t'es là, à l'heure. t'arpentes els ruelles jusqu'à l'adresse donnée. billes rivées sur le téléphone, suis ton point bleu sur la carte aux lignes parallèles. visage qui se redresse quand t'arrives à elle. fumée de sa toxique qui arrive à ton visage. inspiration profonde pour en happer les quelques effluves mal dosées. c'est quoi le plan ? direct, toujours.

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le regard qui s'attarde, observe ce que tu n'as encore jamais vu. un redd différent. lèvre que tu mordilles. " t'es très beau " balance le compliment sans aucune retenue. t'es pas le genre à retenir quoi ce soit. tu dis les choses aussi légère soit-elle. Apporte la cigarette à tes lèvres, aspire pour la recrachée vers lui. " mes parents organisent un gala de charité. le genre de soirée qui m'ennuie. " approche de lui et sans retenu, tu approches la cigarette à ses lèvres à lui. Attends qu'il tire sur la clope pour la retirer. " j'avais besoin de piquant. " sourire qui s'affiche. " et t'es mon piquant de la soirée redd "

dégaine presque trop sophistiquée pour toi. l'allure classy pour la soirée. de quoi rentrer sans paraître louche. de quoi s'approcher pour glisser les mains indiscrètes sans se faire repérer. les ébènes qui suivent son corps, à elle. toi aussi. les lèvres autour de sa clope, poumons qui tirent un instant, garde le toxique à l'intérieur. pourrir tout ce qu'il reste à noircir. fumée qui ressort quand t'ouvres les lippes. sourire insolent. tu me promets des belles choses la blonde, me déçoit pas. parce que tu veux te marier ce soir. te remplir les poches. profiter d'elle, la tête brûlée. je suis ton mec ? ou un pote ? histoire de préparer les discours si besoin.

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délicat sourire, celui qui s'affiche lorsqu'il te complimente toi aussi sur ta tenue de soirée. différent de d'habitude. lèvres masculine qui aspire la nicotine. " mes promesses ont toujours du sens " sourire malicieux qui s'affiche sur tes lèvres. apporte à ton tour la cigarette à tes lèvres. " j'ai pas de mec. t'es mon pote " même pour faire semblant, trop habitué à entretenir cette solitude. visible de l'extérieur. tu écrases le poison avant de venir saisir le bras de ton cavalier. " je vais t'expliquer tout dans l'ascenseur. " marche jusqu'à celui-ci, attends que les portes s'ouvrent pour s'y engouffrer. les portes se referment et la silouhette se poste devant lui. s'interpose entre cette porte. " je te propose un petit jeu. " sourire machiavélique sur les lèvres. " 30 minutes d'amusement. " approche, saisie la veste de redd. visage qui s'approche, lèvres qui flirtent. " à celui qui volera le truc le plus insolite de la soirée. "

parfait acteur quand il s'agit de jouer en ta faveur. mais la blonde ne veut pas jouer sur ça, ce soir. t'es son pote pour la soirée. tu suis le pas jusqu'à trouver l'ascenseur. engouffrés à l'intérieur, les phalanges qui redressent les manches du pull sur ton poignet. presque trop élégant, redd. pour elle ?  la veste qu'elle agrippe et les visages qui se trouvent. les lèvres qui s'appellent sans se répondre. l'insolence sur les tiennes quand elle dévoile ses pensées. malice parfaite. qu'est ce que je gagne à la fin ? taquin, partant du principe de ta victoire. le corps qui pousse le sien rapidement, contre le métal derrière elle. le bras au-dessus de sa tête. qu'elle prie pour que le niveau désiré soit encore loin pour ne pas tomber en arrière.  faudrait qu'il soit vraiment drôle ton petit jeu. pour que t'es envie de le suivre.

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provoque l'envie. le regard qui vacille entre la proximité de vos lèvres et de son regard. t'alimentes ce jeux malsain. sourire insolent qui s'allonge à ses mots. le corps qui s'avance pour te faire reculer. dos dénudé qui se colle contre la parois froide et métallique de l'ascenseur. t'arraches une petite grimace alors que son bras s'allonge au dessus de toi, te fait prisonnière. " ça dépends, tu rêves de quoi redd ? " massacre les rêves, c'est ton objectif hadley. ruiner ses espérances. visage qui s'approche à mesure ou tes mains viennent se faufiler à l'intérieur de sa veste. descends les mains . " c'est pas déjà ce qu'on est en train de faire. " pour s'arrêter sur la naissance de ses fesses. poche de pantalon que tu tu fouilles sans rien lui demander. saisie la mystérieuse forme carré. apporte ta main entre vos corps. analyse l'élément mystère que tu venais de lui voler. un préservatif. sourire baignée d'un rire mélodieux, " ça m'étonne presque pas. " apporte le plastique à tes lèvres pour le tenir entre tes dents. provoque encore !    

le corps qui prend appuie sur ta main, paroie froide sous la paume. visage juste au dessus du sien. ascenseur témoin de votre jeu insolent, celui instauré entre vous depuis quelques jours. j'ai beaucoup de rêve en tête là. ses mains qui descendent quand tes lèvres cherchent les siennes sans les trouver. préservatif qu'elle attrape, ressort sous tes yeux. ce rire léger qui s'échappe. je suis prévoyant. et t'apprends de ton passé. un enfant pas prévu dans ta vie, pas deux. libère l'emprise au dessus d'elle, récupéré le plastique de ses doigts pour le remettre dans ta poche. porte qui s'ouvre en même temps, bon timing. tentes minutes ? chacuns de son côté ? que tu dis en redressant le col de toa veste.

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palpable est la provocation. utilise sa présence pour te déstabiliser. la tête qui recule, freiner par les portes en métal. le regard qui l'observe placer ses pions. beaucoup de rêve. les pensées qui retiennent pour mieux s'en servir ensuite. le sourire qui s'allonge alors que tu ne te gênes pas pour lui voler la première chose de la soirée. préservatif que tu apportes à tes lèvres, tes dents qui le retiennent. prévoyant le sourire s'allonge alors qu'il le reprends. libère ta silouhette. ton dos qui se décolle des parois de l'ascenseur.  " c'est l'objet de la défaite redd " clin d'oeil et sourire aguicheur. les portes s'ouvrent. donne le point de départ à cette soirée. tu te tournes pour y faire face. réajuste ton corset. tu sors ton téléphone pour déclencher le minuteur. " 30 minutes, chacun de son côté. on se retrouve ici ensuite " le regard qui affirme également. les corps qui se séparent pour jouer au mieux. main baladeuse, tu voles tes premiers object. ramène chaque object dans un petit coin privée, sous une montagne de drap propre. petite conciergerie privée. tu vadrouilles entre la soirée et cette petite pièce. les minutes s'enchainent et le téléphone sonnent. le corps qui s'avance vers l'ascenseur, " la pêche a été bonne ? "    

compteur qui défile. trente minutes qui découlent, rapides. t'arpentes la foule. quelques souries, trop faux sur le visage. une coupe de champagne volée sur un plateau au passage d'un serveur. les yeux qui traquent les poches accessibles, les sacs ouverts. trouvailles stockés sous le coussin de ce sofa, éloigné. celui un peu reculé de la pièce principale, suffisamment pour ne pas te faire voir. magouilleur dissimulé. téléphone qui sonne, aussi. les pas qui s'avancent au lieu de rendez vous. remets encore le pull en place. standing à conservé, pour mieux te dissimuler. très bonne. sourire narquois planté sur le visage. toi d'abord, emmènes moi dans ta petite pièce sombre. tu l'as vu, quelques minutes plus tôt sortir de là. conciergerie, quelque chose du genre. qu'est ce qu'on gagne déjà ? fier de tes trouvailles.

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