Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle xan et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à internet.  Il existe depuis longtemps et est très peuplé alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise mark tuan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même. Je fais environ 500 à 700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Ma mère était épuisée d'avoir élevé deux enfants et autant dire, très franchement, que mon arrivée n'a pas été une mince affaire pour elle : elle venait tout juste de retrouver un job à la hauteur de ses espérances et, comme par hasard, le médecin lui diagnostiqua une nouvelle grossesse : synchronisation maudite, et dire qu'elle avait pourtant fait installer son stérilet à peine quelques mois auparavant - si ça n'avait tenu qu'à elle elle aurait pu faire un procès à sa gynécologue - ; Mon père, lui, était aux anges mais ce n'était certainement pas son cas à elle. Oh, bien sûr, elle aimait ses petits plus que tout au monde mais sauver son indépendance était devenu une priorité quasiment vitale. Cependant, pas question d'avorter. Cette fois-ci elle engagerait une nourrice quitte à ruiner son salaire durement gagné à la fin du mois : mais elle travaillerait, oui, elle travaillerait. Je pense d'ailleurs avoir hérité ce trait de caractère de ma génitrice ; je déteste ne rien faire, me laisser vivre et attendre que les sous me tombent dans les poches - chose qui n'arrive d'ailleurs pas.

Heureusement pour ma mère, je fus un parfait étudiante et, surtout, un irréprochable petit garçon. Toujours sage comme une image, souriant, ordonné, serviable, même. Pas un soir ne passait sans que j'aide à mettre la table ou que je vienne faire des câlins à chaque membre de ma famille. La famille est précieuse, je le savais déjà à cette époque - et ça explique très certainement pourquoi je crève d'envie d'en fonder une j'imagine - ; soucieux face au comportement parfois trop changeant de ma maman, il n'était pas rare que je vienne lui masser les pieds. J'adorais faire ça (et surtout la voir sourire de contentement) et ce fut mon premier désir d'emploi : masser les gens était cool. Ils étaient satisfaits et ils se mettaient à parler de tonnes de choses. Plutôt agréable comme métier, non ? Une fois rentré au lycée, je devins un peu plus ouvert aux autres. Jusque là j'étais restée très tourné vers ma famille quitte à ne pas me faire d'amis à l'école. Mais l'heure avait sonné. Il était maintenant temps que je regarde vers d'autres horizons quitte à entendre ma grande soeur me mettre en garde face aux pimbêches manipulatrices et à leurs subterfuges.

Plutôt porté sur les études, je ne fis pas tout de suite attention aux belles gueules que je pouvais croiser dans les couloirs de l'établissement. Il me fallait de bonnes notes pour faire plaisir à mes parents et prouver à ma mère que je n'étais toujours pas un incapable et que, de ce fait, son amour envers moi était encore légitime - la peur de la décevoir ne m'a jamais quitté depuis que mon père m'a avoué que je n'avais pas été désiré - ; mais un beau jour, j'ai rencontré mon ex et, à croire que tout ça était écrit depuis le début, ma génitrice est décédée. Ce passage de ma vie est le plus horrible de tous et je me demande, parfois, si sa mort n'est pas liée à la rencontre avec la personne dont je suis tombé amoureux pour la première fois. Pour être une belle gueule c'était une sacrée belle gueule. Et une grande gueule aussi, d'ailleurs. Et viens que je te parle de mes qualités, et viens qu'on se balade en amoureux, et viens que je touche... dieu merci, ma soeur m'a très vite avoué que ma copine voyait aussi un garçon de sa classe. C'était donc une nana de ce genre : opportuniste, flambeuse et joueuse. Très peu pour moi ; je remercie cette connasse de m'avoir empêché de faire la pire erreur de ma vie - coucher avec elle et le regretter jusqu'à la fin des temps. La première fois se doit d'être parfaite et sincère n'est-ce-pas ?

Maintenant je suis dans les études supérieures et, plus que jamais, concentré sur mon avenir professionnel.