chemine la frustration, le corps sous tension, suspendu dans le vide. tu ressens ce soir, ce besoin de t'isoler avec lui. bride qui se relâche. les corps qui se suivent jusqu'à ta chambre d'hôtel. arrivé devant la porte, ton corps fait barrage. suspend le temps pour débuter un jeu dangereux. bras qui se tends vers lui, offre le plat de ta main. " avant d'entrer, tu dois signer le contrat. " s'élève sur la pointe des pieds. le visage qui essaye de se mettre au même niveau que lui " pas de baise torride dans ce pieu. "  -.

le regard annonciateur qui se pose sur son visage. les onyx qui flirtent avec l'idée de le faire taire. l'index qui signe sur ta main, tu souris. " madame ? " plisses les yeux. " patronne plutôt " le sourire qui s'élargit référence au lien professionnel qui vous unit. " j'ai pas peur de toi. " tu n'es même pas sûr d'avoir peur de quelques choses hadley. trop insouciante pour te préoccuper de la dangerosité de ce monde. toi, tu vies et tu vies bien. " redd. " doigts qui s'enroulent sur le col de son tee-shirt. ouvre la porte et l'embarque avec toi dans la pénombre crépusculaire de ta chambre -

ignore sa phrase puis ouvre la porte. l'amène dans son intimité. ça ne te dérange pas qu'il voit où tu habites tant qu'il n'envahit pas ton crâne. tu avances alors que lui stagne. le regard qui s'imprègne de la pièce. " t'es déçu ? " tu souris amusé " mais si c'est que ça, ça peut s'arranger. " retire la veste en cuir que tu avais, tu la laisses tomber sur le sol. les mains qui remonte le long de tes cuisses. le tissus de ta robe qui remonte également. stagne sur tes hanches. le regard provocateur. abat le string pour le laisser glisser et le retirer. tu le jettes sur ton lit. " c'est mieux comme ça ? " -

aucune interlude. la satisfaction qui se lie sur ton visage. maltraite ses envies et les tiennes au passage. l'épiderme qui s'éveille, qui imagine des tas de situation. frustration qui se peint dans ton esprit, ses doigts tu en rêves. sa queue tu l'imagines. maladives pensées qui s'immiscent en toi. lui allongé sur ton lit, qui t'observe. le tissus de ton string entre ses doigts. toujours plus. tu te positionnes en bas du lit, les pieds que tu décroises pour les ouvrir en grand. le genou qui se pose sur le lit, s'aventure entre ses jambes. la tête qui stagne au dessus de son intimité. tes mains qui passent le dessous du tee shirt pour le remonter. " moi jveux te gouter."  visage qui s'approche sur l'aine et qui vient y déposer tes lèvres. langues qui prends le rythme sur son derme à lui. -

ne mets pas longtemps à briser la distance. attirance physique et visuel. ce regard qui imprime. lèvres qui embrassent son aine. suit la continuité de sa musculature qui t'indique tout droit le bas de son pantalon. dieu grec entre tes mains, tu profites un peu plus ce soir. buste qui se redresse, il retire son tee shirt. l'observe faire. les doigts qui viennent ensuite se nouer à ta robe. vire le tissus en te décoiffant au passage. les cheveux devant tes yeux, il attrape ton visage. les lèvres qui s'approchent dangereusement. revient le souvenir, celui de cette soirée improvisée. la respiration qui cherche à s'accélérer mais que tu maintiens à la normal. langue qui passe le long de tes lèvres, tu te laisses faire, parfum qui chatouille tes narines. savoure le moment. son dos qui retombe en arrière. index que tu passes sur tes lèvres, ton autre main qui se place sur le côté de son bras. t'aides à te suspendre au dessus de lui, le visage qui approche. tu tends ton doigt, passe la frontière de sa bouche. lèvres que tu te mords en savourant ce moment. -