quand on regarde un film et que l'héroïne est vierge, on nous passe toujours se moment de panique qu'elle ressent quand elle le fait pour la première fois. on nous parle pas des gestes mal coordonnée qu'elle pose quand elle essaie d'embrasser de caresser le mec en même temps. un peu comme là, quand concentré sur mes mains, j'en oublie ma bouche et que je viens te mordre. « désolée » que je souffle entre tes lèvres. ou alors ce moment où prise par une envie que je ne me connaissais pas, je fonce sur toi pour embrasser ton torse que tu viens de dénuder et que je te met un coup de tête. « merde pardon » mes lèvres que je mords pour ne pas céder au rire qui me tourmente. j'espère que tu t'attendais à pire et que c'est pas si horrible que ça parce que pour l'instant je maîtrise rien du tout. pour mimer tes gestes à mon tour, je retire mon t-shirt et me retourne en jean et soutiens-gorge sous tes yeux. première fois que je suis aussi peu habillée devant quelqu'un dans ce genre de moment, parce que la piscine ça ne compte pas. j'ose pas m'approcher de peur de te casser un truc. qu'est-ce qu'on fait maintenant ?

@Harlow Wilcox

@Jelena Rodrič jelena's place, boston 11.01.2022
tw: langage cru

before i fell
Dans le fond, c'était pas question de moi et de mes envies aujourd'hui. J'avais bien compris le truc. Alors je faisais passer tes envies avant les miennes — ce qui était vraiment rare avec les femmes en général. L'habitude de toujours faire comme je l'entends, pour assouvir mes besoins qui étaient conséquents. Non, là c'était l'inverse. Je ne me laissais pas embarquer dans mes propres désirs, te laissant mener la danse comme bon te semblait. C'était d'ailleurs étrange d'être à l'écoute de quelqu'un mais bon, fallait bien une première fois hein. « t'inquiète » que je réponds pour les deux excuses que tu balançais, avant de me taire totalement quand ton t-shirt se retrouvait au sol. Ok, t'étais encore plus canon que dans mon imagination. Corps qui se rapproche un peu plus du tien pour glisser les doigts le long de la bretelle de ton soutien-gorge. Je la fais tomber et viens poser mes lèvres sur ta peau, avant d'attraper ta main pour t'attirer jusque dans la chambre, ça serait plus simple. « tu me fais confiance ? » que je finis par dire en te poussant à t'allonger sur le lit, venant te surplomber pour embrasser la peau au dessus de ton sein.

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je m'en veux d'être aussi nulle et incompétente. parce qu'il y a une part de moi qui aurait envie de te faire plaisir, de te faire du bien alors que je suis complètement inexpérimentée. je ne sais pas ce que je fais, je me laisse faire et en même temps tu me fais comprendre que c'est à moi de te guider dans mes désires. sauf que tout se bouscule dans ma tête, je ne sais plus trop de quoi j'ai envie, tout à la fois surement. gourmande de tes lèvres, je viens les attraper entre les miennes, les embrasser d'abord délicatement avant de les bouffer avec envie. ma langue qui s'insinue entre tes lips, vient trouver la tienne. je tente de contrôler ma respiration qui se saccade, ma poitrine qui se soulève au rythme de tes caresses contre ma peau. « oui » que je lâche à demi mot. j'ai confiance en toi, c'est pas du tout ça le problème. le problème c'est que je n'ai aucune confiance en moi, en ce que je peux réveiller chez les autres. je ne sais pas ce que je veux, je ne sais pas m'écouter et je panique. pourtant j'attrape ta main et je te suis dans ma chambre. mon corps qui s'allonge sur le lit, la bretelle qui a glissé le long de mon bras alors que ta bouche rejoins ma peau. ma main qui se glisse dernière ta nuque pour appuyer tes lèvres contre ma peau. mes jambes qui entour tes hanches, s'accroche à toi pour ressentir le plus possible les ondes entre nous. « je.. je dois faire quoi ? » que je demande innocemment.

@Jelena Rodrič jelena's place, boston 11.01.2022
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@Jelena Rodrič jelena's place, boston 11.01.2022
tw: langage cru, sexe

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Je me demande jusqu'où j'allais être capable d'aller avant que tu ne me stoppes. Les idées plein la tête sur ce que je pouvais te faire subir, j'avais aucunement envie que ça s'arrête. Mais j'oubliais pas que tu n'avais aucune expérience et que, par conséquent, tu pouvais prendre peur et m'arrêter. Garder la tête froide était le plus important dans ce genre de moment, pour éviter une frustration maximale. Et quand mes lèvres commençaient à descendre plus bas, c'est là que tu tirais la sonnette d'alarme. Mâchoire serrée, je me redressais avant de tenter un sourire. Fallait s'y attendre, s'arrêter avant que ça ne devienne ne serait-ce qu'un peu intéressant. — t'inquiète, no stress Je me redressais, avant de m'allonger sur le lit, tentant de calmer mes ardeurs bien trop vite montées.
Je te rassurais à plusieurs reprises avant de finir par me rhabiller, t'invitant à faire de même, pour éviter que la tentation ne grandisse d'avantage et que l'envie ne fasse que se dupliquer avec le temps.