Nous y sommes enfin, il fait encore bon malgré le dix huit heures trente qui s'affiche sur ma montre, nous sommes sortis de l'avion, nous ne voyons que des couleurs agréables et des jeunes assoiffés à l'idée de faire la fête non stop pendant x temps ! Voilà à quoi se résume cet instant et je sais que je ne passerai pas à côté. Moitié excitée à l'idée de m'amuser, je suis effrayée par la foule qui s'agglutine autour de nous, à l'idée de devoir vivre dans la débauche pour le reste du temps. Mais Jackie à insister pour que je vienne, moi l'anglaise je devais gouter au SPRING BREAK. Okay, je vais faire l'effort mais pas dis que j'allais sauter sur place, pas vraiment. Enfin j'allais arrêter dans mon sarcasme et apprécier ce moment, puis Jak juste à côté de moi débordait de son humeur qui lui était propre m'empêchant de trop déprimée. Je regardais tout de même l'endroit avec des yeux d'enfant. « Bordel de merde c'est pas croyable, c'est un hôtel ça ? » La surprise pouvait se lire dans ma voix, mais plus encore sur mon visage, je me tournais vers elle avant d'ajouter. « Je comprends maintenant pourquoi tu tenais tant à ce que je te suive. Mais toujours hors de question de porter un bikini. » Jamais de la vie, plutôt... Tomber, m'enterrer, me refroidir que cette idée là, je lui donnait un petit coup d'épaule. WAHOU C'était époustouflant.

Nous étions enfin arrivées. Loin de Cambridge, je respirais un tout autre air. Plus chaud et plus clair que celui de Cambridge. J’étais contente d’être ici, sentant que ce spring break était l’évènement parfait pour faire abstraction de mes problèmes. Le voyage s’était bien passé malgré les nombreuses heures d’ennuyer et de stresser. J’avais passé mon voyage avec Cerceï, une amie avec qui j’adorais passer du temps. Un brin gueulard et sarcastique. Cette fille me ressemblait sur plusieurs points. Après une bataille de plusieurs jours, Cerceï et moi étions arrivées à destination. Au premier abord, la jolie student ne souhaitait pas venir au Spring Break. Une erreur que j’avais finie par lui faire comprendre. Aujourd’hui, j’étais contente de la compter parmi nous. Les lieux étaient magnifiques. L’hôtel était immense et comme toujours tout avait été prévu pour que ce spring break soit parfait. « bordel de merde st pas croyable, c’est un hôtel ça ? » j’affichais un sourire et me mis à rire. « alors qui avait raison ? Voici ta demeure princesse Cerceï » dis-je en rigolant et en lui faisant la révérence. Je blaguais bien évidemment. Mon regard se posta sur la vue, une vue magnifique sur la mer. Un endroit paradisiaque que j’avais hâte de découvrir. « Je comprends maintenant pourquoi tu tenais tant à ce que je te suive » j’affichais un sourire satisfait et lui fis : « et je suis contente que tu sois accepté. Tu vas adorer et attend on n'a pas encore vu la chambre ». La chambre devait être superbe et finalement j’étais tout excité de découvrir les lieux. « Mais toujours hors de question de porter un bikini » j’affichais un sourire et lui dis : « OOOOOOOOOOk j’abandonne, allez vient on va découvrir tout ça » dis-je en lui prenant le bras et en la poussant vers d'environ. Nous étions à l’entrer, une entrée magnifique et gigantesque : « Bordeeeeeel… tient regardé y a du jus d’orange là-bas vient »

Okay okay, j'étais douée dans le côté particulièrement déprimée de ma petite personne, jouant sans cesse dans le sarcasme puissant mais j'étais anglaise et je ne connaissais pas du tout la culture américaine pour ce genre d'évènement. Le joli minois de ma ma meilleure amie, n'allez pas le lui dire qu'elle l'est d'ailleurs, plus la promesse de se prendre une bonne cuite avait fini par me dérider, okay j'allais m'amuser et venir, et subir la chaleur étouffante. okay. « alors qui avait raison ? Voici ta demeure princesse Cerceï » Ma seule réponse fut une grimace tout en roulant des yeux face à sa révérence, je n'allais pas répondre ce serait lui accorder la victoire, jamais. « et je suis contente que tu sois accepté. Tu vas adorer et attend on n'a pas encore vu la chambre. » « avais-je le choix ? Tu allais me harceler sinon et bouder, je ne voudrais pas voir de vilaine ride sur ton visage. » Je souriais à mon tour, lui faisant une révérence. « OOOOOOOOOOk j’abandonne, allez vient on va découvrir tout ça. » Hors de question de me dévêtir, même devant Jackie. Nous entrions dans le haut. DOUX JESUS c'était immense et luxueux, je n'avais jamais vu ça auparavant. « Bordeeeeeel… tient regardé y a du jus d’orange là-bas vient. » Je souriais à mon tour, comme une enfant ouvrant ses paquets pour noel, c'était magnifique, et sublime, beau. Grandiose. On s'approchait des jus de fruit, j'en prenais un avec Jackie. « A notre séjour. » En trinquant je bus ensuite une gorgée, c'était frais sucrée divinement bon. « La boisson vaut le voyage et l'avion. WOW. Faut qu'on voit notre chambre, c'est plus possible là. »

« Avais-je le choix ? Tu allais me harceler sinon et bouder, je ne voudrais pas voir de vilaine ride sur ton visage » je me mis à sourire, les rides s’étaient pour plus tard. Cerceï n’avait pas tord, je ne lui avais laissé que peu de choix. Je pouvais être persuasive, une qualité que je tenais de ma terrible mère. J’affichais un sourire et une petite grimace en signe de réponse. Nous étions rentré dans notre demeure. Un hôtel magnifique qui promettait bien des délires. Les verres de jus d’orange attiraient mon œil assoiffé. Il faisait chaud et un petit rafraichissement n’était pas de refus. J’en pris un et Cerceï fit de même. « À notre séjour » j’affichais un sourire et avançai mon verre vers le sien « A ces deux semaines de folie » dis-je en bougeant de haut en bas mes sourcils. J’aimais la taquiner, nous étions finalement de très bonne amie. « La boisson vaut le voyage et l’avion. WOW. Faut qu’on voie notre chambre, c’est plus possible là » je me mis à rire, la boisson était excellente fruitée et sucrée. Le cocktail parfait. Je lui fis : « Et bien allons-y » dis-je tout exciter à l’idée de découvrir mon grand lit. Un lit immense que j’allais pouvoir me coltiner tout seul du moins je l’espérais. L’étoile de mers s’était moi. Il nous fallait au moins deux lits. Je bus d’une traite mon jus d’orange pour ensuite foncer avec Cerceï dans les chambres. Une fois devant notre porte, je lui fis : « Prête ? »

« A ces deux semaines de folie. » Je trinquais. C'était énorme et à la fois si peu. Pour profiter de tout, je savais que c'était le genre de séjour qui rendait complètement fou les gens comme moi, du genre pas très social. Je savais également que la débauche était de mise et qu'il ne me restait plus qu'à m'éclater avec Jackie. On se chamaillait mais au fond on s'appréciait réellement. « Et bien allons-y. » J'haussais légèrement les sourcils la suivant alors trouver notre chambre. Ah notre chambre ça sonnait super bien, on allait pouvoir s'amuser, s'éclater, faire les fous et tout ce qui va avec. Bon sang dieu que je pouvais adorer finalement cela, on arrivait devant notre porte. « Prête ? » « Prête. » JE souriais et ouvrais la porte avec Jackie, je n'avais pas le temps d'entrer que je fus frapper par la vue que nous avions par la fenêtre. Je m'empressais d'y jeter un coup d'oeil avant de marmonner le plus sérieusement du monde. « Mouai ils auraient pu faire mieux... » Je ne le pensais pas du tout, mais vraiment pas. Je me tournais vers Jackie avant de hurler, telle une hystérique. « P*tain de merde c'est canon ! » Je sautillais avant de m'allonger sur l'un des immenses lits double que comportait la chambre. C'était génial. « Je prend celui là, pas le choix je te laisse choisir la penderie. » Ahhhhhhhhh la folie, c'est la FOLIE.

Le spring break était un voyage assez spécial. Il offrait la possibilité aux jeunes étudiants comme moi de profiter le temps de quelques jours du paysage, de l’alcool et des plaisirs charnels qu’il pouvait y avoir. Pour être clair c'était la première fois que je venais au Spring break en couple. Je n’étais pas effrayé à l’idée de me retrouver éloigner des excès que pouvait offrir le spring break. J’étais peut-être en couple mais je me refusais de rester cloitrer dans ma chambre d’hôtel. Cerceï et moi étions devant la porte de notre chambre. Un brin excité par tout ce qui nous attendait à l’intérieur, j’ouvris rapidement. Ma bouche forma rapidement un o . La chambre était magnifique. Le soleil baignait la pièce et la vue était admirable. « Mouai, ils auraient pu faire mieux » j’afficher un sourire et me mirent à rire. Elle se tourna vers moi et hurla m’entrainant par la même occasion dans son hystérie « putain de merde c’est canon ! » c’était magnifique tout était parfait. J’en étais charmée. « ET REGARDE MOI CES LITS » dis-je en montant rapidement dessus tels une enfant. Je sautais dessus et lui fis : « rhaaaaaaan le rêve ! » dis-je avec un grand sourire. Cerceï s’allongea sur l’autre lit et me fils : « Je prends celui-là, pas le choix, je te laisse choisir la penderie » j’affichais un petit sourire aux coins, m’empressant de regarder le dressing. Des placards immenses. « À croire, qu’ils nous incitent à acheter des vêtements » ran j’adorais cet endroit.

Je n'avais jamais vécu pareille expérience c'était au delà de tout ce que je pouvais imaginer, je n'en croyais tout simplement pas mes yeux. WAHOUUU. C'était très classe, super canon et j'avais l'impression de sortir de ses séries télévisées américaines. Il était désormais claire que j'étais vraiment en AMERIQUE ! J'avais envie de hurler de partout,partout. « ET REGARDE MOI CES LITS. » Ce que nous faisions, après tout, c'était INCROYABLE. « rhaaaaaaan le rêve ! » Nous étions deux gamines qui ouvraient leurs cadeaux le jour de Noël, c'était tout comme, c'était incroyable, c'était divin. Je sautillais presque partout à l'idée de passer du temps comme cela, comme des gamines que nous étions. « À croire, qu’ils nous incitent à acheter des vêtements. » Je savais que le dressing allait plus lui plaisir que le reste. Je me relevais rapidement. « La salle de bain. » J'imaginais quelque chose de divinement beau, également. rapidement sans vraiment faire attention au reste, je prenais avec moi Jackie et je nous trainais dans la salle de bain. « Bon sang ! Retire tout ce que j'ai pu dire ou râler, c'est le paradis ici. » Je poussais un cri à la fois un rugissement et strident, cela faisait peur, je me tournais vers elle. « Bon, que sommes nous sensés faire durant ce spring break ? » Je la fixais droit dans les yeux, un faux air de sérieux.

C’était le commencement, un intervalle, une coupure. Aucun mot ne collait parfaitement au Spring Break. Tout était diffèrent ici, la vie y était plus facile et plus agréable. J’étais contente de pouvoir partager cette expérience avec Cerceï. Une amie avec qui je m’entendais bien. La chambre était grande et luxueuse. Le rêve. Mon amie se releva et partit direction la salle de bain tandis que mes yeux étaient encore émerveillé par la place du dressing. « La salle de bain ». J’affichais un sourire. La salle de bain, curieuse, je me précipitais vers elle. Cerceï me poussa vers la salle d’eau. Une fois à l’intérieur, mon sourire s’agrandissait. Ses vacances allaient être parfaites. « Bon sang ! Retire tout ce que j’ai pu dire ou râler, c’est le paradis ici » je me mis à rire. Entendre cela était surprenant. Je lui fis alors : « Hééééééé hé tu vois que j’avais raison » dis-je en me la pétant un peu. Je me mis à rire. Et lui fils : « Bordel c’est le rêve ici ! Franchement je veux plus repartir ! » Je rejoignais les cris stridents de la jeune student et m’avançais vers elle. « Bon, que sommes-nous censés faire durant ce spring break ? » j’affichais un petit sourire aux lèvres et lui fis : « Mangé ! Boire ! Danser ! Nager ET SURTOUT RENCONTRER DE BEAU DAMOISEAU. Bon je parle pas pour moi parce que j’ai les miens mais comme même » dis-je avec un sourire. Être en couple ne m’empêchait pas de regarder.

« Hééééééé hé tu vois que j’avais raison. » Elle crânait grave, devant mes yeux, remuant son petit corps. Je l'aimais pour cela Jackie, pour la douce folie qu'elle dégageait, nous nous ressemblions tellement. « Mais t'emballe pas surtout. » Je préférais la prévenir, histoire qu'elle n'est pas définitivement le dernier mot, on sait jamais avec Jackie, un débordement est si vite arrivée. « Bordel c’est le rêve ici ! Franchement je veux plus repartir ! » L'idée fut alléchante même très alléchante. Je ne savais pas trop quoi penser de tout ça, curieuse même mais je n'étais pas certaine de vouloir vivre ici tout le temps, je dois avouer aimer personnellement mon autre vie. Mais pour cette parenthèse pourquoi pas. « Mangé ! Boire ! Danser ! Nager ET SURTOUT RENCONTRER DE BEAU DAMOISEAU. Bon je parle pas pour moi parce que j’ai les miens mais comme même. » Tout devenait clair, je me souvenait désormais pourquoi je ne voulais pas venir. Il y avait là des activités que je pouvais pas me permettre de faire. Quel drame dans une vie franchement. J'aurai aimé m'enfouir sous la couette moelleuse de mon lit, pour ne pas imaginer la tournure que pouvait prendre les choses. A moins que je ne tombe sur un mec tellement bourré qu'il ne fera pas attention à mon physique. Faut que j'arrête mes obsession. STOP. « Je me souviens pourquoi je ne voulais pas venir. » Je lui faisais une grimace avant de retourner dans la chambre, essayant de soulever ma valise pour la mettre sur le lit. Je me tournais vers elle. « D'ailleurs, tu en es où dans tes histoires de coeur, que je ne fasse pas de boulettes. » Je vivais à travers ses histoires d'amour, c'était pathétique je savais mais je ne connaissais que cela, je devais bien vivre d'une certaine manière. J'attendais sa réponse, curieuse et impatiente.

« Mais t’emballe pas surtout » j’affichais un petit sourire au lèvre. La jeune brune me connaissait assez pour savoir que j’étais du genre excentrique quand je voulais. J’aimais avoir raison, un défaut qui me portait souvent préjudice. Les lieux étaient magiques, un conte de fée à l’état pure. Le bonheur. Ce dégageait de nombreuses saveurs toutes aussi exquises les unes que les autres. Les vacances commençaient et le spring break s’affirmait. J’avais envie de profiter. Cette année allait être différent. Pas question de draguer ou de faire n’importe quoi. - j’étais bien loin de la vérité -. « Je me souviens pourquoi je ne voulais pas venir » je regardais mon amie et fis une moue. Elle était incroyable. Je m’approchais d’elle et la regarda : « Héééééééé allez pas question de te voir comme ça. On va profiter de nos vacances ! » dis-je cerceï était magnifique, du moins elle était beaucoup plus belle que certaines autres filles. Elle avait du charisme, un très jolie visage et des formes. Elle porta sa valise sur le lit, je m’installais sur son lit et la regarda déballer ses affaires. « D’ailleurs, tu en es où dans tes histoires de cœur, que je ne fasse pas de boulettes » j’affichais un sourire, c’était quoi ce sous entendu. Elle avait raison mes relations étaient souvent difficile à suivre. Il m’arrivait de m’y perdre parfois. Je lui fis la moue et souris : « Je suis en couple avec Sam. Donc j’ai pas le droit de faire de connerie » dis-je en souriant. Les bêtises s’étaient mon truc. J’étais un nid à emmerde. Je finis avec un sourire et lui fis en m’allongeant : « Et toi ma Cerceï raconte moi tout ? » dis-je avec un sourire.