L'alcool au sein de Harvard est interdit et cela est dans le règlement. D'ailleurs cela ne te ressemble pas de boire. Toi aussi droit dans ta vie, qui ne règle pas les problèmes par l'alcool, mais en réfléchissant et te posant pour pesé le pour et le contre. Mais voilà que cela te trouble depuis bien longtemps et tout cela, ses problèmes que tu portes sur tes épaules tu ne tiens plus.
Tu as acheter des bouteilles que tu as fourrés dans ton sac lorsque tu es entré dans l'enceinte pour passé inaperçu.

La nuit tombe doucement vingt-et-une heure, une heure agréable pour te balader. L'esprit ailleurs, bouteille en main tu marches regardant autour de toi. L'esprit devenant embrouillé, ne sachant plus où il doit aller, ni a qui il doit en parler. Se confesser comme ont dit est quelque chose qui le perturbe. Sa première fois et plus personne au téléphone comme on dit. Il se dit qu'il n'aurait jamais dû faire cela avec lui. Surtout la sécurité de l'évènement de sa mère.
Un voile vient à se mettre devant ses yeux, ce voile humide qui pique sur l'instant, mais il voit faiblement et percute une personne. Il entend la voix qui s'énerve. Dans le choc la bouteille vole, sur le coup il ne sait pas où elle est.

Il essuie ses yeux et vois la bouteille qui a touché les affaires de la jeune femme. Tu paniques voyant cela, puis retire la bouteille, mais ta maladresse vient à vider le contenue sur les affaires. Tu sais qu'elle va être une vraie cocotte. Tu regardes la jeune femme et vois qui elle est. Tu essaye de trouvé quelque chose à dire. Ton haleine qui sent l'alcool. Et pour ceux qui te connaissent à la PFO, savent que tu n'es pas le genre à boire.

Anja excuse-moi, je...J'avais une poussière dans les yeux. Est-ce que tu as quelque chose qui fonctionne encore ou je peux ravoir un de tes cours?

Tu te sens coupable, coupable d'avoir renverser le contenu de la bouteille, de l'avoir bousculer. Coupable de tout et comme les personnes sous alcool non ivre passe pour des personnes horrible face au monde. Tu as envie de pleurer. Pleurer parce que tout cela vient faire boule à tout ce qui se passe dans ta vie.
Tout le monde pense que fils de la mairesse c'est cool et calme, mais il y a un poids énorme. Et tu espères que Véritas ne t'auras pas vu faire cela. Que tu ne sera pas dans le prochain numéro.

Tu regardes Anja, qui ne veut pas que tu viennes la toucher, tu voulais l'aider simplement. Puis tu l'entends dire que ton pied et sur son cahier. Tu le retire. Puis tu viens reprendre la bouteille que tu mets à la poubelle pour te poser sur un banc et fixer le sol. Tes mains serre le banc. Avant qu'elle ne puisse partir, tu la retiens par tes mots. Les mots sont plus fort que les actes souvent.

Je ne suis pas ivre, j'ai encore toute ma tête...J'en avais besoin pour la première fois...S'il te plaît...écoute moi, je me sens perdu depuis que j'ai fais une bêtise lors de l'évènement de ma mère. Et l'avis d'une femme serait la meilleure. Tu sais d'ailleurs que j'ai pas l'habitude de parler de mes problèmes. Si j'en parles c'est que vraiment, j'ai besoin d'aide.

Et oui tu fonctionne ainsi, tu règles tes problèmes toi même. Mais quand ils ne sont pas régler tu vas demander l'avis à quelqu'un ou conseil. C'est la meilleure solution. Mais cette histoire de relation d'un soir avec cet officier, ne cesse de te tourmenter. Cela te tourmente dans le sens que tu cherches à savoir pourquoi tu as été finir dans ses bras.