Le vendredi soir de toute manière dans mon cerveau c'était fête, le soir, le début du week-end tout était possible. C'était un petit rituel, ou plutôt une habitude un peu dévorante, même beaucoup. je m'étais rendu à Central Square dans l'une des boite les plus importante de tout Cambrigde, j'étais bien connu la bas, même peut-être un peu trop et c'était bien ça le problème. Je m'étais bougé les fesses il devait être plus de minuit quelque chose comme ça, habillé d'une robe blanche moulante. A peine arrivé de toute manière c'était évident, deux filles que je connaissais bien qui étaient d'ailleurs à Harvard tout comme moi, m'avait proposé de la bonne beu ... et franchement elle déchirait. Je plus ce qui m'entouré j'étais complètement en train de planer après un quart d'heure, et franchement c'était le pied total j'avais l'impression de voler c'était magique, le bruit, les gens autour de moi n'existait plus j'étais seule au monde, juste avec cette sensation de malade qui me faisait à chaque fois vibrer. Mais à quel prix ? Un jour j'allais devoir le payer, et surement au prix fort. Je savais pas vraiment l'heure il était peut-être une heure ou deux ? Quand j'étais dans un état pareil, l'heure n'était pas vraiment mon centre de préoccupation. Alors que je redescendais petit à petit, ce visage fit son apparition Demetrios ... je lui avais souris, comme je le pouvais. Ça devait se voir à trois kilomètres que j'étais complètement dans les vapes. Il s'était approché, j'avais pas vraiment fait attention, même les mots qui sortaient de sa bouche n'avait aucun sans ... c'était terrible. « Quoi ? Qu'est-ce que tu dis ? » J'étais complètement ailleurs ... fallait qu'on m'aide.

Demetrios K. Mirzayantz a écrit:

demetriace ♛ i'lln't allow you to make you so much trouble.

Fin de semaine, pour quasiment tout le monde, c'est le stress en moins, le week-end qui commence, les soirées qui pointent le bout de leur nez, sérieusement j'adore faire la fête et je suis aussi pour décompresser de la semaine en soirées ou en boite comme ce soir, j'avais rendez-vous au Republik, la boite la plus réputée de la ville, en huit ans on a su qui j'étais, je connais les videurs, les gérants, enfin bref, je suis un privilégié ici et justement alors que je suis prêt du videur pour venir le saluer, au même instant, je vois Grace sortir avec deux amies à elle. Mon regard se tourne vers elle et lorsqu'elle me sourit, je vois direct qu'elle n'est pas dans son état normal, j'ai connu cet état, j'étais con à l'époque mais c'est derrière moi maintenant, elle s'est droguée, elle est complètement défoncée, tout comme ses deux copines, les yeux explosés, c'est ce que je remarque une fois prêt d'elles, à leur parler, elles tirent des têtes d'incompréhension, elle ne comprennent rien à ce que je dis, surtout Grace. Je dis que t'as pas à te shooter la gueule aux pétards lui répétais-je, je perdais mon temps c'est vrai mais du temps perdu pour une fille qui compte un minimum à mes yeux, même si la majeur partie de notre relation est basée sur le cul, je veux pas la retrouvé raide morte dans un caniveau.

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J'étais bien, sur un jolie petit nuage, mais malheureusement je savais que ça n'allait pas durer ... mais pour le moment j'en profiter. J'avais l'impression d'avoir des ailes, et voler, c'était tellement délivrant. Plus de problème, y'avait plus dans ma tête cette vie de merde que je vivais en ce moment et depuis des années, j'étais pas heureuse, je l'ai jamais été ... et le bonheur me manquait comme jamais. J'en avais envie. Je ne savais pas si c'était une hallucination, mais y'avait cet homme que je connaissais qui s'était avancé devant moi. Qu'est-ce qu'il me voulait lui, au juste ? J'avais aucun compte à lui rendre, c'était qu'un plan cul, j'avais oublié que cet homme, que Demetrios comptait quand même un minimum, mais pour le moment j'avais juste envie qu'il me laisse tranquille ... même si je savais que j'avais besoin d'aide, je n'en voulais pas de sa part ... il allait me prendre pour une femme faible, je ne l'étais pas, je ne voulais pas l'être. « Mais putain de merde, casse toi ! Ok ! Laisse moi tranquille. » C'était bizarre quand même à quel point notre humeur peut changer juste à cause de cette merde ! Je l'avais poussé, pour qu'il dégage. Ma fierté avait prit le dessus, sur mon besoin de me barrer d'ici.