présence insensée. devant ta porte, comme une mauvaise graine qui s’implante dans tes jardins fanés. une autre sorte d’batard. à venir fricoter avec les limbes que tu hisses autour de toi. à vouloir percer l’armure sans savoir si ça en vaut la peine d’dans. sans même savoir si j’ai envie d’prendre ce qu’il y aura d’dans. juste un mauvais jeu qu’on veut tous les deux gagner. pieds s’enfoncent dans le sable humide. frais. jusqu’à te retrouver sur l’un des bed. grimpe dessus les genoux en premiers. jusqu’à ton dos. penche la tête sur le côté, insolence mime un fin sourire en coin.

Let me be there

I can be, there 'til you're whole. you weren't touched by a man in so long
'Cause the last time, it was way too strong. ;;

posté là, à l'attendre. couché sur le lit, matelas pleins de sables. grains poussés par le vent. ébènes sur l'écran de led, attends l'adversaire. présence derrière toi, le flan allongé sur le côté. visage qui apparait dans l'angle du champ de vision. et ses mots qui vibres aux oreilles. t'es là toi. comme ci, c'était pas elle, que t'attendais. corps qui pivote, face à elle. j'ai presque attendu la diva capricieuse et sa ficelle. -- @Lena Castiglia

these violent delights have violent ends and in their triumph die like fire and powder which as they kiss consume.

jambes s’étirent sur le matelas, frottement des grains de sable éparpillés. quand le corps vient se coller au tient. poitrine contre ton dos, alors que les lèvres sont presque accrochées à ton lobe. - j’suis là. t’attendais quelqu’un d’autre p’têtre ? encore une autre. au milieu de nos soirées. pion gênant dans la partie, quand j’ai jamais été de celles qui partagent. - et alors ?.. c’est ça qu’t’aimes, non ? mordille le bout de l’oreille, les yeux qui défilent sur ton profil. - qu’on t’fasse attendre.

Let me be there

I can be, there 'til you're whole. you weren't touched by a man in so long
'Cause the last time, it was way too strong. ;;

prémices par message, de grands ébats sur ce matelas. ceux où tu ne joueras pas, en tout cas, qu'avec elle. où tu ne vas pas damner son corps à la frustration totale. celle où il n'y a que toi, elle, vous deux qui dansent. sa main attrapée, posée sur le torse, à gauche. toi face à elle, moue de chien battu. j'me suis senti oublié, tu sens mon coeur blessé ? joues les cons. -- @Lena Castiglia

these violent delights have violent ends and in their triumph die like fire and powder which as they kiss consume.

corps creusent le matelas. ombres en lumières dans le décor presque trop silencieux. heures de ceux qui n’dorment pas. nous, combler le vide par d’autres sensations. la notre. cette tension qui palpe la chaire quand mes doigts sont ramenés contre ta poitrine. rebonds silencieux. que tu maitrises à la perfection. regard qui suit le geste. ongles plissent un peu le tissu. - j’le sens pas assez. regard se réveille dans sa remontée. revient prendre d’assaut tes yeux. menteur. - t’as pas peur que je t’ouvre la poitrine en deux ? à m’laisser m’en approcher comme ça ? face à moi. lèvres flirtent avec les tiennes. ressens la chaleur mêlée à la douceur lointaine. effleurer leurs pulpes, celles qui s’accrochent l’une à l’autre dans l’humidité.

Let me be there

I can be, there 'til you're whole. you weren't touched by a man in so long
'Cause the last time, it was way too strong. ;;

le coeur est déjà détruit, depuis tant d'années. persuadé qu'il n'a jamais été aussi neuf que maintenant, pourtant. des années de liberté pour l'embellir. c'est toi le plus lucide ou l'univers qui te crois aveugle ? ses lèvres trop proches des tiennes, dansent ensemble sans se toucher. une pétale de fleur peut pas briser un caillou en tombant dessus. presque trop poétique. le corps qui bouge, trouve refuge au dessus d'elle, rapidement l'emprise qui se referme. les corps collés, le tord qui pourrait presque l'écraser. si t'es sage je te laisse le droit de penser que c'est toi le caillou. lèvres qui trouve son cou, la peau fragile. canines qui dévorent le derme.-- @Lena Castiglia

these violent delights have violent ends and in their triumph die like fire and powder which as they kiss consume.

nuit humide, tentatrice de nos vices cachés. là, au bord d’une plage, schema presque trop romantique si on était d’autres. que nous. juste là pour faire plier le genou de l’autre. chaleur de tes lèvres, lointaine et étouffante. les yeux rivés sur elles, qui remuent sous les paupières lourdes. d’envies. bascule le corps, dos s’écrase contre le matelas. toi sur moi. fardeau sur la poitrine qui se soulève à peine. gorge qui se courbe quand la tête s’enfonce. laisse tes dents tracer les morsures. - une rose. les doigts qui s’aventurent sous ton haut. contact brûlant avec tes hanches. remontent lentement sur tes côtes. - avec les épines venimeuses. enfonce les griffes dans le creux de tes reins. soulève le bassin, pression contre le tient. rapidement, les doigts courent sur ta gorge. serrent. te force à retrouver mes yeux. - j’suis jamais sage redd..

Let me be there

I can be, there 'til you're whole. you weren't touched by a man in so long
'Cause the last time, it was way too strong. ;;