Le dimanche 13 novembre 2022

Toi qui pensais à une journée chill aujourd'hui, c'était sans compter le message de veritas t'affichant sur les réseau sociaux. Le soucis n'était pas de voir la liste des filles que le mec qui te plait se tappe, mais plutôt de voir ton prénom et ton nom affiché sur un site en ligne. T'avais réalisé tout de suite ce que cela signifiait parce que depuis des mois tu fais gaffes à ne pas publier ton visage, à utiliser un faux prénom, raison même qui t'a foutu dans la merde avec l'Espagnol. Mais là, le soucis, c'est que tu te doutes bien que ton père est à ta recherche. William te couvrait pour faire croire que t'étais pas là, pareil pour Perceval et Rosie aucun n'était supposé t'avoir vu, ni avoir eu de tes nouvelles depuis ton départ d'Amsterdam en juin dernier. Alors oui, rapidement t'avais contacter ses trois personnes pour les prévenir. Perceval t'avait d'ailleurs proposer de passer avec Rosie pour parler de tout cela. Tu t'étais donc rapidement apprêté pour débarqué dans leurs immeubles, l'avantage de les avoirs tout les deux voisins l'un de l'autre. Frappant à la porte de Rosie, le visage probablement un peu blême, tu l'attends un peu avant d'aller frapper à la porte de Perceval pour pouvoir réaliser votre petite réunion de crise parce que tu sais pas quand ton père pourrait débarquer maintenant...

@Rosie Reynolds @Perceval Hoffmann

Alors que je pensais passer une journée chill à l’appartement avec un peu d’entraide à venir pour le soir même envers des personnes qui le méritent, malgré tout une nouvelle me sortit de cette bulle dans laquelle j’étais si bien. Le père de Lex allait sûrement débarquer à Boston pour l’a récupéré coûte que coûte afin qu’elle revienne auprès de lui. Je me demande bien qui a pu lui dévoiler cette information alors qu’elle était bien à Boston auprès de personnes qu’elle aime/apprécie. Je finissais de me préparer vite fait quand Lex frappa à ma porte, j’en profita pour l’a serrer dans mes bras rapidement avant d’aller une veste et d’aller enfin chez Perceval pour une réunion de crise d’urgence familiale. Pour moi, il est hors de question que Lex reparte de force surtout qu’elle épanouit ici et se sent bien également.

Journée qui s'avérait tranquille, jusqu'à ce que les alarmes ne se mettent à sonner. N'ayant pas pour habitude de lire ce que peut bien écrire cette appli à pottins qui étend sa toile sur la ville, tu sais tout de même reconnaître que ce qui s'y dit peut causer plus d'un drame. Et c'est bien le cas aujourd'hui pour ta cousine. La simple mention de son nom dans ce genre d'article laisse suspendre la menace de voir son père rappliquer, alors qu'elle t'a demandé, il y a des mois, de ne rien dire de sa présence ici. Si tu n'as pas encore toutes les pièces du puzzle pour comprendre toute la peur que ça peut engendrer chez Lex, tu en as tout de même assez pour savoir que tu ne laisseras pas ton oncle s'approcher d'elle. Et encore moins la ramener contre son gré.

Lui ayant proposé de venir te rejoindre chez toi, espérant qu'elle s'y sente en sécurité, tu déposes à peine l'eau à bouillir pour faire du thé que des coups se font entendre contre le battant. Ouvrant la porte, tu clignes un instant des yeux en voyant les deux blondinettes, avant que l'un de tes sourires calmes n'étire tes lèvres.

- Miss Rosie, la salues-tu, t'effaçant pour les laisser entrer. Passant tes doigts dans la chevelure de ta cousine, marque affectueuse que tu souhaites rassurante, tu souffles également à son attention : tout ira bien, ne t'en fais pas.

• @Lex Reynolds & @Rosie Reynolds

Tu profites bien volontiers de l'étreinte de ta cousine paternel, parce que t'es pas bien, que tes pensées vont dans tout les sens et ce même si Perceval a déjà tenté de te calmer en te faisant comprendre que ton père ne pourrait pas te faire rentrer facilement, parce qu'il s'y opposerait... Mais tu doutes fortement de cela, tu ne peux pas t'en empêcher, faut dire que ton père est du genre à toujours avoir ce qu'il désire... Comme quoi les chiens ne font pas des chats car t'es pas mal dans le genre non plus. Rosie a ta suite, vous arrivez devant la porte de ton cousin maternel. Il vient d'ailleurs rapidement vous acceuillir, une légère caresse dans ta chevelure au passage, tu voudrais juste pouvoir profiter de la gentillesse de ces deux membres de ta famille sans avoir cette boule aux ventres. "Je suis dans la merde." Lances-tu alors pour lancer la conversation avant de rapidement te corriger. "On est dans la merde." Parce que tu le sais que ton père ne se privera pas de faire une remarque à tes deux aînés pour avoir dissimulé pendant de long mois ta présence ici...