Elle était tombé sur son profil meetsame clairement par hasard et l'avait liker pour lui parler mais le con, il l'avait pas liker en retour. Apollon, un ami d'avant, un amour de bac à sable, histoire portée disparue depuis maintenant.... de longues années, mais le voir sur cette plateforme signifiait clairement une seule et unique chose. Monsieur est dans le coin, dans la région de Boston et connaissant le sportif, la belle n'eut aucun mal à trouver les endroits ou il pouvait bien trainé, trouvé les terrains de foot sur le campus n'était pas ultra compliqué maintenant que ça faisait plusieurs mois qu'elle avait rejoint Harvard. Elle avait enfin comprit comment s'orienter et connaissait bien plus d'endroit que les salles où elle avait ses cours. Il avait quand même fallut un peu de temps pour se faire cependant.

Assise sur l'estrade, elle observe l'entraînement auquel son ami d'enfance participe, elle reconnait son talent, probablement comme lui reconnaîtrait son talent pour la danse. Chacun sa discipline, chacun son art. Elle l'observe, musique dans les oreilles en attendant que celui-ci se termine, mais alors qu'ils quittent tous le terrain, lui il traine, prend son temps et elle commence à s'agacer toute seule sur son banc alors qu'il a même pas adresser un regard vers elle, même pas quand elle a fait un signe de la main... A l'inverse c'est un autre crétin qui lui a répondu avec un large sourire, comme si elle pouvait s'intéressé à n'importe qui. Elle fini par se lever du banc et aller rejoindre le couloir des vestiaires, attendant qu'ils en sortent et qu'il en sorte... Mais encore une fois il semble trainer. "Y en a marre." Elle pousse alors la porte, entendant des exclamations des autres gars, gars qu'elle ignore totalement tandis qu'elle cherche du regard le capitaine de l'équipe. "Tu me nextes pas comme ça." Balances-t-elle alors au Featherington.

@Apollon D. Featherington

Tu ignores ce qui se passe, ces derniers temps, ton profil meetsme semble être à la page puisque les filles défilent les unes après les autres. Tu likes par politesse, non par intérêt et tu trouves toujours le moyen de couper court à une conversation lorsque tu juges la situation désespérée. Tu es exigeant, tu chéris un tas d’idéaux que très peu peuvent se vanter de posséder. Toutefois, tu ne t’attendais pas à ce like en particulier. Navier, amie d’enfance, amourette de bac à sable, appelez ça comme vous voulez. La voilà qui rapplique une décennie plus tard à ton grand désarroi. Si elle s’amuse à liker, pour ta part, tu lui renvoies le message de manière moins joviale. T’es pas intéressé par une fille qui t’a jadis fait passé en second, c’est un truc que tu ne supportes pas. T’es premier, jamais deuxième. Tu laisses donc ton portable dans ton casier et file à ton entraînement sans te soucier des conséquences qu’un dislike pourrait occasionner. La pratique terminée, tu traînes sur le terrain, tu t’exerces encore et toujours en solo tandis que tout le monde gagne le vestiaire avec empressement. Tu ne portes pas attention aux gradins, en vrai, t’en a rien à foutre des groupies et te soucis peu de leur présence. Une fois la porte fermée derrière toi, tu retires tes vêtements et passe sous la douche. À moitié séché, tu enfiles un boxer propre suivi d’un jogging avant de rejoindre le coach qui t’appelle de son bureau. Tu commences à discuter tranquillement avec lui du match à venir, il te rappelle à quel point il compte sur toi pour mener cette équipe à la victoire, un sans faute depuis le début de la saison, aucune défaite au tableau. Pantalon lâchement noué autour de la taille, tu fronces légèrement les sourcils en attendant la cohue provoquée par tes coéquipiers sans toutefois te retourner. Ce sont les propos de miss Wellington qui t’incite à l’observer par-dessus ton épaule. Regard froid, vide d’expression. Lèvres soudées dans le marbre forgé du silence. Tu l’observes avec dédain de la tête aux pieds avant de lever les yeux au ciel. ‘’ L’arroseur arrosé, comment on se sent bécasse ? ‘’ L’ombre d’une esquisse étire tes lippes tandis que l’hilarité résonne entre les murs du vestiaire. ‘’ Tu connais la sortie. Dans le cas contraire, Jack se fera un plaisir de te raccompagner. ‘’ Ouais, le mec qu’elle a salué tout à l’heure, il ne cesse de casser les oreilles à tout le monde avec ça. Pour ta part, tu lui tournes le dos, préférant entretenir une conversation platonique avec ton coach plutôt que de devoir subir les sautes d’humeur d’une folle alliée.

La patience n'est clairement pas une vertue que la jeune femme possède, sinon pour sûre qu'elle ne serait pas rentrée comme elle vient de le faire dans les vestiaires des garçons. Agacement de mise également, c'est pas le meilleur mélange pour la jeune Wellington, agissant facilement sur un coup de tête surtout quand cela permet d'avoir des regards posés sur elle. Le son de ses talons sur le sol, elle se stoppe quand elle voit enfin l'homme quel cherche, ce crétin qui se permet de l'ignorer depuis quand déjà au final ? Ils ont perdu contact il y a tellement d'année maintenant. Coup du sort, rancunne de l'un et maladresse de l'autre et puis le malheur qui est survenu à l'époque.  Elle ignore le ressentit de l'anglais, ignorant qu'il lui en veut pour les lapins qu'elle lui a posé sur MSN à l'époque. Parce que pour elle il n'y a pas de soucis, toujours elle s'est excusée.  


Navier elle ne pensait pas qu'Apollon pourrait lui lancer un tel regard. Elle en reste con un instant mais ne le montre pas, écoutant ses propos et ses provocation. La jeune femme croise ses bras sur sa poitrine. "Si quelqu'un me montre la sortie c'est toi, parce qu'il faut qu'on parle et que tu portes tes couilles Featherington." Elle s'en fiche totalement de parler comme cela devant ses potes, elle se contre fou de lancer une tension de la sorte, de laisser entendre qu'il peut être un trouillard.  Elle se fiche d'entendre les commentaires qu'il peut y avoir autour d'eux. D'ailleurs elle tourna la tête vers le fameux Jack pour le foudroyer du regard et lui faire comprendre de ne pas chercher à lui montrer la sortie.

Vous êtes à l’aube d’un match important. Ton temps libre, tu le passes entièrement sur le terrain ou dans le bureau du coach à élaborer des stratégies. Une saison sans défaite, stats en béton. Il n’est pas encore temps de se relâcher. Aujourd’hui ne fait pas exception à la règle. Tu donnes tout ce que tu as, sans porter attention à ce qui se trouve dans les estrades, ni même dans les vestiaires. T’écoute pas vraiment les histoires qui s’y racontent, trop puéril, une perte de temps à ton sens. À ton habitude, après la douche, tu files discuter avec l'entraîneur, mais cette fois, les discussions sont interrompues. Certains sont bouche bée, d’autres se la jouent macho et m’as-tu-vue. Une voix féminine s’élève, le reproche t'est adressé. Ta réaction est instantanée lorsque tu reconnais les traits de la jeune femme en quête d’attention. ‘’ Après plus de dix ans passées sans un mot, je doute qu’on ait des choses à se dire toi et moi. ‘’ Tu lèves les yeux au ciel, agacé par son intrusion. Elle fait partie du passé, une page tournée depuis très longtemps. ‘’ La sortie est par là. ‘’ Elle essaie de te faire réagir en incluant tes attributs dans l’équation, mais dans ce chapitre, ce n’est pas toi qui est en faute. ‘’ Et laisse mes couilles en dehors de ça. Le dossier est classé depuis longtemps, il faut te faire une raison.‘’ Le reste de ton équipe s’échange des regards, la confusion règne d’un banc à l’autre.

La belle, elle arque un sourcil quand il lui répond, lui balançant dans la gueule le silence. "Je rêve ou t'es entrain de dire que c'est ma faute si on ne se parle plus ?" Navier, elle est sidérée par les propos qu'elle entend là, par les accusations qu'il lui balance dans la figure. Elle ? En tord ? Elle qui aurait arrêté de lui parlé par choix ? Jamais ! Demoiselle en mal d'attention depuis toujours, jamais elle n'aurait coupé les ponts, surtout pas avec lui. Il y a eu des événements et lui, il a fini par juste ne plus lui parler. Dans sa tête en tout cas c'est comme ça que les événements se sont passé, peut-être que c'est autrement en réalité, que lui, il a une autre version des faits, que c'est juste une volonté du destin de les avoir éloigné à l'époque. Elle, elle ne sait pas les tords qu'elle a eu, que si le silence est venu c'est uniquement parce qu'elle la délaissé, elle ne l'a pas vécu comme ça, elle n'a jamais eu l'impression de le mettre réellement de côté. Il a toujours eu une place bien à lui.

Elle croise les bras quand il insiste en lui montrant où se trouve la sortie. Elle ne bougera pas, non il en est hors de questions, pas de sa propre volonté en tout cas... Après il est clair, qu'il serait aisé pour l'un ou l'autre garçon de la porté sans trop forcé. Demoiselle ayant oublié de grandir à partir d'un moment. "T'oublie une chose Apollon, je ne suis pas une de tes groupies, alors non, le dossier n'est pas clos tant que je ne l'aurais pas décidée." Oui, c'est elle qui décide qui elle ne fréquente plus, pas l'inverse, c'est elle qui repousse les gens pas l'inverse. Surtout que Harvard, ce n'est pas msn ou skype, il ne peut pas juste la bloquée et arrêté de lui parler. "Donc tu vas me dire c'est quoi ton problème." Il ne veut pas aller parler dans un coin tranquille, pas de soucis, elle, elle estime n'avoir rien à se reprocher alors la conversation, elle peut très bien se faire ici, dans les vestiaires entourés de ses coéquipiers et alors qu'il est torse nu.

‘’ Entièrement.’’ Il n’y a pas d’autres mots pour ça. Vous étiez proches à une époque et elle a préféré un mec homo à toi. Elle t’a toujours mis sur la sellette lorsqu’il la réclamait et ça t’a toujours fait chier. T’es pas second dans la vie. Tu foule les podiums sur la marche la plus haute à chaque fois. T’es pas celui qu’on nexte, qu’on insulte, qu’on ignore et t’es encore moins un looser. Au final, c’est elle qui perd au change et elle le réalise seulement maintenant puisqu’elle est là, au beau milieu de ce vestiaire. ‘’ J’en ai rien à foutre de ce que tu veux Navier, c’est le dernier de mes soucis pour être honnête. Faudra t’y faire ma petite, parce que c’est comme ça, je l’ai décidé. ‘’ Tu mets l’emphase sur les derniers mots, tu appuies bien dessus pour retourner le couteau dans la plaie. Deux têtes fortes, deux caractères de chien. Tu ne courberas jamais l’échine devant elle, tu ne t'inclineras jamais face à ses actes et ses choix passés. Tu n’es pas en tort dans cette histoire. Pour ta part, tu as tracé ta route, tu es passé à autre chose. ‘’ Mon problème en ce moment c’est toi. Tu pompes mon air là et j’veux que tu dégages. Va emmerder quelqu’un d’autre sans quoi c’est le coach lui-même qui te montrera la sortie. ‘’ Le principal intéressé tend le cou et observe la jeune femme entêtée. Parfois le destin suit son cours, on ne comprend pas forcément pourquoi, mais les étoiles étaient alignées pour que cette coupure arrive. Il y a eu le décès de ta soeur et par la suite tu t’es refermé sur toi-même, préférant vivre ce deuil à ta manière.

Elle reste con un instant quand il laisse entendre son entièrement. Comme si elle, elle était responsable de leurs distances. Elle est sidérée la belle, bouche bée. Au moins, il pourra se vanter de lui avoir fermer son clapet un instant tant elle est sous le choc de son affirmation. Cependant, elle ne se laissera pas faire si facilement, elle n'en démordra pas juste avec cette réplique de la part de son ancien ami. "Alors vas-y balance ce que j'ai bien pu faire contre toi. Je suis curieuse." Navier, elle est sûre de n'avoir rien à se reprocher dans l'histoire, elle est certaine de n'avoir aucun tord et elle attend donc avec hâte de la part d'Apollon ses explications, car elle est certaine qu'il n'en aura pas, que c'est juste un moyen pour lui de tenter de la faire culpabiliser et ne pas reconnaître ses tords. Elle voit assez souvent son frère le faire et elle le fait assez souvent avec Anders pour se dire que les autres agissent également de la sorte.

Le footballeur lui tient tête, croyant ainsi qu'il pourrait avoir le dernier mot et avoir raison d'elle. C'est mal la connaître, après c'est clair que monsieur ne la connait plus après autant d'année de silence. Elle le fixe, incline la tête sur le côté en le détaillant un peu. "Tu penses réellement que ça marche comme ça Apollon ? Que tu peux décider pour moi ?" Dit celle qui juste l'instant d'avant annonçait décidé pour lui. "Je pense mon cher, que tu devrais me donner ce que je veux avant que cela ne soit plus le dernier de tes soucis." Elle esquisse un petit sourire, plein de sous-entendu. Demoiselle qui ne manque pas d'imagination pour pourrir la vie d'autrui. Elle pose d'ailleurs son regard sur le coach quand le sportif laisse entendre que c'est lui qui finira par la sortir des vestiaires si elle n'obtempères pas rapidement. Mais elle savoure au final d'entendre le New-yorkais balancer qu'elle lui pompe l'air. "T'as vraiment envie que ton coach subissent pour toi Apollon ?" Menace subtile qui tombe parce qu'il lui serait aisé de pourrir la vie de cet homme et ainsi de forcer Apollon à penser un peu à elle, même si ce n'est pas en bien comme jadis.

Elle commence à te saouler royalement à insister comme ça. Les muscles de ta mâchoire se contractent, le cou qui démange et l’envie de hurler qui brûle l'œsophage. Elle n’arrêtera donc jamais ? Paupières qui se ferment, tu inspires un bon coup. T’as besoin de te détendre avant de faire une connerie. Heureusement qu’elle est une femme sans quoi tu lui aurais déjà fait bouffer ses chaussettes. Mais les mecs, ils sont pas cons à ce point, ils comprennent la plupart du temps quand on dit non, surtout quand la cause est perdue d’avance. ‘’ Si t’es pas capable d’admettre tes propres fautes, ça ne sert à rien de discuter. ‘’ Elle trouvera toujours une excuse ou un prétexte pour avoir raison alors qu’elle est loin du compte. Tu sais comment fonctionnent les nanas dans son genre, tu traînes avec Sybil et dieu sait à quel point elle peut être chiante quand elle veut. Pire que Navier. ‘’ Je décide pour qui je veux. Pour toi, pour moi, pour lui et pour lui si j’en ai envie ! ‘’ Tu pointes deux joueurs au hasard qui baissent les yeux directement. ‘’ Je n’ai pas envie de discuter avec toi, prend ça comme tu veux au final je m’en fou, c’est une décision personnelle qui ne concerne que moi il faudra faire avec. ‘’ T’es passé à autre chose, complètement. Tu vis ta vie tranquille, t’as un cercle social très restreint et autant que faire se peut, tu cherches à éviter ce genre de crise en public. Regard qui se pose sur elle par-dessus ton épaule, tu lèves les yeux au ciel. Énervé. Comme si t’allait t’abaisser à ce genre de commentaires suggestifs. ‘’ Va chouiner à ton père, il va te donner c’que tu veux lui. ‘’ Ce que tu offres, tu l’offres quand ça te convient et pas quand on le réclame. ‘’ Il est prêt, oui. ‘’ Il ferait absolument tout pour toi, même traverser l’enfer si tu lui demandais. D’ailleurs, il se lève de son siège et tu bouges légèrement sur la droite, bras croisés au niveau de ta poitrine, visage de marbre. ‘’ Apprend à te résigner petite. T’accrocher au passé ne t’apportera jamais rien de bon dans la vie. ‘’ Tu hausses simplement les épaules en sachant que cette guerre n’est que partie remise.

La jeune femme n'a aucune idée de ce qu'il peut bien lui reprocher, les fameuses fautes dont elle est supposée être coupable, mais dont elle n'a pas la moindre idée. "J'attends que tu me les expliques pour justement te dire si je les admets ou non. Sans savoir ce que tu me reproches, c'est difficile." Les bras toujours croisées sur sa poitrine, elle le fixe, attendant qu'il lui donne un peu d'éclaircissement car aux dernières nouvelles, elle n'est pas doté de superpouvoir lui permettant de lire dans les pensées d'autrui. Non, malheureusement pour elle, elle n'est pas télépathe.

Elle ne peut s'empêcher de lever les yeux au ciel, ou dans le cas présent, au plafond, en entendant les paroles du joueur de soccer. Trop confiant, trop imbu de sa personne, au moins même si vous n'avez pas gardé contact, vous avez évolué tout les deux de la même façon. Enfin, il y a probablement une grande différence entre elle et lui. Navier, elle fait ça parce qu'elle a se besoin d'avoir l'attention des autres, ce manque cruel de reconnaissance qui lui bouffe la vie. Elle finit par soupirer. "Ouais, tu sais quoi." Souffle-t-elle finalement. "Je suis trop bien pour perdre mon temps avec un gars comme toi." Qu'il en en comprenne ce qu'il veut, elle elle dit surtout cela pour se donner un genre, pour faire mine qu'elle prend la même décision que lui parce qu'elle lui est supérieur. Elle pose son regard sur le coach pour lui faire comprendre qu'il a pas à bouger, elle le fera d'elle même prendre la sortie. Elle s'est assez donnée en spectacle, elle sait que ça va faire parler d'elle pendant un moment et c'est amplement suffisant au final, même si elle n'a pas les explications qu'elle voulait de son ancien ami, mais elle ne court pas après les gens, elle n'a pas le temps pour ça. Elle a fait un pas vers lui, il a pas voulu en profité alors si il veut revenir, il devra le faire en rampant parce qu'elle, elle ne courbera plus l'échine, elle ne va pas faire la minette qui court après un gars, c'est pas son caractère, c'est pas ce qu'elle veut et se prendre ce genre de remarque d'une personne qui a compté jadis pour elle, elle ne le supportera pas bien longtemps alors autant couper court à cela. Elle quitte donc le vestiaire sans un regard en arrière, sans un mot d'excuse, la tête haute même si elle est grave saoulé de l'attitude de son amour d'enfance. A croire qu'il y a qu'elle qui a gardé des bons souvenirs de leurs relations, qui pensait pouvoir encore l'appeler ami malgré l'absence et le silence de ses dernières années. Mais au moins, ça lui prouve juste encore une fois que dans sa vie, dans son entourage, il n'y a que Griffith qui tienne réellement à elle, qui se soucie d'elle. Oui comme Apollon la dit, son père ferait le caprice de la belle, mais ce n'est pas pour autant que l'amour paternel est là, que l'attention est réellement là. Elle semble bien entourée, mais au final, elle est seule.