assise patiemment. tu l'attends ce moment, où il n'y aura plus personne dans le garage. le regard qui s'attarde sur l'horloge. le temps qui défile et lui qui ne part toujours pas. les doigts qui pianotent contre l'atelier, fait volontairement du bruit pour l'insupporter lui. aucune réaction rien... tu décides de te lever, prends la direction du bureau de ton père, là ou se trouvaient tes changes. change littéralement de look. plus sexy, plus provocatrice. parfait pour allez là ou tu veux allez. tu sors du bureau. " redd, jme casse. tu fermes le garage ? " tu t'approches du tableau où se trouvait les clés de voiture des clients. sourire qui s'étire en voyant les clés de la mercedes. " t'as rien vu ! "  

@Redd Geddes    

phalanges noyées dans le moteur. torse par dessous le capot ouvert. impossible à comprendre, toi, ça t'énerve. pas le genre patient, pourtant, tu risques aggripe à cette mécanique, des heures qui défilent.porte qui claque, parfum qui s'échappe à tes narines dans son passage. un regard par dessus ton épaule pour trouver ses fesses. billes qui admirent sans s'en cacher. tu ricanes déjà à ses mots. les pas qui l'a retrouvent. doigts agilent qui attrape les clés convoitées. le silence ça s'achète ma belle malice danses yeux bras tendu en l'air, agité le métal. proposes. que tu lâches, l'insolent -- @Hadley Guerin

these violent delights have violent ends and in their triumph die like fire and powder which as they kiss consume.

éphémère créature. apparait pour disparaitre ensuite. ceux qui te connaissent, le savent. tu ne tiens pas en place hadley. prête à quitter le garage pour prendre ta dose d'adrénaline. clés en main. ce soir, tu endosses le rôle de la voleuse. approche l'effronté sans que tu ne t'en aperçoives. attrape le trousseau. grognement qui se libère de ta traché. " - y a que ton silence qui s'achète ? " provocation dans les orbes. plus grand, il agite les clés au dessus de toi. tu n'essayeras pas. trop petite, tu te résignes à utiliser les mots. " - vient avec moi et tu verras. " sourire qui apparait, petit à petit. tu le sais qu'il lui en faudra plus pour le convaincre. " ça contre ton départ précipité de la dernière fois. "  

@Redd Geddes    

gamine provocatrice, trop petite pour attraper les clés que tu laisses gigoter au dessus de sa tete. pas la taille peut être, la langue pourtant elle, crochue. tant que ça paye, je vends ce que tu veux. amour propre en dérision pour beaucoup, pour toi simple provocation, surenchérir. sourcil qui s'arcque, intéressé. qui te dis que j'aime ton genre de soirée ? les billes qui observent, sans gêne, les courbes de la blonde devant toi. mauvaise négociation, je t'ai déjà dit que je m'en fou de ça. et j'ai plus gros contre toi. tu te recules, les clés entre tes doigts, fais virevolter le métal de l'anneau autour de la phalange. fille à papa qui prend la voiture des clients, c'est moche. -- @Hadley Guerin

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observe, analyse son comportement. arrogant à souhait. il continue d'agité les clés au dessus de ta tête. tu ne cherches pas à les attrapés. tu sais d'avance que tu n'y arriveras pas. écoute attentive, le regard qui s'attarde sur le sien. provoque. " parce que tu bosses ici. t'aimeras forcément mon genre de soirée. " tu ne voyais autrement. " plus gros ? " rire qui s'élève pour apporter un peu plus de lourdeur à tes mots. " tu l'as dit toi même. je suis sa fille. toi, t'es rien. " approche alors qu'il se recule. " après tout, j'ai pas besoin de toi. " canine qui pince tes lèvres. la main qui vient et s'aventure, là, ou normalement elle n'a aucun droit. attrape ses couilles fermement. tu te rapproches, visage qui s'arrête devant lui. distinctement. " par contre, j'ai besoin de ces clés. si tu tiens à tes boules. donne les moi ! " avance son autre main et l'ouvre.

@Redd Geddes    

tw : vulgarité et geste déplacé.

défense aiguisée, la blonde. sait se défendre, esquiver les piques et se faufiler pour tirer l'épingle du jeu. toi  le sourire aux lèvres, taquin, par l'habitude. par la passion. mort le jour où tu ne répondra pas, provocateur. guerre installée entre vous deux, les égos qui se cherchent et se trouvent. reflexe de survie quand ses mains froides se glissent dans le sous vêtements, la peau brulante ici. le bassin qui tente d'éviter, mais ses doigts qui se faufilent sur les précieuses. les lèvres entre ouvertes, par l'effet glacé. son visage en face du tiens et ses billes que tu dévisages. t'as l'air de vraiment vouloir y aller à cette soirée. ricanes, l'insolent. t'es trop nerveuse, regardes toi. tes mains encore crasseuses, noir du moteur le long des phalanges. les clés toujours dans une main. l'autre libre qui agrippe son sein à travers son vêtements. cambouis qui laisse ta trace. tu tenais à ta robe ? sourire. -- @Hadley Guerin

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aiguisent les lames comme il te l'avait discrètement conseillé. le visage suspendu juste en dessous du sien. il te domine par sa grandeur mais, tu serais prête à parier que tu le domines par ta poigne hadley. les doigts qui se faufilent sans vergogne dans son caleçon pour attraper les seules neurones capable de réfléchir pour lui. sourire narquois qui se dessine en constatent le simple effet que peut avoir le froid sur ses partis intimes. " t'as pas idée redd. " le rire qui se propage, atteins l'épiderme. " nerveuse ? " il ne te laisse pas le temps de riposter que sa main crasseuse s'abat sur ton sein, sali le vêtement. serre un peu plus tes doigts autour du précis. approche le visage, nez qui se colle à sa joue. le regard qui vacille  " aucunement. " poigne qui se resserre encore, devient peut être plus désagréable pour lui. " tu trouves que je suis nerveuse là ? alors que c'est moi qui te tient par les couilles ?. "

@Redd Geddes    

tw : vulgarité et geste déplacé.

c'est l'adrénaline qui te fais respirer, toi. le froid sur l'entre jambe. ses doigts qui jouent avec les précieuses. mais tu le vois, dans ses yeux. billes qui reflètent sa manipulation aiguisée. elle te cherche, veut te trouver. joue avec ce qui semble pour elle, la plus simple façons de te faire danser. ta main sur son, sein, tissus tâché de cambouis. s'il y a des caméras ici, la scène sera drôle à observer pour celui qui aura le plaisir de tomber les yeux dessus. une chance que j'en ai rien à foutre alors. l'arrogance sur les lèvres quand elle resserre l'emprise et que ton visage lui, ne bouge pas d'un trait. un self control trop aiguisé, peut être simplement le fait que t'en ai rien à péter. ta main qui bouge de son décolleté jusqu'à son cou. les doigts qui continuent à trouver chemin jusqu'à l'arrière de sa nuque avant d'enfermer la naissance de ses cheveux entre tes doigts, poigne qui laisse basculer sa tête en arrière. suffisamment pour que son visage se décolle du tiens et que les lèvres viennent narguer les siennes. tu crois vraiment que tu vas me faire danser comme ça ? que tu chuchotes presque. -- @Hadley Guerin

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mâchoire qui se resserre. bataille contre l'arrogance qui se lit sur son visage. proche son les âmes, parfum qui chatouille tes narines. tu pourrais la sentir cette pseudo tension, celle qui anime chacun de tes muscles quand tu te retrouves face à un adversaire de taille. t'aimes ça, qu'on te résiste, qu'on te malmène parce que t'es comme ça toi aussi hadley. sauvage. " pourquoi tu te contentes pas de me rendre ces putains de clés alors ? " suspendu est la question. main vagabonde qui quitte ta poitrine pour remonter le long de ta trachée. capte l'onde, celle qui titille l'épiderme. visage qui reste de marbre, tu ne laisses rien transparaitre. les doigts qui s'emmêlent dans tes cheveux blond. tire dessus. grognement sourd. le visage en arrière. un sourire se dessine. garde le paquet entre ta main. " je peux même te mettre à terre redd. " sourire délicat sur tes lippes. tu retires ta main et d'un geste parfaitement maitriser. tu lui balances un coup de genou dans les couilles. douleur sans doute significative puisqu'il relâche tes cheveux. " t'aurais du accepter de me suivre maintenant donne moi ces clés. "

@Redd Geddes    

tw : vulgarité et geste déplacé.

les doigts dans ses cheveux. sa tête en arrière, maintenue par la poigne exercée. tes lèvres qui narguent les siennes dans un murmure provocateur. tu sens son souffles qui s'abat sur toi. les mélanges subtils de son parfum. notes délicates pour la tigresse. elle se dégage et toi, tu te retrouves plié en feux. tintement du métal qui résonne dans ta main bouge pour retrouver ton entre jambe abîmé. un râle d'insulte qui s'extirpe d'entre les dents. putain.. une seconde le temps t'entendre ricaner, encore recroquevillé en avant. casses pas le matos comme ça ? tu te redresses, cette fois. mains qui tiennent tes couilles, grimace sur ton visage. sinon quoi ? tu vas me rendre stérile en me frappant à nouveau ? ça pourrait presque avoir des avantages. mais t'avances vers elle, rapidement. abstraction de la douleur. le corps qui heurte le sien, son dos qui trouve la saleté du mur en béton. tu pourrais rester là ce soir. corps qui se percutent sans que le sien ne puissent bouger. les clés dans la main, au niveau de ton entre jambe et du sien. une clé entre les phalanges qui vient riper contre sa peau, suffisamment pour la griffer du côté dentée. griffure le long de sa cuisse, à l'intérieur. -- @Hadley Guerin

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