Hier soir, j'ai passé une belle soirée avec Corban. ça m'a fait du bien. Mais au petit matin, je me suis envolée pour aller me balader un peu dans les marchés d'Essaouira. A part une petite tenue traditionnelle qui me faisait de l'oeil, je n'ai rien trouvé qui me botte vraiment. Sous la chaleur, je vide ma gourde très rapidement et j'ai la faim qui commence à me titiller. Lorsque l'heure du repas arrive, je m'arrête dans un petit restaurant vraiment sympathique et je suis vraiment bien accueillie. Par chance, je peux m'asseoir à une table et je passe commande quelques minutes plus tard. Je joue avec ma serviette en me demandant ce que je pourrais faire d'ici ce soir où je retrouverais mon ami. Je joue avec mon téléphone ensuite, en voyant quelques messages jusqu'à ce que je me rende compte que le restaurant commence à être un peu plus bondé. j'ai eu de la chance ! Je reçois mon plat et commence à picorer dedans quand un couple arrive. L'homme de l'accueil leur dit qu'il n'a plus de table et scrute le restaurant. Je regarde autour de moi et je me sens un peu gênée car moi j'ai une place en face de moi. C'est alors que mon regard se pose sur la table de @M. Ezekiel Emerson. L'homme est seul aussi à sa table. J'échange un regard avec lui, je bouge mes lèvres en mode * Vous êtes seul ? *. Question toute naturelle pour arranger tout le monde. Je sens bien qu'ils semblent déçus.

Pourquoi priver ce couple d'un bon repas alors qu'on peut arranger les choses de cette manière ? Lorsque l'homme comprend mon attention, les choses se déroulent rapidement. Je ne suis qu'une simple spectatrice de ce ballet de chaises et de tables. Alors que le serveur nous remercie allègrement, ainsi que le couple, mon regard se pose sur l'homme qui finit pas s'installer en face de moi. - Evidemment. Je me redresse sur ma chaise, me surprenant d'avoir eu la chance d'attirer l'attention d'un bel homme. Le karma est gentil avec moi aujourd'hui. Contrairement à lui, je suis déjà servie. Je glisse lentement mon doigt sur le haut du menu pour attirer son attention. Il est possible que j'adopte une attitude séductrice, mais douce. Que je creuse mon dos pour mettre en valeur ma poitrine. - Si vous voulez, je peux partager mon plat avec vous. Et comme ça, on partagera aussi le prochain. C'est vous qui choisirez cette fois. autant allier l'utile à l'agréable, non ? Et puis, bien que je n'avais pas chercher à le séduire par cette situation, je compte bien en profiter tout de même. Je pose une deuxième cuillère à soupe devant lui tandis que je prends la mienne pour me servir d'une première bouchée. - Bon appétit ! Les épices fusent sur ma langue et mon palais. J'émets un petit râle de plaisir. Je termine ma bouchée. - C'est vraiment délicieux. Mon regard s'ancre dans celui de l'inconnu, jouant avec ma cuillère dans ma bouche. C'est alors que je me rends compte que je ne connais pas pas son prénom. J'ai manqué de politesse mais je me demande s'il n'est pas trop tard.

Mes yeux ne cessent d'observer cet inconnu. Il est séduisant et me fait croire que la chance est présente ce midi. Un bel homme qui vient me tenir compagnie, que demander de plus ? Je lui souris, amusée, alors qu'il s'intéresse à ce que je mange. Je fronce les sourcils parce que je ne me souviens déjà plus du nom. Je me penche vers lui pour regarder rapidement le menu. - Harira ! c'est une spécialité d'ici. Testez. Mes yeux ne le quittent pas, ils jouent avec ceux de l'inconnu. Difficile de se concentrer sur le repas quand on a envie d'en croquer un autre. Jeu sensuel avec ma cuillère, espérant susciter des pensées troubles. Ezekiel. Le nom d'un ange, non ? - Luna. je réponds. Peut-on dire que nous sommes un peu plus proche ? pas trop mais suffisamment pour lever légèrement mon pied, y retrouver son mollet alors que je me sers un peu du plat. Je bois pas seulement la sauce du plat mais aussi les paroles d'Ezekiel. Intraitable demoiselle que je suis, quand un homme parvient à acquérir mon attention. - Hm, évidemment que j'adore ça. Et ... je marque une petite pause, mes lèvres se pincent, mes joues gonflent sous le sourire retenu alors que je le dévore déjà lui, du regard. - ça me plairait beaucoup de partager cette tajine, avec toi, Ezekiel... parce que j'ai envie de jouer, j'accompagne mes mots d'une nouvelle caresse de mon pied contre son mollet. il fait face à une femme joueuse, je comptais bien profiter de ces derniers jours au Maroc comme il se doit. A nouveau, je viens prendre une nouvelle cuillère de mon plat, savourant les saveurs à nouveau. Si nous n'étions pas au Maroc, j'aurais été plus... entreprenante. Mais je n'ai pas envie de me faire arrêter. Alors, je reste subtile. Une séduction par le regard, par l'élégance de quelques gestes séducteurs, c'est tout aussi excitant pour moi...

Eating your soul

with @Luna Jacobs and M. Ezekiel Emerson
warning : rien à signaler
Flashback Maroc, Summer Camp
Des rencontres avec le sexe opposé. Ezekiel n’a cessé d’en faire depuis son arrivée au Summer Camp et aujourd’hui ne déroge guère à la règle. Car c’est une femme délicieuse aux atouts immanquables avec qui il déjeune, bien qu’il ne se serait douté que cela arriverait. Il faut croire que cette rencontre devait se faire et tandis qu’il prend place face à la jeune femme, elle commence, lui proposant de partager leurs plats. Ils débutent par une sorte de soupe et une cuillère déposée devant lui, le futur professeur d’Harvard interroge l’inconnue qui se penche en avant et ainsi le fait sourire. Il ne peut manquer sa poitrine qu’il prend plaisir à dévorer du regard, sans gêne aucune, lorsque leurs iris se retrouvent. Se saisissant de sa dite cuillère, il la plonge dans le bol, pour observer celle qui déjeune avec lui et qui joue savamment avec la sienne, afin de l’allumer sans nul doute. Adorant s'adonner à des jeux de séduction, le beau brun se mord sa lèvre inférieure et l’épie, se moquant des regards qu’on peut leur porter. Se présentant en bonne et due forme, de la malice est perceptible dans le regard saphir de l’homme qui note qu’elle se nomme Luna, celle dont il ne connaissait encore le prénom jusque-là. Puis, il propose qu’il partage un tajine lorsqu’il sent qu’elle lui caresse le mollet.
- "Je vois que nous devenons plus intimes au simple échange de prénom." Il prononce tout bas, s’étant penché en avant, afin qu’elle seule puisse l’entendre. "Cela me plaît." Il termine, quand elle se pince les lèvres et gonflent ses joues avant de sourire. "Heureux que tu veuilles le partager avec moi." Il reprend, la laissant continuer ses jeux de pied, ses prunelles empli dé désir pénétrant les siennes, emprunte de malice. "Si nous étions seuls…" L’adonis commence, usant de sa voix suave, leurs regards toujours accrochés. "… Je me serais rapproché de toi, pour t’embrasser, Luna." Se saisissent de sa main libre, il la caresse, dessine des cercles sur sa paume, de manière légère, sensuel. "Malheureusement, je ne pense que ce soit le moment approprié." Puis, il regarde tout autour d’eux et soupir, son dos retrouvant celui de son assise. "Continuons à déjeuner et surtout, ne cesse pas de me faire du pied." C’est un clin d’œil complice qu’il lui offre avant de sourire à pleines dents, ce qui s’avère être excessivement rare chez le professeur aux origines italiennes.