I LOVE HARVARD :: Première Aventure :: Carte identité :: Fiches de présentation :: Présentations archivées
Athénaïs C. Fitzgerald ► Behati PrinslooPage 1 sur 3 • 1, 2, 3
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Fiche Étudiant
C'est le dix-huit novembre mille neuf cent quatre-vingt-treize à Londres, que les membres de la famille Fitzgerald m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Athénaïs Calliopea . Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée et heureusement, les études c'est pas le bon dieu qui va venir les payer. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de littérature (majeur) et chinois (mineur) depuis cette année. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Lowell.
Pourquoi ELIOT ou LOWELL ?
ELIOT
Je dois vraiment m’expliquer ? J’ai déjà eu l’occasion d’entrer dans cette maison il y a maintenant deux ans, seulement mon père voulait que je fasse autre chose, néanmoins ça reste mon chez moi à Harvard. Puis on ne va pas se mentir : les Eliots dominent largement à Harvard, de part leur éducation, leur classe et leur argent. Les gens qui n’ont pas d’argent ne sont pas méchants - enfin pas tous - mais ils ne savent pas, ils ne sont pas comme nous, ils leur manquent quelque chose, et malheureusement c’est comme ça. On est riche où on l’est pas, on a les bons parents ou pas.
LOWELL
Bon, si je venais à ne pas rejoindre les Eliots pour une raison quelconque, à défaut de me retrouver toute seule je pourrais me rabattre sur les Lowells, en effet ils semblent assez indifférents à qui vous pouvez être or je n’ai pas envie que l’on me juge. Puis je fais du violon depuis mon plus jeune âge, donc je trouverais largement ma place au sein de ces artistes en herbe.
Je dois vraiment m’expliquer ? J’ai déjà eu l’occasion d’entrer dans cette maison il y a maintenant deux ans, seulement mon père voulait que je fasse autre chose, néanmoins ça reste mon chez moi à Harvard. Puis on ne va pas se mentir : les Eliots dominent largement à Harvard, de part leur éducation, leur classe et leur argent. Les gens qui n’ont pas d’argent ne sont pas méchants - enfin pas tous - mais ils ne savent pas, ils ne sont pas comme nous, ils leur manquent quelque chose, et malheureusement c’est comme ça. On est riche où on l’est pas, on a les bons parents ou pas.
LOWELL
Bon, si je venais à ne pas rejoindre les Eliots pour une raison quelconque, à défaut de me retrouver toute seule je pourrais me rabattre sur les Lowells, en effet ils semblent assez indifférents à qui vous pouvez être or je n’ai pas envie que l’on me juge. Puis je fais du violon depuis mon plus jeune âge, donc je trouverais largement ma place au sein de ces artistes en herbe.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
APRÈS LA BOMBE
Je pense toujours la même chose par rapport à cette bombe, même si maintenant c’est un événement très lointain dans ma vie. Une bombe, ce n'est qu'une bombe, pas besoin d'en parler pendant trente-six ans. La mort c'est terrible, mais il y a des personnes qui meurent tous les jours, du cancer, de vieillesse et d'autres maladies. Il y a des enfants qui meurent dès leur naissance sans même avoir eu l'occasion de vivre, ça c'est terrible. La mort c'est une partie de la vie, le risque zéro n'existe pas, c'est comme ça. Par chance tout de même, je n'étais pas dans l'établissement lorsque l'explosion a eu lieu. J'ai appris ça aux informations comme tout le monde, ne vivant pas sur le campus je n'ai eu l'occasion d'en parler avec les autres que le lendemain. Je n'ai pas vraiment d'amis alors je n'avais personne à appeler, que des cons à Harvard. De plus je savais que ma soeur allait bien, donc. La mort ne me fais pas vraiment peur, j’vais bien crever un jour autant l’accepter aujourd’hui !
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
SENSATION (S)- INTUITION (N)
| PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
|
APRÈS LA BOMBE
Je pense toujours la même chose par rapport à cette bombe, même si maintenant c’est un événement très lointain dans ma vie. Une bombe, ce n'est qu'une bombe, pas besoin d'en parler pendant trente-six ans. La mort c'est terrible, mais il y a des personnes qui meurent tous les jours, du cancer, de vieillesse et d'autres maladies. Il y a des enfants qui meurent dès leur naissance sans même avoir eu l'occasion de vivre, ça c'est terrible. La mort c'est une partie de la vie, le risque zéro n'existe pas, c'est comme ça. Par chance tout de même, je n'étais pas dans l'établissement lorsque l'explosion a eu lieu. J'ai appris ça aux informations comme tout le monde, ne vivant pas sur le campus je n'ai eu l'occasion d'en parler avec les autres que le lendemain. Je n'ai pas vraiment d'amis alors je n'avais personne à appeler, que des cons à Harvard. De plus je savais que ma soeur allait bien, donc. La mort ne me fais pas vraiment peur, j’vais bien crever un jour autant l’accepter aujourd’hui !
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle zadiglike et j'ai 18 ans. Je suis le robot wall-e et j'ai connu le forum grâce à quelqu’un ou quelque chose mais j’ai un problème de mémoire pour le coup. J’avais envie de faire revenir ma chérie alors j'ai décidé de m'inscrire, mais je suis déjà présente sur le forum sous les traits de Calypso Thomspers-Leroy, la meilleure (+ Dunster). J'utilise Behati Prinsloo comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par des graphistes de bazzart. Je fais environ un nombre aléatoire de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ The bitch is back.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ The bitch is back.
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Il était une fois...
Harvard, Harvard, Harvard… vous m’expliquez ce que je fais ici ? Ah ouais, c’est vrai, apparemment je suis là pour travailler. J’aimerais regarder mon dictionnaire pour connaitre la signification exacte de ce mot mais j’ai peur de me fatiguer, je préfère appeler la femme de ménage pour le faire, vous permettez ? Ah mais non, mes parents ne veulent pas me payer de femme de ménage, oui, je sais, c’est une honte. Ils sont débiles, je vous l’accorde. Si vous saviez à quel point je suis choquée, je dois me contenter d’un appartement de seulement deux-cent mètres carrés, et en plus je dois le nettoyer toute seule. Je préférais encore vivre à l’hôtel, mais ils ne veulent pas non plus, il semblerait - d’après eux -, que je sois en âge de prendre mes « responsabilités » aucune idée de ce que cela veut dire, mais apparemment cela est synonyme de vivre seule sans aide et sans trop d’argent. Mais en tout cas ils se mettent le pied dans l’oeil - le doigt c’est pas assez gros pour le coup - s’ils pensent que je vais travailler, je préfère aller me faire une manucure, c’est moins fatiguant et ça donne plus de résultats. Je marche donc dans les couloirs de la faculté, un manteau à deux milles dollars sur le dos, j’aimerais en changer voyez-vous, cela fait déjà un mois que je dois le porter, mais je n’ai plus assez d’argent. Hier, je me suis achetée un nouveau sac, comme si dépenser mille dollars de plus allait changer la vie de mes parents et leur compte en banque. J’ai envie de taper sur quelqu’un ou quelque chose afin d’exprimer ma colère, mais je préfère de loin payer quelqu’un pour le faire de peur d’abimer ma jolie peau. Quoique, je pourrais peut-être me permettre une folie et aller cogner les Mathers, toujours aussi imbéciles ceux-là. Mais bon ils ont pas besoin de mon aide pour se bousiller, à force de forcer sur la drogue ils vont finir au cercueil sans mon aide. Parce qu'outre l’aspect négatif de mes finances, je dois me coltiner, comme d’habitude, des personnes que je n’aime pas, Harvard ne change pas, Harvard ne change jamais. Je me souviens de ces couloirs, de ces amphithéâtres, de ces gens… j’ai eu l’occasion d’étudier à Harvard avant de retourner étudier en Angleterre, puis mon père a décidé de m’y remettre, comme si j’étais une vulgaire éponge qu’il pouvait jeter où il voulait. J’vous jure les parents. « Pardon ? Je dois quitter Harvard ? C’est une blague ! » je soupirais. J’étais enfin à l’aise dans celle ville étrange, et j’avais des amis, et je devais quitter l’université pour les beaux yeux de mes parents. Je devais capituler puisque sans eux je n’étais pas grand-chose, si ce n’est une jeune fille sur la paille, avec une jolie paire de seins, mais bon. Je remballais donc mes affaires, vendait ma villa et je revenais vivre dans mon quartier d’enfance : Knightsbridge, ah mon cher Knightsbridge. Athénaïs au pays des merveille était de retour, l’appartement immense de deux étages était toujours le même : une odeur de vanille envahissait mes narines lorsque je pénétrais dans ce qui était, quelques années auparavant, ma chambre adorée. Mon dressing était vide, seules deux robes traînaient sur des cintres à l’abandon, apparemment, personne n’avait eu l’occasion de séjourner ici en mon absence. Ma mère, accoudée à la porte d’entrée m’observait d’un oeil patient et attentif, comme si, elle me redécouvrait. Je penchais la tête afin de la regarder. « Maman, je vais bien, tu n’es pas obligée de rester ici » dis-je avant de jeter un coup d’oeil à mes cinq valises qui se trouvaient au milieu de la chambre vide. Elle ne bougeait pas, ne répondait pas, je pouvais presque apercevoir une larme qui coulait le long de son visage, mais qu’est-ce qu’il pouvait bien se passer chez les Fitzgerald. Puis, mon regard se posait sur l’enseigne qui se trouvait toujours devant notre demeure : Kenzo. Je poussais avec délicatesse le rideau, et jetais mon regard dans la rue, me perdant dans la vie perpétuelle de Londres. Rien n’avait changé, mes parents étaient toujours les mêmes, Londres aussi. Ma mère n’aimait toujours pas mon père, mais elle restait pour l’argent, et parce que Londres était son pays, là où elle avait eu la chance de faire ses premiers pas sur scène. C’était toute sa vie et mon père… mon père était fidèle à lui-même, égoïste, indépendant, mais fier de sa famille, puis, il aimait ma mère. Il l’aimait tellement qu’il pouvait supporter le fait qu’elle ne l’aimait pas en retour, et ça me fendait le coeur de voir à quel point les gens pouvaient se contenter de peu. Un mariage sans passion n’est plus un mariage, du moins, je le crois… Il faut dire que dieu merci, je n’ai pas encore la bague au doigt, et c’est pas demain la vieille qu’un jeune homme arrivera à m’étiqueter comme une vulgaire marchandise avec son nom de famille. Ma mère s’approchait discrètement de moi, et m’enlaçait, je posais ma tête sur son épaule et nous regardions ensemble la vie londonienne. « Je t’aime mon coeur, je sais que tu n’es pas heureuse d’être ici, mais ton père… promis, demain, on ira faire les magasins ». Un léger sourire s’affichait sur mes lèvres, les magasins, si j’en rêvais, c’était un bon moyen de me faire oublier que j’avais quitté Harvard contre mon gré, non parce que mon père était peut-être un grand charmeur mais ce n’était pas le bon petit samaritain, il avait décidé pour je ne sais qu’elle raison - et bien oui, me donner une véritable explication, cela semblait au-dessus de ses capacités - que je devais rentrer, point. « Les filles ! », voilà, monsieur « je-pense-que-je-suis-le-chef » appelait ses fifilles, et évidemment, on devait l’écouter, bah ouais, c’était son nom qu’il y avait sur la carte bleue, s’il vous plaît.
« Athé, tu es de retour ! Mon dieu ce que tu m’as manqué », ma soeur, Maxym, me sautait dessus, telle une folle. Ses talons claquaient sur le sol de l’appartement lorsque je la relâchais, mon dieu mais c’est qu’elle était tellement… différente. Tellement moins bohémienne et artiste sur les bords, c’était une femme, dur à avaler pour le coup. Elle faisait du journalisme, elle avait réussi à décrocher un stage chez Vogue d’où ses vêtements. Je la prenais dans mes bras, déposant un baiser sur ses lèvres, comme au bon vieux temps. Et bien oui, nous, on était comme ça, les soeurs qui s’embrassaient sur la bouche depuis… depuis toujours en fait. Elle était de trois ans mon aînée et elle était aussi capricieuse et merdeuse que moi, autant dire qu’on filait le parfait amour. Si j’avais besoin de quelqu’un pour écraser une vermine, j’appelais ma soeur et le problème était réglé, elle pouvait même être pire que moi. Elle avait envoyé une personne en prison parce que celle-ci lui avait piqué son copain durant la terminale, autant vous prévenir : on ne rigole pas chez les Fitzgerald, vous touchez à une personne du clan, les autres vous écrasent. C’est clair j’espère, j’hésiterais jamais à écraser quelqu’un, il peut s’appeler Bernard ou le roi Henri XI, ça revient au même, on me respecte. J’ai un caractère de merde, et je l’assume, c’est l’avantage, j’vais pas me cacher derrière une façade gentille, ni derrière ma famille compliquée. « Bon les filles, je suis tellement heureuse de vous voir toutes les deux, ici ! On va faire du shopping ? », ma mère toujours le mot pour faire plaisir aux soeurs Thomspers, la carte en main et le sourire aguicheur pour nous faire saliver. On attrapait nos manteaux, le sourire aux lèvres. « Au revoir Papa » dis-je, en coeur avec ma mère et ma soeur à l'égard mon père. Il avait ses trois drôles de dames qui partaient dépenser tous ses sousous. BONUS