searchin' our hearts for so long, both of us knowing, love is a battlefield, we're losing control, will you turn me away or touch me deep inside ?

MEILLEUR DES PIRES COUPLES:

tw : cicatrices, violence, agression. Matian ne semble pas s'offusquer de ta curiosité, au contraire même, puisque le voici qui soulève son haut une nouvelle fois pour te donner de vague explications. Comme pour t'autoriser a les regarder et le questionner. Toi, tu suis le tracé de son doigts sur la marque blanche de tes yeux, te rapprochant même légèrement physiquement pour la voir sous un autre angle. Poussé par la curiosité, celle de savoir quel danger il a bien pu affronter pour se retrouver avec ce genre de cicatrices, tu ouvre la bouche sans oser rien dire lorsqu'il avoue avoir était victime d'un coup de couteau. Tu tends la main puis la laisse en suspens au dessus de la cicatrice, peau effleurant à peine la sienne. Tu te sens captivé, empathique pour ce qu'il a vécu, quoi que se soit. Tu ne peux t'empêcher de faire un parallèle avec ta expérience ; cette cicatrice au genoux après ton agression. Les images qui menacent de revenir à tout moment, qui t'empêchent encore parfois de dormir et toi, qui n'as pas l'assurance de Mat pour dévoiler tes marques. Si tu connaissais Matian sous un angle professionnel, il semble qu'il ait beaucoup de choses à t'apprendre sur lui, et tu à hâte de creuser un peu plus sur ce point. Non pas par curiosité malsaine, mais parce que tu souhaite vraiment apprendre a le connaître et il semblerait que ce moment vous rapproche. Matian te surprendra sur bien des choses, tu peux déjà en être certaine. Il s'approche de toi et t'offre ses bras, barrière rassurante contre le froid. Il te frictionne avec douceur et tu souris, heureuse de constater que malgré l'affolement dans ta cage thoracique, tu te sens plutôt bien ton corps quasiment collé au sien profitant de sa chaleur corporelle. Tu lèves la tête pour pouvoir l'observer lorsqu'il parle, lui qui te dépasse de plusieurs centimètres, te trouve surprise de l'observer d'aussi près, constatant pour la première fois l'angle de sa mâchoire carré, l'épaisseur de sa barbe, le grain de beauté perdu tout proche de sa bouche. Tu le détail et ce que tu vois te plaît beaucoup. Il se passe quelque chose entre vous depuis votre arrivé au domaine et tu t'en sens profondément heureuse. Vous vous révélez complices, surement galvanisés par l'ambiance de l'endroit et tu te laisse aller, ta tête contre son torse, ouvrant tes propres bras pour les fixer dans son dos. L'étreinte est agréable et tu sens ton ventre papillonner légèrement lorsque l'odeur de son parfum arrivé jusqu'à toi. Il est le premier a rompre le silence et tu t'ecartes alors légèrement de lui, ta main heurtant son buste pour une légère tape complice avant de prendre une mine faussement offusqué et de rétorquer : "- comment ose-tu ! le grain de riz il court plutôt vite. Et c'est pas moi qui risque de tomber d'un rien, si tu vois ce que je veux dire" tu rigoles légèrement, référence à cette soirée bowling où il était tombé, sans doute du à sa consommation un peu trop importante d'alcool ce soir là. De nouveau tes doigts viennent attraper les siens encore humide par votre chute dans l'eau et tu reprend une voix plus douce avant d'ajouter : "- j'ai juste besoin d'aller me changer, et peut être aussi de manger"

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MEILLEUR DES PIRES COUPLES:

Calée contre son torse, profitant de sa chaleur corporel et de l'odeur de son parfum, tu te trouves presque manquant d'air, au bord de l'asphyxie, lorsqu'il rompt votre étreinte pour se diriger vers la cabane qui servira de maison pour le week end. Tes doigts ne quittent plus les siens, présence rassurante de ce séjour loin de chez vous, lui devenu bien plus qu'un patron. Ce second date est bien différent du premier et même si tu ne sais pas encore ce vers quoi ça va se diriger, tu peux déjà sentir une certaine complicité, une alchimie entre vous. ça te plais au point d'avoir les joues qui se teintent de rose, alors que tu tourne légèrement le regard vers lui et sa carrure durant le trajet. Il est le premier à rompre le silence, abordant de nouveau ses cicatrices. La maisonnette se tient face à vous et tu prend le temps, sur le palier, de te tourner vers lui. "- ni l'un ni l'autre, enfaite" que tu répliques, sourcils qui se froncent légèrement avant de reprendre : "- je n'aime pas être malpolie et je pensais que ça t'aurais mis mal à l'aise d'en parler. Si c'est pas le cas et que tu acceptes d'en discuter, je veux bien tout savoir évidement. Je veux juste que ce soit ok pour toi" t'as appris à respecter les limites des gens et malgré ta curiosité et ton irrépressible envie de revoir les marques, les effleurer, comprendre tout leur sens et le passé de Matian, tu préfères qu'il t'en donne l'accords ouvertement. Ta main quitte la sienne pour ouvrir le bungalow et tu soupires de soulagement en retrouvant l'endroit chauffer et ton sac de vêtements sec. " - je préviens, je passe la première dans la salle de bain" et tu sautes presque littéralement sur ton sac pour le porter jusqu'à la salle d'eau et retourner te faire une beauté sans même prendre le temps de lui demander son avis, encore moins de constater sa réaction. Porte poussé, un simple jour permet de garder un contact auditif avec le garçon alors que tu te défait, avec une certaine hâte, de tes vêtements trempés. Tu te faufile dans la douche, l'odeur de vase bien trop collante sur ta peau et dans tes cheveux bruns. " - tu veux aller manger après ça ?" que tu lui demande après avoir pris soin de couper l'eau pour te savonner. Entretenir une discussion avec lui alors qu'il se trouve dans la pièce d'à côté et que tu es totalement nue ne te perturbes pas plus que ça bizarrement. Il pourrait rentrer, percer ta confiance et ton intimité, mais tu n'y avais pas pensé une seule seconde. D'ordinaire, tu te trouves être plutôt méfiante avec le reste du monde,  avec lui tu peux déjà avoir la quasi certitude qu'il ne fera jamais quoi que ce soit pour te manquer de respect. Un dernier jet d'eau chaude sur le corps et voilà que tu ressors de la douche, enfilant un des peignoirs blanc laissés à disposition. Tes yeux croisent ton reflet dans le miroir et tu souris bêtement ; heureuse. " - je ne sais pas si tu te sens prêts à retenter le coup, mais ils proposent également des balades en calèches si ça te dis ?! ça sera surement plus safe que sur le cygne ?" main accompagnée d'une serviette qui vient se balader dans tes cheveux, l'odeur de vanille de ton gel douche vient enivré toute la pièce et tu reporte ton attention sur Matian, cicatrices de nouveau dévoilées alors qu'il semble avoir profité de ton absence pour se délester de ses vêtements trempés lui aussi. "- celle la ?" tu demandes timidement, désignant une autres marques blanches sur sa hanche alors que tu t'avance doucement de lui. Coeur qui bat la chamade, yeux qui se baladent sur son torse et les contours de ses muscles, main qui lâche la serviette et vient se poser sur la marque alors que tu plonge tes yeux dans les siens, prête à l'entendre se dévoiler. Prête à être celle qui le comprrends.