Elena Lewis vivait à New-York, elle avait toujours était bipolaire à tendance dépressive, une maladie héréditaire qui lui venait de son père. Elle tomba ensuite de Jenny alors après avoir passé la nuit avec un homme qu’elle connaissait à peine. Trois plus tard, elle mit au monde Malicia, qui elle aussi était le fruit d’un homme rencontré au hasard. Elle éleva Jenny et Malicia comme deux sœurs, en omettant de leur dire qu’elles n’avaient pas le même père. Toutes les deux de toute façon eurent le nom de leur mère, Lewis. Elena avait toujours été considérée comme le vilain canard de la famille. Cela faisait des années qu’elle était brouiller avec tout le monde, elle avait fait ses valises quand elle n’avait que 18 ans et depuis elle s’était débrouiller seule en enchainer petit job sur petit. Les filles Lewis étaient donc pauvre mais Jenny et Malicia étaient profondément lier, elles n’avaient pas besoin d’énormément de jouet pour s’amuser et elles se contentaient de peu. Le seul jouet de «  valeur » que Malicia eut un jour s’était des patins à glace et chaque hiver elle en faisait sur un lac gelé, elle devint même très bonne. C’est à l’âge de 6 ans que la petite fille vu l’Irlande pour la première fois. Sa grand-mère avait repris contact avec Elena et les avaient invités, elles et sa sœur à venir lui rendre visite. A partir de là, tous les étés Malicia renouait avec les Lewis en Irlande et faisait connaissance avec ses cousins et cousine. Avec l’argent de sa grand-mère elle commença même à prendre des cours de danse. L’Irlande c’était merveilleux, pendant ces deux mois, Malicia n’avait plus à porter le poids de sa mère dépressive ou de leur pauvreté, elle faisait partit d’une réelle famille. Malheureusement sa grand-mère décéda quand elle avait 10 ans et disparu avec elle tout les contacts qu’elle avait avec la lignée Lewis. Quand elle avait douze ans, la mère de Malicia tenta de mettre le feu à la maison pour mettre fin à ses jours, heureusement, sa tentative échouée. Ce qui ne fût pas le cas un an plus tard… Jenny avait 16 ans et Malicia 13 quand elles retrouvèrent leurs mère leurs veines ouvertes dans la baignoire de leur maison. Seule et orpheline, Jenny se fit émancipé pour ne pas être séparé de Malicia et avoir sa garde, de toute façon elle avait toujours été pour elle une petite maman. Cette fois encore les deux sœurs se retrouvèrent à devoir vivre avec presque rien, n’ayant personne vers qui se tourner. Consciente que dans la vie on a rien sans rien, Malicia travailla dur afin de postuler à Harvard et d’obtenir une bourse. Afin d’étoffer son dossier scolaire elle rejoignit trois club sportif, le journal d’étudiant (elle s’occupait de la rubrique sportive) , la danse et le judo. Elle se rajouta aussi des cours supplémentaire le soir et appris notamment trois langue (Grec, Français et Japonais).  A son arrivée à Harvard en Septembre, elle chercha rapidement à intégré une confrérie afin d’être logée sur place et ne pas avoir de loyer à payer. Avec ses talents en danse, elle fit vite repérée par les Lowell. C’est là-bas qu’elle retrouva @Blueberry Sanders-Lewis, sa cousine, qu’elle n’avait pas vu depuis 8 ans. Les deux étudiantes devinrent rapidement très lier et inséparable.


Malicia poussa la porte du petit appartement qu’occupé Jenny en centre ville de Boston, une joie profonde sur son visage. «  Salut ? » demanda sa grande sœur. «  Tu devais passer ? » « Non mais je devais à tout prix te parler » reprit l’étudiante. «  Ah ? Ton voyage à la nouvelle Orléans c’est mal passer ? » Le sourire de Malicia se ternit légèrement alors qu’elle repensait aux violets et à tout ce qui lui avait apporté durant ses 5 dernières années, mais elle avait cruellement besoin de changement dans sa vie. Elle-même se sentait changer depuis son arrivée à Harvard. «  J’ai pas eu de tes nouvelles, je m’inquiétais. » «  J’ai passé quelque jours avec mon père… » dit-elle en attendant la réaction de sa sœur. «  Notre père ? Celui qui nous a abandonner ? » reprit Jenny en se retournant vers la cadette. «  Non à vrai dire… MON père… » «  Je ne comprends pas. » dit-elle en le regardant interdite. Malicia poussa un soupir. « Il y a plus d’une quinzaine de jours maintenant, j’ai fait la connaissance de @A. Clary Bushnell . Je la connaissais pas et elle m’a dit qu’elle était ma sœur ou plutôt ma Demi-sœur… » «  Quoi ? Comment ça ? » «  Apparemment Clary a fait beaucoup de recherche et elle m’a apprit que toi et moi on n’avait pas le même père mais qu’elle et moi oui. » Jenny fronça les sourcils, n’en revenant pas de ce qu’elle venait d’entendre. «  Au début moi aussi j'avais du mal à tout comprendre, c’est pour ça que je ne t’en ai pas parler mais… William m’a contacter et… » «  William ?!? » Demanda-t-elle sans comprendre. «  William  Vanderbilt. C’est mon père. Il est génial. C’est le descendent de Cornélius Vanderbilt. Il a une immense fortune bâtît sur la construction maritime et les chemins de fer. Il m’a accueillit à bras ouvert. Il m’a montré sa maison qui est immense. Si tu avais vu la chambre où j’ai dormit c’était juste… Waw ! » Les yeux de Malicia pétillait, elle avait l’impression d’être une princesse. Jenny, elle, avait l’air tout sauf enchanté. «  Alors quoi ? Vous allez vivre ensemble comme une heureuse famille ?  Tu te fais avoir Malicia. Tu ne le connais même pas.  Il te fais tourner la tête avec son argent mais ce n’est pas ça le plus important. Ce mec c’est forcément une ordure ! » Malicia se sentit blesser que Jenny le prenne ainsi et insulte son père, pour une fois, elle avait une réelle famille et sa soi-disant sœur cracher dessus. «  Laisse tombé tu comprend rien. » dit-elle en se dirigeant vers la porte, bien décidé à s’en aller et à jamais revenir.