"Il était une fois une princesse qui vivait en haut de sa tour. Elle y était enfermé de force par sa belle mère. La jeune fille y était vraiment malheureuse car elle rêvait de découvrir le monde et l'amour, sauf que la réalité était bien cruel. Cendrillon devait réaliser tout ce que sa belle mère lui demandait. Fort heureusement la marraine la bonne fée réaliser un de ses rêves. Elle lui créa grace à la magie, un carrosse, une robe et des pantoufles de verres. Elle devait être rentrer avant minuit sinon tout redeviendrait comme avant. Cendrillon se rendit au bal et a minuit elle rentra sauf que dans sa course elle perdit une pantoufle et le prince la ramassa désespérer de la retrouver un jour. Suite a de nombreuse recherche il retrouva la propriétaire de la pantoufle. Et cendrillon devint une vraie princesse et épousa le Prince. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants."

"Moi aussi maman je veux devenir une Cendrillon."
"Nous allons y travailler mon ange, dort maintenant."

Je ne me doutais pas que ma mère le prendrais au sérieux. Je n'étais qu'une enfant et je croyais au compte de fée, au prince charmant. Je savais qu'elle prendrais part à mon éducations car à la maison c'est elle qui dirige tout. Elle est l'une des plus grande créatrice de mode de Londres et mon père un grand rédacteur en chef. Contrairement à ce que les gens pourraient penser mon père et moi étions bien plus complice que ma mère et moi l'étions. Tout ce qu'elle voulait c'est faire de moi, un mini elle, ce qu'elle n'a jamais réussie à être. Alors depuis tout jeune j'ai appris la discipline, bien se tenir à table, parler poliment, s'habiller avec goût, classe et toujours à la pointe de la mode. Fidélité et droiture ont été de vigueur à tel point que parfois j'en pleurais. Il y a une raison à tout ça, une raison au fait que ma mère soit ainsi. C'est tout simplement parce qu'elle était la présidente des Cabot à Harvard lorsqu'elle avait mon âge alors elle désire que je passe par là, pas forcément présidente car je n'ai pas l'intention d'aller jusque là.
Enfin voilà vous connaissez la base de mon éducation. Puis comme tout jeune fille j'ai rencontré l'amour. J'ai passé toute ma vie à Londres. Mais un jour je l'ai quitté pour des vacances, je suis partit seule en France et j'ai rencontré un homme. Il avait la chambre que je désirais à l'hôtel le plus chic, face à la mer. Alors je l'ai charmé et ça n'a pas été très difficile. Il a émis une seule condition. "Je vous la laisse si vous dîner avec moi ce soir au Palace." D'un sourire angélique j'ai accepté. Nous sommes aller dîner lui et moi, je lui ai parlé de qui j'étais je me suis ouverte à lui, je n'ai cessé de lui sourire et de mettre toute les chance de mon côté. Après ce dîner il me proposa de nous revoir. C'est donc ainsi que le lendemain il me fit visiter la ville où nous nous trouvions. Faut dire ce qui est je suis tombée littéralement amoureuse de lui, de cet homme Français irrésistiblement beau et riche. Nous avons passé une nuit ensemble et se fut le début d'une grande histoire à tel point qu'elle dura deux ans et demie. Nous devions nous mariés sauf... Qu'en rentrant je l'ai trouvé dans le lit avec une autre... Et cette fille n'était autre que ma meilleure amie celle qui m'avait aidé à organiser mon mariage. "C'est pas ce que tu crois!" la phrase typique des gros blaireaux. "Oui t'as raison je devrais refermer la porte et te laisser la baiser sans rien dire". Oui au diable la politesse j'étais hors de moi. "Je vais t'expliquer mon amour" Il se leva et je le gifla. "M'expliquer quoi?! Hein Franck?! Depuis combien de temps ça dure cette mascarade? Depuis combien de temps vous vous foutez de ma gueule? Hey la blondasse tu repose ton cul sur ce lit où je te fais bouffer le sol c'est clair?! Je t'ai tout donné Franck tout TOUT, mon âme, mon temps, ma passion, mon amour, je me suis dévoué corps et âmes, je ne sortais plus, pas d'excès lors de soirée. Fidèle jusqu'au orteils et toi tu fou tout en l'air. Je te conseil d'être partit de Londres demain matin à 8h00 tapante car si t'es encore dans ce pays je te le ferais payer à tel point que tu n'oseras plus prendre ton pied avant des siècles." Je regardais celle en qui j'avais eus tant confiance, "Quand à toi!" je l'attrapa par les cheveux me fichant qu'elle soit à poil et la ficha dehors. Après ça je suis partit, et le lendemain il était bel et bien partit.

Après ça je me suis concentré sur l'éducation que me donna ma mère, la vie est une garce alors je le suis aussi. Je ne suis pas une fille méchante loin de là. Quand je tiens à quelqu'un en amour ou en amitié je lui promet fidélité et soutient mais si on trahit ma confiance et ce lien je serais la pire des tornades. J'ai appris à utiliser mon charme et mon physique plutôt attirant faut le dire pour arriver à mes fins.
Ma cousine Apple, ne vit plus à Londres depuis un moment. Je sais qu'elle a une fille Coraleen, et qu'elle est à Harvard. C'est donc envoyé par ma mère que je me rend à Harvard espérant rejoindre les Cabot. Et surtout vivre enfin une vraie vie. Faire des rencontres. Et être tout simplement heureuse. J'y étudie la mode chose qui me passionne depuis toujours et la musique mon père jouait du piano et je chantais avec lui alors voilà mes deux matières. XOXO