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TATHENA >> Si c'était simple, ça ne vaudrait pas le coup.

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Moi qui d’habitude adore les bals et les choses comme ça, c’était loin d’être le cas ce soir. J’étais arrivée avec Dallas mais il a fait une crise d’épilepsie avec toutes les tensions à la table. Oui parce que tu m’étonnes qu’il y avait des tensions, j’étais avec Tate, sa cavalière, Osean et Alaska autant dire que là … on ne pouvait pas faire pire. Il y avait aussi Bonaventure et Andrea à la table mais pour le moment on ne les avait pas vu. Bref, ambiance de merde, avec Tate c’était le pole nord et en plus de ça avec Alaska aussi. Je crois qu’elle n’a toujours pas digéré le suçon et le voyage Dunster que j’ai fait avec Osean. Enfin voilà, c’était un peu la misère et ces tensions se sont traduis sur Dallas qui a fait une crise. Après ce passage je me sentais assez mal. J’ai attrapé mon sac à main, mon paquet de cigarettes et mon briquet avant de tous reposer sur ma chaise et sortir dehors. J’avais besoin d’aire et je ne voulais pas qu’on me voit mal, jamais je n’autoriserais une telle chose. Je me suis mise dans un coin m’allumant une cigarette et prenant une très longue bouffée tirant sur le bâton de nicotine. Je me sentais hyper mal et j’avais besoin de dix minutes, toute seule. J’essuyais les larmes qui coulaient malgré moi sur mon visage me ressaisissant assez rapidement, c’était le bal, j’allais pas pleuré. C’est juste que j’ai eu tellement d’attentes et au final rien ne s’est passé comme il fallait tout allait de travers et ça avait tendance à me frustrer. La soirée bâtait son plein à l’intérieur tandis que je retardais l’échéance en m’allumant une seconde cigarette adossée contre le mur, ça au moins, ça me calmais, ça au moins c’était efficace. Je profitais de ce moment au calme pour penser à la situation et aussi pour regarder mes messages, surtout celui de mon père qui a ramené Dallas chez lui, au moins une bonne nouvelle. Je me retrouvais seule et sans cavalier, je dois dire que je me demandais même si j’allais rester ou j’hésitais même à changer de table histoire de ne pas avoir à supporter Tate ou même Alaska.

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Décidément, je commenc¸ais à croire que les bals de fin d'année à Harvard était fait pour tout sauf me donner ma fin heureuse, genre sérieusement je devais être maudit à cette période de l'année. La seule chose positive pour le moment c'était que je ne m'étais pas battu avec un Winthrop mais encore la je ne criais pas victoire trop rapidement. Le début de la soirée avait été une catastrophe avec toute l'action qui s'était dérouler à ma table, dieu merci que j'avais été voir d'autres choses et prendre quelques verres. Je venais de quitter Willow sur la piste de danse et on s'était embrassés. J'étais confus sous le choc submergé par l'émotion et surtout j'étais perdu. C'était le néant dans ma tête, mon coeur battait très fort, je devais me calmer. Je quittais la salle de bal en informant Leevy que je devais aller prendre l'air, sa allait m'aider à m'éclaircir les idée. Je fonçais à l'extérieur, me traçant un chemin à travers la foule et poussait les portes. D'un seul coup, je sentais le vent frais parcourir ma peau et j'en ressentais un bien fait instantané. Ma mère m'appelait au même moment et j'étais à l'extérieur, je ne pouvais pas m'empêcher de dire: ''MÈRE CE N'EST PAS LE MOMENT! Oui oui je te rappelle, je t'aime aussi.''. Grrr... je foutais mon téléphone dans mes poches et je relevais la tête pour voir ma belle Atheéna entrain de fumer sa cigarette, je regardais à terre un moment: ''Sa te va si je reste un moment? Aussi non je peux aller ailleurs.''. Ne me dis pas de partir svp...''.
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J’étais dehors, j’avais besoin d’aire, de ne plus penser à rien de respirer un bon coup. La soirée se passait tellement mal c’était horrible. Tate ou Alaska je ne sais pas qui est le pire. Et ne parlons pas de la crise d’épilepsie de Dallas, honte ultime quoi. J’étais même inquiète pour lui et j’attendais un message de mon père qui me dira qu’il va bien et qu’il est dans une chambre chez nous. Et oui, ce soir je vais rentrer dormir chez mon père je pense si Dallas est là bas en tous cas il y a de fortes chances parce que c’est pas Tate qui va me ramener vu son comportement lors de la soirée. Il a été froid, il a osé faire le coq devant Dallas bref c’était la panade il faut le dire.  Au moins dehors il n’y avait personne pour trahir le calme qui régnait et je pouvais fumer tranquillement. J’avais même pas de veste en plus de ça il faisait bon, certes un peu froid mais c’était supportable et sinon je crèverais de froid c’est pas grave. J’étais au calme, j’en étais à ma deuxième cigarette allumée quand j’ai entendu quelqu’un sortir. J’en étais au mégot alors j’ai écrasé la fin dans un cendrier avant d’en allumer une troisième, surtout quand j’ai vu que c’était Tate je me suis dis que j’en aurais bien besoin. Il était au téléphone avec sa mère je suppose vu comme il l’appelait, oh il lui dit je t’aime c’est trop mignon. Il soupirait et moi j’avais pas envie de lui parler ni même de le voir, je voulais qu’il disparaisse enfaite, j’en étais à peu près là à lui en vouloir. Je soupirais et regardais rapidement mon téléphone avant de faire claquer mon briquet pour l’allumer et ainsi allumer mon précieux, le bâton de nicotine. Je sentais son regard sur moi quand je me refusais à le faire, j’étais moitié entrain de pleurer enfin j’avais les yeux brillants, remplis de larmes donc bon à un moment faut que j’arrête d’être pathétique c’est juste que oui c’était trop. J’essuyais l’un de mes yeux puis l’autre faisant attention à mon maquillage sans le regarder et j’ai repris « C’est un lieu public donc reste si tu veux. » oui mais c’est certainement pas moi qui vais faire la discussion je suis un peu ailleurs faut le dire. Je lui ai envoyé un message au Japon il n’a jamais répondu donc là ce sera à lui de parler et si vraiment ça me saoul trop j’irais ailleurs pour fumer comme un pompier. La fête était gâchée, nulle j'avais même envie de partir maintenant juste pour me mettre minable chez moi au moins personne ne me prendrais la tête et je ne dirais rien de travers. Oui j'étais de mauvaise humeur c'est normal après tous après tous ça. C’est compliqué avec Tate, en même temps ce serait trop simple il ne m’aurait pas intéressé. Je me suis décalée pour qu'il puisse s'assoir alors que je ne le regardais toujours pas, parce que je sais que je suis minable. Reprend toi un peu ma grande. Après il est arrivé quelque chose de dramatique c'est normal.

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C'était un drôle de hasard et un sentiment inexplicable pour retrouver Athéna à la même place où on avait échangé notre premier baiser. Bref, ca ne servait à rien de remémorer les bons souvenirs en ce moment parce que entre nous, c'était froid, c'était encore plus dur que les temps de la guerre froid ou la construction du mur de Berlin, c'était presque une guerre mondiale entre nous. Ca me faisait de la peine qu'on avait aussi détériorer, où était la Athéna heureuse et le Tate heureux de la suite de Dubaï? Ils me manquaient tous les deux. Je me rendais compte que la Cabot était dans un sale état, ce n'était pas dur à voir. Elle semblait être devenue une pompière à force de faire de la fumée à cause des cigarettes. Je n'aimais pas la voir fumer autant, c'était mauvais pour sa santé et surtout, je savais que si elle fumait autant c'était parce qu'il y avait quelque chose qui la tracassait, je me soupçonnais même être la première source de ces tourments. En plus, elle venait de me voir presque engueuler ma mère au téléphone, j'allais sûrement paraître pour un vrai taré ou un insensible, sérieux qui était assez pas reconnaissant pour crier à la tête de ses parents. Bref, ma mère avait enduré pire en m'ayant comme fils. Je me demandais sur quel pied dansé en premier avec elle, je ne voulais pas qu'on commence à s'engueuler de nouveau: ''Tu voudrais serrer tes clopes?''. Je me sentais affreusement mal en ce moment et si elle voulait bien coopérer avec moi en ce moment, sa saurait vraiment apprécier. ''Alors je reste, je crois qu'il faut qu'on parle.''. Je faisais des gros efforts en ce moment pour être en contrôle de mes émotions et surtout montrer que j'étais ouvert aux discussions pacifiques avec elle, on était tous les deux du même pays après tout.
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Je me sentais trahie de beaucoup de choses mais je suis quelqu’un de fière, je préfère m’isoler pour fumer un bon coup, laisser la cigarette prendre possession de mon cerveau et me calmer juste me rendre plus calme. Et je connais le discours, le fameux « fumer tue » mais c’est indispensable pour moi. Avec Tate rien allait depuis que je suis parti au Japon, oui, ça a vexé monsieur que j’oublie de lui dire mais en même temps j’y ai pas pensé moi. Bref c’était la guerre froide, la troisième guerre mondiale et dieu seul sait que pourtant entre deux Suisses c’est bien rare parce que nous sommes des pacifistes ou en tous cas on ne prend pas parti. Où ils étaient les Tate et Athéna heureux d’être ensemble ? J’en sais rien très sincèrement, je pense qu’elle a préféré retourner dans son cœur de pierre pour ne plus souffrir. Le pire ça a été quand en plus Hippolite m’a montré le tweet de Cambridge Secret dévoilant que Tate a embrassé une fille, son ex qui en plus lui a fait une déclaration. Alors je fumais, au moins j’étais pas entrain de péter un câble. Tate a eu la bonne idée de sortir dehors si bien qu’on s’est retrouvé tous les deux. Je ne le regardais pas, je ne voulais pas qu’il me voit comme ça avant je me mettais limite dos à lui. Si il pouvait rester ? Si ça lui faisait plaisir, j’avais pas la force de gueuler là, la cigarette faisait peu à peu son travail, en même temps au bout de trois. Il me demande alors si je peux ranger mon paquet. Je suis toujours dos à lui moitié ou en tous cas moitié tournée et je hausse les épaules « J’arrêterais après celle là peut être, sinon mon paquet me fera pas la soirée, heureusement que mon père m’en a rapporté un tantôt. » oui heureusement parce que bon sinon je serais bien moi. Je gardais ma cigarette commencé en me disant que pour lui faire plaisir j’allais essayer de ne pas fumer une quatrième cigarette dans la foulée. On devait parler, oh ça oui c’est sure. Je regardais l’encadrure de la fenêtre reprenant « Je t’écoute vas y remettons l'église au milieu du village » Je m’essuyais encore un œil sortant un miroir pour regarder à quel point j’étais minable, au moins j’en ai conscience. Je l’écoutais mais je ne savais pas vraiment si j’avais envie de le regarder a vraie dire, ça c’est sure en tous cas que quoi qu’il dise ce soir il ne rentrera pas avec moi c'était trop et au final je savais une chose, j'avais raison de ne pas lui faire confiance sauf si il avait de bons arguments.


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Je venais de subir une véritable déclaration d'amour de mon ex sur la piste de danse avant d'avoir échanger un baiser avec elle alors je devais me changer les idées, pourquoi tout s'acharnait sur moi en ce moment? J'avais l'impression que mon monde s'effondrai et que je devais toujours garder la tête haute en tant que vice-président de la Eliot House mais mes démons finissaient par me rattraper. Si j'avais eu des réponses du côté de Willow, est ce que j'allais avoir la chance d'en avoir du côté d'Athéna? J'en avais besoin. Surtout, je savais que tous les deux ont devaient se parler de tout à de A à Z avant que quelqu'un ne souffre encore plus qu'en ce moment. Je pensais à mille et un truc en ce moment et surtout à quand la dernière fois qu'on avait été heureux tous les deux. Elle avait bien sûr remarqué comme j'avais été le parfait connard à la table, comment je m'en contrefichais de son cavalier Dallas même si je ne l'avais pas revu depuis un bon moment. Le foutu voyage Winthrop avait été la goutte qui faisait déborder le vase, j'avais bien eu son texto et j'avais été assez têtu pour choisir de ne pas y répondre pour lui montrer mon mécontement. Maintenant comme si j'en avais pas assez sur les épaules, un sale rejeton ou une tarée boutonneuse avait envoyer à Cambridge's secret ce qi s'était passer plutôt avec Willow, à ce point ici c'était vraiment #FML. Je n'aimais pas comment on était en ce moment, elle était dos à moi entrain de fumer alors que je n'aimais pas cette petite manie. Je lui avais demandé si elle pouvait ranger ces cigarettes pour qu'on puisse parler, sa réponse m'étonnait: ''Assez intéressant pour un chirugien esthétique d'encourager la cigarette chez sa fille.''. C'était sans un doute un plénoasme. Je la regardais de dos, mes mains dans mos poches. Je cherchais mon bonheur en ce moment....Allez Athéna, je veux rire, je veux quitter le Pôle Nord et revenir dans le Sud.''. On levait le drapeau blanc de chacun de notre côté, je haussais les épaules en lâchant un soupire agacé: ''On commence par quoi, le voyage Winthrop, le retour de Willow, le tweet de CS ou la table? On en a pour un moment je crois alors peux importe l'ordre, ils seront abordés ces sujets.''.
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Je suis tombée amoureuse de Tate. Je saurais pas trop dire comment ni pourquoi mais c’est un fait même si je me fatigue a dire que ce n’est pas vraie. Et tous ce qu’il s’est passé aujourd’hui me poussais à craquer, même ça ne datait pas d’aujourd’hui c’est juste qu’à un moment la coupe est pleine et là ça débordait de partout. Au départ tout était si parfait, on parlait, on riait et après … Un constat de rigueur, je ne pouvais pas lui faire confiance. Je pars une semaine au Japon et je reviens on ne se voit pas et ce soir il a embrassé une autre fille au bal quand au Japon j’étais mal de ne pas le voir. J’ai eu besoin de sortir quelques minutes pour respirer, penser à autre chose mais à croire que c’était trop demandé il a débarqué alors que j’étais proche des larmes. Et ça m’énervais tellement d’être dans un tel état que finalement j’avais encore plus envie de pleurer. Tate voulait parler et j’étais dos à lui a fumer à essayer de reprendre mes esprits alors qu’il me demandait d’éteindre ma cigarette, bien sure oui comme si je pouvais tenir sans. Sa réflexion sur mon père m’a assez agacé, oui on ne critique pas Papa Campbell c'est sacré il est très important pour moi alors ça me vexe quand on le critique, si bien que j’ai soupiré et je me suis retournée juste pour lui dire dans les yeux un simple « C'est fort de café de critiquer mon père pour quelqu'un qui vient d'engueuler sa mère au téléphone. Il n’encourage rien du tous il m’emmène même voir des documentaires sur les dangers du tabac comment on peut en mourir et il m’emmène voir un tabacologue mais tu sais ce que c’est que d’être accro à quelque chose ? Il sait simplement qu’à l’heure d’aujourd’hui je ne suis pas capable d’arrêter et il sera là quand je le déciderais mais il a décidé de pas me faire la guerre pour ça. Et de toute façon il faut bien mourir de quelque chose non ? » oui, c'était un pique assez méchant certes. J’essayais de reprendre le dessus en me disant *Allez Athéna, ne lui montre pas que ça te touche, ne lui montre pas que t’es blessée, tu es une femme forte.* J’ai fini par regardé loin devant moi. Il n’aime pas la cigarette ? Je n’aime pas qu’il ait d’autres filles quand moi je ne fréquente qu’une seule personne, je ne suis engagée qu’envers une personne. Je le regarde avant de détourner le regard, j’ai le visage un peu trop triste à mon gout pour qu’il me voit comme ça, je ne veux pas le culpabiliser. J’ai repris après un instant « Tu veux dire quoi sur le Japon ? J’ai décidé d’aller visiter un pays avec mes meilleures amies ou même Dante ou Simba. Et au final c’était pas si bien que ça, j’ai fais du camping sauvage, de la pêche aux calamars et final on m’a volé mes affaires je n'avais plus rien à croire que quand je pars loin de toi l’univers me puni. Tu me manquais je pensais à toi et j’étais désolée que tu sois fâché contre moi j'avais envie de te parler, je te l’ai dis et t’as pas répondu, je crois que je n’ai rien oublié. Ou bien ? » Je haussais les épaules. Oui je lui en voulais de pas m’avoir répondu, de pas avoir compris que voilà si je lui ai envoyé un message c’est vraiment que j’étais mal d’être une fois de plus en dispute avec lui, que je voulais juste parler. Je finissais par dire « Bon, t’as l’aire d’avoir des choses à dire sur Willow et honnêtement on m’en a déjà parlé mais je veux savoir ta version donc vas y je t’écoute. » Je regarde devant moi, je ne vais pas aimer je le sais d’avance. J’ai même la boule au ventre rien que d’y penser, après tous les ont dit, les trucs rapportés je veux la vérité, la sienne, je voudrais qu'il me dise que c'est faux qu'ils ont tous tords qu'il n'y a que moi mais je sais d'avance que non. Je voulais qu'il me dise qu'il l'a repoussé qu'il lui a dit que non il était désolé mais que j'étais là maintenant mais je suis sure que non, je suis sure que je vais être déçue de lui. Est-ce que je lui dirais que je suis amoureuse ça y est ? Il a déjà eu une déclaration dans la soirée je ne veux pas être l'une des.


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D'accord ca n'avait pas été mes paroles les plus intelligentes à dire en ce moment, j'avais parlé sous le coup de l'énervement. Il fallait que j'insulte supposément son paternel pour qu'elle se décide enfin à me confronter. Je pouvais immédiatement noter que ses yeux étaient rougis et pas par la fumée de cigarette, je ne voudrais pas la voir pleurer. Je protestais en roulant des yeux exaspérés, c'était pas du tout pareil! Pourquoi elle venait parler de ma mère la dedans. Je croisais mes bras sur mon torse et regardait au sol pendant qu'elle parlait, un vrai gamin. Quand elle finissait, je relevais mon regard dur et froid sur elle: ''Premièrement, n'ose même pas parler de ma mère dans cette histoire...c'est à peine si elle tient le titre de mère à mes yeux, j'ai été élevé par Ingrid, tu sais celle que je t'ai parlé, ma nounou pour qui je lui donnais vraiment le rôle de mère...Voila un point bien divergent de mon point de vue, il a pas essayer assez fort alors ou tu es trop têtue pour voir que le fait que tu fumes peut-être déplaise à ton père mais bon, comme tu dis on mourra tous un jour d'un truc alors tu n'aides juste pas ton cas.''. J'étais peut-être sans pitié en ce moment, mais Est-ce qu'elle voyait le problème en ce moment? comprenait-elle que c'était crucial en ce moment qu'on passe un bon tous les deux parce qu'on était à la dérive et je détestais ce sentiment d'échec. Il fallait qu'on parle de tous ce qui nous dérangeait parce que c'était définitif que certains événements de cette soirée du bal avait été totalement mal calculé si je pouvais me permettre de le dire ainsi. Je l'écoutais commencer à parler du Japon, ce fameux voyage qui m'avait fait paraître pour un con. Je la laissais finir et hochait la tête négativement, j'en pouvais plus, je sentais le mur de pierre s'épaissir autour de mon cœur et surtout pour la première fois, je sentais une tristesse face à son incompréhension de la situation. Je la regardais et faisait les cents pas devant elle: ''Comment tu peux oser penser ainsi...tu viens de le dire, l'univers t'envoie un message. Tu me fais passer pour un con devant mes amis à Dubaî en disant que tu m'avais mentionné le voyage alors que c'est faux et oui j'ai bien lu ton message, j'ai pensé longtemps mais je me suis dit que ce ne valait même pas la peine que je répond car c'est pas sincère ton truc. Tu as peut-être été victime du karma qui sait.''. Bon, une chose était clair, elle avait entendu pour Willow et ben sûr j'allais devoir défendre mon point la dessus mais pourquoi elle en faisait un plat, sa voulait rien dire ce baiser. ''Alors j'évite l'histoire de ta crise de jalousie au restaurant avec Kyla et Cole...Willow, mon ex, comme tu le sais a voulu que je vienne la rejoindre sur la piste de danse. Une danse ce n'est pas un crime à ce que je sache alors nous avons dansés et après lorsque la musique s'est arrêter, elle s'est penchée vers moi et m'a embrassé en me déclarant son amour pour moi comment elle regrettait et que son voyage en Italie lui a ouvert les yeux, mais tu vois ces mots j'aurais eu besoin de les entendre bien avant et tout est différent maintenant. Je lui ai rien répondu, simplement que je devais penser à cause de toi, oui toi. Mais je ne sais pas si je peux vraiment obtenir des réponses de ta part sans que ta brigade animal sans mêle ou tu te montres si mal à l'aise à l'idée de me faire confiance...alors que je suis là à t'aimer, je me dis que c'est peut-être une cause perdu parce que je suis le seul qui est prêt à s'investir dans cette relation et chaque fois que tu as exprimé un doute à mon sujet Théna, j'ai fais un pas de recul alors éclairci ma lanterne.''. Wow j'étais furax en ce moment mais au moins, tout sortait en ce moment, c'était la depuis trop longtemps.
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Il osait parler de mon père. Dire que mon père ne faisait pas bien son job tous ça parce qu’il me laissait fumer alors je me retournais pour lui faire face même si j’avais les yeux rouges tant pis, après tous c’est la vie hein et j’étais énervée je devais le montrer. Je répliquais au tac au tac parce que franchement pour quelqu’un qui parle à sa mère comme lui au téléphone c’est très fort de café et il mérite que je lui remette l’église au milieu du village. Il roule des yeux pendant que je parle et croise ses bras comme un enfant mécontent, moi aussi je peux le faire, aller je me met à croiser les bras moi aussi, bref deux gamins faut le dire on est ridicule. Ca m’exaspère ses paroles oui il faut qu’il continue à parler de mon papa, il est pas prêt à le rencontrer à ce train là. J’expire la fumée de ma cigarette en écoutant ses paroles. Je me rappelle oui de Ingrid, il a été très mal quand elle est partie dans un autre monde « Oui et bien … c’est quand même ta mère biologique c’est tous. » oui j’avais pas plus de répartie j’avoue là-dessus il m’a mouché et ça m’énerve. Je reprends ensuite en levant les yeux au ciel « Mon père est un ancien fumeur Tate et ça ne fait pas de lui quelqu’un de mauvais comme ça ne fait pas de moi quelqu’un de mauvais il sait que c’est difficile d’arrêter c’est tous et oui peut être que j’ai pas la volonté de le faire mais ça ça nous regarde moi et mon père et je t’interdis de juger mon père ou même ses choix tu n’as aucune idée de tous ce qu’il a pu faire pour moi. Et oui on meurt tous un jour, c’est sans doute glauque à dire mais je suis très bien placée pour savoir que la vie peut s’arrêter demain vu qu’il y a quelques années encore j’ai failli pas m’en sortir alors je vis, je suis pas désolée de vivre comme moi je veux. » oui j’estime que j’ai fais assez de sacrifices. Il était sans pitié, moi aussi j’étais fort énervée de son comportement j’y arrive pas je ne supporte pas c’est plus fort que moi. La distance entre lui et moi me faisais encore plus de mal mais je faisais la fille, la fille forte, la fille qui s’en fiche, la fille que ça n’atteins pas quand c’est faux. Il avait embrassé son ex au bal, ou elle peut importe, elle lui avait fait une déclaration et moi j’étais allée au voyage des rouges qui finalement n’a pas été bien. Décidemment il ne comprenait rien à rien, j’avais envie de le secouer comme un prunier mais bon, quand je vois mon gabarit et le sien je me dis que c’est peine perdue pour moi, je réussirais juste à me faire mal. « Oh ça va Tate je pensais te l’avoir dis il y a une personne qui a entendu et c’est toi qui t’aies donné en public je te rappelle en venant me faire une scène donc c’est bon hein parce que moi aussi j’ai eu honte figure toi. » oui à un moment il faut pas pousser. Est-ce que je suis de mauvaise foi ? Oui un peu mais lui aussi, il aurait pu attendre qu’on soit à l’hôtel pour en parler mais non il l’a fait au milieu du monde. « Où est-ce que MON MESSAGE n’était pas sincère dis moi ? Oui j’ai passé un voyage pourri et je crois que tu m’as pas entendu, j’ai dis que l’univers me punissais de ne pas être resté avec toi à Harvard c’est tous parce que au voyage des Dunsters je suis parti sans toi j’ai eu que des merdes au voyage des rouges t’étais pas là non plus la même chose alors tu devrais être flatté et pas réagir comme un enfant » oui moi on me dirait ça je serais trop contente. Il met alors sur le tapis l’histoire avec Kyla, Cole, le restaurant je le regarde et serre les dents reprenant « Je savais pas que c’était Kyla je pensais que c’était cette fameuse Willow ton ex alors maintenant redis moi que je suis parano après ce soir ? » oui ose un peu me dire que cette blondasse ne veux pas te récupérer Murray. Il fait passer le baiser pour rien du tous, bien sure bien sure, qu’il finisse de parler après je lui dirais ma façon de penser tiens sur un baiser avec son ex à la fin d’une chanson et sur une déclaration d’amour. Le reste de ses paroles ? Je me décompose, j’ai du mal à comprendre, qu’est ce que ? Je fais de grands yeux je ne comprends pas, il … il m’a dit qu’il m’aimait ou je rêve ? Je flippe j’avoue, je suis complètement paniquée à l’idée de dire un mot de travers parce que … il m’aime. Oui Athéna t’as un vraie bug dans ton système là, alors tu vas répondre quoi ? Oh mon dieu. Il a quand même tord c’est moi qui m’investie et lui non. Je plonge mon regard dans le sien et il sourire apparait sur mon visage, un sourire d’une conne amoureuse qui au final n’a rien retenu d’autre de ses paroles en faite. Il va me prendre pour une vraie débile. Je le regarde je respire un coup de ma cigarette reprenant « Une seconde crise pas » oui parce que je le vois venir lui et ses « oui ta clope est plus importante que moi » je prends une latte qui m’aide à reprendre mes esprits avant de reprendre avec un sourire « Enfaite j’ai pas tous capté de ce que t’as dis j’ai un peu planté à la partie où tu as dis que tu m’aimais et j’avoue que j’ai un peu zappé tous le reste parce que je … » Allez Athéna, tu peux le faire non après tous ? C’est pas si dure tu le dis tout le temps à Madisson ou même Emilia. Je le regarde je respire avant de reprendre « Je t’aime aussi même si j’avoue que je t’aime un peu moins quand tu appelles mes copines la brigade des animaux ou je ne sais plus quoi. Elles veulent mon bonheur mon bien mais au final c’est moi qui choisi et moi je te choisis toi parce que … je t’aime voilà » il allait me prendre pour une vraie malade moi et mon grand sourire débile mais je m’en fiche les gars, il m’aime.


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Je n'aurais jamais cru qu'on aurait venu au point de s'en prendre aux parents de l'un et l'autre pour tenter de régler nos problèmes, honnêtement sa faisait qu'empirer la situation. Je lui décochais un regard noir, comment elle pouvait dire des trucs ainsi et encore la, elle se trompait, elle ne connaissait pas ce sujet la avec moi: ''Exactement, elle a ce titre et sa s'arrête là.''. Je faisais quelques pas devant elle, ne tenant pas en place. Une partie de moi l'écoutait et je ne pouvais que m'attrister de la situation car c'était des choses qu'on s'était pas dites et voyez le résultat aujourd'hui sa nous faisait encore plus mal: ''Bon, il semble qu'on ignore encore beaucoup de choses l'un de l'autre, Athéna, je suis désolé mais mon opinion ne changera pas. Si j'aurais une fille, je remuerais ciel et terre pour la voir en santé et heureuse.''. À ce point ici, je devais me dire que je redonnerais tout pour retourner au Chili, à ce moment la sur les roches et son pique-nique. Ca m'étonnerait même pas quand ce moment, Harvard pouvait entendre notre dispute de dehors. J'étais rancunier et Athéna le savait trop bien en ce moment, parfois je me demandais comme j'arrivais à garder tout ce self-control: ''Mais alors pourquoi tu as prétendu que non devant tout nos amis? Bah ouais comme si tu as eu honte...''. Je me sentais faiblir dans mes mots, mes arguments, je voulais simplement en finir et savoir ce qui se passait entre nous. Je la voyais venir en éruption comme un volcan, je devais courir maintenant pour sauver ma vie. ''Bien sûr que je suis flatté, j'a presque envie de dire je te l'avais dit. Je voulais tenter de construire quelque chose avec toi, d'apprendre à mieux te connaître mais à chaque fois que tu as l'occasion Thena, tu disparais.''. Je ne pouvais pas m'empêcher de lui reprocher de nouveau l'histoire de Dubaî, j'avais été tellement blessé ce soir la, Est-ce qu'elle le savait ou pas? Elle ne savait pas que je souffrais en ce moment, que j'étais entrain de couler à pique en ce moment et que je devais être sauver. Je souriais quand même provocateur: ''Mais tes parano.''. Je savais que je devais me méfier de Willow, elle avait fait un ravage dans ma vie et elle était prête à faire un deuxième round. J'étais habitué de la voir s'allumer une clope alors elle pouvait faire ce qu'elle voulait parce qu'elle savait que je criserais de nouveau quand même. Je prenais mon visage entre mes mains: ''C'est ce qui me rend le plus dingue Athéna, je t'aime, je t'aime comme un fou.''. Oui sa faisait longtemps que ce sentiment si douleureux et ravageur était présent mais je n'avais pas pu le dire, soupesant le pour et le contre. Ca me faisait trop plaisir de savoir que c'était réciproque, qu'elle m'aimait. Oui Athéna Campbell était capable d'aimer profondément, difficilement et extraordinaire mais il y avait un hic. Je sentais des larmes de colère montés, je devais me retenir de pleurer devant elle: ''Mais tu vois, le seul hic, c'est quand ce moment, je ne sais pas si c'était encore possible...jai l'impression qu'on a frappé un iceberg alors je vais avoir besoin de temps pour réfléchir mais sache que je t'ai entendu.''.
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