@Jackson Brennan-Jobs l (23.04) Devant l’ordinateur, je regarde tout ce que le détective privée a pu découvrir sur ton géniteur. Je découvre une photo de lui et la première chose qui me vient à l’esprit c’est que tu as des similitudes avec lui. Je découvre qui il est et où il vit. Je prends aussi conscience que tu vas bientôt t’en aller loin de moi. Je suis pourtant à ton écoute prête à te soutenir au maximum dans l’inconnu. Enfin, toi tu m’as doucement fait comprendre que tu avais besoin de faire ça tout seul. Je sens bien que y a quelque chose qui plane, des indices qui me pousse à croire que tu me dis pas tout. Je ne peux pas l’expliquer, mais c’est comme ci je te sentais t’éloigner de moi doucement. Enfaite c’est même pas un sentiment c’est réel depuis quelques mois déjà. Je croise les bras contre ma poitrine en me redressant et je hoche la tête. — « Tout ça devient vraiment réel hein ? Je ne pensais pas que ça irait aussi vite. » que je lâche doucement en grimaçant. Avant d’ajouter très vite : — « Mais je suis très heureuse pour toi, vraiment. » J’ai toujours voulu que ton bonheur, que tu puisses trouver les réponses à tes questions. Découvrir ce qui t’animes.

@Jackson Brennan-Jobs l (23.04) T’as l’air.. triste. Oui c’est ça. Tu sembles pas aller super bien depuis que je suis arrivée. Maintenant que tu m’as montré tout ça, je pensais que ça irait mieux et enfaite non. C’est quand tu poses les yeux sur moi, que ta main glisse derrière mon genoux que je comprends. Je suis tétanisé, complètement bloqué à te regarder. Je comprends pas ce qui m’arrive. Je te regarde sans vraiment te voire en réalité. Je lutte de toute mes forces pour ne pas laissé mes émotions prendre le dessus. J’essaie de comprendre ce qui te pousse à me quitter maintenant. Tu m’aimes et en même temps tu ne peux pas t’engager avec moi. Il y a encore quelques jours on apprenait les fiançailles de Adrian et Niels. Moi, j’apprends ma rupture avec toi. — « Je... » Je voudrais te détester de nous faire ça, mais le pire c’est que je comprends ce que tu me dis. Ça rend pas les choses plus facile, mais ça a une logique. Ça fait juste mal. Tellement mal. Trop mal pour que j’arrive à contrôler mes larmes. — « C’est toi que j’aime Jackson… le mieux on aurait fini par l’avoir… » Là, je viens juste de m’écraser au sol, le choc est brutal. Je crois que je réalise pas tout simplement, j’essaie de réfléchir à ge que j’ai fais de mal. Il y a rien qui me vient.

@Jackson Brennan-Jobs l (23.04) Alors ça se fini comme ça. Je découvre tout doucement qu’on peut aimer quelqu’un le plus fort du monde, mais ça n’enlève pas le reste autours. Je suis pas une spécialiste, je l’admets. Moi j’en apprenais tout les jours avec toi et j’ai été naïve de croire que l’amour était plus fort que tout. Je réalise combien t’as lancé des signes et que j’ai pas su les voir et les interpréter. Tout devient plus claire et je suis juste brisée. C’est tout un univers qui s’écroule quand on a battit tout un monde auteurs d’une personne. Tu m’as sauvé et j’ai pas réussi à en faire autant pour toi. Tu viens me prendre dans tes bras et je m’accroche à toi comme je peux et de toute mes forces. C’est la dernière fois que je peux le faire ainsi. Je t’écoute silencieusement, je sanglote et tu vas sûrement avoir du maquillage sur ton tee shirt. Tu finis par te redresser et je sais juste pas comment gérer ce qui se passe. Tu le fais parce que tu penses que c’est le mieux, moi je le ressens pas comme ça. Y a juste que le vide qui va suivre cette décision. Je vais devoir réapprendre à vivre sans toi à mes côtés. Mon sommeil ne sera plus le même sans tes bras autours de moi. — « Je comprends... » Les phrases sont courtes, mais là j’ai plus de jambes, plus de mots. J’essaie même pas de te raisonner parce que tu sembles avoir réfléchie à la situation. Je veux pas faire la fille qui s’accroche et supplie c’est pas nous ça. — « M’en veux pas Jackson, mais je vais avoir besoin de temps avec de jouer ton amie.. Je te lâche pas pour ton géniteur tout ça et je serais là pour le groupe.. mais juste que tu sois là tout près et que ce soit fini je vais avoir besoin de temps.. » Je sais la promesse qu’on a fait aux autres et je vais la tenir du mieux que je pourrais.

@Jackson Brennan-Jobs l (23.04) Sans doute que te détester aurait été plus facile, mais ça n’aurait rien changé. Je t’aime et je t’ai dans la peau. Tu m’as rendue heureuse ces sept derniers mois et je ne peux pas balayer tout ça d’un revers de la main. Je pensais pas que tu finirais par me briser le coeur, mais c’est arrivé. Ça fait mal, je me sens stupide d’y avoir cru cette fois ci. Bien sûr j’ai vu que c’était compliqué dernièrement, mais j’avais la volonté de tenir bon jusqu’à ce que tu saches enfin qui tu étais. Faut croire qu’une fois de plus, je suis plus égoïste que toi. Je ne veux pas que tu finisses malheureux alors je me contente de pleurer là, dans tes bras. Tu essuies mes larmes, mais d’autres viennent très vite prendre leur place. Je te regarde et l’ai juste envie de t’embrasser, de te garder contre moi. De mettre pause et éviter les heures qui vont suivre. Pouvoir avoir une seconde chance. Revenir en arrière et espérer une autre alternative. Seulement, on est dans le monde réel. Je glisse mes mains sur tes joues à mon tour et je colle mon front contre le sien. — « Je t’aime tellement Jackson.. » Je veux juste que tu le saches, que même si t’es entrain de me quitter c’est à toi que je suis. Je ne peux pas trouver le bonheur ailleurs quand je l’ai déjà sous les yeux. Je vais juste devoir apprendre à laisser tout ça au fond de moi. — « Je sais.. mais ça fait quand même mal.. » Je te regarde dans les yeux. Je m’imprègne de ton sourire, de ton visage. Je veux juste le garder sceller et me le passer en boucle chaque fois que ça sera trop difficile.

@Jackson Brennan-Jobs l (23.04) Je pensais pas que ça pourrait arrivé. Je crois que j’ai pas su voir les signaux d’alarmes, parce que j’ai pas pensé une seule seconde qu’on pouvait se séparer d’une personne quand on l’aime. Là dans tes bras, tu me le répètes encore que tu m’aimes et ça rend tout ça encore plus difficile. Tu me quittes alors que tu es toujours amoureux de moi. Je ressens de la frustration et un peu de colère. Je suis en colère contre moi, plus que contre toi, parce que j’avais commencé à me projeter. J’avais même imaginé nos enfants plus tard. Une vie de famille, une vrai par comme la mienne qui a toujours été dysfonctionnelle. Je m’en veux d’avoir cru que tu étais l’homme de ma vie quand aujourd’hui tu me dis que tu ne peux pas t’engager avec moi. Je me repasse le fil de ces sept mois et je cherche ce qui a pu faire changer les choses. Est-ce que l’amour ça ne dure que pendant la phase de lune de miel ? Je ne sais même pas quoi dire, j’ai pas les mots pour te raisonner et puis dans ton regard je vois bien que t’as l’air sûr de toi je te connais. Je sais pas comment je suis censée avancer ensuite, comment je peux me remettre de ça alors que peut être tu vas finir par perdre les sentiments que tu as pour moi. La tout de suite, je me dis que je peux t’attendre l’éternité s’il faut. Je me dis que je peux envisager cette rupture comme la période où tu vas partir. Une pause. Oui, mon cerveau refuse d’envisager la rupture. Et il y a tes lèvres qui viennent sur les miennes. Ma main qui glisse sur ta joue et je prolonge tendrement. Un dernier baiser pleins d’amour et de tendresse. Un dernier baiser auxquels je m’accroche en glissant ma main dans ta nuque. Je veux pas que ça s’arrête et pourtant c’est la fin de nous.