Il avait ce petit crâne nu orné d'un fin duvet qui germait sur sa peau fraîche d'une douce odeur de lavande sans imprégnait. Ses petits doigts s'étiraient vers l'horizon attrapant les tiens dans un hélant de tendresse de fragilité , les serrant doucement dans un geste si simple. Ses prunelles étaient emmitouflé sous ses paupières closent et ses lèvres s’entrouvraient expirant ses premiers souffles suivit d'un sourire qui voulait tout dire. Elle ne te regardait point et pourtant ses yeux noisettes portaient leur chaleur enveloppante. À peine quelques minutes de vie. Une vie. Un être . Une nouvelle âme. Tu sentais toute fois cette brise fraîche presque glacial qui s'infiltrait par la fenêtre entrouverte. Les gouttelettes qui frappaient la baie vitrée dégoulinant n'entendant pas l'une ou l'autre une rivière sans cesse. Ces cordes se déversaient des nuages et tu les trouvait magnifique pour une fois étrangement. Ce petit être venait de sombrer dans le sommeil et tu rabattis le mince drap sur sa poitrine. Un petit garçon s'agitait et papillotait ses cils encore endormie se tirant de ses rêveries enfantine. Il tendit les bras dans le vide appelant sa maternel à lui. Dans son étreinte chaleureuse il gloussa décorant ses joues d'un petit rosée d'un rire de folie et d'un bonheur innocent.«Tu vas l'appeler comment ?»«Flavie.»«Je suis d'accord avec ce nom.»Elle lui sourit et déposât un baiser au sommet de sa tête. Une nouvelle Morel. Un nouveau destin. Toi cher Charlotte , ma mère , ma génitrice tu te laissais partir dans une nuit profonde comme tes deux progénitures un sourire aux lèvres. Ta chevelure si bien ramener dans un chignon parfait et le tailleur si bien soigné qui n'attendait que d'être pris sur la table de chevet. Ton travail t'attendait déjà si impatiemment tout comme ta conscience qui s'agitait à le rejoindre. Déjà à tes yeux il y avait poussé quelques pattes d'oie bien rapidement. Tu vieillissais plus rapidement le stress te rongeait. Tu avais eu dix ans pour t'occuper d'un fils et tu n'avais pu empêcher de mettre vie à une fille. Si je plonge au profond de moi-même je me souviens si parfaitement du parfum de tes grandes boucles brunes. Malgré cela ton rire ne me revient pas il a dû s'éteindre avec les amas de tes heures de travail. Je ne les point entendu , mais je les vu ce sourire si parfait qui fleurissait sur ton visage. Quant à Papa tu le savais bien il n'était pas là pour me prendre bien sagement dans ses bras , il devait être derrière son bureau à classer ces millier de document. Non il n'était point question d'amour , car il t'aimait plus fort que tout. Il était tout ton contraire je me rappelle si bien de son rire quand tu t'énervais ou tu renversais une de tes nombreuses tasse de thé. Il aimait tant bécoter tes joues d'une blancheur parfaite et prendre tes mains furieuse d'être entrelacé dans la sienne. Parce que tu avais beau te débattre sans cesse de ces gestes d'affection lui il t'aimait comme un fous et portait le grand besoin de te le dire à chaque seconde. Je n'ai point vu ces traits de frustration sur ton beau visage mon cher papa même lorsque maman criait Abraham pleine de rage à travers l'énorme demeure. Pendant vos grandes discussions il y avait toi Tristan qui déjà à tes dix ans me prenait dans tes bras maigres me transportant jusqu'au jardin et me déposer dans l'herbe peu importe le vêtement qui couvrait mon corps. Il n'y avait rien de mieux pour t'amuser que de me faire rouler dans le jardin lorsque une robe blanche m'était vêtue pour la journée. Tu me chérissais comme la prunelle de tes yeux , un vrais pierre précieuse. Tu me câlinais sans cesse et tu adorais par dessus tout entendre mes petits gazouillement de rire qui s'intensifiait en ta présence. Bien les fois où les pleures faisait rage sur mon visage chère maman qui ne savait plus où donner de la tête toi tu pointais ton minois me faisait un simple bisous et tout s'arrêtait.

Certain dise que se sont des âmes errantes , d'autres préfères revenir à la tradition de la magie aux ailes et aux nuages , alors que les plus réaliste proscrive leur existence. Pour ma part je les ai dissimulé dans des figurines de porcelaine et un colliers longeant mon cou blanc. Je suis croyante oui telle est le cas , famille chrétienne aux crucifie au dessus de la porte et aux messe du dimanche.Croyante certes , pas en un être divin dissimulé dans le paradis.Les anges des être divins. Ils sont tous des messager ou sans doute ils viellent sur vous dans le plus grand silence. Ma foie pour eux n'est pas venu seulement par moi même , mais par mon frère aînée. Sur le rebord de ma fenêtre je pouvais voir apparaître une figurine nouvelle. Et pourtant Neil restera toujours le plus grand au fond de moi.On l'a retrouvé le corps inerte flottant dans la baignoire . Il faut croire que sa petite soeur n'était pas le simple souffle qui lui fallait. Le file qui le retenait à la surface. Non il c'est laissé submergé après m'avoir serrer pendant une longue soirée prononçant que je n'avais à peine compris. «Maman...»«Flavie va dormir je t'en prie»«Mais maman il est où Neil ?» . Charlotte garda un silence incompréhensible et ses prunelles se firent suivre par des sourcils froncés cherchant une réponse en songeant et elle prit délicatement la main de sa fille. «Flavie..moi aussi je me le demande ne bouge pas..» Elle se relevait laissant là la jeune fille assise sur une chaise autours de la table de verre de la table extérieur. La jeune mère s'engouffrait dans la luxueuse demeure. Son frère elle le cherchait depuis le début de la soirée même ses parents ne le savaient pas eux même. Son père avait laissé pousser un grognement sourd en relevant les yeux de son journal et avait fait un bref signe de main comme quoi il l'ignorait. Charlotte hurla de colère et retira ses gants blancs de soie les jetant sur le sol. Ses talons claquaient sur le plancher en direction du couloir et dévalisaient les escaliers à la vitesse de l'éclaire. Un crie strident dans ses oreilles qui retira le silence de la demeure. Son coeur bondit et son visage se changeait en peur. Abraham déposait sa lecture sur la table à café et monta intrigué. Elle entendit sa mère hurler de nouveau et éclater en grand sanglot. Flavie remonta en courant le chemin qui la séparaient d'elle et ses parents et découvrit dans la salle de bain . Charlotte qui tenait le corps de son frère noyeé dans le bain sans souffle sans vie en pleurant sur son corps sans vie.« «Non...Neil». «Maman ...?» Son père ferma la porte derrière lui en sortant de la pièce ]««Tout va bien aller ma belle..» «NON! » . Elle ouvrit la porte et accouru sur le carrelage glissant et toucha le corps inanimé de son frère. Flavie déposa un baiser sur son front et le serra fort contre elle ««Neil..?» . Sa mère pleura de plus belle ««Mon fils..» La fillette croisa de nouveau le regard de son père qui hocha la tête négativement. Ses rêves venaient d'être brisés en de grand éclat.

Tendez les bras mademoiselle». Son regard de braise détournait vers les carré de glace. Ses doigts fins touchaient la chaire violentée et on appliquait de fins bandages blancs. À sa joue il lui déposait une douce caresse.[color=black]«Il faut arrêter ça mademoiselle»«Pourriez-vous m'appeler par mon prénom comme vous pourriez me tutoyer.»]/color] Il se mit à rire de bon cœur sous ses traits de sage. Ses cheveux grisonnants sur son crâne qui ramassait les tâches de vieillesses. Il finissait de fermer les bandages et remontait son long doigt tordu en étirant ses lèvres défraichies d'un sourire.«Non puisqu'il n'est que question de bonne politesse comme votre mère vous l'a appris. » Elle baissait ses prunelles triste de la réponse. Mais dans l'ombre d'une seconde elle projetait son regard plus loin dans la pièce. Le vieillard faisait un signe de tête. Il savait tout ce qui se passait au plus profond de sa complexité. Ce qu'elle observait au fond de la pièce que bien des gens auraient haussé un sourcil.Ce secret qu'elle porte en elle. Cette clef qui échappe à tout le monde. Cette situation qui lui mérite des mépris . La porte toujours grande ouverte , la jolie brune rentrait et sortait de son mutisme de silence connu par sa famille. Il n'est pas question de miracle. Les choses ont toujours paru plus simple dans les confortables sofa rouges de monsieur Sørensen . Il aura servie de thérapeute à la jeune femme. Quand sa famille à finalement changer de cap pour l’Amérique son mutisme elle est sortie de son mutisme de silence. Contrairement à ce que l'on peut penser elle saura sortie du trou noir comme une vrais battante. Elle se souvient encore de la nuit , de ce rêve dont elle a aurait entendu son frère lui parler. «Soit forte pour moi petite soeur. Tu es trop jeune pour laisser tout tomber» En pleure au réveil , une flamme c'était éveillé. Elle n'avait plus jamais regardé les choses de la même façon

J'ai chuté. J'ai tombé. Et c'était la dernière fois que ce choix était envisagé.