discrètes sont les mains. tu faufiles tes doigts où il ne faut pas. sourire qui arbore ton visage, qui attire le regard pour pouvoir les dépouillés tous. illogique situation sachant que tu pouvais te contenter de plus de la moitié des choses que tu venais de voler. adrénaline qui court le long de ton épiderme et téléphone qui sonne la fin du jeu. les corps qui se retrouvent, s'affrontent. la main qui saisit le haut de veste pour l'amener avec toi dans cet pièce. détentrice de tes trésors. ouvre la porte, entre dedans. laisse redd rentrer puis tu refermes la porte à clés derrière toi. clés que tu retires de la serrure. t'approches de lui. sourire sur les lèvres. la clés en l'air. " c'est le dernier truc que je viens de voler. " clés que tu enfouies dans ton décolleté. " t'auras le droit de prendre ce que tu veux. si tu gagnes. " approche de lui. " et moi, je gagne quoi ? "  

blonde qui t'entraines avec elle dans son coffre fort. billes qui admirent au passage, son corps, de dos. courbes qui te tiennent chaud, sous cette veste. porte passée, fermée à clef. l'objet de votre liberté noyé dans son décolleté. ébènes qui remontent à ses yeux, lèvres qui se pincent sous te dents. elle aguiche. toujours. ça te plais. comment tu veux que j'te montre si j'ai gagné, alors qu'on est enfermé ici. elle se rapproche, succube infernale. les ovales noires qui tombent sur ses seins. sans l'ombre d'une discrétion. tes phalanges qui se glissent derrière son oreille, traine les mèches de cheveux au passage. doigts qui s'aventure jusqu'à l'arrière de son crâne, au dessus de la nuque. se noient dans la chevelure. ferme sur la main, un coup en arrière, le visage qui se recule et le tiens qui s'avance, proche. tu gagnes ce que tu veux. j'serais ton jouet pendant trentes minutes. et t'as pas de limite redd.

these violent delights have violent ends and in their triumph die like fire and powder which as they kiss consume.

noie l'espérance de sortir d'ici. clés coincée entre ton décolleté, attire les ébènes sur toi. le sourire espiègle qui flirte avec le danger. les mots qui s'évaporent dans l'atmosphère, conscient qu'une inégalité ce joue là. les doigts qui se posent au creux de ton oreille, pour ensuite glisser à l'arrière de ton crâne. joue avec cette tension. doigts qui s'emmêlent dans tes cheveux, tirent. cou sous tension qui fait ressortir tes clavicules, le crâne en arrière, la bouche entrouverte. savoure ce qui se joue là. les doigts qui se posent sur son torse, les ongles qui s'enfoncent à mesure que tu le sens tirer. son visage qui s'avance. parfum délictueux. " t'en mieux, parce que j'ai déjà gagner redd. " référence à la clés que tu venais de voler. lèvres que tu te mords. l'épiderme en éveille, tension qu'il provoque de lui même. joue avec la main qui te retient en arrière, force pour le confronter un peu plus. grimace qui se lie sur ton visage. douleur plus vivace. " si t'as rien à me montrer, je gagne. "    

ble goût du déjà vu. à croire que les phalanges trouvent facilement refuge dans sa nuque. chevelure emmêlées au bout des doigts. les traits qui se heurtent trop près. ses lèvres aguicheuse. tes ébènes qui suivent le mouvement des lippes sur ses paroles. envie d'y goûter, encore. pression en arrière.les muscles de son cou crispesysous la tension. l'estomac qui s'anime sous les étincelles de vos échanges. j'ai hâte de perdre. l'insolent, quand les tes lèvres souvent la naissance de son cou. canines qui évoquent sa chair, croque dans le fruit défendu. main qui relâche ses cheveux cette fois.

these violent delights have violent ends and in their triumph die like fire and powder which as they kiss consume.

douleur qui n'en est pas une. champs électrique de sa moelle épinière. tu la connais cette sensation. celle qui attire toujours ton attention. le regard qui joue avec le siens. s'imprègne des détails, ceux que tu avais manqué en étant plus loin. " dit que j'ai gagner. " lèvres aguicheuses qui s'approchent, se posent. contact qui te fait fermer les yeux. barrière que tu t'infliges pour rendre les choses plus.. excitante. les dents qui pincent, le frisson qui se répands un peu plus alors que ses doigts eux, relâche la pression. ta main qui vient à son tour se noyer dans ses cheveux, répète ce qu'il venait de te faire. tire dessus, l'oblige à prendre un peu de distance. le visage qui se poste devant lui. souffle qui se mélange, lèvres qui se frôlent presque. " dit le et tu verras redd " tire encore, cherche à lui provoquer cette grimace, celle qu'il avait faillit provoquer chez toi. douleur qui voudrait dépasser le désir pour ne pas succomber aussi facilement que maintenant.