais que la tentation est grande, je sais que l'envie est forte, que ça arrive, dans ta vie, ne mentionne aucune fille, parce que je ne connais pas encore ma réaction à ce sujet te concernant.

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Les moments de répits sont courts, rares, mais le quotidien se rythme désormais dans une sorte de quiétude. L’emploi du temps est presque le même, jours après jours, et cette colère qui m’épuisait commence à s’intéresser à d’autres proies. J’n’ai plus à forcer les sourires, ils reviennent avec spontanéité. La gravité quitte mes traits, et me ramène à mon âge, j’m’éloigne de la trentaine qui s’installait déjà. Il fallait bien que nos malheurs s’inversent, un jour à l’aube. Ils ne seront pas venus de mes mains. Ces mêmes qui serviront bientôt à panser tes plaies ; éternelle rengaine. « Et tes examens sont quand ? » Ma proposition, si honnête qu’elle a été répété, était pensée. Les heures sont passées bien vite cette semaine, et j’avoue que la présence de cet être aussi petite qu’elle soit, donnait de la vie à cet appartement trop vide. "T'a toujours les bons mots, j'savais que je faisais appel à la bonne personne !" Je suis la bonne personne. Pour te confronter, pour te tirer tantôt vers le haut, tantôt vers le sous-sol. Selon le rythme sur lequel nous dansons. « Dans la chambre. » Elle dort oui, profondément, si l’on en juge le bruit de respiration qui s’échappe du baby-phone que Jasper lance à Leandra. Une demoiselle affalée sur le canapé. « Tu devrais essayer aussi. » S’assoit sur le rebord du canapé. « Tu sais, dormir, ce genre de truc utile. » Un fin sourire taquin aux lèvres, quand il tourne ses billes vers elle. « La vie d’adulte c’est juste une vie d’étudiant avec les cours en moins. » Qu’il hausse les épaules. Rien de passionnant. Rien dont j’n’ai envie de parler avec toi, rien que tu n’as envie d’entendre. « T’as mangé ? » Prêt à se relever.

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Je ne peux mentir, c'est écrit sur tous mes traits, la fatigue me narguent et me prouve qu'un enfant c'est du travail, me démontre ce que je savais déjà : je suis pas prête. Jude dis le contraire, que je suis une maman parfaite, mais quand j'regarde le miroir tout ce que je vois c'est une étudiante un peu trop fatiguée, une de celle qui a voulu vivre trop vite et qui en a oublié pas mal derrière, dont Jasper. « Et tes examens sont quand ? » Hausse les épaules, la vérité c'est que je sais même pas quel jour on est. "Un mois ? Un et demi peut-être.." ça s'approche, quoi. Possiblement deux semaines, j'pourrais pas te dire. Mes yeux dévalent la pièce, les mots rassurants s'échappent ; « Dans la chambre. » hoche la tête, rattrape le baby phone, respiration de l'être. « Tu devrais essayer aussi. » fronce les sourcils en le regardant, sans comprendre, « Tu sais, dormir, ce genre de truc utile. » rigole un peu, "Ah oui ça ! J'ai pas vraiment le temps en ce moment" offre une moue, le questionne en retour pour éviter la question, « La vie d’adulte c’est juste une vie d’étudiant avec les cours en moins. » - "Bon à savoir." je m'y préparerais, comme ça. « T’as mangé ? » secoue la tête, attrape rapidement le poignet de l'homme, "Reste." je suis plus convaincante, là ? "Arrête de.. courir à droite et à gauche, pose toi juste avec moi sur le canapé." lui offre un sourire, "Tu m'fatigues encore plus comme ça." un nouveau sourire tendre, "met nous une série, un film, une connerie, j'sais pas n'importe quoi." trouve moi une excuse ou une bonne raison de m'endormir sur ce canapé sans pour autant me sentir coupable de le faire.

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Je sais que j'ai pas à te mentir, j'ai pas à te conter des conneries. Nous ne sommes plus ce que nous étions. Mais, j'peux encore t'ouvrir ma porte. J'peux encore retenir mes remarques, oublier d'être moralisateur. J'le vois bien, que c'est pas ce dont t'as besoin. Après tout, t'es maline. T'as réussi à faire en sorte, en me mettant Riley dans les bras, que je ne puisse plus l'appeler erreur. Mais ça s'infiltre dans tes traits, ça fatigue ton corps, ça vieillit tes nerfs. Ca t'efface. Je te vois autre, depuis bien longtemps. "Un mois ? Un et demi peut-être.." J'te dirais bien que c'était pas le moment de partir en voyage en amoureux, mais tu vois, j'ai encore peur que ça sonne comme ça ne devrait pas. « Faut que tu t'organises. T'es pas la première qui cumule maternité et étude. » Tu l'sais, que j'aurai du mal à l'empathie sur le sujet. "Ah oui ça ! J'ai pas vraiment le temps en ce moment" Le sourire s'esquisse, et l'homme fait se balancer sa tête de gauche à droite. Il cherche à s'échapper, retenu par une main autour de son poignet. "Reste." Y a des mots comme ça, qu'il aurait fallut dire plus fort. "Arrête de.. courir à droite et à gauche, pose toi juste avec moi sur le canapé. Tu m'fatigues encore plus comme ça." Récupère son poignet, soupirant exagérément. « Faudrait déjà que tu te pousses, tu prends toute la place. » Qu'il s'amuse, quittant son accoudoir pour s'affaler sur le canapé. "met nous une série, un film, une connerie, j'sais pas n'importe quoi." Attrape la télécommande, allant chercher un film sur la clé USB insérée dans son lecteur. « J'ai les gardiens de la galaxie, le deuxième là.. » Balance ses prunelles sur la demoiselle, justifiant l'illégalité d'un : « J'ai pas le temps d'aller au ciné ! » Puis, faut bien que ça serve à quelque-chose de savoir bidouiller. Se débarrasse de ses chaussures, et met les pieds sur la table basse. Puisqu'on est partit pour glander devant la télé. Ellington attrape le plaid qui gisait sur le dossier du canapé, le posant sur Leandra. Ses lèvres sont délicieusement moqueuses. « T'as vraiment une sale gueule. » Souffle le détachement et son inverse. Ouvre son bras. J'ai toujours été bien plus confortable qu'un canapé.

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« Faut que tu t'organises. T'es pas la première qui cumule maternité et étude. » Hoche la tête, je le sais. Je sais bien, je pensais juste pas que ça allait être si éprouvant. Je pensais m'en sortir, je pensais que la faiblesse était une valeur accordée aux autres, pas à moi. J'entends ton soupire plus fort, j'entends que tu fais exprès, « Faudrait déjà que tu te pousses, tu prends toute la place. » rigole et se décale pour lui laissé les trois quarts du canapé, "Tu pense que tes grosses fesses ont assez de place ?" taquine, même fatiguée. « J'ai les gardiens de la galaxie, le deuxième là.. » hausse les sourcils, il est sorti y a deux semaines, « J'ai pas le temps d'aller au ciné ! » souris, "Ouais c'est pas comme si t'avais les sous d'acheter le dvd non plus." le sourire en coin est présent, alors que les chaussures de l'homme restent sur le sol quand ses pieds se hissent sur la table. Je remonte le plaid, m'installe comme je peux et pas des manières les plus glamours, j'le conçois, « T'as vraiment une sale gueule. » rigole, "T'es pas mal non plus." la bave du crapaud, ouais, le bras s'ouvre, le regard est répugné, essaie de l'être, puis le sourire en coin se présente. Je m'installe contre lui, la tête que je cale entre le torse et l'épaule. La main tapote glisse sur le ventre et tapote légèrement, "Dis donc, la vie d'adulte ça te réussi pas tant que ça." les yeux se relèvent vers l'homme, taquine. La main se glisse sur les hanches de l'homme, "Bientôt j'pourrais carrément agripper tout ça !" qu'elle se moque.

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— with jaspeandra

Je sais, tu pensais être différente, être plus forte. Ouais, on pense tous ça. Tu sais, sortir du lot. Valloir mieux que cette populasse, avoir les épaules plus larges. Pouvoir tout supporter. Ca fait quoi, de se dire qu'on ne vaut pas mieux qu'eux ? On s'résume à une intrigue d'un mauvais film. Notre relation n'est qu'un éternel cliché. Parfois, j'me rassure en me disant que j'ai quand même échappé à l'ennui de l'éternelle ritournelle de ta vie. Sauf que la mienne n'est pas mieux. Je suis comme tous ces quasi trentenaires, qui s'amusent dans des lits de filles flirtant avec la vingtaine. Qui oublient qu'ils sont seuls le soir en se voyant important dans des regards qu'ils zappent le lendemain. On vaut pas mieux l'un que l'autre. "Tu pense que tes grosses fesses ont assez de place ? Ouais c'est pas comme si t'avais les sous d'acheter le dvd non plus." Esquisse un rapide sourire. « J'ai pas la patience. » J'aime pas attendre, tu sais bien qu'avec moi c'est maintenant ou jamais. "T'es pas mal non plus." J'ai la prétention d'avoir moins de fatigue sur mes traits. Je t'acceuille contre moi, comme une rengaine. "Dis donc, la vie d'adulte ça te réussi pas tant que ça." Plisse les paupières, ses billes sur la demoiselle. Met bien une-deux secondes à comprendre où elle veut en venir. Le ventre se contracte, forcément. "Bientôt j'pourrais carrément agripper tout ça !" Les hanches fuient les mains. « Ne répercute pas tes problèmes pour retrouver ton poids d'avant grossesse sur moi, Carreirao. » Le sourire est moqueur, aux commissures. « Je peux te coacher si tu veux. » Puis grimace, d'une voix plus basse, presque boudeuse : « Et c'était de la peau. C'est pas d'ma faute si tu sais plus reconnaître un corps musclé. » J'ai repris les entrainement de natation, non mais. Mais ouais, forcément, on est pas taillé dans la même pierre Jude et moi, tu vois.