il est tard. très tard. la soirée s'est éternisé et je me suis laissé aller sur l'alcool. j'ai passé une très bonne soirée. un bon moment. et j'aurais nettement plus apprécié si j'avais pas passé une bonne partie de mon temps sur mon téléphone avec toi. des mots ont été échangés. des révélations. j'ai envie de croire à ce que tu me dis malgré les alertes de mon ami. il ne sera pas le seul à me mettre en garde. je sais que tu ne fais pas l'unanimité. et pourtant, malgré tout, je viens de demander au conducteur d'aller un peu plus vite. le trajet jusqu'à chez toi me parait interminable. je ne quitte pas mon portable de la main. je sais que tu m'attends. et quand enfin j'arrive devant chez toi, je me précipite jusqu'à ta porte. j'ai l'agréable surprise de constater qu'elle n'est pas verrouillée. je l'ouvre comme si j'étais chez moi. « styx ? » j'avance dans le salon. « bébé, héééé t'es où ? » je manque un peu de discrétion à cause de l'alcool. j'en viens même à me demander si je suis dans le bon appartement.
- @Styx Shipley

est-ce que t’avais failli jamais l’entendre entrer ? oui allongé sur ton lit, tu rongeais ton frein en silence pour savoir quand il allait débarquer. ton esprit tournait à plein régime, t’étais même prêt à bondir hors du lit pour attraper ton paquet de cigarettes et en griller une pour calmer ton impatience. il avait bu, c’était évident lorsque tu lisais ses messages. t’espérais n’avoir rien gâché ou d’en n’avoir pas trop dit ce soir là, parce qu’il était en soirée. mais tu lui avais demandé de venir pour le serrer dans tes bras et il n’avait pas repoussé ta demande. c’était donc ce qu’il voulait ? que tu le serres dans tes bras et lui murmurer ces mots que tu lui avais envoyés ? tu ne tenais plus en place styx et tu te rendis dans la cuisine avec ta béquille pour finir ta clope. tu te retournas quand la porte s’ouvrit pour l’accueillir. il te chercha dans la mauvaise direction et un rire t’échappa. - retourne-toi coquin. t’as intérêt à venir me faire un gros câlin. sourire colgate collé au visage, putain quand allait-il arrêter de te dévisager de la sorte ? tu n’arrivais pas à regarder autre chose que lui, l’alcool l’avait presque rendu encore plus beau ou bien était ce juste tes yeux qui le dévoraient déjà ?

quand ta voix s'élève dans la pièce, je sursaute légèrement. je me retourne sur tes recommandations. un large sourire illumine mon visage et je ne peux pas m'empêcher de rigoler sous les effets de l'alcool. « tu m'as fait peur putain, j'ai cru que j'étais rentré chez l'voisin » et je suis que dans la précipitation, ça aurait pu m'arriver. je me tourne entièrement vers toi. échange de regard. le tien me transperce déjà. je m'approche de toi rapidement. j'ai le coeur qui va exploser dans ma poitrine. je suis peut être en train de faire une connerie mais ces putains d'émotions valent le risque que je prends. une fois à ta hauteur, je ne m'arrête pas. mes bras se déploient pour s'enrouler autour de ton cou. je me colle contre toi sans la moindre délicatesse. je cherche le contact. je viens me blottir dans tes bras. mes yeux se ferment en sentant ton parfum, ton odeur, venir titiller mes narines. « on est dans un putain d'cliché là mais je m'en tape... » soupire qui s'échappe de mes lèvres. si tes messages m'ont émus, ça n'est rien à côté du soulagement que je ressens là, dans mes bras. « j'ai besoin que tu me confirmes tout c'que tu m'as dis par message. vas-y donne moi ma dose en intraveineuse j'suis prêt »
- @Styx Shipley

le bonheur se lit sur ton visage, t’étais presque sûr qu’il le voyait. mais au fond tu ne voulais pas qu’il reste planté dans le salon mais qu’il se précipite vers toi pour te prendre dans ses bras. tant pis si t’avais pas fini ta clope ou qu’il pouvait sentir l’alcool, tu voulais le sentir de nouveau et qu’il soit là que pour toi, qu’il comprenne qu’il n’y avait que lui qui comptait plus que tout à tes yeux en ce moment. allait-il ressentir la même chose ? mains qui l’attrapèrent quand il se colla à toi sans retenue, sentant la pression de son corps s’imprimer sur le tien. cela te réchauffa instantanément, bloqua ton esprit sur son souffle qui te chatouilla, t’arrachant un gémissement étouffé. c’était à la fois inattendu mais réconfortant, comme si tu l’avais attendu depuis longtemps. tu t’étais ouvert à lui ce soir comme jamais, tu te sentis presque vulnérable à cet instant mais comblé. tu laissas une larme couler sur ton visage à cause du surplus d’émotions mais il recula pour te regarder et tu cherchas le soutien de ses bras pour ne pas tomber. - tu serais cap d’enlacer le voisin de cette manière ? petite taquinerie pour détendre un peu l’atmosphère parce que tu te retenais de ne pas chialer devant lui. t’avais eu peur qu’il ne vienne jamais. - je veux pas qu’il me vole ma place. tu continuas de rire, tu sentais encore les émotions te secouer. - t’es pas prêt, non. mon beau, tu veux que je te redise que t’es tout pour moi là ? qu’il n’y a personne d’autre que toi que je rêve et que je veux aimer… ? tu te fis violence de pas fermer les yeux et de comprendre que tout ceci n’était qu’un putain de rêve. tu voulais le vivre pour de vrai.

❊ moth drawn
to a flame

Got a feeling that I'm going under, but I know that I'll make it out alive.

yeux clos, je ne peux que profiter de cet instant qui s'offre à nous. instant mérité. je me renferme dans cette bulle. notre bulle. mes bras te serrent surement un peu trop fort, je n'ai pas trop conscience de l'emprise qu'a l'alcool sur moi. je reste malgré tout maitre de mes faits et gestes. j'ai juste un petit temps de latence un peu plus conséquent que d'habitude. je me recule pour voir ton visage. croiser ton regard. « mhh j'sais pas trop, il est plutôt sexy le voisin, surtout pour son age » je te taquine un peu trop. j'adore ça. rire qui se s'élève avant de se stopper net en voyant tes larmes. « pleure pas parce que j'vais pleurer aussi » j'ai les larmes aux bords des yeux qui ne demandent qu'à couler. à s'échapper. je ris avec toi, lâche peut être même une larme ou deux avec toi aussi. c'est full émotion ce soir. « t'inquiète, il ne prendra pas ta place, c'est promis » mon visage s'illumine au fur et à mesure que tu parles. tes mots sont libérateurs. « c'est ça que j'veux entendre putain.. continue, c'est jouissif » je rigole un peu plus mais tout ceci est tellement sérieux. j'y crois moi. j'ai envie d'y croire même si j'ai de grandes chances de me planter. je te prends ta clope et fume une taffe seulement avant de te la rendre. « je veux que tu me dises tout ce que t'as sur le coeur, là maintenant. j'veux plus de non dits, j'ai besoin de communiquer avec toi, d'entendre les choses et de te les dire. j'ai besoin de te dire que j'suis complètement inlove de toi et que ça m'fait faire des trucs de dingue. j'suis de plus en plus accro à toi. je t'aime shipley » voilà c'est dit. mon dieu ça fait flipper.
- @Styx Shipley

ce moment était bien réel, lové contre toi il semblait attendre un quelconque geste de ta part. peut-être craignait-il tout autant que toi de briser l’instant et ce silence qui vous protégeait du reste. sa présence t’apaisa, tu sentis sa chaleur se propager et ton cœur se gonfler dans ta poitrine, c’était tout aussi précieux que les baisers que vous pourriez donner là. mais tu ne bougeas pas, il était là et tu te sentais pas mieux avec un autre que lui. tes paumes le caressaient tandis qu’il te retenait dans la cage de ses bras. sourcils qui se froncèrent inopinément quand il répliqua à propos de ton voisin. - bourré ou pas, j’espère que tu t’es pas trompé de personne. c’est moi qui suis hyper chanceux de tomber sur un gars comme toi. et de t’avoir. t’avais pas remarqué tout de suite les larmes qui te brouillaient la vue, oui t’étais heureux là styx. sur un nuage même, et il tentait de te rassurer ou de te consoler, c’était pareil. ça te fit rire mais pas seulement, le voir ici pour être avec toi et sa réponse t’avaient bouleversé. tu lâchas un soupir de satisfaction en collant ton front contre le sien, pour pas le laisser s’échapper. - c’est promis ? parce que qu’il n’y a que toi qui me hante. tes doigts cherchaient sa main tandis qu’il joua avec ta clope encore allumée et c’était la suite qui te perturba davantage. bordel ses mots t’avaient fait frissonner, t’avais pensé le perdre pendant quelques jours, que ça n’allait jamais arriver. tu n’attendis pas styx qu’il lâche la clope pour aller capturer ses lèvres. tu gémis rapidement en repensant à ses mots. et l’embrassas tout ton soûl. avec ferveur, contact passionné qui te fit fondre. cri du cœur. - bordel qu’est ce que je t’aime ! j’te veux tellement que je n’arrive plus à vivre sans m’imaginer à tes côtés… j’te veux dans ma vie, arlan. je t’ai dans mon esprit et dans la peau. tu le tiras vers toi pour chercher à nouveau ses lèvres avant de croiser son regard. mon dieu qu’il était sexy, tu redécouvrais son visage, comme si c’était la première fois que tu le voyais. tu te sentais aimé et désiré, c’était jouissif. - putain tu me fais un effet de dingue toi aussi. tu veux entendre à quel point je te trouve hot et magnifique ? t’es un putain de mec canon qui m’excite et que je désire tout le temps. j’aurais jamais imaginé non plus que tu reviendrais dans ma vie. en fait, je te trouve déjà parfait. je t’aime comme je respire, comme un fou.

j'éclate de rire à ta remarque. désolé, c'est l'alcool ça. au lieu qu'on parle de nous, on est en train de parler du voisin. « t'es hyper chanceux, merci de l'admettre » je rigole. forcément. j'aime bien te taquiner. c'est nous ça. toi toujours très sérieux, qui te déride sous mon humour parfois un peu lourd et pompeux. j'aime la façon dont tu me regardes. ce rire que t'as parce que je te saoule un peu ou que je fais des blagues nulles. ton front se colle au mien. j'aime cette proximité. mes mains ne te lâchent pas. j'ai besoin de te sentir près de moi. à mes côtés. besoin d'assouvir mes envies avec toi. je me sens bien en ta présence. je me sens moi même. « c'est promis bébé ... j'aime entendre ça putain, j'espère que c'est vrai. j'me sens perdu vis à vis de tout ça, j'arrive pas à prendre du recul. je me pose pleins de questions tout le temps mais quand on est à deux, pouf, plus rien » je ne sais pas si 'est ça l'amour. ça me rend aveugle. j'en perds la vue mais ça vaut le coup. putain j'ai tellement pas envie de te perdre. j'ai pas envie de perdre ce qu'on vit tous les deux. je prends ta clope et prends une bouffée. une petite dose de confiance pour me livrer un peu. te dire les choses dans le désordre mais te les dire quand même. comme elles viennent, malgré l'alcool. j'écarquille les yeux légèrement en me rendant compte de ce que je viens de dire. j'ai pas mesuré la portée de mes mots. je prends conscience et m'apprête à parler mais tu me prends de court. tes lèvres se plaquent sur les miennes avec force. je ne m'attendais pas à un baiser aussi passionné. mes bras s'enroulent autour de ton cou. je sens toute la passion dans ton baisé. une vague de chaleur m'envahit. me prend aux trippes. je ressens pleins de choses. des choses que je n'ai pas encore forcément ressenti avant. beaucoup de soulagement en moi. et des émotions pour toi. des sentiments. une multitudes de sentiments qui ne demandent qu'à s'exprimer. à vivre pour la première fois. à la fin du baiser, c'est à ton tour de te livrer à moi. de t'ouvrir et de me dire ce que t'as dans le coeur. et plus tu parles, plus je faiblis. tes mots sont incroyables. je me mets à pleurer sans savoir stopper les larmes. « tu fais chier shipley. on a jamais eu des mots comme ça pour moi, j'ai l'impression d'être complètement bourré et d'être un trip, de rêver tout ça. » je te pince le bras et rigole. « nan c'est bon, tout ça c'est réel. donc si je t'aime et tu m'aimes, ça veut dire qu'on s'aime ? » allez, j'ai encore du mal à croire ça. à réaliser ce qu'il vient de se passer. « PUTAIN CA M'EXCITE DE DINGUE, j'te veux styx. j'veux que fracasse tout sur ton passage et que tu me consumes. j'veux plus que tu m'snobes ou que tu oses songer t'éloigner de moi. t'es foutu avec moi, sache le »
- @Styx Shipley

t’avais pas envie qu’il parte styx, qu’il te parle encore du voisin ou qu’il dise ça à quelqu’un d’autre. c’était maintenant ou jamais, tu l’avais compris en le voyant entrer et la lumière sur son visage quand tout était sorti de ta bouche. il avait besoin de t’entendre comme de te prendre dans ses bras, t’avais aucun doute sur tes sentiments. tu voulais qu’il soit là, le sentir proche de toi. si bien que tu arrivais difficilement à contrôler tes larmes. te retenant de chialer, tu fermas les yeux quand il resta collé à toi. c’était si apaisant de le savoir là, car si t’étais m un peu perdu dernièrement, tu voudrais qu’il soit juste avec toi. t’avais même envie de lui à cet instant et tu te sentis soulagé qu’il partage le même enthousiasme que toi. - c’est vrai ce que tu dis ? que t’es perdu en ce moment ? arlan… t’avais envie de le faire taire mais c’était sans compter sur son envie de te dire les choses. surtout de te déclarer sa flamme. myocarde qui s’emballa aussitôt, ça c’était totalement inattendu. tu sentis un frisson de désir te parcourir. impossible de rester insensible à ces mots là, que t’espérais entendre pour de vrai cette année. styx personne ne les avait sortis pour toi depuis longtemps. t’apprêtant à lui répondre, tu ne réfléchis pas. allas retrouver ses lèvres et dessus, tu laissas exprimer toute la passion qui brûlait pour lui. serpentine qui se mourut dans son palais. baiser qui se prolongea jusqu’à ce que tu sentis tes poumons brûler pour te décoller de lui et lui dire tout ce que t’avais sur le cœur. tout ce que tu pensais de lui. c’était sorti de manière limpide, t’avais cessé de te retenir styx, t’avais rien prévu. ce moment était presque irréel, même le jeune brun n’y était pas insensible. - nan tout va bien, j’crois. t’es pas trop bourré ça va, donc t’as tout bien entendu oui. je disais que tu comptes beaucoup pour moi, je tiens tellement à toi si tu savais et j’veux pas te perdre. tu ris parce qu’il avait tenté de te pincer pour vérifier que tu n’étais pas une hallucination. - est-ce que tu doutes encore qu’il s’agit de moi ? parce que je suis incapable de pas t’aimer si tu m’aimes vraiment. un autre rire te secoua parce que toi non plus tu ne réalisas pas encore tout ce qu’il venait de se passer. - bordel tu me fais rêver arlan. avec toi, j’me sens pas foutu. j’peux rêver de tout, vivre des choses intenses. est-ce que tu le sens là ce feu qui me pousse à te vouloir ? parce que moi oui. et il me consume déjà putain. fais moi perdre la tête. reste avec moi et dis moi combien tu veux pas que… tu grimpas sur le plan de travail pour mieux tirer le brun vers toi et lui voler un autre baiser. - que je m’éloigne de toi … putain, c’est pas ce que tu veux, hein ? tu lui souris avec un petit air provocateur, enlevas ton haut avant d’attaquer au sien.

tu n'imagines pas à quel point je suis perdu. je ne comprends même pas que tu sois surpris que je te le dise. si toi tu arrives à gérer la situation, ce n'est pas forcément mon cas. je savais dans quoi je m'embarquais. je le savais. mais entre le savoir et le vivre, il y a un monde. je pensais être assez fort pour gérer tout ça. pour gérer le fait que tu aimes une autre fille, que tu sois en couple. j'y arrivais par moment, pas tout le temps c'est clair. et le coup de veritas, ça m'a achevé. je suis passé pour un briseur de couple. un gars hypocrite. celui qui prend les mauvaises décisions et qui fait le mal autour de lui. je me déteste pour ça. pour tout ça. mais je suis aussi tiraillé face à tous ces sentiments que j'ai pour toi. des sentiments forts et puissants. des trucs que je n'ai jamais ressenti auparavant. c'est la première fois. et je m'étais fait tout un film autour de cette première fois. de la première personne que j'aimerais. je me voyais déjà dans un truc lisse, romantique et intense. au lieu de ça, je suis entré dans une tornade déjà formée. déjà en train de dégommer tout sur son passage. la chute fait mal mais ta présence répare tout ça. t'avoir près de moi semble tout effacer. j'oublie tout. je ne suis qu'un mec complètement accro à toi, incapable de penser par lui même. et ce baiser qu'on échange ne fait que confirmer tout ça. mes épaules s'abaissent de soulagement. « j'ai quelques doutes mais embrasse moi encore, ça devrait les faire taire » que je lance en rigolant avant de me jeter à tes lèvres pour le même baiser endiablé qu'il y a quelques secondes. je m'abandonne à toi et à ces mots que tu prononces ensuite. je viens me glisser entre tes cuisses lorsque tu t'assois sur le plan de travail. t'es prévenu, je ne vais pas me décoller de toi de toute la nuit. une glue humaine. je t'écoute avec attention. scannant les moindres mots prononcés dans mon esprit. « non c'est pas ce que j'veux et tu le sais enfoiré » mon t-shirt quitte mon corps avant même que je ne réagisse. tu fais pareil avec le tien.



- @Styx Shipley

impossible pour toi de ne pas te réjouir de sa venue. t’étais content de le voir et un peu étonné qu’il te dise qu’il restait perdu. car t’avais pensé être le seul, ta vie était un bordel sans nom, le cœur tiraillé entre deux êtres. qui voudrait être à ta place franchement ? tu ne souhaitais ça à personne, parce que la vérité avait éclaté au grand jour. était-ce le karma qui se retournait contre toi à nouveau ? longtemps tu t’étais tenu loin des problèmes mais tu les attirais tel un aimant. t’avais ce don de tout faire foirer, alors souvent tu t’accrochais aux choses qui te calmaient, pas forcément bonnes. t’ignorais encore dans quelle catégorie il était alors que t’avais grandement envie qu’il devienne ta nouvelle drogue. était-ce une bonne idée de le retenir avec toi styx ? mais ce que tu ressentais avec lui te rendait différent, t’avais aucune pensée négative en sa présence. était-ce la délivrance que t’attendais ? tu pouvais pas bouger, t’arrivais pas à raisonner normalement. pas quand tu cédas à tes pulsions, répondant à son nouveau baiser. - et là ? plus de doute au fait que tu sois maintenant rassuré ? ou c’est toujours pas assez ? tu restas suspendu à ses lèvres, main dans sa nuque pour qu’il se décolle pas. le désir te brûla, impossible de te calmer. tu ne cherchas même pas à repousser l’inévitable.