need you for better and for worse

@Sierra Vasquez

vous scellez une promesse qui semble bien plus importante que beaucoup d’autres pourraient l’être. la promesse de s’aider, de se tendre la main, et de ne plus refuser lorsqu’elle vous est tendue. entendre son rire te redonne le sourire. l’étincelle de ta joie de vivre. ouais, j’suis d’accord tu lui rend sons sourire, content que cette histoire se finisse ainsi. même si tu mets toute ta vie à me rembourser, c’est bien le dernier de mes soucis. un dollar par mois ça m’va tu dis ça tout en sachant qu’elle ne fera pas ça, qu’elle continuera à s’acharner, peut être un peu moins, au travail. que sa fierté est plus importante que tout. mais tu sais que l’argent, c’est à toi qu’elle le devra, et pas à une banque qui en plus prend des intérêts. pas de pression, pas d’intérêt, juste une main tendue parce que tu le peux. que t’es pas le genre à vouloir crever avec de l’argent dans ta tombe. ce bar la rend heureuse et t’es heureux lorsqu’elle l’est. t’as abandonné son étreinte pour aller ouvrir ton chéquier et la voilà qui te rattrape en te riant au nez. c’est ça fou toi de moi ! on peut faire ça, mais t’as plus le droit de refuser maintenant. les doigts entrelacés au sien, ton regard accroche le sien. t’as envie d’être taquin avec elle maintenant que l’orage est passé. et rien de mieux que la question qui suit pour l’embêter. tu lâches ses mains, lui donne une tape aux fesses et tu repars vers la cuisine pour finir le verre d’eau que tu avais laissé sur le bar. seulement si tu m’laisse t’offrir une bague à cinq ans milles tu rigoles et t’accoudes au bar en attendant sa réaction.

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@Sierra Vasquez

j'hausse les sourcils quand tu me dis que t'es d'accord. wow, alors ça ressemble à ça quand on résout un conflit rapidement et en communicant ? c'est pas mal je dois bien l'avouer, j'aime bien la sensation que ça procure. réaction qui m'arrache encore une fois un sourire. je fais que ça non depuis quelques minutes ? te sourire encore et encore. tu sais très bien que ça ne sera pas un dollar par mois. je vais essayer de calculer pour te virer un montant fixe. sans pour autant courir après des heures supp comme ce dernier mois. autrement dit ça me prendra surement un an ou deux mais je vais tâcher de faire en sorte que ça n'impacte pas notre relation. que ce soit avec le boulot ou même mes heures au donovan's. si j'ai appris une chose de ma relation échouée avec Alec, c'est que je peux parfois avoir tellement le nez dans le boulot que je ne m'aperçois pas que je le fais beaucoup trop passer avant le reste et que je dois aussi entretenir ma relation. notre relation. faire attention à toi. quand bien même tu sois un grand garçon et que je n'ai pas besoin de te couver. je veux faire les choses bien, je veux qu'on soit heureux. parce que je sais qu'ensemble, on peut l'être, vraiment. c'est ce que je fais. je me moque ouvertement de toi là. papy. je ris. promis je ne reviendrais pas sur ma décision j'accepte. sincèrement et réellement que tu me viennes en aide. c'est un sacré pas que je fais. et tu le sais. nos doigts entrelacés, mes yeux accrochés aux tiens, mon sourire qui ne s'efface pas, je suis vraiment bien là. tu me mets une petite tape aux fesses avant de retourner en direction de la cuisine et je te suis à nouveau. nope. milles maximum et c'est déjà clairement énorme j'attrape le verre que tu as terminé et je le pose dans l'évier pour que ton attention ne soit que sur moi encore une fois. t'as pas répondu à la question. je fais une pause. Ilan Natanael Vanderbilt. est-ce que tu veux m'épouser ? un jour. dans un an, dans deux. je m'en fous du temps que ça prendra. mais cette demande, c'est pas une demande en l'air. c'est la promesse d'un avenir qu'on fonde à deux. et j'ai pas besoin d'une demande dans un restaurant chic, avec un genou à terre et plein de romantisme.

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@Sierra Vasquez

surpris de la vitesse à laquelle ce conflit se résout rapidement. surpris qu'elle accepte si vite ta main tendu. c'était juste ça la solution? il suffisait de lui dire que toi tu t'étais plié à ses volontés, que t'avais attrapé son aide? simplement lui faire comprendre que seule elle n'était rien mais qu'à deux, vous étiez bien plus fort. t'aurais pas pensé qu'elle flancherait malgré tout. donnes moi ce que tu veux. et si un mois, deux mois, ou plus, tu peux pas, je t'en voudrais pas, ok ? pas un quelques dollars prêts. l'envie seulement qu'elle ne soit plus dans cet état. t'as pas envie de passer à côte de vous, une deuxième fois, parce que vous êtes chacun plongés dans vos problématiques. si il y a une chose que vous partagez, c'est l'amour de votre travail. tu la comprends, quand elle se donne à fond, quand elle arrive pas à décrocher. qu'elle pense qu'à ça, parle que de ça. t'es le même. la seule différence, c'est que t'accortes peut être une place un peu plus importante à ta vie privée. tu veux pas la laisser de côté, t'es déjà pas capable de l'oublier le temps d'une journée.
tu t'éloignes d'elle et comme un boomerang, elle est de retour auprès de toi. des aimants. des amants. un sourire en coin qui se dessine sur ton visage. tu passes ta main dans tes cheveux et tu soupires. je t'offrirais ce que je veux, le prix n'est même pas la question finalement oui parce que disons le, elle ne pourra pas refuser un cadeau. surtout si le cadeau en question est une bague. la main posée sur ta côte droite, encore quelque fois douloureuse, t'es interpellé par la question de la brune qui s'affairait deux secondes avant, à ranger derrière toi. un rire qui se dérobe. tu sens que le sujet lui tiens vraiment à coeur quand bien même vous n'en n'avez jamais parlé de vive voix. le voilà le moment. le moment où elle est clairement entrain de te demander en mariage. t'aurais pas pensé que ça se ferait comme ça. c'est ton côté un peu matchiste. mais c'est sierra et avec elle, rien n'est jamais vraiment dans les clous. après tout, elle a été élevé par bonnie et hamilton, deux personnes qui ne sont pas les plus dans les clous qu'ils soient. on la refait, attends et tu t'éclipse en la laissant seule dans la cuisine. à la recherche d'un objet précieux, que t'as récupéré y'a pas si longtemps. de retour, elle n'a pas bougé, t'as les mains dans le dos, pour cacher ce que tu tiens. si le cœur t'en dis, vasquez, j'aimerais bien que tu sois ma femme tu l'as dis. putain. tu sais pas dans quoi tu t'embarques, mais t'en a envie. qu'elle soit liée à toi pour la vie, que tu sois lié à elle jusqu'à la fin de tes jours. de derrière ton dos, tu sors un écrin que tu lui donnes. à l'intérieur, une jolie bague, fine et discrète qui a plus une valeur de cœur qu'une valeur financière. bon, si elle te plait pas, on ira en chercher une ensemble. c'est celle de mon arrière grand-mère. ma grand-mère me l'a donné à noël. parce qu'elle savait, mamie vanderbilt, que sierra c'était la perle qu'il te fallait. pas commun comme demande en mariage. très solennel, très.. protocole policier. quelque chose d'assez indélicat, comme toi. mais bourré d'amour et de sentiments dont tu débordes pour elle.

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@Sierra Vasquez

c'est pourtant logique. on apprend à l'école de police que la communication clair et distinct est importante. la négociation est une part majoritaire de la résolution d'un conflit. et si on arrive à le faire avec des victimes, avec des suspects, pourquoi on arriverait pas à le faire entre nous ? ce soir j'ai pris la décision d'entendre ce que tu avais à dire, de l'écrire autant de fois qu'il le faudrait pour comprendre ton point de vu et voir les choses sous un autre angle. résultat j'ai compris ce que tu voulais me dire et j'ai décidé, tout comme tu l'avais fait, d'abaisser mes barrières et d'attraper la main que tu me tendais. parce que tu as raison, à deux, on est beaucoup plus fort. c'est d'accord. même si tu sais parfaitement que je vais faire en sorte de te rembourser tout les mois. mais c'est terminé les horaires scandaleux, les gardes acceptés tout les week-end, les services à répétition au Donovan's. à ce moment je me fais la promesse de prendre le temps qu'il faudra mais surtout de profiter de partager ma vie avec l'homme incroyable que tu es. tu repars dans la cuisine et je te suis à nouveau. maintenant que les choses sont réglés entre nous, je veux cette proximité qu'on ne peut refouler. comme des aimants, on s'attire de manière inexplicable. tout ton toi m'appelle. quand les tensions s'apaisent, c'est comme si jamais besoin que recharger les batteries et la seule façon que j'ai trouvé c'est de me lover dans tes bras, d'effleurer ta peau de la pulpe de mes doigts, caresser ton derme et sentir chaque cellule de ta peau contre la mienne. la seule chose que je veux.. c'est toi que je clame, plantant mon regard dans le tien. rien de plus. toi, tout entier. ton corps, ton âme, ton coeur. je te veux avec tes bosses et tes creux, toutes ces petites manies qui peuvent m'agacer et toutes les qualités qui font de toi l'homme que j'aime. alors ça coule de source. la question qui suit n'est que le prolongement de tout ce qu'on s'évertue à construire main dans la main. et je la pose. LA question. celle que je n'avais jamais posé auparavant. mais pour toi, je ferais tout à l'envers, tant qu'à la fin on termine ensemble. je te vois tiquer un peu et je te connais assez pour savoir que t'as besoin que ce soit toi. on fonctionne différemment alors t'es pas étonné que ce soit moi qui de te demande en mariage, mais t'as besoin qu'au final, ce soit ta demande. je souris en te voyant partir en vitesse dans le couloir. évite de déboulonner un truc du lavabo pour faire une bague. je préfère avoir une bague en aluminium que de me taper une fuite d'eau que je lâche en rigolant. tu reviens quelques secondes après, les mains dans le dos et moi je souris toujours autant. j'ai pas le temps de répondre que tu me présente un petit écrin bleu. je fronce les sourcils et quand je l'ouvre c'est le choc. je reconnais immédiatement, c'est la bague que portait ton arrière grand mère sur les photos de famille de chez tes parents. un magnifique solitaire carré, un bijou incroyable qu'on ne peux pas ne pas aimer. j'en reste sans voix, encore plus pendant tes explications. si ta grand mère te la donné à noël quand on était ensemble à NY, c'est qu'elle sentait que j'étais la bonne pour toi. et c'est exactement ce dont j'avais besoin. ridicule moment quand j'y penserais plus tard. parce que pour le moment la Sierra forte et sauvage à la fois à laissé place à la jeune femme sensible dont le palpitant bat pour toi. j'hoche la tête à la positive, pinçant mes lèvres pour essayer de retenir toute mon émotion. échec de la mission. soldat Vasquez à terre. les larmes dévalent mes joues à une allure folle alors que la bague vient parfaitement s'installer sur mon annulaire droit. je t'aime Ilan. plus que tout au monde. mes mains qui viennent se poser contre tes joues alors que mes lèvres se posent sur les tiennes, pour sceller notre avenir.

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@Sierra Vasquez

depuis que vous vous êtes remis ensemble, il n’y a sûrement pas une journée qui s’est écoulée où tu ne t’es pas senti bien. absolument tous les jours passés à ses côtés sont une source de bonheur. vous avez beau vous déchirer, pour des trucs à la con, très souvent, tu l’aimes plus que n’importe qui. dur à avouer, mais peut-être plus que ta famille. la preuve, lorsque vous étiez séparés, ton monde s’est écroulé. t’as jamais vécu vraiment sans ta famille, mais elle, c’est ta famille aussi. alors c’était une évidence la question qu’elle te posait. t’avais le sourire aux lèvres. déjà parce que t’avais gagné une petite bataille en la faisant accepter que tu lui prêtes de l’argent; mais aussi parce que l’idée qu’elle te demande en mariage te faisait rire. ça lui allait si bien. t’étais aucunement étonné qu’elle fasse ça. mais tu préférais renverser la tendance et lui mettre la bague de ton arrière grand mère au doigt. elle se met à pleurer. rares sont les fois où tu vois les larmes de sierra. t’as un petit sourire, heureux de comprendre que c’est un oui. tu l’enlaces et la rapproche de toi alors qu’elle saisit ton visage entre ses mains pour venir t’embrasser. t’en penses quoi alors de ce boulon? dis-tu fièrement oubliant de répondre à sa déclaration d’amour et pressé surtout de faire ta blague pourrie. tu te décales de son corps, attrape sa main et d’un geste, tu l’incites à tourner sur elle même. j’aurais pas rêvé mieux que toi dans cette tenue pour te passer la bague au doigt et le pire, c’est que c’est loin d’être ironique. elle est belle sierra, dans toutes les tenues du monde. mais ce que tu préfères chez elle, c’est quand elle est naturelle. peut être que cette dispute aura été bénéfique. peut-être qu’il fallait arriver à un stade où vos désaccords étaient trop importants pour enfin vous parlez. pour enfin crier au monde que votre amour était plus fort que tout. t’es prêt à tout pour elle, et t’es même pas sûr qu’elle en ait conscience.

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@Ilan Vanderbilt

je pensais pourtant qu'Alec pourrait être le bon. quand je réfléchis maintenant, la seule chose réconfortante que j'ai trouvé chez lui au moment où j'étais le plus mal dans ma vie c'est qu'il n'était pas alcoolique. il est tellement différent de toi que je pense qu'il a été comme le pansement qui a tenté de me guérir de toi. alors oui je l'ai aimé. mais quand je vois ce que je ressens pour toi à cet instant, je me rends compte que c'était rien comparé à tout l'amour que j'ai pour toi. tu es probablement l'homme de ma vie et cette fois je n'ai pas envie d'abandonner, de prendre le risque de te perdre. je vais tout faire pour t'aider avec ton addiction, j'ai les épaules pour.  je l'adore ce boulon. c'est le plus beau que j'ai jamais vu, je veux plus jamais le quitter. un peu comme toi au final. je souris, tente de sécher mes larmes. ta main glisse dans la mienne, tu me fais tourner une fois, et puis j'en demande une seconde. j'aime cette légèreté qui se saisit de nous.  j'aurais même pas voulu être dans une robe bien habillée dans un resto. au moins c'est nous là tout est authentique, rien n'est forcé. et c'est ce que j'aime le plus chez nous. c'est qu'on est une évidence.  on est d'accord qu'on prend notre temps ? qu'on est pas obligé de se marier dans un an ? je viens à peine de divorcer, j'ai envie de souffler un peu et puis même si je sais que t'es le bon, j'ai envie de prendre mon temps.  hey.. tu penses quoi du fait que ce soit l'homme qui prenne le nom de famille de sa femme ? je pose la question comme ça hein, même si tu peux voir très rapidement un petit sourire naitre au coin de mes lèvre.

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@Sierra Vasquez

t'es en train de prendre nouveau tournant. un tournant qui t'as déjà de nombreuses fois effleurer l'esprit. sierra, tu t'es toujours vu finir ta vie avec. mais jusqu'il y a quelques mois, les événements n'avaient pas vraiment été en ta faveur. elle passait d'une séparation à un mariage.. mais pas avec toi. spectateur de sa vie. jalousie maladive. tu t'étais éloigné, réfugié dans le travail et l'alcool. il ne n'était rien arrivé de mieux qu'elle et l'avoir de nouveau à tes côtés t'apaisait tellement. plus de crainte mais juste des certitudes. — le quitte plus jamais à la fois un ordre et une manière de se rassurer. de penser qu'elle serait toujours là avec toi et que tu serais toujours là avec elle. sourire aux lèvres, tu deviens amusé par ses larmes qu'elle tente de sécher. tournoyant sur elle même, une fois, puis deux, tu viens lui essuyer les joues humides. y'a rien de mieux que t'es dans cette tenue.. tu plisses les yeux avant de reprendre tes propos. si y'a mieux petit éclat de rire alors que tu sous entends que tu préfères évidement la découvrir en tenue d'eve. on prends notre temps. répètes-tu pour acquiescer. t'es loin d'être pressé. tu pensais déjà pas que vous en seriez là, maintenant, alors oui, le mariage ne sera pas pour de suite. t'as d'autres projets et tu sais bien qu'elle aussi. j'en pense que c'est non et tu te mets à rire. t'es peut être conditionné aux visions archaïques du mariage, mais ça t'en démordra pas. bon j'suis pas contre que tu gardes ton nom, ou que tu aies les deux par contre mais toi, tu prendras pas le sien, c'est clair et net.

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@Ilan Vanderbilt

n'importe qui se dirait que ça va trop vite. que c'est pas une bonne idée de dire oui alors que je viens de divorcer. seulement toi et moi on est pas n'importe qui. on sait pertinemment qu'on est fait l'un pour l'autre. alors ce serait juste une question de temps. ça allait forcément finir par arriver puisque toi et moi c'est pour la vie. et puis on peut prendre notre temps. les traditions de se marier un an après la demande c'est pour les vieux. nous on est moderne. sauf pour le moment où t'apprécie pas tellement ma demande et que tu préfères la faire parce que "c'est à l'homme de le faire". ça me fait rire, je t'en tiens même pas rigueur. surtout quand tu m'offres la bague de ton arrière grand mère. plus jamais que je dis, le regard plongé dans le tiens. je n'arrive pas à regarder ailleurs. t'es la chose la plus précieuse à mes yeux, t'es la plus belle aussi. j'ai pas envie de regarder ailleurs, j'ai envie de me lier à toi sans jamais faire marche arrière. les larmes de joie qui dévalent mes joues alors que je tourne sur moi-même avant que tu ne viennes essuyer mes joues. ah ouais ? genre ... ça ? que je dis en déboutonnant deux boutons de ma chemise, laissant apparaitre la dentelle de mon soutiens gorge. mais très vite je grimace, même si c'est plus une mou qu'un réel désaccord.quoi Ilan Vasquez ça te plait pas ? que je demande en rigolant. je sais pas ce que je veux faire encore pour l'instant. j'ai plus envie d'appartenir civilement à quelqu'un, le passage Sierra Brekker m'a vacciné. mais coupler nos noms pourquoi pas. mais pour le boulot ce ne sera pas pratique. au final on a le temps.